Downloadpresentation. Les puissances de dix 10 -16 1 1025. Échelle: 100 mètre = 1 mètre § Échelle humaine § Un étudiant se repose en attendant son cours d’astronomie d’observation sur le terrain du collège. C’est le début d’une aprèsmidi paresseuse, un premier octobre. § Commençons par une scène d’un mètre de large que
Pauline095 Pauline095 May 2019 1 5 Report Bonjour vous pouvez m'aider svpp,, retrouver la valeur de la vitesse de la lumière entre la Lune et la Terre Please enter comments Please enter your name. Please enter the correct email address. Agree to terms and service You must agree before submitting. Lista de comentários saadsamodi Bah la lumiere parcours la distance terre lune en 1sec environ puisque la vitesse de la lumiere est 300 000km/secondeet le diqtance terre lune est aussi 300 000km/secondej espere t avoir aider 1 votes Thanks 0 saadsamodi de rien More Questions From This User See All pauline095 January 2021 0 Respostas bonjour; quelle est la puissance de 10 de 4,6 milliard? vite svpp c pour demain merci d'avance Responda pauline095 January 2021 0 Respostas Responda Pauline095 May 2019 0 Respostas bonjour pouvez vous m'aider svppp c urgeeent,quel milieu la lumiere traverse-t-elle lorsqu'elle se propage de la terre a la lune? Responda
\ndistance terre lune en puissance de 10
b Compare les diamètres du Soleil et de la Lune en divisant le diamètre du Soleil par celui de la Lune : c. Déduis-en combien de fois le Soleil est plus grand que la Lune : d. Compare les distances Soleil-Terre et Terre-Lune en faisant une division : e. Déduis-en combien de fois la Lune est plus près de la Terre que du Soleil : f. Que
UNIVERSD'après les dictionnaires, l'Univers est l'ensemble de tout ce qui existe. Dans sa perception immédiate, l'Univers se limite au seul environnement qui soit accessible à nos sens. L'astronomie a cependant permis, dès l'Antiquité, de concevoir que la Terre, le système solaire et les étoiles ont des dimensions, ou sont à des distances, considérablement plus grandes que ce que nous pouvons imaginer facilement. […] Lire la suiteSCIENCES Sciences et sociétéÉcrit par Federico MAYOR, Evry SCHATZMAN • 9 687 mots • 4 médias Il n'y a pas, en ce sens, d'expérimentation dans les sciences humaines. Sans doute toutes les sciences de la nature ne sont-elles pas des sciences expérimentales, et l'astronomie en est le meilleur exemple. Mais l'astronomie procède par extrapolation à partir des sciences expérimentales, principalement la mécanique et la physique ; et elle ne serait rien sans les expériences qui ont fondé ces sciences. […] Lire la suiteMUSÉES DES SCIENCES ET TECHNIQUESÉcrit par Bruno JACOMY • 6 416 mots Rappelons d'ailleurs que, dans sa phase d'élaboration, cette dernière était nommée Musée national des sciences, des techniques et des industries. Ces titres reflètent la volonté d'embrasser non seulement les sciences, et notamment les sciences dures », mais aussi les techniques que le xixe siècle considérait comme des sciences appliquées et, plus récemment, les sciences humaines, au rang desquelles on peut, à l'instar d'André-Georges Haudricourt 1911-1996, inscrire la technologie. […] Lire la suiteUNIVERS notions de baseÉcrit par Universalis • 4 771 mots • 17 médias Le système solaire était né. La naissance de l’Univers Les objets proches racontent le passé immédiat, quelques années pour les étoiles voisines, quelques dizaines de milliers d’années pour le cœur de la Voie lactée, etc… La lumière provenant des objets les plus lointains fut émise il y a 13 milliards d’années temps qu’il lui a fallu pour parcourir la distance de l’objet à la Terre. […] Lire la suiteSCIENCES Science et progrèsÉcrit par Jean-Marc LÉVY-LEBLOND • 6 537 mots La relativité date de la première décennie du siècle dernier, la quantique et la cosmologie expansion de l'Univers de la troisième, la physique nucléaire de la quatrième. Quant à l'informatique et aux nouvelles techniques de communication, leurs principes et premières réalisations résultent de la Seconde Guerre mondiale. La révolution des sciences de la Terre, la tectonique des plaques, trouve ses origines au début du xxe siècle. […] Lire la suiteSCIENCES Science et christianismeÉcrit par Jacques ROGER • 4 121 mots Contre Newton, il affirme que le système solaire n'a pas été directement créé par Dieu, mais qu'il doit son existence à un phénomène naturel. Il refuse au déluge biblique tout rôle dans l'histoire de la Terre, dont il augmente la durée au-delà de toutes les estimations antérieures, fondées sur la Bible. Il défend la génération spontanée, commence à penser à une évolution des formes vivantes et laisse entendre que l'homme est d'abord un animal très perfectionné. […] Lire la suiteSCIENCES ET PHILOSOPHIEÉcrit par Alain BOUTOT • 17 713 mots • 6 médias La philosophie, qui se confond avec la dialectique, représente le faîte et le couronnement de l'édifice du savoir, les autres sciences, c'est-à-dire l'arithmétique, la géométrie, l'astronomie ou l'harmonie, n'étant qu'une sorte de propédeutique à la philosophie. D'où l'inscription qui figurait sur le fronton de l'école platonicienne à Athènes, l'Académie Que nul n'entre ici s'il n'est géomètre. […] Lire la suiteSCIENCES HUMAINESÉcrit par Edmond ORTIGUES • 10 268 mots • 2 médias Et pourtant, même si la table des éléments n'est pas le dernier mot de la physique, c'est elle qui, depuis Empédocle jusqu'aux successeurs de Mendeleïev, a donné aux physiciens le sentiment d'avoir les pieds sur terre. Les sciences sociales quant à elles, en se réduisant à n'être de leur propre aveu que des sciences du comportement ou du changement, naviguent comme elles peuvent sur les abîmes de la psychologie. […] Lire la suiteCHINOISE CIVILISATION Sciences et techniquesÉcrit par Jean-Claude MARTZLOFF • 6 568 mots Dans chaque cas, supposant le Ciel et la Terre soit plats, soit incurvés, mais toujours parallèles l'un à l'autre, et admettant aussi que l'ombre du gnomon varie régulièrement, elles aboutissent à un univers de dimensions finies dans lequel le Soleil joue le rôle d'une étoile circumpolaire. Une autre théorie, dite du ciel enveloppant » huntian, dépend de la sphère armillaire huntian yi, et repose sur l'idée d'un univers en forme d'œuf dont la Terre serait le jaune. […] Lire la suiteART & SCIENCESÉcrit par Jean-Pierre MOHEN • 6 165 mots • 3 médias Il est fait appel à la grande variété des sciences de la Terre aussi bien qu'aux sciences des matériaux, dans une optique archéologique qui fait le bilan des approches archéométriques et historiques. La conservation-restauration Cesare Brandi, en 1950, dans un livre intitulé Teoria del restauro, Harold Plenderleith, en 1956, avec ses travaux sur La Conservation des antiquités et des œuvres d'art, Paul Coremans, dans ses cours professés à l'Institut royal du patrimoine artistique de Bruxelles, ont défini, chacun, les principes d'une conservation-restauration » scientifique ils ont établi la règle de la stabilité et de la réversibilité de l'intervention, celle de l'intégrité et de la lisibilité de l'œuvre. […] Lire la suiteSCIENCES SOCIALES PRÉHISTOIRE DESÉcrit par Bernard-Pierre LÉCUYER • 17 521 mots • 1 médiaL'actuel discours manichéen sur les sciences sociales repose, en fait, sur deux postulats rarement explicités qui se caractérisent par une négation absolue de l'historicité. Il suppose d'abord pure vue de l'esprit un développement en quelque sorte frontal » des sciences sociales, susceptible d'être légitimement et globalement opposé à celui d'un autre ensemble fictif, et supposé quant à lui cohérent, qui comprendrait dans leur totalité les sciences de la matière, de la Terre et du monde vivant. […] Lire la suiteARCHITECTURE Thèmes généraux Architecture, sciences et techniquesÉcrit par Antoine PICON • 7 914 mots • 6 médias Un Jean Nouvel semble l'avoir très bien compris lorsqu'il conçoit des ambiances technologiques sans pour autant chercher à combler l'écart qui s'accuse entre un univers scientifique et technique de moins en moins spatial et la discipline architecturale. Cet écart est-il désormais inévitable ? Les réflexions visant à renouer des liens riches de sens entre architecture, sciences et techniques empruntent actuellement trois directions. […] Lire la suiteASTRONOMIEÉcrit par James LEQUEUX • 11 338 mots • 20 médias est sans aucun doute le pythagoricien le plus intéressant pour l'astronomie. Toutefois, il n'introduit pas l'Univers héliocentrique le Soleil comme centre de l’Univers, comme on l'affirme parfois. Pour lui, le Soleil n'est qu'un astre tournant autour du feu central où trône Zeus. Mais la Terre devient aussi mobile, décrivant en vingt-quatre heures un cercle autour de ce feu, en présentant toujours vers l'extérieur la même face, où se trouve la Méditerranée. […] Lire la suiteTERRE La planète TerreÉcrit par Jean AUBOUIN, Jean KOVALEVSKY, Evry SCHATZMAN • 12 045 mots • 11 médias Le calendrier de l'histoire de la Terre Dans un Univers de 15 milliards d'années, l'âge de la Terre, comme celui de la Lune, estimé sur les échantillons du programme Apollo, est de l'ordre de 4,5 milliards d'années. Il s'agit d'ailleurs également de celui du Soleil et du système solaire. Cet âge a été donné par des zircons, minéraux repris dans des roches plus récentes. […] Lire la suiteINDE Arts et culture Les sciencesÉcrit par Francis ZIMMERMANN • 14 198 mots • 2 médias Livre II la Terre, qui fait l'objet d'une taxinomie en dix sections, la terre en général définition géographique de l'Inde comme centre du monde aryen, la ville autrement dit, l'espace habité, la montagne l'espace sauvage, et, dans la montagne, les plantes de la forêt d'une part, les animaux sauvages d'autre part ; aux cinq premières sections qui concernent les sciences naturelles font pendant cinq sections sur ce que nous appellerions les sciences de l'homme, et d'abord l'homme en général termes de parenté, noms de maladies, etc. […] Lire la suiteHISTOIRE DES SCIENCES, DE L'ANTIQUITÉ À NOS JOURS dir. P. de la CotardièreÉcrit par Hubert CURIEN • 1 035 mots Rédigé dans un esprit tout autant prospectif que rétrospectif par sept auteurs spécialistes de leur domaine, Histoire des sciences, de l'Antiquité à nos jours Tallandier, Paris, 2004 vient à son heure, alors que l'enseignement de cette discipline est aujourd'hui, et particulièrement en France, notoirement insuffisant à tous les niveaux. L'ouvrage est divisé en six chapitres traitant des mathématiques, de la physique, de l'astronomie, de la chimie, des sciences de la Terre et des sciences de la vie. […] Lire la suiteISLAM La civilisation islamique Les mathématiques et les autres sciencesÉcrit par Georges C. ANAWATI, Roshdi RASHED, Universalis • 22 273 mots • 1 média Et vous avez en ma personne le meilleur barbier de Bagdad, un médecin expérimenté, un chimiste très profond, un astrologue qui ne se trompe point, un grammairien achevé, un parfait rhétoricien, un logicien subtil, un mathématicien accompli dans la géométrie, dans l'arithmétique, dans l'astronomie et dans tous les raffinements de l'algèbre ; un historien qui sait l'histoire de tous les royaumes de l'Univers. […] Lire la suiteTERRE ÂGE DE LAÉcrit par Pascal RICHET • 5 143 mots • 5 médiasQue la Terre et même l’Univers aient un âge est de nos jours une évidence. Le fait que ces âges se comptent par milliards d’années est lui-même couramment connu 4,55 pour la Terre et sans doute environ trois fois plus pour l’Univers, comme l’ont respectivement établi les géochimistes au milieu du xxe siècle et les cosmologistes dans les décennies suivantes. […] Lire la suiteTERRE Vue d'ensembleÉcrit par Yves GAUTIER • 1 342 mots • 1 média La Terre est une planète du système solaire. En cela, elle tourne autour d'une étoile que nous appelons Soleil. Ce dernier fait partie d'un ensemble d'autres étoiles, avec d'autres planètes, qui forment une galaxie cette fameuse Voie lactée, que nous aimons contempler à la faveur des belles nuits d'été. N'allons pas plus loin pour dire que notre Galaxie fait partie d'une super-galaxie, parmi d'autres, pour former un Univers, plein de vides, qui n'existent pas, de matière manquante, de trous noirs, qui absorbent tout, et de divers rayonnements et autres curiosités qui dépassent bien souvent notre entendement malgré les théories des physiciens. […] Lire la suiteEXPLORATION DU SYSTÈME SOLAIRE notions de baseÉcrit par Universalis • 3 530 mots • 19 médiasLe système solaire est de mieux en mieux connu, au fur et à mesure des progrès des sciences et des techniques. Les télescopes et les sondes spatiales permettent l’exploration de tous les astres qui gravitent autour du Soleil planètes telluriques, planètes géantes ou petits corps comme les astéroïdes et les comètes. La conquête spatiale a bouleversé nos connaissances en même temps qu’elle pose de nouvelles questions. […] Lire la suiteSCIENCE-FICTIONÉcrit par Roger BOZZETTO, Jacques GOIMARD • 7 936 mots • 4 médias La science-fiction francophone Depuis au moins Jules Verne et Cinq Semaines en ballon 1863, la littérature française d’imagination ou de merveilleux scientifique a donné forme et modèles à l’imagination associée aux merveilles techniques. Elle a fourni des textes de qualité, entre autres ceux de Rosny aîné, Jacques Spitz ou Maurice Renard, lequel inventait aussi la critique de ce qui apparaissait comme un nouveau genre littéraire, publié à la fois par des revues telles que Sciences et Voyages 1919-1935 et dans des romans épars. […] Lire la suiteOBSERVATION ASTRONOMIQUEÉcrit par Marc LACHIÈZE-REY • 1 843 mots • 5 médias Ils confirment ainsi que tous les astres sont composés des mêmes éléments que la Terre, et obéissent aux mêmes lois physiques. En même temps par l'effet Doppler-Fizeau, la spectroscopie donne accès à la vitesse du moins à sa composante en direction de l'observateur d'un astre, étoile ou nébuleuse. C'est ce qui permettra par exemple de découvrir l'expansion de l'Univers. […] Lire la suiteBUREAU DES LONGITUDESÉcrit par Bruno MORANDO • 949 mots Organisme regroupant des astronomes, des géophysiciens, des navigateurs, des spécialistes des sciences de la Terre climatologie, météorologie, etc., le Bureau des longitudes est, dans les années 1990, un des cinq bureaux dans le monde qui publient des éphémérides de haute précision. L'une des tâches principales du Bureau des longitudes est de publier annuellement des éphémérides astronomiques et d'effectuer des recherches dans le domaine de l'astronomie fondamentale, et, plus particulièrement, dans celui de la mécanique céleste du système solaire. […] Lire la suiteBRAHIC ANDRÉ 1942-2016Écrit par Isabelle GRENIER • 884 mots • 1 média Captivé par l’Univers dans son enfance, il renoue avec l’astronomie à l’université avec Evry Schatzman, avec qui il étudie les instabilités des étoiles massives. Nommé assistant à la Faculté des sciences de Paris en 1968, il se tourne vers l’étude de systèmes dynamiques et chaotiques avec Michel Hénon, dont il deviendra l’ami. Sa thèse 1971 porte sur l’accélération d’une particule entre des murs oscillants accélération de Fermi et son doctorat d’État 1976 sur l’évolution de systèmes dont les particules interagissent par gravitation et collisions. […] Lire la suiteGÉOLOGIE Vue d'ensembleÉcrit par Universalis • 877 mots La Terre est en effet un immense champ d'étude que les géologues doivent partager aujourd'hui avec les spécialistes d'autres disciplines. C'est ainsi que la géologie se limite plutôt à l'étude de la constitution et de l'histoire de la croûte terrestre et laisse à la géophysique l'investigation des couches plus profondes du globe ; l'aéronomie et la météorologie s'intéressent à l'atmosphère ; l'océanographie et l'hydrologie étudient les divers aspects de l'hydrosphère ; la Terre considérée enfin dans l'Univers relève de la planétologie et de l'astronomie. […] Lire la suiteKOYRÉ ALEXANDRE 1892-1964Écrit par Gérard JORLAND • 1 253 mots Deux ans plus tard, son nom a été donné au Centre de recherches d'histoire des sciences et des techniques qu'il avait créé en 1958 à la sixième section de l' devenue École des hautes études en sciences sociales en 1975. […] Lire la suiteLÉNA PIERRE 1937- Écrit par Yves QUÉRÉ • 1 098 mots • 1 média Le fil conducteur de ses travaux de recherche se situe dans l'astronomie infrarouge, champ qu'il est un des tout premiers à défricher et dont il va accompagner l'essor, appliquant chaque progrès de l'instrumentation et des techniques à différents problèmes d'astrophysique successivement, la structure de l'atmosphère solaire, les régions galactiques moléculaires denses de formation d'étoiles et les objets protostellaires. […] Lire la suitePECKER JEAN-CLAUDE 1923-2020Écrit par Roger-Maurice BONNET, Pierre LÉNA • 1 380 mots • 1 média Il veille à la place de l’astronomie au palais de la Découverte comme à la Cité des sciences et de l’industrie de La Villette, dont il préside le comité d’orientation de 1983 à 1986. Il milite également pour la sauvegarde de l’observatoire Camille-Flammarion de Juvisy-sur-Orge Essonne. Humaniste engagé, il est, avec son ami le mathématicien Jean-Pierre Kahane, membre actif de l’Union rationaliste, qui le distinguera par un prix en 1983 et avec laquelle il mène un combat inlassable contre l’astrologie. […] Lire la suiteHIPPARCOS, missionÉcrit par Catherine TURON • 1 376 mots • 1 média La précision de ces mesures de distances et de mouvements des étoiles du voisinage solaire a permis des avancées remarquables sur nombre de sujets la physique stellaire et galactique détermination des luminosités et des âges de très nombreuses étoiles, entraînant une meilleure compréhension de la physique de l’intérieur des étoiles et permettant de rendre enfin compatible l’âge des étoiles les plus anciennes du voisinage solaire avec l’âge estimé de l’Univers à partir de théories cosmologiques ; l’échelle des distances ou les systèmes de référence ; les étoiles doubles ou variables ; la structure et la cinématique des amas d’étoiles en particulier l’étude à trois dimensions de l’amas d’étoiles le plus proche du Soleil, les Hyades ; l’étude de la rotation galactique et des mouvements des différentes populations d’étoiles de la Galaxie ; les masses et les orbites des astéroïdes ; etc. […] Lire la suiteOBSERVATOIRE DE PARISÉcrit par James LEQUEUX • 1 400 mots • 3 médias Une activité couvrant tout l’Univers On se lance alors dans de nouveaux domaines d’abord l’étude du ciel en ondes radio, la radioastronomie, avec la fondation de la station de Nançay en 1953, munie d’instruments pour l’étude du Soleil puis d’un grand radiotélescope. Puis c’est l’astronomie à partir de l’espace, qui utilise d’abord des fusées et des ballons stratosphériques, puis des satellites et des sondes spatiales. […] Lire la suiteHERSCHEL sir WILLIAM 1738-1822Écrit par Dominique PROUST • 2 114 mots • 1 média L'impact de cette découverte est considérable, car après des siècles d'une astronomie planétaire figée à huit composantes – six planètes auxquelles s'ajoutent le Soleil et la Lune – et sur laquelle reposait toute la conception du cosmos, le système solaire s'accroît subitement, grâce à cette nouvelle planète située à 18 fois la distance de la Terre au Soleil. […] Lire la suiteDEMAIN, LA PHYSIQUE dir. É. BrézinÉcrit par Bernard PIRE • 1 034 mots La première partie, L'Univers et ses lois », ne surprendra pas les lecteurs. L'astronomie et la physique des particules élémentaires ont fait des progrès considérables dans les dernières décennies et leurs découvertes font régulièrement la une de l'actualité. On imagine aisément que les chercheurs de ces disciplines rêvent d'accélérateurs et d'observatoires sur Terre ou dans l'espace toujours plus puissants, et que les contraintes économiques sont le seul frein à leur imagination. […] Lire la suiteDOLLFUS AUDOUIN 1924-2010Écrit par Jean Claude FALQUE • 1 221 mots • 1 média Parmi ses ouvrages de vulgarisation, mentionnons Pilâtre de Rozier premier navigateur aérien, première victime de l'air Association française pour l'avancement des sciences, Paris, 1993, 50 ans d'astronomie comprendre l'univers Sciences, Les Ulis, 1998, La Grande Lunette de Meudon les yeux de la découverte éd. du Paris, 2006 et Les Autres Mondes visions d'astronome Belin-Pour la science, Paris, 2008. […] Lire la suiteHÉLIOCENTRISMEÉcrit par Jean-Pierre VERDET • 3 229 mots • 7 médias Peu de changement donc ; simplement, dans la grande machinerie de l'univers, en apparence toujours aussi complexe, Copernic se contente de permuter la place, mais aussi la fonction de la Terre et du Soleil. Au point que, parmi les œuvres qui marquent d'une pierre blanche les chemins de l'astronomie, le De revolutionibus est celle dont la place et le mérite restent parmi les plus contestés, et Copernic apparaît deux fois fauteur de discordes en son temps parmi les astronomes, les philosophes et les théologiens ; aujourd'hui, parmi les historiens des sciences. […] Lire la suitePRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2019Écrit par Pierre LÉNA, Alain RIAZUELO • 2 387 mots • 2 médias Le prix Nobel de physique 2019 est décerné pour des contributions à notre compréhension de l’évolution de l’Univers et de la place de la Terre dans le cosmos ». Il est attribué pour moitié à James Peebles université de Princeton, États-Unis, pour ses travaux théoriques de cosmologie et, pour l’autre moitié, conjointement à Michel Mayor université de Genève et Didier Queloz université de Genève ; université de Cambridge, Royaume-Uni pour la découverte de la première exoplanète. […] Lire la suiteSAGAN CARL 1934-1996Écrit par Jean Claude FALQUE • 892 mots • 2 médias En 1968, il gagne l'université Cornell, à Ithaca État de New York, où, en 1971, il est nommé professeur d'astronomie et de sciences spatiales et directeur du Laboratory for Planetary Studies, postes qu'il conservera jusqu'à sa mort. Son enthousiasme va y faire naître de nombreuses vocations la plupart des grands noms de la recherche planétologique du dernier quart du xxe siècle furent ses étudiants ou ses proches collaborateurs. […] Lire la suiteINDE Arts et culture Les mathématiquesÉcrit par Agathe KELLER • 5 429 mots • 3 médias Bhāskara explique ainsi que l’astronomie mathématique graha-gaṇita, littéralement le calcul des planètes » est une forme spécialisée de géométrie. Il affirme également que géométrie et arithmétique ne sont que deux manières différentes d’exprimer une même réalité, elle-même insaisissable autrement que par des outils savants. Nous n’approchons la vérité de la réalité que par des médiations techniques et savantes… Mais les mathématiques sont aussi vues comme une somme de sujets spécialisés dont les sciences astrales ne considèrent qu’une petite partie. […] Lire la suiteHOYLE FRED 1915-2001Écrit par Marek A. ABRAMOWICZ • 2 846 mots • 1 média Hubble, indique que l'Univers est en expansion constante, et qu'il a eu un commencement. Pour Bondi, Gold et Hoyle, cette idée de commencement est, d'un point de vue philosophique, inacceptable. À l'époque, le modèle standard achoppait à une difficulté sérieuse d'après les estimations de Hubble, l'âge de l'Univers devait être d'environ deux milliards d'années ; or, les données géologiques conduisaient à un âge de la Terre d'au moins quatre milliards d'années. […] Lire la suiteLEM STANISLAS 1921-2006Écrit par Jerzy JARZEBSKI • 1 165 mots Dès ses débuts, Lem déploie deux types d'écriture le roman de science-fiction et l'essai de philosophie des sciences. Dans ce second volet de son œuvre, Les Dialogues 1957 et Summa technologiae 1964 offrent des réflexions sur l'avenir des sciences et des techniques. La Philosophie du hasard 1968 s'articule autour du rôle du hasard dans les domaines de la physique, de la cosmologie, de la génétique et des théories de la culture. […] Lire la suiteASTROPARTICULESÉcrit par Pierre BAREYRE • 2 125 mots • 1 média De leur côté, l'astrophysique et la cosmologie observationnelle vont bénéficier de nouveaux instruments embarqués à bord de fusées et de satellites ainsi que des avancées dans les techniques des détecteurs au terme astroparticules » désigne ainsi les messagers de l'Univers, proche ou lointain, à la fois source et laboratoire de physique des particules et de cosmologie, impliquant la physique microscopique et celle de l'Univers primordial neutrinos, dont l'énigme de la masse semble près d'être résolue, rayons gamma et neutrinos de haute énergie, rayons cosmiques de très haute énergie qui entrent, malgré leur rareté, dans une phase de détection intensive, ondes gravitationnelles. […] Lire la suiteGÉOLOGIE Géologie contemporaineÉcrit par Édouard KAMINSKI • 5 653 mots • 5 médias Exploratoire, la géologie l'est à présent intellectuellement par ses échanges avec les sciences de la vie et les sciences physiques et chimiques, dont les concepts et les résultats sont utilisés pour mieux décrire et caractériser les processus à l'œuvre sur Terre. Les diverses branches de la géologie moderne, que l'on dénomme aujourd'hui géosciences » se regroupent autour de techniques, comme la géophysique, la géochimie, la géologie de terrain, la tectonique, la pétrologie expérimentale, l'observation de la Terre depuis l'espace, ou encore la dynamique des fluides géologiques, pour quelques-unes des plus importantes, et autour de thèmes transverses faisant appel aux techniques précédentes, telles que les géosciences marines, le géomagnétisme, le volcanisme, la géodynamique, ou la planétologie comparée. […] Lire la suiteONDES GRAVITATIONNELLESÉcrit par Bernard PIRE • 6 832 mots • 6 médias L’Académie des sciences chinoise a d’autre part lancé un programme spatial appelé TAIJI aux objectifs proches de ceux d’e-LISA. La découverte des ondes gravitationnelles Le 11 février 2016, David Reitze, le directeur du consortium LIGO, annonçait lors d’une conférence de presse Nous avons détecté des ondes gravitationnelles. » Selon l’analyse du signal et les modélisations d’événements cosmiques catastrophiques réalisées par les théoriciens, l’onde proviendrait de la coalescence de deux trous noirs situés à environ 400 mégaparsecs soit 1,3 milliard d’années-lumière de la Terre ; la rencontre de ces deux corps, de masses approximatives comprises entre 29 et 36 fois la masse solaire, aurait résulté en la formation d’un trou noir de 62 masses solaires et au dégagement brutal d’une immense quantité d’énergie emportée par l’onde gravitationnelle. […] Lire la suiteEXOBIOLOGIEÉcrit par François RAULIN • 6 957 mots • 16 médias Ces projets sont le fruit de collaborations nouvelles et fructueuses entre deux communautés scientifiques – celle des sciences de l'Univers et celle des sciences de la vie – qui n'avaient pas jusqu'alors l'habitude de travailler ensemble. La pluridisciplinarité est certainement en train de devenir une des caractéristiques des sciences du xxie siècle. […] Lire la suiteMICROCOSME ET MACROCOSMEÉcrit par Hélène VÉDRINE • 4 283 mots • 1 média Elle parcourt les degrés de l'univers, utilise la matière pour créer, réinvente le beau dans ses œuvres d'art, imagine des techniques et des sciences nouvelles. Perpétuellement agitée, parfois inquiète, l'âme ne se contente plus d'une contemplation passive de la splendeur de l'univers, elle cherche à se dépasser et à atteindre l'immortalité Puissance vraiment merveilleuse qui rend l'infini un et un l'infini. […] Lire la suiteCOPERNIC NICOLAS 1473-1543Écrit par Jean-Pierre VERDET, Universalis • 5 395 mots • 5 médias Autant, et peut-être même plus, que dans l'astronomie pratique de Ptolémée. Peu de changements donc. Simplement, dans la grande machinerie de l'Univers, en apparence toujours aussi complexe, Copernic se contente de permuter le lieu, et la fonction, de deux pièces, la Terre et le Soleil. On serait tenté de dire la révolution copernicienne, c'est, bien entendu, l'héliocentrisme, mais ce n'est que l'héliocentrisme. […] Lire la suiteSWEDENBORG EMANUEL 1688-1772Écrit par Régis BOYER • 3 317 mots C'est par les sciences qu'il se fait connaître en fondant, en 1716, la première revue scientifique suédoise qui ait existé, le Dædalus hyperboreus 1716-1718. Il obtient de Charles XII un poste d'assesseur extraordinaire au Collège royal des mines. Il illustre son esprit d'invention en 1718 en imaginant un moyen de faire passer plus de soixante kilomètres de terre ferme à deux galères, une corvette et cinq chaloupes, lors du siège de Fredrikshald. […] Lire la suiteLAPLACE PIERRE SIMON DE 1749-1827Écrit par Pierre COSTABEL • 3 285 mots • 1 média Déjà connu par d'importants travaux, il succéda, en 1784, à Étienne Bezout comme examinateur du corps de l'artillerie et entra, en 1785, à l'Académie royale des sciences. À la Révolution, il prit part à l'organisation de l'École polytechnique et de l'École normale et fit partie de l'Institut lors de sa création. En 1796, il présidait la commission chargée de présenter au Conseil des Cinq-Cents le rapport sur le progrès des sciences. […] Lire la suiteMÉCANISME, philosophieÉcrit par Joseph BEAUDE • 5 210 mots • 1 média La doctrine mécaniste De la notion de Cosmos à celle d'Univers Le mécanisme n'est pas né seulement de la volonté de mieux expliquer les phénomènes que l'homme découvre dans son expérience quotidienne sur la Terre ; il est lié assez étroitement aux découvertes qui ont été faites dans le ciel, aux bouleversements qu'a connus l'astronomie. L'un de ses postulats est que la physique céleste est la même que la physique terrestre. […] Lire la suiteKIRCHER ATHANASIUS 1602-1680Écrit par Sylvain MATTON • 3 538 mots Riccioli, l'auteur d'un des ouvrages d'astronomie les plus populaires du xviie siècle, qui donna le nom de son confrère jésuite à un cratère de la Lune. Mais Kircher n'adopta pas le système de Copernic bien que, selon Peiresc, il le tînt pour scientifiquement indépassable, lui préférant officiellement celui de Tycho Brahe, et son Itinerarium exstaticum 1656 où il expose ses conceptions astronomiques sous la forme littéraire d'un voyage dans le système solaire celui de Théodidacte conduit par l'ange Cosmiel reçut un accueil mitigé. […] Lire la suiteESPACE CONQUÊTE DE L' Succès et désillusionsÉcrit par Jacques VILLAIN • 9 923 mots • 32 médias La sonde américaine Genesis, lancée en 2001, a collecté des particules de vent solaire autour du point de Lagrange L1 et est rentrée sur Terre en septembre 2004. L'analyse de ces particules devrait permettre de mieux comprendre la genèse du système solaire et notamment la composition de la nébuleuse primitive dont est issu notre système solaire. Le reste de l'Univers a bien évidemment aussi fait l'objet de toutes les attentions. […] Lire la suite

Lordre de grandeur d’un nombre très grand ou très petit est la puissance de 10 la plus proche de ce nombre. Distance distance en mètre (notation scientifique) ordre de grandeur Terre-Lune 380 000 km Rayon atome d’hydrogène 0,105 nm Rayon de la Terre 6400 km Taille d’un homme 172 cm Remarque : Pour comparer les valeurs prises par une grandeur physique

Pauline095 Pauline095 May 2019 1 4 Report Bonjour vous pouvez m'aider svpp,, retrouver la valeur de la vitesse de la lumière entre la Lune et la Terre Please enter comments Please enter your name. Please enter the correct email address. Agree to terms and service You must agree before submitting. Lista de comentários saadsamodi Bah la lumiere parcours la distance terre lune en 1sec environ puisque la vitesse de la lumiere est 300 000km/secondeet le diqtance terre lune est aussi 300 000km/secondej espere t avoir aider 1 votes Thanks 0 saadsamodi de rien More Questions From This User See All pauline095 January 2021 0 Respostas bonjour; quelle est la puissance de 10 de 4,6 milliard? vite svpp c pour demain merci d'avance Responda pauline095 January 2021 0 Respostas Responda Pauline095 May 2019 0 Respostas bonjour pouvez vous m'aider svppp c urgeeent,quel milieu la lumiere traverse-t-elle lorsqu'elle se propage de la terre a la lune? Responda Enastronomie, la distance lunaire est la distance entre la Terre et la Lune.Elle est d’environ 384 400 km. La première personne à mesurer la distance de la Lune fut Aristarque de Samos, un astronome et mathématicien du IIIe siècle avant J.C.. Aristarque de Samos calcula l’éloignement de la Lune en observant le passage de l’ombre de la Terre sur la lune. science nasa cosmologie unification article original publié par Science Nasaauteur Patrick L. Barrytraduction de Didier Jamet9 MAI 2004 Croquis de l’expérience historique de Galilée, telle qu’elle aurait été menée depuis le sommet de la tour de Nasa Si l’on en croit la légende, Galilée eut il y a quatre siècles l’idée de faire tomber simultanément du sommet de la tour de Pise différents objets boulets de canon, balles de mousquet, billes de bois, pièces d’or ou d’argent. Il imaginait sans doute que les objets les plus lourds pourraient tomber plus vite que les plus légers. Mais il n’en fut rien. Ils mirent tous le même temps à faire le trajet jusqu’au sol, donnant à Galilée l’opportunité de faire une grande découverte Quelle que soit leur masse ou leur composition, la gravité accélère tous les objets de la même façon. On appelle aujourd’hui cela " l’Universalité de la chute libre " ou plus fréquemment le " principe d’équivalence ", et c’est une des pierres angulaires de la physique moderne. C’est notamment en postulant la validité du principe d’équivalence qu’Albert Einstein a bâti sa théorie de la gravité, la fameuse théorie de la relativité générale. Mais que se passerait-il si ce principe était faux ?… " Certaines théories récentes suggèrent que l’accélération de la gravité pourrait en fait varier de façon très subtile avec la composition matérielle de l’objet considéré " fait remarque Jim Williams, physicien au JPL. Et si tel était bien le cas, il faudrait réécrire la théorie de la relativité, ce qui correspondrait à une révolution dans le monde de la physique. Des chercheurs financés par la Nasa vont tester le principe d’équivalence en tirant au laser vers la Lune. " La détermination de la distance Terre-Lune par le biais des lasers est un des plus puissants outils dont nous disposions afin de repérer d’éventuelles faiblesses de la théorie de la relativité générale " confie Slava Turyshev, chercheur du JPL qui collabore avec Jim Williams et quelques autres sur ce projet. Si leur expérience est aujourd’hui possible, c’est parce que les astronautes du programme Apollo ont déployé, il y a plus de 30 ans, des miroirs sur le sol lunaire, en fait des petits panneaux formés de plusieurs dizaines de rétro réflecteurs qui peuvent intercepter un rayon laser en provenance de la Terre et le renvoyer directement à sa source. En utilisant lasers et miroirs, les chercheurs ont la possibilité de suivre la Lune à la trace dans sa révolution autour de la Terre. En fait, il s’agit ni plus ni moins d’une version moderne de l’expérience de la tour de Pise. Au lieu de laisser tomber un boulet vers le sol, il s’agit ici de voir comment la Terre et la Lune " tombent " vers le Soleil. En effet, tout comme les billes de plomb et d’or que laissait choir Galilée, la Terre et la Lune ont chacune une composition différente, ainsi que des masses très inégales. Sont-elles accélérées vers le Soleil de la même façon ? Si la réponse est oui, le principe d’équivalence passera le test avec succès. Mais dans le cas contraire, une révolution s’amorcerait. Une violation du principe d’équivalence pourrait se traduire par une déviation de l’orbite lunaire, vers le Soleil ou au contraire à l’opposé. " En utilisant des masses aussi considérables que celles de la Terre et de la Lune, nous sommes susceptibles de mettre en évidence des effets extrêmement ténus, si jamais ils existent " explique Williams. L’étude de la distance Terre-Lune grâce aux tirs de rayons laser ne date pas d’hier, puisqu’elle remonte aux missions Apollo. Jusqu’ici, la théorie de la gravité d’Einstein, et donc le principe d’équivalence, ont été testés avec succès jusqu’à la treizième décimale. Mais cette précision est cependant insuffisante pour tester toutes les théories prétendant être capables de renverser celle d’Einstein. Les méthodes actuellement utilisées pour mesurer la distance Terre-Lune 385 000 km en moyenne au moyen de lasers ont une marge d’incertitude de 1,7 centimètre. À l’automne prochain, un nouveau dispositif financé par la Nasa et la National Science Foundation diviseront par 10 cette marge d’erreur, l’amenant à une valeur comprise entre 1 et 2 millimètre. Ce bond en précision signifie que les chercheurs seront en mesure de détecter des déviations de l’orbite lunaire dix fois plus petites qu’à l’heure actuelle, ce qui sera peut-être suffisant pour prendre en défaut la théorie de la relativité générale. Pour parvenir à cette précision, l’installation, qu’un clin d’œil de ses concepteurs a fait baptiser Apollo, soit l’acronyme de " Apache Point Observatory Lunar Laser-ranging Operation ", doit chronométrer les allers et retours des impulsions laser entre la Terre et la Lune à quelques picosecondes près, soit un millionième de millionième de seconde, ou encore 10 puissance –12 seconde… La vitesse de la lumière étant connue environ 300 000 kilomètres à la seconde, il suffira de mesurer l
  • ጆуዜе м бօпещеዛετ
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    • Εβ иዊ кևбрестуշ тιπաхθкև
a ≤ < et n est un entier relatif). l'ordre de grandeur d'une valeur est la puissance de la plus proche de cette valeur. exemple l'ordre de grandeur de la distance
1- Remplacer le préfixe par la puissance de 10 qui lui correspond 72, 3 10-5 hm = 72, 3 10-5 x 102 m 0,013 mm = 0,013 x 10-6 m 5,75 Mm = 5,75 x 106 m 1200 pm = 1200 x 10-12 m 0, 14 nm = 0,14 x 10-9 m 14,2 dm = 14,2 x 10-1 m 2- Plus petit ou plus grand ? 100 nm = 0,1 mm 1000 fm < 1 nm 0,1 mm = 100 mm 3- Exprimez les distances suivantes en mètre, en écriture scientifique. - acarien 0,085 mm = 8,5 x 10-5 m - Balle de ping-pong diamètre 3,4 cm = 3,4 x 10-2 - Atome d’hydrogène rayon moyen 52,9 pm = 5,29 x 10-11 m - Terre rayon 6400 km = 6,4 x 106 m - Noyau d’hydrogène rayon 1 fm = 10-15 m - Grenouille 12 cm = 0,12 m - Distance Terre Soleil des centres 150 millions de km = 1,5 x 1011 m 4- Convertir les valeurs suivantes dans l’unité principale Ø h = 7 Gm Ø m = 1,2 kg Ø I = 32 mA Ø P = 1020 hPa Ø E = 3,8 MJ h = 7 x 109 m m = 1,2 kg I = 3,2 x 10-2 A P = 1,02 x 105 Pa E = 3,8 x 106 J 5- Indiquer le nombre de chiffres significatifs des grandeurs suivantes 12,10 m 4 chiffres 0,153 cm 3 chiffres 0,0203 mm 3 chiffres cm 3 chiffres 0, m 3 chiffres 6- Exprimer les longueurs suivantes en utilisant le sous ou le sur-multiple du mètre le plus approprié, en écriture scientifique L1 = 28 000 m = 28 km L2 = 0,000 007 m = 7 mm L3 = m = 15 mm L4 = 6 780 000 000 = 6,78 Gm L5 = m = 90 nm 7- Puissances de 10 Écrire les nombres suivants avec des puissances de 10 1000 = 103 ; 100 = 102; 10 = 101 ; 1/10 = 10-1 ; 1/100 = 10-2 ; 1/1000 = 10-3 b. 0,053 c’est 5,3 10-2 7123 c’est 71,23 102 ou 7,123 103 0,00173 c’est 0,173 10-2 ou 1,73 10-3 ou 17,3 10-4 ou 173 10-5 8- Écriture acceptable 1. Le Soleil a une taille de 1 392 000 km. Parmi les écritures proposées, lesquelles sont acceptables ? a 0,1392 107 km b 1,392 109 m d 1392 103 km 2. Un cheveu a une épaisseur de 40 mm. Parmi les écritures proposées, lesquelles sont acceptables ? b 0,000 040 m d 4, 0 10-5 m 9- Sans calculatrice ! Donner une valeur approchée des opérations suivantes A 5 x 10-3 B 0,5 x 1010 C 3,6 x 10-18 10- Voici le rayon de trois astres RSoleil = 7,0 . 105 km Rterre = 6,4 . 103 km R lune = 1,74 . 103 km A / Sans la calculette Le Soleil est environ 100 fois plus grand que la Terre. » La Terre est environ 4 fois plus grande que la Lune. » Le Soleil est environ 400 fois plus grand que la Lune. » B / Avec la calculette La Terre est plus exactement 3,7 fois plus grande que la Lune. » Le Soleil est plus exactement 402 fois plus grand que la Lune. »
2 Placer ces ordres de grandeurs sur une échelle graduée en puissance de 10. Exercice 2 La distance moyenne qui sépare le centre de la Terre et celui de la Lune varie entre d P =356375km et d A =406720km 1. Exprimer l’intensité F de la force d’attraction entre la Terre et la Lune. 2. Déterminer la valeur de F lorsque la Lune se
CHAPITRE 5 1, 2. Comment le soleil témoigne-​t-​il de la puissance créatrice de Jéhovah ? VOUS êtes-​vous déjà réchauffé à un feu par une nuit froide ? Vous avez tendu vos mains vers les flammes. Juste ce qu’il fallait ni trop près, car la chaleur aurait été insupportable ; ni trop loin, car l’air vif vous aurait saisi. 2 Un “ feu ” nous réchauffe à longueur de journée. Un “ feu ” qui brûle à 150 millions de kilomètres de nous*. Quelle puissance doit avoir le soleil pour nous communiquer sa chaleur à une telle distance ! Pourtant, la terre tourne exactement à la bonne distance autour de cette formidable fournaise thermonucléaire. Trop près, l’eau se vaporiserait ; trop loin, elle gèlerait deux extrêmes qui empêcheraient toute vie sur notre planète. Vitale, la lumière du soleil est également propre, efficace et, inutile de le dire, fort agréable. — Ecclésiaste 117. Jéhovah a préparé le luminaire, oui le soleil ’. 3. Quelle vérité importante le soleil nous enseigne-​t-​il ? 3 Pourtant, la plupart des gens ne prêtent guère attention à ce soleil dont leur vie dépend. Ils se privent d’une leçon importante. La Bible dit à propos de Jéhovah “ C’est toi qui as préparé le luminaire, oui le soleil. ” Psaume 7416. Le soleil honore Jéhovah, “ l’Auteur du ciel et de la terre ”. Psaume 191 ; 1466. Mais il n’est que l’un des innombrables corps célestes qui nous révèlent l’incommensurable puissance créatrice de Jéhovah. Intéressons-​nous à quelques-uns de ces astres, puis à la terre et à la vie qui y foisonne. “ Levez bien haut vos yeux et voyez ” 4, 5. Quelle est la puissance et quelle est la taille du soleil, mais qu’en est-​il si on le compare à d’autres étoiles ? 4 Comme vous le savez sans doute, le soleil est une étoile. Une étoile qui paraît plus grosse que les autres parce qu’elle est beaucoup plus près de nous. Parlons de sa puissance. En son centre règne une température de 15 000 000 de degrés centigrades. Si l’on apportait sur terre un morceau gros comme une tête d’épingle du centre du soleil, la distance de sécurité autour de cette minuscule source de chaleur serait de 140 kilomètres. Chaque seconde, l’astre du jour dégage une énergie équivalente à l’explosion de centaines de millions de bombes nucléaires. 5 Le soleil est si énorme qu’il pourrait contenir plus de 1 300 000 planètes comme la terre. Est-​ce une taille exceptionnelle pour une étoile ? Non. Les astronomes classent le soleil parmi les naines jaunes. L’apôtre Paul a écrit qu’“ une étoile diffère en gloire d’une étoile ”. 1 Corinthiens 1541. Il n’imaginait pas à quel point cette remarque inspirée est vraie. On connaît une étoile tellement gigantesque que, placée à l’endroit du soleil, elle engloberait la terre. Une autre engloberait même Saturne, alors que cette planète est si loin de nous qu’un engin spatial se déplaçant 40 fois plus vite qu’une balle de pistolet gros calibre a mis quatre ans à l’atteindre. 6. Comment la Bible montre-​t-​elle que le nombre des étoiles est considérable d’un point de vue humain ? 6 Impressionnantes par leur taille, les étoiles le sont plus encore par leur nombre. La Bible les compare d’ailleurs au “ sable de la mer ”. Jérémie 3322. Cette expression laisse entendre qu’elles sont innombrables, qu’il en existe beaucoup plus qu’on n’en voit à l’œil nu. Du reste, si un rédacteur de la Bible, tel que Jérémie, avait essayé de les compter, il n’en aurait trouvé guère plus de trois mille, car c’est le maximum qu’un œil humain peut détecter sans instrument par une nuit claire. Or, cela ne correspond en gros qu’à une poignée de sable. Le nombre réel des étoiles est fabuleux, comme les grains de sable de la mer*. Qui serait capable de les compter ? “ Il les appelle toutes par leur nom. ” 7. a Environ combien d’étoiles y a-​t-​il dans la Voie lactée, et que peut-​on dire de ce nombre ? b Qu’y a-​t-​il de significatif dans la difficulté des astronomes à dénombrer les galaxies, et qu’est-​ce que cela nous apprend sur la puissance créatrice de Jéhovah ? 7 Isaïe 4026 répond “ Levez bien haut vos yeux et voyez. Qui a créé ces choses ? C’est Celui qui fait sortir — selon le nombre — l’armée qu’elles sont ; il les appelle toutes par leur nom. ” Psaume 1474 dit qu’“ il compte le nombre des étoiles ”. À combien s’élève “ le nombre des étoiles ” ? Question difficile. À elle seule, notre galaxie, la Voie lactée, en renfermerait plus de 100 milliards*. Mais il existe beaucoup d’autres galaxies, peuplées de bien plus d’étoiles. Combien de galaxies ? Cinquante milliards, selon certains astronomes ; peut-être 125 milliards, selon d’autres. L’homme n’est donc pas en mesure de déterminer le nombre exact des galaxies ; combien moins celui des milliards d’étoiles qu’elles contiennent. Jéhovah, lui, connaît ce nombre. Il donne même un nom à chacune de ces étoiles ! 8. a Donnez une idée de la taille de la Voie lactée. b Par quel moyen Jéhovah ordonne-​t-​il les mouvements des corps célestes ? 8 L’immensité des galaxies ne peut qu’ajouter à notre crainte respectueuse de Dieu. La Voie lactée mesure, estime-​t-​on, 100 000 années-lumière. Un trait de lumière se déplaçant à la vitesse prodigieuse de 300 000 kilomètres à la seconde mettrait donc 100 000 ans à la traverser. Et notre galaxie est loin d’être la plus grande. La Bible dit pourtant que Jéhovah étend ’ ces cieux infinis comme un simple morceau de tissu Psaume 1042. Il en ordonne également les mouvements. De la plus petite poussière interstellaire à la plus gigantesque galaxie, tout se meut selon les lois physiques qu’il a formulées et mises en œuvre Job 3831-33. On a comparé les mouvements précis des corps célestes à la chorégraphie d’un ballet. Songez à Celui qui a créé ces choses. Sa prodigieuse puissance créatrice ne vous inspire-​t-​elle pas une crainte respectueuse ? “ Celui qui a fait la terre par sa force ” 9, 10. En quoi les positions du système solaire, de Jupiter, de la terre et de la lune témoignent-​elles de la puissance de Jéhovah ? 9 Notre demeure, la terre, témoigne, elle aussi, de la puissance créatrice de Jéhovah. D’abord, par sa position précise dans le vaste univers. Des spécialistes s’accordent à dire que beaucoup de galaxies seraient inhospitalières pour une planète vivante comme la nôtre. Une grande partie de la Voie lactée elle-​même n’a manifestement pas été conçue pour accueillir la vie. En son centre, encombré d’étoiles, le rayonnement est trop fort, et les collisions sont courantes. À sa périphérie, quantité d’éléments indispensables à la vie font défaut. Le système solaire est, lui, idéalement situé entre ces deux extrêmes. 10 Un géant veille sur nous de loin Jupiter. Mille fois plus grosse que la terre, cette planète exerce une énorme force gravitationnelle, qui lui fait absorber ou détourner des corps célestes de passage. On a calculé qu’en l’absence de Jupiter la pluie de gros projectiles venant frapper la terre serait 10 000 fois plus considérable qu’elle ne l’est. Plus près, notre planète bénéficie de l’action d’un satellite pas comme les autres la lune. Plus qu’un beau “ lampadaire ”, la lune conserve à notre planète son inclinaison, inclinaison responsable du système stable et prévisible des saisons, autre atout pour la vie. 11. Comment Jéhovah a-​t-​il conçu l’atmosphère terrestre pour qu’elle serve de bouclier ? 11 La puissance créatrice de Jéhovah se voit dans tous les détails de la conception de la terre. Prenez l’atmosphère. Le soleil émet des rayonnements bénéfiques et d’autres mortels. Lorsque ces derniers frappent la couche supérieure de l’atmosphère terrestre, ils transforment l’oxygène en ozone, ozone qui absorbe alors la plus grande partie de ces rayonnements nocifs. Ainsi, Jéhovah a doté notre planète d’une sorte de bouclier. 12. Comment le cycle de l’eau dans l’atmosphère témoigne-​t-​il de la puissance créatrice de Jéhovah ? 12 Ce n’est là qu’une caractéristique de l’atmosphère. En effet, ce mélange gazeux complexe a aussi la propriété d’entretenir la vie au niveau et à proximité de la surface terrestre. Le cycle de l’eau est une autre de ses propriétés remarquables. Le soleil fait s’évaporer des mers et des océans 400 000 milliards de mètres cubes d’eau par an. Cette vapeur d’eau se condense en nuages, que les vents atmosphériques déplacent. Filtrée et purifiée, elle retombe ensuite sous forme de pluie, de neige et de glace, renouvelant nos réserves d’eau. C’est le phénomène décrit en Ecclésiaste 17 “ Tous les torrents d’hiver vont vers la mer, mais la mer n’est pas pleine. Vers le lieu où vont les torrents d’hiver, là ils retournent afin d’aller. ” Seul Jéhovah pouvait mettre en place un tel cycle. 13. Quelles manifestations de la puissance du Créateur observons-​nous dans le monde végétal et le sol ? 13 La vie sous toutes ses formes raconte la puissance du Créateur. De l’imposant séquoia, haut comme un immeuble de 30 étages, au minuscule plancton végétal, qui pullule dans les océans et produit une bonne partie de notre oxygène, la puissance créatrice de Jéhovah est partout manifeste. Le sol lui-​même grouille de vie des vers, des champignons, des micro-organismes qui s’activent en synergie complexe, favorisant la croissance végétale. Avec raison, la Bible parle de la “ force ” du sol. — Genèse 412. 14. Quelle puissance même un atome recèle-​t-​il ? 14 Jéhovah est bien “ Celui qui a fait la terre par sa force ”. Jérémie 1012. Sa puissance se retrouve dans ses réalisations les plus infimes. Voyez l’atome. Il en tient plus de un million dans l’épaisseur d’un cheveu. Même si l’on agrandissait un atome à la taille d’un immeuble de 13 étages, son noyau ne serait pas plus gros qu’un grain de sel perdu entre les sixième et septième étages. C’est pourtant à ce noyau infinitésimal qu’on doit la puissance phénoménale dégagée par une explosion nucléaire. “ Tout ce qui respire ” 15. Quelle leçon Jéhovah a-​t-​il donnée à Job en attirant son attention sur divers animaux sauvages ? 15 Une autre preuve manifeste de la puissance créatrice de Jéhovah réside dans l’abondance de la vie animale. Dans une longue liste de ce qui loue Jéhovah, Psaume 148 inclut, au verset 10, les “ animaux sauvages ” et les “ animaux domestiques ”. Pour faire comprendre à Job pourquoi l’homme devrait éprouver une crainte respectueuse de son Créateur, Jéhovah a attiré son attention sur des animaux comme le lion, le zèbre, le taureau sauvage, Behémoth l’hippopotame et Léviathan probablement le crocodile. Si l’homme redoute ces animaux puissants, intimidants et indomptables, que ne devrait-​il pas ressentir envers leur Créateur ? — Job, chapitres 38-41. 16. Qu’est-​ce qui vous impressionne chez certains oiseaux ? 16 Psaume 14810 mentionne également les “ oiseaux ailés ”. Songez seulement à leur extraordinaire variété ! De l’autruche, Jéhovah a dit à Job qu’elle “ se rit du cheval et de son cavalier ”. De fait, même si elle ne vole pas, cette géante de 2,50 mètres peut courir à 65 kilomètres à l’heure, avec des foulées de 4,50 mètres Job 3913, 18. L’albatros, lui, passe la majeure partie de son existence dans les airs, au-dessus des mers. Ses trois mètres d’envergure permettent à ce voilier par excellence de planer pendant des heures sans un battement d’aile. Le calypte d’Hélène, avec ses cinq centimètres de long, est le plus petit oiseau du monde. Ce colibri au plumage étincelant peut battre des ailes 80 fois par seconde, faire du surplace, comme un hélicoptère, et même voler en arrière. 17. Quelles sont les proportions de la baleine bleue, et à quelle conclusion logique devrait nous amener l’observation de la création animale ? 17 Même les “ monstres marins ” louent Jéhovah, affirme Psaume 1487. Intéressons-​nous à celui qui passe pour le plus gros animal ayant jamais vécu sur notre planète la baleine bleue. Long d’une trentaine de mètres, ce “ monstre ” des profondeurs pèse autant qu’un troupeau de 30 éléphants adultes. Sa langue à elle seule fait le poids d’un éléphant ; son cœur, de la taille d’une petite voiture, ne bat que 9 fois par minute par comparaison, le cœur du colibri bat jusqu’à 1 200 fois par minute. L’un au moins des vaisseaux sanguins de la baleine bleue est si large qu’un enfant pourrait se glisser à l’intérieur. Comment ne pas se sentir poussé à reprendre cette exhortation finale du livre des Psaumes “ Que tout ce qui respire loue Yah ! ” — Psaume 1506. Ce que nous apprend la puissance créatrice de Jéhovah 18, 19. Quelle est l’étendue de la variété de la vie sur terre, et que nous apprend la création sur la souveraineté de Jéhovah ? 18 Que nous apprend la façon dont Jéhovah utilise sa puissance créatrice ? Ne sommes-​nous pas frappés de respect devant la variété de la création ? Un psalmiste s’est exclamé “ Que tes œuvres sont nombreuses, ô Jéhovah ! [...] La terre est pleine de tes productions. ” Psaume 10424. Qui dira le contraire ? À ce jour, les biologistes ont identifié plus de un million d’espèces vivantes sur la terre ; mais combien y en a-​t-​il en tout ? 10 millions ? 30 millions ? Plus ? Nul ne le sait. Un artiste se trouve parfois en panne d’inspiration. Mais la créativité de Jéhovah — son pouvoir d’inventer et de créer des choses nouvelles et diverses — est manifestement intarissable. 19 Il existe aussi un rapport entre la puissance créatrice de Jéhovah et sa souveraineté. Le titre “ Créateur ” distingue Jéhovah de tout ce qui existe dans l’univers et qui est immanquablement “ création ”. Même son Fils unique-engendré, qui fut “ un habile ouvrier ” pendant la création, n’est jamais appelé Créateur ni cocréateur dans la Bible Proverbes 830 ; Matthieu 194. Il n’est que “ le premier-né de toute création ”. Colossiens 115. Sa position de Créateur confère donc à Jéhovah le droit naturel d’exercer un pouvoir souverain exclusif sur l’ensemble de l’univers. — Romains 120 ; Révélation 411. 20. En quel sens Jéhovah se repose-​t-​il depuis qu’il a achevé sa création terrestre ? 20 Jéhovah a-​t-​il fini d’utiliser sa puissance pour créer ? La Bible dit qu’ayant achevé son œuvre créatrice du sixième jour “ il s’est mis à se reposer le septième jour de toute son œuvre qu’il avait faite ”. Genèse 22. L’apôtre Paul a montré que ce septième “ jour ” dure plusieurs milliers d’années, puisqu’il était toujours en cours à son époque Hébreux 43-6. Mais ce repos ’ est-​il total ? Non, car Jéhovah ne cesse jamais de travailler Psaume 924 ; Jean 517. Par repos ’, il faut donc comprendre seulement l’arrêt de la création physique concernant la terre. À aucun moment, en revanche, Jéhovah n’a cessé d’œuvrer à la réalisation de ses desseins, que ce soit en inspirant les Saintes Écritures ou en travaillant même à “ une nouvelle création ”, dont nous parlerons au chapitre 19. — 2 Corinthiens 517. 21. Quel effet la puissance créatrice de Jéhovah exercera-​t-​elle éternellement sur les humains fidèles ? 21 Au terme de son jour de repos, Jéhovah sera en mesure de déclarer toute son œuvre terrestre très bonne ’, comme il l’a fait à la fin des six jours de création Genèse 131. Comment décidera-​t-​il ensuite d’exercer sa puissance créatrice illimitée ? Nous l’ignorons. Mais soyons sûrs qu’il ne cessera de nous fasciner sous ce rapport. Il continuera éternellement à se révéler à nous par sa création Ecclésiaste 311. Plus nous connaîtrons notre Grand Créateur, plus notre crainte de lui sera profonde et plus nous nous approcherons de lui.
2 Les conversions d’unités en utilisant les puissances de 10 Quand on convertit une mesure dans l’unité de base (sans multiple), il est plus rapide d’utiliser les puissances de 10. Les puissances très souvent utilisées en Physique-Chimie sont : On remplace la lettre du multiple par la puissance, sans changer le nombre à convertir
L'objectif de cette partie est d'appréhender le bilan radiatif de la Terre et de comprendre comment celui-ci détermine la température à la surface de la Terre. Il s'agit également de mettre en évidence quelques facteurs d'évolution de la température Puissance solaire atteignant la Terre• La Terre reçoit une partie de la puissance émise par son étoile, le Soleil. La proportion de la puissance solaire atteignant la Terre en haut de l'atmosphère dépend de la distance entre la Terre et le Soleil, ainsi que du rayon terrestre. La proportion de puissance solaire atteignant la Terre est très faible par rapport à la puissance solaire totale émise, mais l'énergie solaire constitue la source d'énergie permettant le fonctionnement de la quasi-totalité du vivant sur Terre.• La puissance solaire se projette sur une sphère de rayon égal à la distance Terre/Soleil, de km, et ayant pour centre le centre du Rayonnement solaire et albédo terrestre• Le bilan radiatif permet de caractériser le devenir de la puissance solaire reçue par la Terre en y incluant le globe terrestre et l'atmosphère. Une partie de la puissance solaire incidente est réfléchie par l'atmosphère et par la surface de la Terre et est donc renvoyée dans l'espace. Cette proportion réfléchie de la puissance solaire dépend de l'albédo terrestre moyen. L'albédo terrestre est défini comme la proportion d'énergie lumineuse réfléchie par la Terre par rapport à l'énergie lumineuse incidente. L'albédo terrestre moyen actuel en considérant l'atmosphère et la surface terrestre est de 0,31. Ainsi, environ 30 % de la puissance solaire atteignant la Terre en haut de l'atmosphère est réfléchie par l'atmosphère et la surface terrestre vers l'espace tandis que les 70 % restants sont absorbés par l'atmosphère et la surface valeurs de l'albédo en fonction du type de surfaceLes surfaces claires neige, glace… réfléchissant fortement le rayonnement solaire incident ont un albédo plus élevé que les surfaces sombres eau de mer, continents recouverts de végétation… qui sont moins réfléchissantes. Type de surface Albédo Forêt de feuillus 0,15 à 0,20 Mer 0,05 à 0,15 Cultures 0,15 à 0,25 Terre albédo moyen actuel 0,31 Nuage 0,5 à 0,8 Glace 0,60 Neige fraîche 0,75 à 0,90 Miroir 1• L'atmosphère terrestre absorbe une faible proportion du rayonnement solaire incident, environ 20 %. Ainsi, au final, environ 50 % du rayonnement solaire incident en haut de l'atmosphère parviennent jusqu'à la surface terrestre et sont absorbés par le par l'atmosphère terrestre du rayonnement solaire incident et du rayonnement infrarouge terrestreIII. Rayonnement infrarouge du sol et effet de serre• Lorsque le rayonnement solaire incident est absorbé par la surface terrestre, celle-ci émet un rayonnement infrarouge longueur d'onde voisine supérieure à 780 nm et inférieure à 1 mm. La puissance émise par la surface terrestre par unité de surface dans l'infrarouge augmente avec la température de cette surface plus précisément avec la puissance quatrième de cette température. Or, l'atmosphère ne laisse passer qu'environ 5 % du rayonnement terrestre infrarouge, qui est envoyé dans l'espace, tandis qu'elle en absorbe 95 %. Cette absorption de la puissance terrestre infrarouge par l'atmosphère est appelée effet de serre ». Cet effet de serre terrestre est dû aux interactions moléculaires entre le rayonnement infrarouge émis par la surface terrestre et certains gaz atmosphériques appelés gaz à effet à serre » eau, CO2, CH4…. Une partie de ce rayonnement infrarouge absorbé par l'atmosphère est réémise vers l'espace tandis que la majeure partie est réémise vers le n°2IV. Bilan énergétique terrestre un équilibre radiatif dynamique• La puissance reçue par le sol en un lieu donné est égale à la somme de la puissance reçue provenant du Soleil et de celle reçue de l'atmosphère rayonnement infrarouge absorbé par effet de serre et réémis vers le sol. La puissance reçue par le sol provenant du Soleil et celle reçue par l'atmosphère sont du même ordre de grandeur. Ainsi, la puissance totale reçue par la surface de la planète est environ égale au double de la puissance solaire absorbée par le sol. Par le phénomène de l'effet de serre, la puissance totale reçue par la surface terrestre est supérieure à la puissance solaire absorbée par le sol et même à la puissance solaire incidente en haut de l'atmosphère. La présence de l'atmosphère est donc responsable d'une température terrestre moyenne actuelle de + 15 °C, supérieure de 33 °C à la température qui régnerait sur Terre pour une même puissance solaire incidente, en absence d'atmosphère, c'est-à-dire en absence d'effet de serre.• Un corps est dit en équilibre radiatif avec le rayonnement qu'il reçoit s'il ne perd ni ne gagne d'énergie. Ainsi, l'équilibre radiatif de la Terre implique que la puissance reçue par la surface terrestre soit égale à la puissance émise par celle-ci. Ainsi, la puissance totale reçue par le sol c'est-à-dire la puissance solaire absorbée par le sol, ajoutée à celle du rayonnement infrarouge absorbé par l'atmosphère par effet de serre et réémis vers le sol est égale à la puissance terrestre émise sous forme de rayonnement infrarouge. La température terrestre résulte de cet équilibre radiatif et elle est constante au cours du temps, tant que les caractéristiques de l'équilibre demeurent inchangées. Ainsi, la température terrestre actuelle est d'environ + 15 °C.• Cet équilibre radiatif de la Terre est un équilibre dynamique, c'est-à-dire que toute modification de la puissance reçue par la Terre entraîne une modification de la puissance émise par celle-ci et inversement. L'établissement d'un nouvel équilibre radiatif s'accompagne d'une modification de la température terrestre. Actuellement, l'augmentation de la concentration des gaz à effet de serre dans l'atmosphère, libérés par les activités humaines, augmente l'intensité du rayonnement infrarouge absorbé par l'atmosphère et réémis vers le sol, ce qui modifie l'équilibre radiatif. La conséquence de la modification de cet équilibre radiatif est l'augmentation actuelle de la température terrestre.• De plus, l'augmentation de la température terrestre peut avoir comme conséquence la fonte d'une partie de la neige et de la glace d'où une réduction des surfaces enneigées et englacées à fort albédo. Le réchauffement de la surface terrestre, en diminuant l'albédo terrestre moyen, diminue la puissance solaire réfléchie et entraîne une augmentation de la puissance solaire reçue par la surface terrestre, ce qui accentue alors son radiatif terrestreLes puissances P sont reportées à la surface terrestre et les valeurs données pourcentages sont puissance solaire puissance terrestre émise rayonnement infrarouge.
quiest le monsieur muscle de la mythologie. taille d'une bactérie en puissance de 10
distance terre soleil en puissance de 10 m. rayon atome d'hydrogène. , nm. ,. m. m. altitude du mont blanc. m. ,. m. m. dimension d'une molécule. nm. . m. m. rayon de la terre. km. ,. m. m. taille d'un homme. cm. , m. = m. distance terresoleil. millions de sur sur puissance et astronomie. . exemples en astronomie, on étudie les étoiles, les planètes, et tous les phénomènes spatiaux. les distances entre les étoiles sont très grandes. a. la distance terresoleil est d'environ km, ce qui donne en écriture scientifique . x , . comme les distances entre les étoiles . = . □ la forme de l'écriture scientifique est n a×. . a. ≤ < et n est un entier relatif. □ l'ordre de grandeur d'une valeur est la puissance de la plus proche de cette valeur. exemple l'ordre de grandeur de la distance terrelune est . m. ta. ,. = distance terresoleil dts. ,. = sur . . . taille du noyau de l'atome = fermi = fm. distance soleilneptune = , milliards de. distance soleiluranus = , milliards de km. distance soleilsaturne = , milliards de km. distance soleiljupiter = millions de km. distance soleil = millions de km. distance soleilterre = m noyau m atome m molècules adn m virus m longueur d'onde du visible . m virus m bactérie m cellule m homme m quartier m terre m terre lune m système solaire m soleil a centaure m voie lactée m amas. m taille de l' sur sur proxima du centaure qui est l'étoile la plus proche est à , × m, ce qui signifie que la lumière met , ans à nous parvenir de cette étoile. le parsec pc le parsec est la distance à laquelle on observerait une longueur de ua distance terresoleil sous un angle de seconde un degré fait b le soleil est situé à millions de kilomètres de la terre. calculer le temps que met la lumière pour nous parvenir du soleil. je n'ai pas su faire le calcul. c l'étoile la plus proche du système solaire est proxima à . al. exprimier cette distance en km. donner le résultat en écriture sur du dm n° puissances de et astronomie. exercice distances en km. distances en km en notation scientifique. terrelune. . ,x. terresoleil. . ,x. soleiljupiter. x . ,x. soleilneptune. . , x . etoile polaireterre. . , × km. uranus. , × km. terre. , × km. neptune. × km. vénus. , × km. jupiter. , × km. mercure. , × km. exprimer les distances en notation scientifique et les ranger de la plus proche à la plus éloignée du. soleil • la distance moyenne soleilsaturne est Vu sur sur sur sur Autres articles
Méthoded'Eratosthène.Vitesse de la lumière dans le vide et dans l'air. Comment mesurer la distance Terre- Lune, () Espace pédagogique. Physique - Chimie Physique - Chimie Continuité pédagogique; Actualités Dernières nouvelles; Concours, compétitions Enseigner Collège Cycle 3; Cycle 4 5ème; 4ème; 3ème Annales DNB; Notions abordées en Transcription de vidéo La Terre a une masse de 5,97 fois 10 puissance 24 kilogrammes, et la Lune a une masse de 7,34 fois 10 puissance 22 kilogrammes. La distance moyenne entre le centre de la Terre et le centre de la Lune est de 384 000 kilomètres. Quelle est la valeur de la force gravitationnelle entre la Terre et la Lune ? Prenez une valeur de 6,67 fois 10 puissance moins 11 mètres cubes par kilogramme par seconde au carré pour la constante gravitationnelle universelle. Donnez votre réponse en notation scientifique à deux décimales près. Dans ce problème, on nous demande de considérer uniquement la force entre la Terre et la Lune. On nous dit que la masse de la Terre, que nous appellerons 𝑚 un, est de 5,97 fois 10 puissance 24 kilogrammes et que la masse de la Lune, que nous appellerons 𝑚 deux, est égale à 7,34 fois 10 puissance 22 kilogrammes. On nous dit également que la distance moyenne entre le centre de la Terre et le centre de la Lune est de 384000 kilomètres, donc nous appellerons cela 𝑑. Notez que cela est défini comme la distance moyenne entre le centre de la Terre et le centre de la Lune. Car l’orbite de la Lune autour de la Terre n’est pas parfaitement circulaire. L’orbite de la Lune autour de la Terre est une ellipse, donc elle est parfois plus loin que la moyenne. Et à d’autres moments, elle sera plus proche que la moyenne, bien que ce schéma soit bien sûr exagéré et que la différence ne soit pas importante dans le cadre de ce problème. On nous demande de trouver la valeur de la force gravitationnelle, nous devons donc rappeler l’équation 𝐹 est égale à 𝐺 fois 𝑚 un fois 𝑚 deux divisé par 𝑑 au carré. Ici, 𝐹 est la force gravitationnelle. 𝐺 est la constante gravitationnelle universelle, qui nous est donnée dans la question comme étant de 6,67 fois 10 puissance moins 11 mètres au cube par kilogramme seconde au carré. 𝑚 un est la masse de la Terre, soit 5,97 fois 10 puissance 24 kilogrammes. 𝑚 deux est la masse de la Lune, soit 7,34 fois 10 puissance 22 kilogrammes. Et 𝑑 est la distance entre la Terre et la Lune, soit 384000 kilomètres. Maintenant, rappelons que la force gravitationnelle agit toujours à partir du centre de masse. Ainsi, si nous avons deux objets sphériques avec des masses 𝑚 a et 𝑚 b, ils subiront des forces 𝐹 a et 𝐹 b le long de la droite reliant les deux centres de masse. Et ces forces seront identiques si nous considérons les deux objets comme des masses ponctuelles situées en leurs centres. Par conséquent, la distance que nous devons mettre dans cette équation va du centre de la Terre au centre de la Lune. Une chose utile à faire avant d’insérer des valeurs dans cette équation est de vérifier que nous utilisons partout des unités de base SI. La constante gravitationnelle universelle 𝐺 nous est donnée en mètres cubes par kilogramme seconde au carré. Donc, elle est déjà dans les bonnes unités. 𝑚 un et 𝑚 deux nous sont donnés en kilogrammes, donc ça va. Mais la distance entre la Terre et la Lune nous est donnée en kilomètres. Donc, rappelez-vous qu’un kilomètre est égal à 1000 mètres, donc nous allons multiplier la distance par 1000 et l’exprimer en mètres. Alors, nous pouvons maintenant insérer les valeurs. Et nous avons que la force gravitationnelle est égale à 𝐺, qui est de 6,67 fois 10 puissance moins 11 mètres au cube par kilogramme seconde carré fois 𝑚 un, qui est de 5,97 fois 10 puissance 24 kilogrammes, fois 𝑚 deux, qui est de 7,34 fois 10 puissance 22 kilogrammes, divisé par 𝑑, qui vaut 384 millions de mètres. Si nous calculons cela, nous obtenons que 𝐹 est égal à 1,982 fois 10 puissance 20. On nous demande de donner cela en notation scientifique, ce qui est déjà le cas, et à deux décimales près. Donc, cela devient 1,98 fois 10 puissance 20. Nous devons maintenant résoudre les unités. Donc, nous allons commencer par les unités de la constante gravitationnelle universelle 𝐺, qui sont des mètres cubes par kilogramme seconde au carré, multipliées par les unités de 𝑚 un, qui sont des kilogrammes, multipliées par les unités de 𝑚 deux, ce qui donne des kilogrammes au carré, et divisé par les unités de distance, que nous avons converties en mètres carrés. Nous pouvons annuler le mètre carré au dénominateur avec deux des mètres au numérateur, ce qui nous laisse avec un mètre. Et puis, les kilogrammes au dénominateur s’annulent avec l’un des kilogrammes au numérateur, nous laissant avec un seul kilogramme. Et nous avons toujours la seconde au carré. Donc, cela nous laisse avec des mètres kilogrammes par seconde au carré, ce qui équivaut à des newtons. Ainsi, l’intensité de la force gravitationnelle entre la Terre et la Lune est 1,98 fois 10 puissance 20 newtons. Ecrireles nombres suivants sous la forme du produit d'un entier par une puissance de 10 : A = 2500000 ; B = 0,3856 ; Ecrire les nombres suivants sous la forme d'un nombre décimal : C = 458 ( 10-5 ; D = 11,52 ( 105 ; Donner l’écriture scientifique des nombres suivants : E = 123000000 F=0,001256 G = 530 ( 10-2 H = 0,000121(105 . Exercice 3 : Ecrire I sous forme scientifique : I= Notre univers ne se limite pas à la Voie lactée ! Mais alors, quelle est sa taille ? Est-il fini ou infini ? Pour répondre à ces questions, revenons sur ce que nous théorie de la relativité générale d'Einstein nous a appris que l'espace-temps pouvait se déformer comme une membrane élastique. La théorie du Big Bang, bien confirmée par l'expérience et découlant de la théorie d'Einstein, nous indique que l'espace est en expansion. Cette théorie est compatible avec l'idée que notre univers est une sorte de bulle de taille finie qui gonfle, mais aussi avec l'idée que cet univers était déjà de taille infinie au moment où a commencé son dernière idée semble paradoxale mais elle est mathématiquement cohérente. On peut aussi penser que seule une petite portion de cet univers infini est entrée en expansion à un moment donné de son fabuleux voyage à travers l'univers observable de la Terre jusqu'à la sphère de dernière diffusion dont nous parviennent aujourd'hui les plus vieux photons de l'univers. Toutes les distances sont à l'échelle et les objets sont représentés avec le plus d'exactitude possible. © Digital Universe, American Museum of Natural History, YouTube ; musique Suke CeruloTaille de l'univers et rayonnement fossileEn toute rigueur, tout ce que l'on peut dire c'est qu'au moins une portion spatiale d'un espace-temps s'est mis en expansion avec une vitesse dépassant celle de la lumière il y a 13,7 milliards d'années, avant de le faire à un rythme moins rapide bien avant sa première seconde d'existence. De sorte que les régions dont nous parvient aujourd'hui le fameux rayonnement fossile, les plus lointaines observables, sont à une distance d'environ 45,6 milliards d'années-lumière faut bien comprendre que cette affirmation n'est pas paradoxale car si ni la lumière ni la matière ne peuvent dépasser la vitesse d'environ km/s dans l'espace, rien n'empêche l'espace entre deux objets de se dilater à une vitesse bien final, la seule chose que nous sachions est que la taille de l'univers observable est d'au moins quelques dizaines de milliards d'années-lumière mais nous ne savons pas si l'univers total lui-même est fini, comme le pensent Stephen Hawking et Jean-Pierre Luminet, ou infini comme le pensent Roger Penrose et d'autres L'univers, du Big Bang au vivantLes nuages de gaz et la naissance des étoiles Ces nuages de gaz situés dans la Voie lactée vont s’effondrer sous l’effet de la gravité et se transformer en pouponnières d’étoiles. On estime qu’entre 3 et 4 nouvelles étoiles naissent chaque année dans notre galaxie. © Hubble Space Telescope La mort des étoiles et les naines blanches À la fin de la vie d’une étoile de la taille du Soleil, survient une période d’expansion, puis une explosion qui expulse une grande partie de sa matière. Ne reste qu’un cœur très dense qu’on appelle naine blanche. Un dé à coudre de la matière d’une naine blanche pèserait environ kilos. © DR Eta Carinae, une étoile hypergéante Eta Carinae est une étoile hypergéante comme on en trouve très peu – environ 1 étoile sur Elle montre des signes de perturbations, comme en témoignent les immenses lobes aux extrémités. En fin de vie, lorsqu’elle s’effondrera, Eta Carinae deviendra... un trou noir. © N. Smith, Morse U. Colorado et al., Nasa La composition des étoiles hydrogène et hélium Le carburant d’une étoile, c’est la matière dont elle est formée, soit essentiellement de l’hydrogène et un peu d’hélium. Plus une étoile est massive, plus elle va fabriquer des éléments chimiques lourds. Au moment de sa mort, l’étoile va disperser toute cette matière dans l’espace. © Nasa, Esa et AURA/Caltech Des trous de ver pour voyager dans l'univers ? Comment voyager dans l’immensité du cosmos ? La théorie d’Einstein permet d’imaginer une solution le trou de ver. Ainsi, il serait possible d’emprunter un trou noir pour ressortir dans un autre endroit de l’univers par une sorte de symétrique d’un trou noir, qu’on appelle fontaine blanche ». © Hubble Space Telescope La collision des galaxies et la formation de l'oxygène Voici une simulation de collision de galaxies. Ces collisions sont très importantes car elles génèrent des étoiles géantes bleues à l’origine de la formation de l’oxygène. © John Dubinski, Université de Toronto, Canada Comment détecter un trou noir ? Un trou noir ! Comment le détecter s’il absorbe toute la matière et la lumière ? On ne voit pas directement le trou noir, mais bien sa signature », marquée par des jets de gaz, un rayonnement électromagnétique et des éclairs de rayons gamma. De plus, avant d’être avalée, la matière qui est comprimée et chauffée se met à briller. © DR La formation d'un système planétaire autour d'une étoile Sur cette image, il est possible de voir la formation d’un système planétaire autour d’une étoile. Nous savons maintenant qu’il existe des milliers de systèmes planétaires dans la Voie lactée. © Hubble Space Telescope La formation des étoiles à neutrons, ces cadavres cosmiques L’étoile à neutrons est un cadavre cosmique ». Elle se forme lorsqu’une étoile géante environ 10 fois la masse du Soleil explose après avoir brûlé tout son carburant. L’équivalent d’un dé à coudre de la matière d’une étoile à neutrons pèserait entre 100 millions et 1 milliard de tonnes ! © DR Comment détecter les exoplanètes ? En soustrayant le signal visuel d’une étoile sur des paires de photographies, on arrive à révéler le mouvement des planètes. Cette technique en développement est 100 fois plus puissante que les précédentes pour détecter les exoplanètes ! © Christian Marois, Conseil national de recherches du Canada Hubert Reeves et la vie ailleurs dans l'univers Je vais vous donner mon opinion personnelle. La vie intelligente est un phénomène très général et répandu. Il y a des millions de groupes, sinon des milliards, qui préparent des émissions de télévision dans lesquelles on discute de la présence de la vie ailleurs dans l’univers. » – Hubert Reeves. Ici, une image de la Voie lactée, notre galaxie. © DR L'explosion d'une étoile à neutrons en supernova Lorsqu’une étoile à neutrons arrive en fin de vie, elle explose en supernova. Ce phénomène cosmique libère autant d’énergie que le Soleil pendant 10 milliards d’années. On compte environ 2 ou 3 supernovas par siècle et par galaxie. La plus récente s’est produite le 24 février 1987. © ESO/L. Calçada les extrêmophiles, ces bactéries de l'extrême Si des bactéries peuvent vivre dans des eaux chaudes et sulfureuses, comme dans les geysers du Parc Yellowstone, aux États-Unis, pourquoi des bactéries ne pourraient-elles pas vivre dans des environnements hostiles comme celui de la planète Mars ? © DR Les vents de Saturne Bien que Saturne reçoive beaucoup moins d’énergie du Soleil que Jupiter, les vents y sont cinq fois plus rapides. Ils atteignent des vitesses de plus de kilomètres par heure ! C’est l’une des découvertes inattendues qu’a permis la mission américaine Voyager. © Nasa/JPL Proxima du Centaure, l'étoile la plus proche du Soleil Pour donner une idée des distances à l’échelle du cosmos, considérons l’étoile la plus proche du Soleil, Proxima du Centaure. Elle est située à milliards de kilomètres, soit 4,22 années-lumière. Il faudrait donc 60 millions d’années pour s’y rendre en voiture à 100 km/heure ! © DR Les lunes des planètes géantes du Système solaire Les sondes Voyager ont permis la découverte de plus de 160 lunes autour des planètes géantes – Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Parmi elles, Io a une activité volcanique plus grande que celle de la Terre. © DR Qu'est-ce que l'univers ? C’est seulement au début du XXe siècle que nous avons découvert la véritable dimension de l’univers. Einstein, au moment de ses grandes découvertes, ne la connaissait pas. © Hubble Space Telescope L'héliopause, aux confins de la zone d'influence du Soleil Les sondes Voyager ont battu tous les records de distance ! Elles se trouvent maintenant à plus de 17 milliards de kilomètres de la Terre, aux confins de la zone d’influence du Soleil. © Nasa/Goddard Space Flight Center Conceptual Image Lab L'âge de l'univers Le télescope spatial Hubble peut étudier une très petite portion du ciel – un septième du diamètre de la Lune – pendant plusieurs jours. En étudiant les strates d’images captées par Hubble, il devient possible de voir dans le passé. On espère ainsi découvrir les toutes premières générations de galaxies. © DR Trois étoiles observées par la sonde CoRoT Voici trois étoiles observées par la sonde CoRoT qui démontrent que les étoiles vibrent comme le Soleil. Cette approche sismologique constitue un nouvel outil pour analyser la structure interne des étoiles, autrement inaccessible. © DR La trajectoire elliptique des étoiles de la Voie lactée La trajectoire elliptique des étoiles autour du centre de la Voie lactée révèle la présence d’un trou noir. Une vingtaine d’années d’observation avec des outils très précis ont permis d’arriver à cette conclusion. Il s’agit d’un petit trou noir qui ne fait que 4 millions de fois la masse du Soleil. © ESO Intéressé par ce que vous venez de lire ? Abonnez-vous à la lettre d'information La question de la semaine notre réponse à une question que vous vous posez, forcément. Toutes nos lettres d’information lalune c est facile a comprendre ed la plume de l argilete lune livre jeunesse illustrateur jeunesse. quelle est la vitesse de rotation de la terre. m8 m20 ngc 6559 in sagittarius constellations astronomie ciel et espace. c est quoi l iss 1jour1actu com l actualite a hauteur d enfants station spatiale station spatiale internationale thomas pesquet . epingle sur astronomie. Objectif La lumière se propage dans le vide et dans l'air à une vitesse de 300 000 km/s. Il s'agit d'une vitesse si grande que l'homme a longtemps cru que la lumière se propageait de manière instantanée. Qu'en est-il à l'échelle de l'Univers ? 1. Mesure d'une distance ou d'une durée grâce à la lumière a. Distance parcourue et durée de propagation La lumière se propage dans le vide et dans l'air à 300 000 km/s. Par conséquent, à chaque seconde écoulée, la lumière parcourt 300 000 km. Il y a proportionnalité entre la distance parcourue par la lumière, notée d, et la durée de sa propagation, notée t. b. Distance parcourue par la lumière en fonction de sa vitesse et de la durée de sa propagation Il doit y avoir une cohérence entre les unités utilisées pour que le résultat obtenu soit correct. c. Durée de propagation de la lumière en fonction de sa vitesse et de la distance parcourue La relation mathématique précédente entre d, v et t peut également s'écrire sous la forme suivante . Tout comme pour la relation précédente, le résultat trouvé ne peut être exact que si les unités utilisées sont cohérentes. 2. Durée du trajet parcouru par la lumière pour nous parvenir a. Durée de la propagation de la lumière émise par les objets qui nous entourent Exemple Une télévision en marche est située à 3 m d'un téléspectateur. La durée que met la lumière pour lui parvenir peut être calculée grâce à la relation . La distance parcourue par la lumière est de 3 m donc . La lumière se propage dans l'air donc sa vitesse est de . La distance étant en mètre, il convient d'utiliser l'expression de la vitesse en m/s donc . D'après la relation précédente, on peut donc calculer La durée t de propagation de la lumière vaut donc 10 milliardièmes de seconde, ce qui est imperceptible par l'œil humain, dont la persistance de rétinienne est d'environ seulement 5 centièmes de seconde. b. Durée de la propagation de la lumière émise par les astres du système solaire Exemple 1 La Lune est située en moyenne à 380 000 km de la Terre. La lumière qu'elle émet met une durée pour nous parvenir. Le trajet de la lumière de la Lune à la Terre a donc une durée de l'ordre de la seconde. Exemple 2 Le Soleil qui est l'étoile centrale de notre système solaire est en moyenne à 1,5 × 108 km de la Terre. La lumière émise par le Soleil met 8 minutes et 20 secondes pour parvenir jusqu'à la Terre. 3. L'année-lumière et la distance des étoiles a. Définition de l'année-lumière L'année-lumière est une unité de longueur qui est adaptée à l'expression des distances gigantesques qui séparent les étoiles et les galaxies. Par définition une année lumière notée est la distance parcourue en un an par la lumière dans le vide. b. Valeur d'une année-lumière Une année-lumière correspond à la distance d parcourue par la lumière pendant une année. Cette distance peut être calculée grâce à la relation . Dans le vide, la vitesse de la lumière est ; et on considère un temps t = 1 an Il faut donc convertir le temps t en secondes une année comprend 365,25 jours ; chaque jour dure 24h ; chaque heure dure 60 minutes ; et chaque minute dure 60 secondes. Soit t = 365,25 × 24 × 60 × 60 = 31 557 600 s. Donc 1 = 3 × 105 × 31 557 600 = 9,5 × 1012 km. Une année-lumière correspond à une distance d'environ 1013 km c. Distance des étoiles L'étoile la plus proche du Soleil est Proxima du Centaure. Elle se trouve environ à . On convertit cette distance en années-lumière La plus proche voisine du Soleil est une étoile située à 4,2 années-lumière. D'après la définition de l'année-lumière, cela signifie que la lumière que reçue de Proxima du Centaure a été émise il y a 4,2 années. Notre galaxie, la Voie lactée, s'étend sur environ 100 000 La galaxie d'Andromède est la galaxie la plus proche de la Voie lactée, elle est situé à environ 2,3 millions d'années-lumière. L'essentiel Il y a une proportionnalité entre la distance parcourue par la lumière notée d et la durée de sa propagation notée t . Dans cette expression, si la vitesse est en km/s, alors la durée doit être exprimée en s et la distance en km. Si la vitesse est exprimée en m/s, alors la durée doit être exprimée en s et la distance en m. L'année-lumière est une unité de longueur. Par définition une année-lumière notée est la distance parcourue en un an par la lumière dans le vide. 1 = 9,5 × 1012 km ; soit environ 1013 km. Vous avez déjà mis une note à ce cours. Découvrez les autres cours offerts par Maxicours ! Découvrez Maxicours Comment as-tu trouvé ce cours ? Évalue ce cours !
Ladistance moyenne terre-lune est D=3,8 10 5 km. A quelle distance q du foyer de l'oculaire faut-il placer la pellicule pour que l'image de la lune est un diam tre d= 24 mm. La structure granulaire de la pellicule ne permet pas de s parer deux images distantes de moins de a=10mm. En l'absence d'autres limitations du pouvoir s parateur, calculer la distance minimale de deux
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10 9 m) : 1 million de km, 2.5 fois la distance Terre-Lune, l'Homme n'a jamais atteint cette distance (10 12 m) : 1 milliard de km, plusieurs fois la distance Terre-Soleil (10 13 m) : 10 milliards de km, tout le système solaire (10 16 m) : 10 000 milliards de km, 1 année-lumière, pas encore d'autre étoile au voisinage du Soleil

La science ne sera pas le moteur de l'exploration humaine du système solaire. Elle n'en sera que le sous-produit, voire le prétexte. Rui Ricardo/Folioart Article Abonné Aussi géniales soient-elles, les visions - même spatiales - tombent rarement du ciel. Celle de la colonisation de l'espace proposée par Elon Musk et Jeff Bezos doit beaucoup à quelques auteurs de science-fiction du XXe siècle, et le grand public y est d'autant plus réceptif que ces auteurs ont également influencé les cinéastes de Hollywood dont les films façonnent l'imaginaire collectif. En 1950, dans son roman L'Homme qui vendit la Lune, Robert A. Heinlein expliquait ainsi que c'était à l'industrie privée de montrer la voie des étoiles. Ce libertarien a été érigé en maître à penser par toute une génération d'entrepreneurs menée par Elon Musk, qui veut coloniser Mars et faire de l'humanité "une espèce multiplanétaire". La vision de Jeff Bezos, de son côté, doit beaucoup à celle du physicien Gerard K. O'Neill. Au début des années 1970, ce dernier a théorisé les grandes stations orbitales construites à partir de matériaux tirés d'astéroïdes ou de la Lune. Tournant sur elles-mêmes pour y recréer la gravité, elles abriteraient des écosystèmes autosuffisants où il ferait bon vivre, loin de la Terre. Contrairement à l'imagerie populaire portée par le cinéma, Mars n'est pas ce désert aride et écrasé de soleil qui ressemble à l'Arizona. Elle est une planète froide, sombre et silencieuse, bien plus hostile. Elle reçoit deux fois moins de lumière que la Terre, a une atmosphère aussi ténue que celle que l'on trouve ici à 40 kilomètres d'altitude et est bombardée de radiations. De même, les astéroïdes géocroiseurs que l'on pourrait capturer et creuser pour y créer de vastes habitats apparaissent aujourd'hui non comme des rocs compacts, mais plutôt comme des amas de gravier instables. Le concept des colonies de peuplement extraterrestres, pour s'affranchir d'une Terre surpeuplée, polluée et menacée par les astéroïdes, répond également aux mythes fondateurs américains, du départ des pèlerins du Mayflower - une secte fuyant les persécutions en Angleterre - à la "destinée manifeste" du président James Polk, qui faisait de toutes les terres entre le Mississippi et le Pacifique "un don de Dieu" aux colons blancs. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement "Cette vision de la 'planète B' est néfaste, car elle donne l'impression que l'on pourrait laisser tomber la 'planète A' et qu'il n'y a donc pas besoin de la protéger, de recycler ou de dépolluer", estime Didier Schmitt, coordonnateur stratégique pour l'exploration robotique et humaine à l'Agence spatiale européenne. Mais ce rêve soutenu par des investisseurs privés, nouveaux gourous de la "pop culture", garde un intérêt pour les décideurs politiques il fertilise le développement d'innovations technologiques qui permettront aux humains de voyager plus loin dans l'espace. Reste à savoir ce qu'ils vont vraiment y faire. Occuper la placeAu Congrès international d'astronautique de 2019, dans la ville de Washington, le vice-président américain Mike Pence a expliqué à un parterre de spécialistes médusés que "le destin des Etats-Unis était de mener la colonisation du système solaire", mais que toutes les nations "aimant la liberté" seraient les bienvenues à leurs côtés. Le décor est planté. La "destinée manifeste" a un nouvel objectif le système solaire sera un terrain d'affrontement entre puissances terrestres. Il s'agira de marquer des points dans l'histoire de l'humanité afin de renforcer son influence sur Terre et de placer ses pions en prévision de possibles étapes suivantes. Faire partie de l'aventure sera un différenciateur géopolitique. Cette situation s'apparente à celle qui existe aujourd'hui dans l'Antarctique, territoire hostile et protégé, qui recèle potentiellement d'importantes ressources naturelles, mais reste interdit à la colonisation. Pour être partie prenante au traité qui gère ce continent vierge, il faut avoir une base scientifique sur place. Ce devrait être la même chose sur la Lune, Mars et au-delà. Enrichir nos connaissancesLa science ne sera pas le moteur de l'exploration humaine du système solaire. Elle n'en sera que le sous-produit, voire le prétexte. Les capacités de synthèse et d'analyse des humains pour la prise de décision et l'improvisation devant des situations inédites, ainsi que leurs dons pour le bricolage, resteront essentiels à cette recherche de la connaissance. Toutefois, avec les progrès de la robotique et l'émergence de systèmes de plus en plus autonomes, la présence d'humains in situ ne sera pas toujours justifiée - des robots pilotés depuis l'orbite pourront précéder les humains sur Mars, sans risque de contaminer la planète avec des micro-organismes terrestres, et à un coût bien plus faible. Mais la géopolitique réclamera son lot d'empreintes de bottes et de drapeaux à la surface. On peut espérer en apprendre beaucoup sur la nature et l'origine de la vie, mais aussi sur l'évolution des atmosphères et la formation du système solaire. Cette grande aventure humaine sera aussi un moyen d'en découvrir plus sur nous-mêmes. S'entraîner au pireS'éloigner de la Terre nécessitera des technologies qu'il faudra développer et tester. Notre Lune est un lieu hostile, ce qui en fait le meilleur terrain d'entraînement pour se préparer à survivre et à travailler dans l'espace lointain. Privée d'atmosphère, elle n'offre aucun moyen de freinage pour s'y poser. Toute installation pressurisée y subira de fortes contraintes mécaniques auxquelles s'ajouteront celles de cycles thermiques de grande amplitude de - 230°C à + 125°C sur 28 jours. Soumises à un tel rythme de dilatations et de contractions, les structures souffriront terriblement. Comme il faudra, de surcroît, se protéger des radiations solaires et des rayons cosmiques non filtrés, le plus simple sera probablement de s'enterrer. Les nuits de deux semaines poseront aussi un problème d'alimentation en énergie, que seuls le nucléaire ou certaines piles à combustible pourront résoudre. Les dangers posés par la poussière lunaire seront plus difficiles à gérer. Plus fine que du talc, elle est un abrasif extrême qui s'insinue partout. Sur Apollo, en quelques heures, elle est parvenue à trouer la couche supérieure des combinaisons et dégrader les joints étanches. Elle représentera aussi un danger sanitaire pour les astronautes inhalée après avoir été ramenée dans les habitats sur les combinaisons ou les outils, elle pourrait causer des cas de silicose, maladie pulmonaire incurable, bien connue des mineurs et des tailleurs de pierre. Apprendre à vivre et à travailler sur la Lune sera donc difficile et dangereux, mais il y aura toujours la possibilité de recevoir de l'aide de la Terre ou d'y retourner en quelques jours en cas d'urgence, ce qui ne sera pas le cas ailleurs. Les difficultés rencontrées sur la Lune se retrouveront sur les autres corps du système solaire, mais rarement aussi bien combinées, et les humains seront préparés à les affronter. Vivre sur le terrainLa prospection de ressources extraterrestres figure très haut dans la liste des aspirations du grand public pour la conquête de l'espace, mais extrêmement rares sont ces ressources qui pourront justifier le coût de leur extraction et de leur retour sur Terre. En revanche, il y a de nombreux éléments disponibles sur la Lune, Mars et les astéroïdes qu'il sera bien plus économique de récolter pour un usage sur place que de les ramener depuis la Terre. La principale ressource est l'eau, présente en grande quantité sous forme solide à faible profondeur, voire à la surface, dans les régions polaires lunaires et martiennes. Cela permettra de ravitailler les équipages en eau, bien sûr, mais, après électrolyse, elle sera aussi source d'oxygène pour respirer et d'hydrogène pour alimenter les piles à combustible et remplir les réservoirs de carburant. Sur Mars, la combinaison de cet hydrogène avec du carbone tiré de l'atmosphère servira à reconstituer du méthane pour alimenter encore plus efficacement les moteurs des vaisseaux repartant vers la Terre. Il sera possible d'en faire autant sur les astéroïdes carbonés, qui représentent une grande partie des géocroiseurs et de la population de la grande ceinture entre Mars et Jupiter. Sur la Lune et sur Mars, les autres éléments du sol fourniront également des matériaux de construction. Des bétons réalisés à partir de sol lunaire reconstitué sont déjà expérimentés sur Terre. Riches en minéraux, les sols lunaires contiennent aussi de l'azote, mais pas assez pour qu'il puisse servir à faire de l'engrais pour les cultures agricoles à l'intérieur de modules spécialisés sans un apport externe, qu'il faudra amener de la Terre. Au prix du kilogramme envoyé vers l'espace lointain, les circuits courts seront vite rentables. Prospecter des richessesLes terres rares, ces éléments chimiques dont le nom traduit bien la difficulté à les trouver sur Terre, sont indispensables aux technologies modernes. Elles sont utilisées en quantités infimes mais essentielles dans nos téléphones et nos ordinateurs, ainsi que dans les lasers, les satellites et les équipements des armées modernes. Elles représentent donc des ressources hautement stratégiques et très recherchées. La Chine domine actuellement le marché du traitement des terres rares à hauteur de 90%, mais ne détiendrait que de 30 à 40% des réserves mondiales, devant le Brésil, le Vietnam et la Russie. Plusieurs de ces matériaux existeraient sur certains astéroïdes, qui disposeraient aussi d'importantes ressources en palladium et en platine, deux métaux stratégiques pour l'industrie. Cela doit être confirmé par la prospection, mais selon deux études menées à CalTech en 2012, un petit astéroïde de 30 mètres de diamètre pourrait à lui seul contenir entre 20 et 50 milliards de dollars de platine ! La capture et l'envoi d'un tel micro-astéroïde vers une orbite au niveau de la Lune pourraient faciliter son exploitation industrielle. Pour être rentable, la prospection et l'exploitation, que ce soit à distance ou à proximité de la Terre, devront en revanche être robotisées. "Surtout, elles seront largement dépendantes des cours de ces matériaux - qu'elles affecteront elles-mêmes - et de la découverte de nouveaux gisements sur Terre, susceptibles de ruiner l'équation économique de l'opération", rappelle Christophe Bonnal, expert à la direction stratégique du Centre national d'études spatiales Cnes. Par rapport à l'exploitation des nodules polymétalliques au fond des océans, ces activités présenteront le grand avantage de ne pas mettre en danger la faune locale. Produire de l'énergieUne ressource disponible en abondance autour de la Terre et ne nécessitant pas un coûteux ballet de vaisseaux spatiaux pour la ramener à la surface est l'énergie venue du Soleil. Introduit en 1968 par l'ingénieur tchèque naturalisé américain Peter Glaser, le concept de la centrale solaire orbitale est simple construire d'immenses générateurs solaires sur orbite géostationnaire, à 1/10e de la distance Terre-Lune, et transférer cette énergie vers le sol via des faisceaux à micro-ondes ou des lasers à forte puissance. A part au moment des équinoxes, où de courtes éclipses sont possibles en passant dans l'ombre de la Terre, ces centrales pourraient produire de l'énergie en continu et éliminer une des principales limitations du photovoltaïque terrestre, qui ne peut en fournir que dans la journée et reste tributaire de la météorologie. La faisabilité d'une telle infrastructure est étudiée régulièrement depuis un demi-siècle au fur et à mesure de l'évolution des technologies. L'utilisation de matériaux d'origine lunaire a été envisagée, mais la question de leur transformation reste problématique, car elle requiert la mise en place et l'entretien d'importantes infrastructures de raffinage et de traitement, tandis que la baisse du coût des lancements depuis la Terre en réduit l'intérêt. Comme pour la prospection des terres rares, l'exploitation de ces infrastructures ne nécessitera pas de présence humaine permanente, qui ne ferait qu'en renchérir le coût. Délocaliser des industries polluantesEn raison du coût du transport logistique nécessaire à leur desserte, il est peu vraisemblable de transférer des industries de transformation de la Terre vers l'espace. On ne peut pas envisager de délocaliser la pétrochimie ou la métallurgie lourde sur orbite. Néanmoins, cela reste une possibilité pour d'autres industries très gourmandes en énergie et donc indirectement très polluantes. C'est le cas du cloud informatique, omniprésent dans notre société de l'information et de la puissance de calcul délocalisée. Celui-ci n'a d'éthéré que le nom puisqu'il s'agit en réalité d'énormes fermes de serveurs dont le refroidissement par climatisation justifie parfois à lui seul la réouverture de centrales à charbon. Transférée sur orbite, cette capacité de calcul pourra bénéficier d'importantes ressources en énergie solaire et de moyens de refroidissement adaptés. Elle pourra servir aussi bien au stockage de données informatiques avec sauvegardes dupliquées pour éviter les accidents qu'à la puissance de calcul requise par des applications telles que l'identification par blockchain. Comme pour la production d'énergie, cette activité ne nécessitera pas la présence d'humains. Se débarrasser de nos déchetsEnvoyer nos déchets nucléaires sur orbite est probablement la pire idée à avoir germé dans l'esprit d'ingénieurs, pourtant elle réapparaît régulièrement. Des communications dans ce sens, principalement soviétiques, ont émaillé les congrès d'astronautique pendant des décennies, afin de trouver un débouché aux missiles déclassés. L'opération se heurte à un problème majeur le risque non négligeable d'un échec au lancement 8% en 2021 - qui se traduirait par la dispersion des déchets dans l'atmosphère - et celui d'une levée de boucliers du reste du monde. Il est peu vraisemblable que quiconque en prenne le risque. Les plus lus OpinionsLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne Rosencher
\n \n \n \ndistance terre lune en puissance de 10
Ladistance du centre du soleil au centre de la terre est 1,5 × 10 8 km. Exprime cette distance en année-lumière. 2 Donne un encadrement par deux puissances de 10 consécutives : a. en nombre d'années, de l'âge de la Terre qui est d'environ 4,5 milliards d'années. IL'interaction entre la Terre et le rayonnement solaire L'essentiel de la puissance reçue par la Terre provient d'une partie des rayonnements émis par le Soleil. Une partie de ces rayonnements est réfléchie par la surface de la Terre, on appelle ce phénomène l'albédo terrestre. ALe rayonnement solaire reçu sur Terre L'essentiel de la puissance reçue par la Terre provient du Soleil. Celui-ci émet son rayonnement dans toutes les directions et une infime partie atteint la proportion de la puissance totale émise par le Soleil et atteignant la Terre est déterminée par le rayon de celle-ci et sa distance au Soleil. En tenant compte de ces paramètres, on peut montrer que la puissance surfacique du rayonnement solaire au niveau du sol terrestre est en moyenne de 341 Wm–2. On exprime la puissance solaire par unité de surface P_{\text{surfacique}} au niveau de la Terre, sachant que Le Soleil émet sa puissance P_{\text{totale}} dans toutes les directions de l'espace. À une distance D, cette puissance est uniformément répartie sur une sphère fictive de rayon D. La surface de cette sphère est S_{\text{sphère}} = 4 \times \pi \times D^2. La puissance surfacique est égale au rapport de la puissance totale émise par le Soleil par la surface de cette sphère. Puissance solaire atteignant la surface terrestre L'expression de la puissance solaire par unité de surface au niveau de la Terre est donc P_{\text{solaire surfacique}} = \dfrac{P_{\text{totale}}}{S_{\text{sphère}} } = \dfrac{P_{\text{totale}} }{4 \times \pi \times D^2 } Ensuite, on exprime la puissance reçue par la Terre P_{\text{reçue}}, sachant que Le rayonnement solaire qui atteint la surface terrestre traverse un disque fictif de rayon égal au rayon de la terre R_T. La surface de ce disque est S_{\text{disque}} = \pi \times R_T^2. La puissance reçue est égale au produit de la puissance surfacique et de la surface de ce disque. L'expression de la puissance reçue par la Terre est donc P_{\text{reçue}} = P_{\text{solaire surfacique}} \times S_{\text{disque}} = P_{\text{solaire surfacique}} \times \pi \times R_T^2 D'où P_{\text{reçue}} = \dfrac{P_{\text{totale}} }{4 \times D^2 } \times R_T^2 Ce qui peut aussi s'écrire P_{\text{reçue}} = \dfrac{ R_T^2 }{4 \times D^2 } \times P_{\text{totale}} On effectue l'application numérique, sachant que Le rayon de la Terre est R_T = \text{6 370 km} = \text{6 370} \times 10^3 \text{ m}. La distance moyenne Soleil-Terre est D = 150 \text{ millions de km} = 150 \times 10^9 \text{ m}. Soit P_{\text{reçue}} = \dfrac{\text{6 370} \times 10^3^2 }{4 \times 150 \times 10^9^2 } \times 3{,}86 \times 10^{26} P_{\text{reçue}} = 1{,}74 \times 10^{17} \text{ W} Cette puissance reçue par la Terre se répartit sur l'ensemble de sa surface qui est donnée par la relation S = 4 \times \pi \times R_T^2 La puissance surfacique moyenne atteignant le sol terrestre est donc P_{\text{surfacique}} = \dfrac{P_{\text{reçue}}}{S} P_{\text{surfacique}} = \dfrac{P_{\text{reçue}}}{4 \times \pi \times R_T^2} P_{\text{surfacique}} = \dfrac{1{,}74 \times 10^{17}}{4 \times \pi \times \text{6 370} \times 10^3^2}\\ P_{\text{surfacique}} = 341 \text{ W} \cdot \text {m}^{-2} Dans la relation P_{\text{reçue}} = \dfrac{ R_T^2 }{4 \times D^2 } \times P_{\text{totale}}, le rapport \dfrac{ R_T^2 }{4 \times D^2 } est égal à \dfrac{\text{6 370} \times 10^3^2 }{4 \times 150 \times 10^9^2 } = 4{,}5 \times 10^{–10} la Terre reçoit donc moins de 0,00000005 % du rayonnement qu'émet le Soleil. BL'albédo terrestre la réflexion du rayonnement solaire Lorsque la surface d'un corps reçoit un rayonnement, une partie de celui-ci est réfléchie et l'autre partie est absorbée. Ainsi, lorsque la Terre reçoit la puissance solaire une fraction est absorbée par l'atmosphère, les continents et les océans ; une fraction est réfléchie et diffusée vers l'espace. L'albédo désigne ce phénomène de réflexion du rayonnement solaire. Albédo L'albédo A est le rapport de la puissance de rayonnement réfléchie P_\text{réfléchie} par une surface par la puissance de rayonnement reçue P_\text{reçue} A = \dfrac{ P_{\text{réfléchieW}} }{ P_{\text{reçueW}} } L'albédo est un nombre sans unité, compris entre 0 et 1, qui peut être exprimé en pourcentage. Un corps qui serait d'un blanc absolu aurait un albédo de 100 % toute l'énergie reçue serait diffusée. Inversement, un corps d'un noir absolu aurait un albédo de 0 % toute l'énergie serait absorbée et rien ne serait diffusé. L'albédo terrestre dépend de la nature de la surface qui réfléchit le rayonnement océan, glace, forêt, roches, etc. et de la couverture nuageuse. L'albédo terrestre moyen est A = 30\text{ \%}. Influence du sol sur l'albédo Nature du sol Albédo Neige fraîche 0,87 Glace 0,4 Sol cultivé avec végétation 0,2 Surface de l'océan 0,1 Forêt dense 0,1 La puissance totale du rayonnement solaire reçu par le sol est la différence entre la puissance du rayonnement reçu et la puissance de rayonnement réfléchi. Elle peut être déterminée à partir de l'albédo terrestre moyen et de la puissance solaire qui atteint la Terre. Puissance solaire reçue par le sol compte tenu de l'albédo La puissance solaire reçue par le sol compte tenu de l'albédo A est donnée par la relation P_{\text{sol}} = P_{\text{reçue}} – P_{\text{réfléchie}} Avec P_{\text{réfléchie}} = A \times P_{\text{reçue}} Soit P_{\text{sol}} = P_{\text{reçue}} – A \times P_{\text{reçue}} P_{\text{sol}} = 1 - A \times P_{\text{reçue}} En moyenne, l'albédo terrestre est de 30 %. La puissance solaire atteignant le sol est donc P_{\text{sol}} = 1 - A \times P_{\text{reçue}} P_{\text{sol}} = 1 - 0{,}30 \times 1{,}74 \times 10^{17} P_{\text{sol}} = 1{,}22 \times 10^{17} \text{ W} IILe rôle de l'atmosphère dans l'absorption de l'énergie solaire L'atmosphère joue un rôle dans l'absorption du rayonnement terrestre sur Terre et donc sur la température à la surface de la planète. AL'effet de serre Le rayonnement solaire réfléchi par la Terre parvient en petite partie à l'espace en effet, l'essentiel de l'énergie est piégé dans l'atmosphère à cause de l'effet de serre. Effet de serre L'effet de serre est un phénomène naturel de réchauffement de la surface terrestre. Des gaz à effet de serre dioxyde de carbone, méthane, vapeur d'eau, etc. se trouvent dans l'atmosphère et capturent les rayons infrarouges le sol terrestre et l'atmosphère échangent continuellement de l'énergie sous forme de rayonnement infrarouge. Effet de serre La courbe d'absorption de l'atmosphère terrestre en fonction de la longueur d'onde du rayonnement montre que l'atmosphère absorbe une certaine proportion du rayonnement infrarouge émis par le sol. Le sol émet un rayonnement électromagnétique dans le domaine infrarouge de longueur d'onde \lambda\approx10\text{ µm} provoqué par les rayonnements qu'il absorbe. La puissance par unité de surface de ce rayonnement augmente avec la température. BL'équilibre dynamique L'équilibre dynamique de la Terre correspond à la constance de la température moyenne du sol, il est permis grâce à l'effet de effet de serre, la température moyenne à la surface de la Terre serait de –18 °C au lieu des +15 °C actuels. La température moyenne du sol est constante, car la puissance totale qu'il reçoit, provenant du Soleil et de l'atmosphère, est égale à la puissance moyenne qu'il émet. On parle alors d'équilibre dynamique. IIILa répartition de la puissance solaire reçue La répartition de la puissance solaire reçue sur Terre correspond au bilan radiatif terrestre. Bilan radiatif Le bilan radiatif est la comparaison entre l'énergie parvenant au sol terrestre et l'énergie qui en part. La surface de la Terre reçoit le rayonnement solaire incident, environ 160 Wm–2 341 moins ce qui est réfléchi ou diffusé par l'atmosphère ; ce que l'atmosphère envoie sous forme de rayonnement infrarouge du fait de l'effet de serre environ 330 Wm–2. Au total des entrées 160 + 330 = 490 \text{ rayonnements qui sortent sont le rayonnement infrarouge émis par la surface de la Terre 390 Wm-2 qui traverse l'atmosphère sans être piégé par les gaz à effet de serre environ 30 Wm-2 ; le rayonnement infrarouge émis par la Terre qui est piégé dans cette atmosphère environ 360 Wm-2 ; l'évapotranspiration des végétaux, phénomène lié à la photosynthèse et à la circulation des sèves, environ 100 Wm-2. Au total des sorties 30 + 360 + 100 = 490 \text{ La Terre reçoit sensiblement autant d'énergie qu'elle en perd, le bilan est équilibré, et la température sur Terre est théoriquement stable. Cependant, l'intensification de l'effet de serre due aux activités humaines entraîne un déplacement de cet équilibre et une augmentation de cette température moyenne. 4Kg4USG.
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