Unconfinement en France en 2022 ? La mesure apparaßt comme définitivement écartée des pistes envisagées par l'exécutif. Dans une interview accordée à des lecteurs du Parisien, parue mardi
Ca aurait trĂšs pu bien ĂȘtre le titre d’une piĂšce de théùtre. Mais c’est pour beaucoup d’entre nous, la rĂ©fĂ©rence d’une Ă©mission trĂšs rĂ©putĂ©e sur M6. Pour ceux qui ne connaĂźtraient pas l’émission, voici les grands principes 5 personnes qui ne se connaissent pas et que tout semble sĂ©parer vont se recevoir Ă  tour de rĂŽle Ă  dĂźner les uns chez les autres, sur 5 soirs de la semaine. Le lundi, un premier convive invite les 4 autres chez lui Ă  dĂźner, et ainsi de suite jusqu’au vendredi soir
 Les convives doivent mettre des notes pour Ă©valuer la cuisine, la dĂ©coration et l’ambiance de la soirĂ©e
 et le vendredi, la personne qui aura obtenu la meilleure note sera Ă©lue Meilleur HĂŽte de la Semaine’ et se verra rĂ©compensĂ©e de la somme de 1 000 euros.” Un mail de la part de M6 sur mon blog et ma vie bascule 
 enfin presque ?. Disons qu’elle est drĂŽlement chamboulĂ©e !!! Tout a commencĂ© un 31 mai un lundi, histoire de bien commencer la semaine. Un commentaire sur mon blog, une invitation, un contact tĂ©lĂ©phonique et me voilĂ  presque prise au piĂšge. Mes collĂšgues sont hystĂ©riques ! sautent de joie, crient et courent dans les couloirs, se plantent devant mon bureau l’air trĂšs menaçant Tu vas le faire ! » – mais il en est hors de question !!! ». Je rappelle un nommĂ© Alexandre, chez M6. Il s’agirait d’un spĂ©cial blogs de cuisine, sur Paris. J’hĂ©site Ă  accepter son invitation. La pression de mes copines montent. OK, je me lance ! » – le mot est lĂąchĂ©. J’ai perdu la tĂȘte ! Une semaine aprĂšs, je suis convoquĂ©e pour un casting. Le rendez-vous se dĂ©roule merveilleusement bien en compagnie de ce cher Alexandre un jeune homme craquant, au charme irrĂ©sistible,
 mais chut, on se reconcentre ! L’interrogatoire dure une heure ! Une heure de questions sur le blog bien sur, ma cuisine, mais Ă©galement sur ma personnalitĂ©, mes passions, 
 tout est Ă©pluchĂ© 
 et on n’oublie pas de garder le sourire devant la camĂ©ra. Les jours passent. Puis enfin un appel. Ce n’est pas la voix d’Alexandre, mais celle d’une jeune fille J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. Vous Ă©tiez 30 sĂ©lectionnĂ©s et vous arrivez en 6Ăšme position sur les 5 candidats retenus. Vous ĂȘtes notre candidate joker en cas de dĂ©sistement ». Frustration, soulagement ? – Je vais pouvoir enfin partir en vacances et surtout me reposer. Mes billets de trains sont dĂ©jĂ  pris, ne changeons rien. LibĂ©ration !!! Mais voilĂ , retournement de situation. Il y a eu, c’est sĂ»r, un dĂ©sistement. M6 me recontacte le 23 juin. » Toujours partante ? » – Pourquoi je pense non et je dis oui ? Sans doute parce que l’ordre de passage me convient, parce que j’ai une passion la cuisine, parce que c’est un spĂ©cial blogueurs et que mĂȘme si je n’aime pas la compĂ©tition, ce challenge me fascine carrĂ©ment, parce que j’avais dĂ©jĂ  rĂ©flĂ©chi Ă  ma thĂ©matique, 
 ? le rĂ©sultat est qu’il faut remonter en selle, se remotiver et foncer maintenant, alors que j’avais mis ce projet complĂštement de cĂŽtĂ©. Je ne compte plus les Ă©changes d’appels et de mails avec l’équipe en charge d’organiser cette Ă©mission culinaire. La pression monte, on revoit complĂštement le menu. Adieu ma ChĂšre Provence, bonjour la MĂ©diterranĂ©e dans sa globalitĂ© ! La validation du menu est un grand soulagement. Je vais maintenant pouvoir penser utile, efficace et aller droit au but. Le tournage aura lieu du 28 juin au 2 juillet 2010 J’ai quelques jours Ă  peine pour revoir la thĂ©matique de cette journĂ©e extraordinaire, rĂ©viser mes recettes, les faire et les refaire en fonction d’un timing, sur les conseils de mes chefs favoris mon cher et fidĂšle StĂ©phane pour ce qui est de la cuisine française, Bechara pour la cuisine libanaise et Jama, Chef marocain – que je remercie mille fois, tous les trois, pour leur patience et surtout leur disponibilitĂ©. Et dans le lot, je n’oublie pas la cuisine de ma grand-mĂšre, elle m’inspire, elle est mĂȘme au programme 
 C’est parti ! C’est parti pour une semaine de folie, une course Ă  perdre haleine oĂč tous les dĂ©tails, chaque minute comptent. Heureusement, l’équipe de M6 est gĂ©niale, jeune, drĂŽle, dynamique et trĂšs professionnelle. Ils sont TOP et me manquent. Nous sommes cinq candidats, quatre filles Elodie, Hermine, Van-Anh et un charmant et unique garçon Yann. Les journĂ©es s’enchaĂźnent lecture du menu tous les matins sous un soleil de plomb, puis je coure chez le boucher qui aiguise mes couteaux et me remontre comment on coupe un poulet, le fleuriste pour passer ma commande pour un centre de table, 
 . Je rends visite tour Ă  tour Ă  mes chefs pour de nouvelles recommandations – on travaille une recette ensemble – puis file acheter mon costume de capitaine de paquebot, passe au bureau pour prendre toutes les ondes positives de mes collĂšgues et amies qui me soutiennent Ă  fond dans cette aventure. Un appel vers 16 h me dictant le lieu du dĂźner et c’est reparti pour une rencontre, une dĂ©couverte culinaire, une interview 
 jusqu’à 2 heures du matin. Les dĂźners s’enchaĂźnent, diffĂ©rents et tellement personnalisĂ©s les uns des autres. La barre est haute, trĂšs haute et la panique m’envahit dĂšs le mardi. Yann est un cuisto hors pair ! Mais qu’est-ce que je fais lĂ  ? Je n’ai pas du tout le niveau ! Arrive le jeudi 1er juillet Ma journĂ©e », mon tour Faisons abstraction de tout ce que j’ai pu goĂ»ter, apprĂ©cier, savourer. Oublions les doutes, la panique qui m’envahit d’heure en heure. Il faut que je me ressaisisse, que je me reconcentre Aujourd’hui, Sosso, c’est ta cuisine, prĂ©parĂ©e et servie en fonction de ta culture, de ta personnalitĂ© que tu vas prĂ©senter et commenter. Sois toi. » Il est l’heure de partir faire les courses, en compagnie de deux jeunes hommes de M6, drĂŽles, plein d’enthousiasme, qui me poussent Ă  garder le sourire, mon entrain et surtout, mon calme. Je rĂ©cupĂšre 5 bouquets de jasmin – comme en Tunisie – que Galal apporte sur le lieu de rendez-vous je l’ai fait lever du lit et traverser tout Paris Ă  la derniĂšre minute, parce que j’ai eu un flash dans la nuit. Nous passons chez le primeur, j’ai ma liste en main, puis chez le boucher, qui me donne les derniĂšres recommandations d’usage 
 et des petits cadeaux surprises personnalisĂ©s. 14 h, il est temps de passer en cuisine. J’explique chacun de mes mouvements, pourquoi je coupe tel lĂ©gume, mon fameux poulet fermier j’ai failli y laisser mon pouce, 
 , le temps de cuisson, 
 Je rĂ©alise ma toute premiĂšre glace. L’heure tourne et tourne trĂšs vite. Je ne me suis pas posĂ©e une seconde. Il est dĂ©jĂ  17 h 40. C’est la panique ! je n’ai pas encore dressĂ© ma table, ni fait le couscous pour accompagner le tajine ; reste Ă  prĂ©parer la tapenade maison, 
 Il fait une tempĂ©rature caniculaire Ă  l’extĂ©rieur, il n’y a pas un brin d’air et c’est sans parler des deux projecteurs installĂ©s dans la cuisine, du four qui fonctionne depuis 14 h non stop. Je boue, je suis Ă©puisĂ©e, je n’ai plus la force d’expliquer quoi que ce soit Ă  la camĂ©ra. Si tu peux reformuler la question 
 » – je n’ai envie de plus rien reformuler du tout. Je suis vidĂ©e et la soirĂ©e n’a pas encore commencĂ© ! 19 h 45, premiĂšre sonnerie, premiĂšre invitĂ© 
 pour un dĂźner presque parfait » 
 et une merveilleuse soirĂ©e. C’était jouissif de bonheur, de partage, d’improvisation. Je suis Ă©puisĂ©e et je continue Ă  sourire, raconter des histoires, l’histoire de ma petite MĂ©mĂ© qui prĂ©parait la MĂ©chouia et Ă  qui je dĂ©dicasse ce dĂźner, l’histoire du jasmin sambac, cueilli Ă  l’aube par des jeunes filles aux doigts de fĂ©es qui chantent des chansons d’amour. Je dĂ©gouline de chaud mais je n’ai plus le trac, j’en oublie ma fatigue. Je suis Capitaine d’un paquebot et mon but, ma mission, les emmener en MĂ©ditĂ©rranĂ©e, les faire voyager, les faire rĂȘver ! Je ne sais pas s’ils ont laissĂ© quelque chose dans leur assiette mais par contre, je sais oĂč et pourquoi j’ai fautĂ©, pourquoi mon tajine a trop sĂ©chĂ©, que mes sambousseks au fromage Ă©taient un peu durs. Une chose est sĂ»re, c’est que j’ai adorĂ© participer Ă  cette aventure humaine. J’ai rencontrĂ© des personnes passionnĂ©es et surtout, j’ai rĂ©ussi Ă  aller au-delĂ  de mes limites, de mes doutes et ça, c’est fabuleux ! Oui, c’était jouissif ! Le tournage de cette Ă©mission est terminĂ© et a laisse un grand vide autour de moi. Il faut un long moment pour s’en dĂ©faire ». Cette aventure n’est pas anodine et laisse des marques. Nicolas x2, Marie, Tiphaine, ChloĂ©, JP notre GĂ©rard Holtz rebaptisĂ©, Arnaud, Dominique, Fabien, Sylvain, 
 vos questions – Ă  la limite du harcĂšlement – vos taquineries, votre humour, vos encouragements et votre extrĂȘme gentillesse me manquent. Vous avez chamboulĂ© ma vie le temps d’une semaine, mais quelle semaine ! Je ne regrette rien, vraiment rien et du mĂȘme coup, je dis un grand merci Ă  mes copines – mes amies du bureau sans qui je n’aurai jamais osĂ© relever ce dĂ©fi. Un grand bravo Ă  Elodie, Yann, Hermine et Van-Anh dans leur ordre de passage pour avoir partagĂ© ces soirĂ©es interminables, tour Ă  tour derriĂšre vos fourneaux et pour avoir dĂ©livrĂ© quelques secrets de votre cuisine. Il n’y a pas de gagnants, il n’y a que des passionnĂ©s 
 ! Du fond du coeur, MILLE BRAVOS ET MILLE MERCIS Ă  toutes et Ă  tous, c’est vous tous qui avez Ă©tĂ© exceptionnels. Si vous souhaitez dĂ©couvrir les blogs d’Elodie, Yann, Hermine et Van-Anh, cliquez vite sur les liens suivants – Elodie – Yann – Hermine – Van-Anh 
 et dĂ©couvrez trĂšs prochainement, sur ce blog, le making-of de l’émission, en images ! * * * * * * * * * * Diffusion du 25 au 29 octobre 2010 A 17 h 40 sur M6 * * * * * * * * * * * Ça vous plait ?
Tousles saluts, tous les baisers, tous les remerciements. Autour de la bouche. Son rire est toujours diffĂ©rent, C’est un plaisir, c’est un dĂ©sir, c’est un tourment, C’est une folle, c’est la fleur, une crĂ©ole qui passe. La nuditĂ©, jamais la mĂȘme. Je suis bien laid. Au temps des soins, des neiges, herbes en soins, Neiges en foule,
13 septembre 2020 7 13 /09 /septembre /2020 1006 "Tous les soleils Ă  l'aube dorment encore un peu, engourdis, nonchalants, ils se moquent du feu du jour qui les attend, ils chassent les ombres des hommes et des guerres, tous les soleils Ă  l'aube sont comme de grands enfants, qui n'ont que faire du temps ." Alfio Antico musicien poĂšte Partager cet article Repost0 PubliĂ© par Jane jane commenter cet article 
 JerĂȘve que je respire Encore trop mal, Ă  vrai dire, Je respire Un THEME : AIR [12] [3] 04/ 19 THEME : COLLECTIONNEUR [7] [7] 04/19; Eponge au long cours Eponge au long cours Je ne compterai pas tous les soleils levants Auxquels j'eus droit, privĂ© de vous, muse lointai THEME : MELANCOLIE [9] [4] 03/19; Pour vivre heureux Pour vivre heureux Fuyant l'assaut des peaux 4 avril 2021 7 04 /04 /avril /2021 1134 C'est le printemps ! Le printemps Ă  dĂ©busquĂ© toute ses mousselines ciels, arbres, prairies s'en sont endimanchĂ©s quel Ă©merveillement chaque fois . 21 mars 2021 7 21 /03 /mars /2021 1232 Filigrane vĂ©gĂ©tal Qui y-Ă  t'il dans une feuille ? 22 fĂ©vrier 2021 1 22 /02 /fĂ©vrier /2021 1408 Arbre de vie "Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches." extrait de Green -Paul Verlaine acrylique, feuille d'or et argent sur bois 58 X 58 cm 14 fĂ©vrier 2021 7 14 /02 /fĂ©vrier /2021 1740 Arbre de vie suite J'avance tout doucement... 5 fĂ©vrier 2021 5 05 /02 /fĂ©vrier /2021 1536 Un arbre de vie en crĂ©ation j'y travaille depuis 2 semaines prochaine Ă©tape dans quelques jours ... 26 janvier 2021 2 26 /01 /janvier /2021 1515 La collection de marque-page de 2021 commence... "Le plus grand arbre est nĂ© d'une graine minuscule" LAO-TSEU RĂ©alisĂ©s Ă  l'acrylique sur papier 300 gr , pompons en papier prĂ©cieux et originaux . Si quelque chose vous tente laissez-moi un message .
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Aubout de la nuit, souvent le jour Au bout de l'ennui, souvent l'amour Je vous souhaite une bonne nuit, vide d'ennui, pleine de vie, et je nous souhaite l'amour. Bonne nuit. À demain. Attends-moi du cĂŽtĂ© oĂč le soleil se lĂšve :-) Je viens vous souhaiter une bonne nuit, et surtout un bon matin, oui, une dĂ©licieuse matinĂ©e.
"Tous les soleils Ă  l'aube dorment encore un peu engourdis, nonchalants, ils se moquent bien du feu du jour qui les attend. Ils chassent les ombres des hommes et des les soleils Ă  l’aube sont comme de grands enfants qui n’ont que faire du temps
" *Philippe Claudel ? Philippe Claudel, Le Glaude», avance dans ce qui constituera peut-ĂȘtre, si les petits cochons du parisianisme ne le mangent pas, une trilogie des villes de l’Est. AprĂšs Nancy, Il y a longtemps que je t’aime», Strasbourg sert de toile de fond Ă  son dernier film, Tous les soleils». Un clone de Nanni Moretti, dans son Journal intime» de 1993, troque vespa contre Solex. Ayant quittĂ© Rome, remake de sa scĂšne d’introduction, il dĂ©ambule dans la capitale du Hans im Schnokeloch». Les moustiques y sont dĂ©sormais moins nombreux et une population cosmopolite bigarrĂ©e a largement abandonnĂ© le patois alsacien. Quelques ressortissants conservent cependant un lĂ©ger» accent. D’habitude, avant d’écrire un billet, histoire de ne pas trop sombrer dans le parti-pris, il n’est pas rare que je jette un Ɠil amusĂ© sur les critiques des arbitres des Ă©lĂ©gances sĂ©vissant sur des sites prĂ©tendument spĂ©cialisĂ©s dans le domaine du cinĂ©ma. Quelques avis diamĂ©tralement opposĂ©s m’amĂšnent alors rĂ©guliĂšrement Ă  me demander s’ils ont vu le mĂȘme film. RĂ©sultat des courses, dans la plupart des cas, je me cantonne Ă  mes impressions premiĂšres et campe sur mon propre avis. Pour ce film, je n’attends aucun verdict des procureurs du cinĂ©matographe. J’ai aimĂ©, et c’est tout ce qui compte au fond. Je ne tiens pas Ă  me faire casser la baraque par quelques "scrogneugneus" de la toile. Les amateurs de blockbusters y crient probablement famine, les ayatollahs du SeptiĂšme Art y pleurent peut-ĂȘtre Sautet, quelques nostalgiques campent sans doute mordicus sur les mĂ©rites inĂ©galĂ©es des films des grands rĂ©alisateurs de la "ComĂ©die Ă  l’italienne". Rappelons-nous cependant de ce que Dino Risi, en bon Italien dĂ©sinvolte, disait avec humour Pourquoi s'obstiner Ă  dire comĂ©die Ă  l'italienne’ ? Celles qui sont faites en AmĂ©rique ne sont pas appelĂ©es Ă  l'amĂ©ricaine’. Si les critiques aiment les Ă©tiquettes, je proposerais celle-ci "La comĂ©die Ă  l'italienne comme la dĂ©finissent les critiques Ă  l'italienne." ». Les acteurs principaux parlent souvent italien et le sont. Ils chantent, dansent, s’engueulent comme en Italie. Mais, ils vivent en France et l’aime. Ils mangent, boivent, Ă©changent avec des autochtones ou des assimilĂ©s aux racines bien diverses. Ceux-ci se tourmentent peu de leurs diffĂ©rences ou de leurs origines respectives. Ils ne s’opposent en termes agressifs passagers que lorsqu’ils cherchent Ă  motiver leurs points de vue ou vider leur sac, histoire d’avancer quand des situations s’enlisent. Seul l’ermite du film, pique-assiette ne quittant jamais son peignoir de bain Ă  rayures fĂ©tiche, continue au loin de l’autre cotĂ© des Alpes, Ă  poursuivre de ses foudres tenaces Berlusconi. Il a pris la ferme dĂ©cision de ne sortir de sa retraite que le jour de la destitution de l'usurpateur, pour motifs multiples, dont celui d'exercice illĂ©gal de la MĂ©decine... L'anar se trouve pourtant en porte-Ă -faux avec un point de son rĂ©quisitoire Ă  charge devant ses Ă©crans, il donne aussi Ă  l'occasion dans la gaudriole salace... On rit, on pleure, on aime, on chambre et l'on s’entraide beaucoup dans cet Ă©pisode de traversĂ©e du long fleuve pas-vraiment-tranquille qu’est la vie. Il est par moments hantĂ© par des fantĂŽmes bienveillants, plus soucieux d’aider l’équipage des vivants Ă  gouverner le radeau qu'Ă  les tarabuster sans cesse. Au final, ils les accompagneront d’un dernier signe de la main, ombres Ă©vanescentes sur l’autre rive que les survivants en pleine navigation ont bien du mal Ă  quitter des yeux, mĂȘme emportĂ©s par la tarentelle impĂ©rieuse et impĂ©tueuse des rapides de l’existence. Note maintenant que mon billet est pondu depuis plus de 24 heures, en bon maso, je suis tout de mĂȘme allĂ© jeter un Ɠil sur quelques critiques de la toile, histoire de me flageller. Je ne peux rĂ©sister Ă  vous proposer ce lien vers un post antĂ©rieur au mien au lu de sa date. On y trouve des passages Ă©trangement similaires. Je ne peux mĂȘme pas crier au plagiat, on me rĂ©torquerait l'inverse ! * N'ayant pas retrouvĂ© d'autre auteur possible, j'attribue arbitrairement Ă  Philippe Claudel, ce court poĂšme. "All suns at dawn still sleep, a little numb, careless, they make fun of the heat of the day ahead. They chase the shadows of men and wars. All suns at dawn are like big children who have no use of time ... "

Quand dorment les soleils » Quelques images de cette exposition Ă  la galerie du PavĂ© d’Orsay, oĂč j’ai prĂ©sentĂ© une partie de mes bois

Les soleils reviennent. On Ă©teint l' Sonne kommt ich schalte den Regenbogen mers les soleils le poisson et Meere der Sonne des Fisches und der doit y entrer avant le lever des soleils mĂŒssen hineinkommen bevor die Sonne ist keine Sonne. Nein! Les gens traduisent aussi Sa luminositĂ© estĂ©quivalente Ă  celle de 400 000 Leuchtkraft entspricht etwa dem 420-billionenfachen der deux soleils sont devenus tĂ©nĂšbresLes scientifiques ils disent que les Ă©toiles sont les soleils mais selon nos informations dans le Bhagavad-gÄ«tā nakáčŁatrāáč‡Äm yatha Wissenschaftler sagen dass alle Sterne Sonnen sind doch gemĂ€ĂŸ unserer Information in der Bhagavad-gÄ«tā nakáčŁatrāáč‡Äm yatha cieux et la Terre incluentnon seulement les planĂštes les soleils et les galaxies mais aussi nos propres"cieux et Terre".Die Himmel und die Erde beinhaltennicht nur die Planeten die Sonnen und Galaxien sondern unsere eigenen „Himmel und Erde".La RĂ©sidence Mille Soleils situĂ©e dans un quartier rĂ©sidentiel est composĂ©e de 103 appartements confortables et bien Ă©quipĂ©s rĂ©partis dans 5 Residenz Mille Soleils liegt in einem Wohnviertel und umfasst 103 komfortable und gut ausgestattete Ferienwohnungen die sich ĂŒber 5 GebĂ€ude jour ils se transformĂšrent en dix soleils brĂ»lant la terre du haut des cieux sans Tages verwandelten sie sich selbst in zehn Sonnen die unbarmherzig von der Höhe des Himmels auf die Erde Camping Domaine des 2 Soleils est un camping proposant 114 emplacements et 1 emplacements Camping Domaine des 2 Soleils ist ein Campingplatz mit 114 TourplĂ€tzen und 1 Dauer/ Soleils seront oranges les Lunes pourpres et le CƓur unifiĂ© sera en blanc ou en Sonne wird orange sein und der Mond violett; das Eine Herz ist weiß oder petits soleils jaune vif apparaissent au milieu du printemps ravissant l'Ɠil et rappelant l'arrivĂ©e imminente de l' gelbe kleine Sonnen erscheinen mitten im FrĂŒhling erfreuen das Auge und erinnern an die bevorstehende Ankunft des sert d'entrĂ©e au Centre culturel Les Champs Libresainsi qu'aux centres commerciaux Les Trois Soleils et en dient als Eingang fĂŒr das Kulturzentrum Les Champs Libresdie Les Trois Soleils und die Colombia porta le regard vers les deux soleils Ă  l'horizon que des nuages de sauterelles Ă©clipsaient spĂ€hte zum Horizont wo noch immer HeuschreckenschwĂ€rme das Licht der Sonne complet les Dix Soleils vidĂ©o de machine Ă  sous gratuit pour jouer de 10 $gratuits sans dĂ©pĂŽt chip casino code bonus offert par le casino Grand Titel Zehn Sonnen video slot machine kostenlos spielen $10 no deposit free chip casino bonus code angeboten von Grand Bay bain te semble un enfer alors que c'est un paradis" surtout sil'on y trouve des corps beaux comme des soleils et des Bad erscheint dir wie die Hölle dabei ist es doch einParadies voll nackter Körper schön wie die Sonne und der a une tempĂ©rature de 3192 Kune luminositĂ© de 000362 Soleils et un Ăąge de 945 ± 060 milliards d' hat eine Temperatur von Keine Leuchtkraft von 0000362 Sonnen und ein Alter von 945 ± 060 Milliarden vous avez un gros groupe 4 Ă  6personnes pourraient ĂȘtre des Soleils et 4 Ă  6 autres des ihr eine große Gruppe habtdann könnten 4-6 Leute die Sonne und 4-6 Leute der Mond Ă©tĂ© il faut prendre les vĂȘtements facilesqui protĂ©geraient contre le vent les soleils la pluie les Sommer ist nötig es die leichte Kleidung zu nehmendie vor dem Wind der Sonne des Regens der MĂŒcken schĂŒtzen attend que les enfants soient comme des soleils et rayonnent la lumiĂšre tout ist zu erwarten dass die Kinder wie eine Sonne sein werden und ringsum Licht erstrahlen soleils jusqu'Ă  la place de Bertrand dans le dĂ©veloppement des mathĂ©matiques.Struik in Sonnen bis Bertrand Platz in der Entwicklung der Mathematik.Un exemple contraireSi nous avons quatre personnes avec des Soleils en GĂ©meaux il y a une tendance commune certaine vers un Soleil composite en Haben wir vier Personen mit der Sonne in den Zwillingen so gibt es eine eindeutige gemeinsame Tendenz in Richtung Soleil de la carte composite est situĂ©exactement au milieu des deux Soleils des personnes en Sonne des KomposithoroskopsIl pense que si notre systĂšme planĂ©taire
 comprend un Soleil etdes planĂštes en orbite
 les autres soleils ont aussi leur cortĂšge
 de planĂštes en orbite. Il conclut aussi que beaucoup de ces planĂštes sont unser Sonnensystem so folgerte er die Sonne. und diesie umkreisenden Planeten umfasst. dann mĂŒssten andere Sonnen ebenfalls ein Gefolge. sie umkreisender Planeten haben. d. h. viele andere Planeten wĂ€ren le grand Luminant page 88 Venant aux temps de Yaoles dix soleils par le passĂ© sont apparus ensemble roussissant les cultures tuant des arbres et des usines de sorte que les personnes n'aient eu rien Ă  das große Luminant Seite 88 „Kommend zu denZeiten von Yao erschienen versengten zehn Sonnen einmal zusammen und die Ernten und töteten BĂ€ume und Anlagen damit die Leute nichts hatten zu la tempĂ©rature augmentemais probablement notamment vers cela etamĂšnera vozrastjushchaja svetimost'les Soleils l'eau s'Ă©vaporera ayant mis Ă  nu la surface Ă©gale de la die Temperaturund aller Wahrscheinlichkeit nach gerade dazu erhöht werden wird undwird wosrastjuschtschaja die spezifische Lichtausstrahlung der Sonne bringen so wird das Wasser verdampfen die ebene OberflĂ€che des Planeten le magma a explosĂ© en plusieurs centaines de milliers de piĂšcescela est devenu comme des petits soleils lumineux aprĂšs un certain nombre d'un million annĂ©es refroidi magma et la lave Ă  une tempĂ©rature raisonnablement das Magma explodierte in mehrere Hunderttausende von Teilendas wurde wie kleine helle Sonnen nach einer Anzahl von einer Million Jahren abgekĂŒhlt Magma und Lava bis zu einem einigermaßen normalen Temperatur. 2LE LANCEMENT DU PARANGON La marĂ©e serait haute juste aprĂšs l’aube, aussi les derniers prĂ©paratifs furent-ils achevĂ©s dans l’affolement, Ă  la
Quand j’ai croisĂ© le chat noirDans son costume du soir,Ses yeux brillaient de m’a dit d’un air complice ’Sais-tu garder un secretSans un soupçon de regret ?’’Puis, sautant sur la margelle,S’est assis prĂšs de sa chat noir et le chat roux,Le chat tigrĂ©, le chat blancS’étaient donnĂ©s rendez-vousEntre les pieds d’un vieux caressĂ© le chat rouxDont le poil Ă©tait si douxQu’en y cherchant la fortuneJ’ai dĂ©couvert que la luneY flĂąnait, s’y arrĂȘtaitEt grandement s’y plaisait,FrĂŽlant de sa transparenceLe velours feu du chat roux, le chat tigrĂ©,Le chat blanc et le chat noirDe conserve ont dĂ©cidĂ© 
Mais quoi donc ? Allez savoir 
Lors, j’ai vu le chat tigrĂ©Tapi, comme retirĂ©,Sous l’ombre d’une furtif qu’un murmure,Il attendait, il guettait,Et tout son corps frĂ©missaitDe l’ivresse de la chasse,Soudaine, intense et chat tigrĂ©, le chat blanc,Le chat noir et le chat rouxNe redoutent pas le clanDes chiens, des loups, des beau, le grand, le chat blanc,De loin le plus Ă©lĂ©gant,Se prenant pour un poĂšte,A poussĂ© la son art du tremoloEt son sens du vibratoN’ont Ă©tĂ© rĂ©compensĂ©sQue d’ovnis trĂšs fort lancĂ©s â˜čLe chat blanc et le chat noir,Le chat roux, le chat tigrĂ©,Sur un clin d’Ɠil d’au-revoir,,Comme l’éclair ont filĂ© 😉 De la corolle du silence Le parfum de l'Ăąme s'Ă©lance. Ombrefeuille ... tout simplement ... PubliĂ© le 20/03/2022 Ce texte est la propriĂ©tĂ© de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire ou de l'utiliser de quelque maniĂšre que ce soit sans un accord Ă©crit prĂ©alable de son auteur. Nature Ă  dĂ©couvrir... PoĂšmes de Ombrefeuille au hasard PostĂ© le 21/03/2022 Ă  042019 PostĂ© le 21/03/2022 Ă  063709 PostĂ© le 21/03/2022 Ă  081642 PostĂ© le 21/03/2022 Ă  085258 PostĂ© le 21/03/2022 Ă  095758 PostĂ© le 21/03/2022 Ă  152704 PostĂ© le 21/03/2022 Ă  153304 PostĂ© le 21/03/2022 Ă  225940 PostĂ© le 22/03/2022 Ă  000024 PostĂ© le 22/03/2022 Ă  164727 PostĂ© le 22/03/2022 Ă  171032 PostĂ© le 23/03/2022 Ă  170753 S'identifier Rechercher un poĂšme Tribune libre 27/08 2229Souffle de l'espritBonsoir Ă  tous et Ă  toutes. 27/08 1514jacouBonjour Lucyline, et merci pour tes encouragement s belle inspiration Ă  toi ! 27/08 1345LucylineBon week-end Ă  ceux qui se repose er bon courage aux autres ; Belle poĂ©sie Ă  chacun ! 27/08 0816jacouBonjour, bon dĂ©but de week-end Ă  toute la communautĂ© d'Icetea, crĂ©atrice des joies que l'esprit prodigue, thĂ©rapeute des Ăąmes d'artistes 26/08 2327Syntax_ErrorBon week-end Ă  tous. 26/08 1417reveecrirebon vend.. et bon wek.. jacou , yuba Edelphe, ,et tous les autres que je n'ai pas citĂ©. surtout une bonne santĂ© 26/08 0835EdelpheBon dimanche Ă  tous, poĂštes et lecteurs 26/08 0804jacouBelle journĂ©e de fin de semaine ouvrĂ©e aux membres qui font Icetea ! 26/08 0748jacouJ'ai retirĂ© la partie contestable que tu soulignes dans son propos ici c'est peut-ĂȘtre fini le temps des insultes adressĂ©es Ă  la communautĂ© d'Icetea ? ! 26/08 0746jacouBonjour Assia 25/08 2219Plume borgnec'Ă©tait une plaisanterie 25/08 2217YubaBonsoir Plume Borgne , je vous prie d' ĂȘtre aimable et poli sur cette tribune . 25/08 2004Plume borgnesalut ça gaze 24/08 1223YubaBonjour Georges ...bonjour tout le Monde ! 24/08 0941jacouBonjour Sylvain et Paradox pas de souci !, et merci Ă  vous deux !! Bonjour Ă  la communautĂ© d'Icetea, beau soleil et fraĂźcheur matinale en rĂ©gion parisienne et au-delĂ ...? 23/08 0253ParadoXx696Bon anniversaire avc retard le 21 aoĂ»t c aussi l'anniversair e d'une personne cher . Bises Jacou 22/08 0508romantiquejoyeux anniversaire Ă  jacou pour ses poĂ©mes avec sa plume fĂ©conde !merci ! 22/08 0409jacouBonjour Ă  vous, et merci Michel, merci Ă  Toi Claire, et puis Merci Ă  Toi CĂ©lyne 21/08 1831LucylineTrĂšs bel anniversaire Ă  Toi Jacou 21/08 1816Lys-CleaHeureux Anniversaire Ă  Toi, Jacou ! Messages du forum Qui est en ligne

P 7 Nous pensons en avoir assez dit pour donner au lecteur une idée un peu précise de Ramon Gomez de la Serna, et surtout le désir de le lire dans la langue si belle qu'il a su embellir encore, rajeunir, vivifier, et rendre plus intime, plus confidentielle, plus sensible (elle, naturellement si sonore et si oratoire), plus moderne enfin, - ah, bien plus moderne, dans toute sa pureté

retour au sommaire Je vomis et je crache, et voici le col d’une montagne, les parois rocheuses, le chemin de martyre et de l’autre cĂŽtĂ©, une plaine et je vois un pays brumeux se lever. ● premier jour AprĂšs avoir marchĂ© avec peine et traversĂ© ces sommets, et que de nombreuses heures sont maintenant passĂ©es, je traverse l’étroit col, le dernier, et devant moi s’étend alors un monde, une terre. Dans un souffle, je peux voir la mer Ă  l’horizon et le petit pays s’étaler jusqu’à elle. Je regarde les ombres s’incliner. J’arrive en bas tandis que le soleil des hommes se couche, extĂ©nuĂ©. Le soir tombe. Sur le chemin qui descend, je vois un village dont les premiĂšres lueurs se rĂ©veillent et vacillent, posĂ© sur les renforts de cette montagne, le noir se fait lentement, je me dĂ©pĂȘche. Dans la premiĂšre auberge, sur un lit je m’enroule dans les draps et les plis du soir. ● second jour Le matin perce ma fenĂȘtre, le bruit lĂ©ger de la rue se glisse dans la piĂšce avec le jour contre ma joue. J’ai saluĂ© l’homme qui m’avait louĂ© une chambre pour la nuit et je suis sortie. Je marche dans les rues sans but, car mon voyage est sans but, sinon de voir le monde et ses changements. C’est une ville que je traverse et non ce que j’avais cru un village quand je l’apeçus dans le noir. Les bĂątiments sont rangĂ©s, serrĂ©s, nombreux et hauts, et sur tous les murs se couche une suie noire Ă©paisse. Des cheminĂ©es s’élancent partout et crĂšvent le ciel. À leurs bouches, crachĂ©s, des panaches noirs s’élĂšvent, fĂ©roces, prĂ©cipitĂ©s. ● Une place entoure un arbre mort. Face Ă  l’arbre est l’entrĂ©e d’une mine, un bĂątiment carrĂ© pas bien haut, une porte et au-dessus comme une tour d’acier faite de quatre faisceaux puissants se joignant dans l’air, et puis des traverses, des cĂąbles, des rouages dentĂ©s et du bruit et du mouvement. Devant l’entrĂ©e de la mine, des hommes s’agitent. Je m’approche, l’un d’eux est au sol, inconscient, deux autres s’apprĂȘtent Ă  le soulever, pour l’emmener, pour le soigner. Les hommes qui restent parlent entre eux et leurs voix sont fortes et pleines d’une pressante inquiĂ©tude. D’eux je m’approche encore et demande ce qui s’est passĂ©. Les trois hommes me rĂ©pondent que, dans le vieux filon, une Ombre s’est logĂ©e, que ces choses-lĂ  dorment trĂšs profondĂ©ment sous le monde normalement, qu’il est Ă©trange, qu’il est rare qu’elles remontent de la surface si proche, qu’ils comptent la chasser avec le feu. Ils m’expliquent qu’il faut un grand feu, de grandes flammes. Le premier des trois est un vieillard, une longue moustache blanche sans barbe, un kĂ©pi verdĂątre et des yeux brillants et sombres. Le second doit avoir le mĂȘme Ăąge, un ancien, le corps sec et noueux d’un olivier. Le troisiĂšme porte quarante annĂ©es sĂ»rement, ses cheveux ternes, sa chemise blanche. Des trois, son regard est le plus triste. Je les laisse et je m’en vais. Devant la porte de cette ville posĂ©e sur un renfort de la montagne, de ce point haut, je regarde la plaine, les vallons, les collines qui s’étendent et s’étirent jusqu’à la mer que je devine. Le soleil est Ă  son midi. Je pars par la route qui descend au sud. ● Longtemps je marche et souvent je m’arrĂȘte dans le creux des vallons pour prendre l’ombre et je la regarde s’étirer. La terre a la couleur de l’ocre, elle est une glaise rouge, et le sol est un maquis Ă©pais. Il n’y a aucune culture, pas d’arbre fruitier, je ne traverse pas de champ. Dans ce pays, ce n’est pas des blĂ©s qu’est tirĂ© le pain. Les versants nord des vallons, des collines, ces versants toujours courus d’ombres clĂ©mentes ont les arbustes aux reflets bleus et les lavandes sauvages me caressent la peau quand je remonte les pentes ombreuses. Les versants sud regardent la mer et baignent dans la lumiĂšre du matin et dans celle du soir, ils ont leurs broussailles de clair, leurs Ă©pines m’entaillent joyeusement, et je dĂ©vale, je cours, et je ris. Et longtemps ainsi, heureuse. ● Le soleil de ce pays est gros et lourd, il se traĂźne dans le ciel, rouge, turgide, ce gras soleil se charrie avec peine. Ce luminaire plein d’un orgueil ancien peut-ĂȘtre ne garde pas le souvenir de ceux qui, il y a longtemps, l’ont accrochĂ© sous la voĂ»te, il y a longtemps, quand il fut mis au ciel pour vaincre la nuit. Souvenir Ă©garĂ©. Ce soleil ne se noie pas dans la mer oĂč il se couche. Le soir tombe quand je vois enfin devant moi les hauts murs d’une ville immense. Dans les murailles arrogantes, douze portes percĂ©es, par elles, des foules humaines entrent et sortent. ● Dans la ville d’Ocre je pĂ©nĂštre Ă©trangĂšre. La nuit qui tombe n’est pas une nuit. Dans les rues, des feux, des lanternes, des fanaux, des phares au-dessus de chaque bĂątisse, brĂ»lent et Ă©lĂšvent leurs fumĂ©es en dĂ©fi Ă  l’obscur. Partout brĂ»le ce qui peut brĂ»ler, partout une lumiĂšre dorĂ©e coule Ă©paissement sur les murs et les lueurs vacillantes dansent sans fin sur les pierres. Cette nuit jalouse du jour. Les ombres s’allongent noires mais elles sont rares, et cependant la grande ombre de la voĂ»te demeure elle imperturbĂ©e et rien, ne vient la troubler, mĂȘme les Ă©toiles sont absentes de la bĂąche noire qu’elles ne percent pas. Cette ville, elle entiĂšre, rĂ©unie comme en un enfant qui a peur du noir, et je la comprends et je m’enivre de cet embrasement autant qu’il me perd. À la pĂ©nombre forclose, je me grise et ma tĂȘte tourne. J’erre dans les lueurs, sans ombre pour me suivre, et j’oublie la douleur de mes pieds. ● La ville est grande et la nuit est maintenant avancĂ©e. Je suis devant la mer, sur une corniche assise et je contemple l’ocĂ©an. J’ai errĂ© longtemps, et puis j’ai vu la mer. J’ai marchĂ© Ă  son cĂŽtĂ©, je l’ai Ă©coutĂ© soupirer sa lente respiration. Je l’ai regardĂ©e, lourde, se former, son dos rond, venir s’écraser lentement sur la ville-promontoire qui entaille son ventre. Je respire l’odeur de l’abysse qui s’étend, aussi je voudrais me blottir et je sens la peur parfois comme une lame dans ma gorge. Les embruns volent en filet, et me blessent Ă  leurs mailles. Je m’endors contre un mur qui, depuis toujours, regarde la mer. ● troisiĂšme jour J’ai rĂȘvĂ© un rĂȘve Ă©trange. Il y avait une ville construite Ă  moitiĂ© sur la terre et Ă  moitiĂ© sur la mer. La Brume Ă©tait partout, enveloppant chaque corps, chaque demeure, chaque foyer, chaque chose, et c’est Ă  peine si je pouvais voir mes mains, cependant que bien d’autres choses je pus voir. Il y avait un port, un si grand que des hommes n’auraient pu le bĂątir et les navires s’avançaient jusqu’au cƓur de cette ville. Ces navires Ă©taient des monstres de bois et d’acier, plus hauts que des tours, si grands, qu’un peuple devait les conduire. Et cette ville grise et noire habillĂ©e de brume portait un nom dont je ne peux me souvenir. Puis je vis la mer, j’étais au large. Et lĂ  non plus, jamais la brume ne se levait, et la mer Ă©tait noire, lacĂ©rĂ©e d’écume. Une houle sans repos secouait notre navire qui labourait les eaux sombres. Il mordait la mer et la faisait saigner. La brume Ă©tait si Ă©paisse, je ne pouvais dire s’il s’agissait du jour ou s’il s’agissait de la nuit. Ni soleils ni Ă©toiles n’étaient jamais visibles. Sur la mer noire, seuls perçaient la brume les halos rouge sang des bateaux-phares qui montraient les routes, et par eux seulement les navires ne s’égaraient pas en dehors des cercles du monde, et pouvaient espĂ©rer rentrer au port. Les hommes chassaient des monstres marins, qui Ă©taient comme des montagnes au corps lisse et silencieux. Ils les tuaient et le sang coulait, je compris que c’était ce sang noir que nous cherchions si loin. Car si important Ă©tait vraiment ce sang, qui alimentait de ce monde les feux brĂ»lants. Je tombais dans l’eau et j’étais avalĂ©e par un de ces monstres immenses qui habitaient cette mer, et alors je me rĂ©veillais. ● Je me lĂšve sous le grand jour, Ă©blouie par le soleil. Le dos est douloureux de cette nuit. La mer est face Ă  moi, maintenant je peux la voir aller jusqu’à l’horizon. Son souffle est le mĂȘme, son rythme est pareil Ă  cette nuit. La mer, du jour, ne semble pas affectĂ©e. C’est que la mer est plus vieille que le jour, elle est nĂ©e bien des temps avant les trois soleils des Hommes. Je retourne Ă  mon errance. Je traverse et contemple la splendeur des bĂątiments et des hauts murs d’Ocre et je sais dĂ©sormais la gloire de cette ville, l’éclat de ses monuments, la beautĂ© de ses arches, le nombre de ses fontaines. Rapidement je me lasse de cette gloire. ● Il y a un enfant face Ă  moi, une jeune fille qui m’a vue ou qui me regarde. Elle est passĂ©e au bout de cette Ă©troite ruelle qui descend, elle est passĂ©e en courant. Elle a soulevĂ© une plaque d’acier puis a disparu. Elle avait les avant-bras noirs. Je soulĂšve la plaque, un chemin descend sous la terre. Je regarde derriĂšre moi. Je descends quelques marches et puis je descends, je descends encore, encore
 ● J’ai marchĂ© sans fin un dĂ©dale de chemins. Des couloirs de roche aux formes diffĂ©rentes, et sur leurs murs des lanternes sont accrochĂ©es parfois, c’est dans une trop lourde pĂ©nombre que j’avance et je ne sais pas oĂč je vais, tandis que je me perds davantage encore. Le chemin qui va est traversĂ© de brĂšches, d’ouvertures dans les flancs des parois, qui mĂšnent Ă  d’autres voies traversĂ©es par d’autres brĂšches. Je prends Ă  droite. Il y a des voies et puis d’autres, des chemins creusĂ©s grossiĂšrement dans la roche noire, d’autres plus larges, plus grands, plus anciens ? Je prends Ă  gauche. Des escaliers qui descendent. Une salle aux colonnes d’acier. De vieilles poutres de bois retiennent le ciel au-dessus de moi. Quelquefois je peux sentir les murs me serrer les Ă©paules, et je courbe le dos. Dans d’autres, la lumiĂšre des lanternes ne peut pas mĂȘme dissiper l’ombre lĂ -haut et je ne discerne pas leur hauteur. J’ai depuis que je suis entrĂ©e suivi de nombreux chemins, j’ai empruntĂ© de nombreuses voies. Mes pas rĂ©sonnent Ă©trangement dans le silence des gravats sous mes pieds. ● Je remarque mon corps tachĂ© qui se noircit aux bras et aux mains, car sur les murs oĂč je m’appuie saigne du safrr, comme des larmes noires, elles coulent Ă©paisses. Les hommes creusent les mines et les chemins qui descendent sous la terre pour rĂ©cupĂ©rer des parois maculĂ©es le safrr, combustible qui alimente ma lampe, et toutes les autres, source la plus ancienne de lumiĂšre et de chaleur en Ambre et ailleurs. Il y a tant de chansons sur le safrr, tant de contes, tant d’histoires. Elles disent certaines que les hommes le volĂšrent aux dieux. D’autres que le safrr fut un don des Conteurs ou bien mĂȘme d’Éru. D’autres encore racontent que le safrr est le sang noir qui tomba de la carcasse du jour et que la terre a bu. Et encore d’autres, que c’est la terre qui pleura avec les premiers hommes le meurtre du jour il y a trĂšs longtemps. Ce qui reste, ce qui compte est que le safrr fait que l’homme ne craint plus le noir ni la nuit. ● J’avance lentement, mais pour autant ces voies sont-elles vraiment sans fin ? Je sens que je m’enfonce davantage sous la terre. Je m’enfonce encore. Je prends Ă  gauche. Je me perds de plus en plus. Par oĂč aller maintenant ? Quel chemin prendre ? L’angoisse me tord la gorge, m’attrape les boyaux et les noue. Encore un choix. Mes boyaux. Mes boyaux. Je pense, les chemins que je prends ressemblent Ă  des boyaux. C’est dans les entrailles du monde que je marche. ● Je m’arrĂȘte, car devant moi, c’est l’abĂźme, l’abĂźme qui s’étend. Le chemin poursuit sans lumiĂšre, mais ce n’est plus la pĂ©nombre, c’est plus terrible que l’absence de lumiĂšre, plus terrible, bien plus noir. Je dĂ©croche la derniĂšre lanterne de la paroi et je pĂ©nĂštre dans l’abysse. ● La lanterne a presque fini d’épuiser son essence. La flamme est mourante et l’abysse s’approche de moi. ● La flamme est morte. Je suis dans les tĂ©nĂšbres. Ma main contre la paroi, j’avance encore ● Ă  tĂątons. De ma poche je sors une boĂźte d’allumettes. Il en reste douze. J’en craque une. La lueur vacille, et me brĂ»le les doigts. Je la lĂąche brusquement et l’abĂźme l’avale. ● Puis j’en allume une autre, ● et je poursuis. Je continue dans le noir. Elle meurt. ● Je poursuis dans le noir. À nouveau. Le craquement. L’embrasement. La lueur, ● vacillement, puis obscuritĂ©. ● Encore une allumette, encore les tĂ©nĂšbres. ● ● Encore une allumette. ● Puis la derniĂšre. Je la laisse me brĂ»ler les doigts. ● L’abĂźme m’enveloppe et je reste figĂ©e. ● Une main sur la paroi. ● Je l’effleure marchant, ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● âœč Lueur, une figure danse sur le mur, derriĂšre ma main qui l’effleure, court le dessin d’un soleil, d’un petit, trĂšs petit soleil, joyeux. ✻ ☌ ✾ ❊ Un autre ❈ le suit. Encore un autre soleil, puis un autre encore, ❋ qui se dessine sur la paroi des roches noires. Des soleils dansent sur les parois. ❋ ✷ ✔ ☌ ❋ ✾ âœč ● ✻ ✷ ❋ ❁ ✾ ❋ ✾ ☌ ❈ ✔ ✶ âœč ✷ âœș ✾ âœČ ❈ ❈ ✔ âœș âœș ❁ âœș ✾ ☌ âœș ❋ ✾ ❊ ❁ ● Mille soleils ❋ ❃ ❋ ✔ âœș ✾ ✷ ✾ ✻ Mille ✷ soleils dansants, ☌ ❃ ☌ ✾ ● ☌ ❊ âœș mille soleils dansants pour moi âœș ● sur les parois. ❋ ● ✷ Dans le chemin sombre qui va sous la terre, ✾ les murs, le sol, le ciel se couvrent de mille et mille soleils, ✷ ● ✷ ✾ mille soleils dansants, ❊ ● ❋ alors je vis un ciel immense. Un ciel immense sous la terre ● ❃ Le ciel Ă©tait immense et dans le ciel dansaient des milliers et des milliers de soleils. InĂ©narrables Ă©taient leur lumiĂšre, et leur danse sous la haute voĂ»te du monde. Et sous ce ciel Ă©tait une ville de pierre blanche qui s’élevait jusqu’aux hautes sphĂšres, et les soleils Ă©taient partout autour de cette tour. J’entrais dans la ville de gloire et partout une musique rĂ©sonnait comme un tressaillement, et cette musique n’était pas des hommes. L’écho des trompettes cĂ©lestes faisait trembler les murs mais j’étais sans peur. Et la joie Ă©tait toute puissante dans la ville que je gravissais. Dans cette lumiĂšre n’existait aucune ombre. Il n’y avait aucune obscuritĂ©. J’arrivais tout en haut et je voyais alors le roi de ce royaume, et c’était un pĂȘcheur, il rĂ©parait un filet sur un trĂŽne d’or, un roi pĂȘcheur. Autour de lui des femmes et des hommes par centaines de milliers vĂȘtus de blanc qui jouaient de leur flĂ»te et chantaient pour la gloire de ce roi. Et la musique s’éleva dans tout le royaume et dans le ciel, et les soleils firent une grande ronde. À travers les arches, je regardais les soleils et le ciel. ● J’étais Ă  nouveau dans le noir, il n’y avait aucune lumiĂšre. ● ● ● quatriĂšme jour ? Il n’y a plus personne, Retiens-toi d’appeler. La nuit est tombĂ©e, Leurs portes sont fermĂ©es, L’herbe a recouvert les marches, Il n’y a plus personne. Avec qui vas-tu aller, Dans cette nuit toute noire ? Avec qui ? Il n’y a pas plus d’amis Ni tu as de feu ; Si j’avais allumĂ© la lampe sous l’arche, Quelqu’un l’aurait peut-ĂȘtre vue. Mon cƓur, mon cƓur, Je suis fatiguĂ©e cette fois, Qu’est-ce qui te prend, qu’est-ce que tu as, Mon cƓur, qu’est ce que tu as ? Mon cƓur, Il n’y a plus personne. » Il y a longtemps, sans compte des heures, que je demeure dans ce noir. Mais voici, maintenant, j’entends une voix, un chant d’une grande peine. Ce n’est qu’un son au loin, bientĂŽt, j’entends la voix s’approcher et devenir un Ă©cho qui rĂ©sonne et les chemins sombres s’emplissent d’amertume et de beautĂ©. Je reste assise, figĂ©e dans le noir. Je ne fais aucun bruit, j’ai si peur qu’à dĂ©couvrir ma prĂ©sence elle cesse son chant. Pourtant il faudrait crier, appeler son aide, mais je ne veux pas interrompre sa voix. Sait-elle que je suis lĂ  ? De sa complainte, je discerne les mots de la femme qui s’approche de moi. Il me semble que sa voix est pleurante et je surprends sur mes joues quelques larmes amĂšres. C’est l’histoire des premiers temps, quand le premier jour ne revint pas des morts, quand les hommes souffrirent la premiĂšre nuit du monde ; son chant conte comment l’un d’eux ne la supporta pas, et descendit dans le monde d’en bas, sous le monde, dans le ventre de la terre, pour ne plus voir le ciel d’abĂźme, pour fuir la nuit, celui-lĂ  qui se nommait Ramarr sous la terre. Maintenant je sens qu’elle est proche, dans la mĂȘme galerie, plus loin. Elle a dĂ» me deviner car elle s’arrĂȘte de chanter, et continue de s’approcher. Je me lĂšve, et crie mon nom. Elle allume une lampe, et je vois alors son visage. Sa peau claire est pĂąle, et son visage gris perle me sourit. Ses avant-bras, ses mains, ses jambes, ses pieds nus, sont complĂštement noirs. Elle me demande qui je suis. Je lui raconte mon histoire. Je la suis. Sa lumiĂšre me fait tant de bien. Son nom est Samarr. ● Samarr marche souvent seule sous la terre, par tous les chemins qui sont. Elle marche sans lumiĂšre, m’explique-t-elle, car elle aime Ă©couter le bruit des pierres qui ne parlent que dans le noir. On change souvent de galerie, de grandes voies suivent d’étroits passages, elle sait oĂč l’on va, elle me dit connaĂźtre toutes les voies sous la terre et je la crois. Les boyaux Ă©troits de pierre et de gravats que nous traversions sont devenus des salles aux murs taillĂ©s, et sous les hauts plafonds je rencontre un peuple. Dans les crevasses pleines de lumiĂšre que des ponts traversent, au-dessus de moi, en dessous de moi, partout dans les flancs creusĂ©s et dans les chemins Ă©clairĂ©s, des hommes, des vieillards, des femmes, des mĂšres, c’est un peuple qui vit ici sous le monde. Je traverse une ville lovĂ©e dans les entrailles de la terre. Mille petites lumiĂšres brillent tout autour de nous, de chaque fenĂȘtre creusĂ©e, de chaque entrĂ©e s’échappe la lueur des lampes, d’autres pendent partout comme d’énormes astres depuis les plafonds qui se perdent dans l’infini au-dessus, d’autres sont par milliers accrochĂ©s Ă  des chaĂźnes tendues qui courent les murs et les espaces du vide. Tous ont les avant-bras noirs, tachĂ©s pour toujours par le safrr. Car j’apprends, le safrr laisse avec le temps une trace ineffaçable. Je mange Ă  la table d’une famille, un repas est dressĂ© pour moi. Ces gens creusent la terre depuis toujours. Ils m’apprennent et j’entends la fiertĂ© de la trace du safrr sur leur peau, trace d’un ancien pacte, d’une ancienne alliance des hommes avec la terre, de ceux qui firent du safrr la premiĂšre lampe, et le premier des soleils des hommes. Le safrr porte la trace de la lutte des hommes pour l’aube, et tout cela, les hommes le racontent encore, et le souvenir ancien de ces jours ne s’est pas perdu. La trace du safrr est prĂ©gnante, il est chose prĂ©cieuse, le cƓur et les larmes de la terre, le soleil et les Ă©toiles des hommes d’en bas. ● Je traverse avec Samarr les galeries ornĂ©es, les escaliers de pierre taillĂ©e, les lampes ouvragĂ©es plus grandes qu’un homme qui pendent dans les grandes salles de ces palais souterrains. Je traverse tant et tant de chemins. Je voudrais entendre Samarr chanter. Elle accepte, et je vois Ă  nouveau la tristesse, et ses yeux amers, se saisir de son visage et de sa voix. Sa voix s’élĂšve et poursuit le chant qui me sortit de l’abĂźme oĂč je m’étais perdue. Elle raconte la premiĂšre Aube. AprĂšs un temps, sa voix se tait. Elle n’a jamais vu le jour qui recouvre le monde, sa peau n’a jamais senti la chaleur du soleil des hommes. Elle me dit encore qu’elle est nĂ©e ici, sous la terre, comme ceux de sa gĂ©nĂ©ration, et la prĂ©cĂ©dente. Mais cela n’a pas toujours Ă©tĂ©. Depuis la grande guerre qui condamna, Ă  la dĂ©faite du peuple, les Noires-mains et les leurs Ă  l’exil sous le monde oĂč ils s’enfouirent, depuis lors, ils attendent
 Nous marchons longtemps comme cela. Et je demeure sans peur avec elle qui connaĂźt toutes les voies sous la terre. ● Elle me guide jusqu’à un des chemins vers la surface pour que je poursuive mon voyage. Peu avant dans le dernier passage sombre, elle s’arrĂȘte, elle ne souhaite pas s’avancer plus. Elle veut attendre avant de voir le jour. Elle attend le jour oĂč tous se lĂšveront, et que la guerre reprendra, pour qu’ils retournent vivre sous le soleil qui pour eux aussi fut mis au ciel. Je regarde Samarr au visage triste et mon cƓur est amer. Elle me souhaite bonne route. Je la remercie, puis m’en vais. ● cinquiĂšme jour Il n’est pas encore tout Ă  fait le matin quand je sors. Je retourne Ă  la ville avec le dĂ©sir de quitter ce pays. Je me dirige vers la gare qui m’emmĂšnera loin. La ville n’est pas encore levĂ©e, et le matin avec elle tarde aussi aujourd’hui. Les feux de la nuit ne sont pas tous Ă©teints, de fins filets s’élĂšvent des torches et des falots. J’avance dans les rues dĂ©sertĂ©es. Je sens la brĂ»lure de la fatigue dans mon corps sans sommeil. ● La gare est de taille fabuleuse. Dans ses hautes arches se perd une voĂ»te arquĂ©e, que la clartĂ© de l’aube transperce mille fois de rayons obliques. Je suis comme dans le ventre d’un poisson qui m’aurait avalĂ©e et je regarde les longues arĂȘtes comme une cage. La gare est pleine de bruit et de furieuses fumĂ©es qui s’élancent violemment des machines d’aciers, et le sol frĂ©mit sous mes pieds. Elle est pleine d’hommes qui travaillent et chargent les trains de marchandises, la plupart versent dans les larges cuves sur le dos des rames le safrr raffinĂ©. Les trains, ils partent pour toutes les contrĂ©es, et tous les bouts de ce monde Ă©troit. Dans l’un d’eux je monte, celui dont les naseaux crachent les fumĂ©es du dĂ©part. Je m’installe dans un coin. Sur les siĂšges autour de moi d’autres hommes s’installent. Le train siffle, une onde le parcourt, crissement, Ă©branlement et puis s’en va. Contre la vitre froide, je m’endors rapidement malgrĂ© le tumulte, malgrĂ© le cahot. ● Le train longe la mer que je regarde longuement. Il passe au-dessus des ponts et coupe les vallĂ©es. La mer toujours pareille s’étend lointaine, Ă  la couleur verte. Heures douces mais ce pays est petit, je vois s’approcher la chaĂźne de montagnes qui marque la frontiĂšre. Le train pĂ©nĂštre dans la montagne par un souterrain, et soudain plus aucune lumiĂšre. L’obscuritĂ© et le bruit me rappellent une vieille histoire avant le commencement, quelqu’un, dans les palais du Vide, au premier nĂ©ant chanta une chanson, et de cette chanson serait nĂ© le monde
 Le bruit dehors est si fort, il me semble que la terre se dĂ©chire. ● Les contreforts trop hauts encore et abrupts de ce versant froid forcent le train Ă  se glisser par de nombreux chemins souterrains. Quelques heures ont passĂ©es, le paysage de sommets bleus est devenu colline, et puis c’est dĂ©jĂ  plus que la plaine sereine qui gondole doucement. Nous apercevons la premiĂšre ville frontaliĂšre. Le train s’arrĂȘte pour dĂ©charger un peu son fardeau marchand. Je reste Ă  l’intĂ©rieur. Un homme monte, aux vĂȘtements de toile bordeaux. Il porte un bĂ©ret Ă  l’allure officiel, et face Ă  moi il s’assoit. ● Ce que je vois par la fenĂȘtre du paysage qui dĂ©file me perturbe. Les champs sont maigres, et les hautes herbes les habitent. Il n’y a personne dans les champs clairsemĂ©s. OĂč sont passĂ©s les blĂ©s argentĂ©s ? L’homme aux vĂȘtements rouges soudain parle et voici ce qu’il me dit Ce pays va mal, tu le vois n’est-ce pas. Tu n’es pas d’ici, aussi, sache que ce pays se nomme les Champs d’Argent. » Sache que son sol, cher Ă©tranger, est fĂ©cond, et gĂ©nĂ©reuse la terre fut toujours pour nous. Sur le ventre fertile de nos plaines qui s’entendent Ă  l’infini, nous avons creusĂ© profondĂ©ment les sillons de nos champs et avons semĂ© le pain, nous rĂ©coltions Ă  l’abondance. Apprends que le labour est notre chant et que la terre qui germe Ă©tait notre hymne. » Étranger, que tu n’es venu avant ! Tu aurais vu, en cette saison, les Ă©pis se courbaient sous le vent, qui dans ce pays souffle et n’arrĂȘte jamais son souffle. Caressant les blĂ©s, l’onde les parcourait et donnait l’impression d’une mer mouvante verte et grise. Comme mon cƓur pleure Ă  ce souvenir, Ă©tranger. » Ce pays va mal. Le temps des semailles a passĂ©, nous avons attendu en vain. Nous avons plongĂ© nos charrues dans la terre arable comme on laboure la mer, car de la terre plus rien ne sortit. Ce pays va mal, sa terre meurt. » Mon gouvernement m’a envoyĂ©, pour lui, je parcours les provinces et les confins du royaume. Depuis l’ouest d’oĂč je viens, jusqu’à l’extrĂȘme-est oĂč ce train va, on m’a envoyĂ© pour mesurer l’étendu de la plaie du mal qui dĂ©vore notre pays. Et partout oĂč mon regard s’est portĂ©, c’est la mĂȘme dĂ©solation que j’ai vue. Mais ce n’est pas ma patrie seule qui va mal, mais le monde, Ă©tranger, et la ruine que j’ai vue partout Ă©tait la mĂȘme. » Et je restais ainsi, Ă©coutant cet homme. ● sixiĂšme jour Par la fenĂȘtre, l’aube blanche et l’écume. La plaine crache son haleine d’albĂątre sur l’étendu. Un soleil craintif se lĂšve sur les champs morts aux herbes mortes, je crois avoir dormi mille ans. Le train court la plaine et strie la terre cendreuse. Plusieurs fois, je vois des villages au loin. Par instants, j’aperçois des personnes qui marchent, ce sont des groupes plus nombreux parfois. Toujours ils vont dans la mĂȘme direction vers l’est, pareille Ă  ce train. ● Le train s’est arrĂȘtĂ© dans une ville mais depuis il ne repart pas, un bruit inquiet parcourt les rames. L’homme de la veille sait que le train ne poursuivra pas sa route. Il est prĂ©occupĂ©, je sens le poids des choses sur son corps. Il n’y a personne dans la gare, me dit-il. Je le vois s’en aller vers les ouvriers mĂ©caniciens du train qui essuient leur front anxieux ombreux de suie. Je descends du train et m’avance dehors. Rien ne hante les rues de cette ville abandonnĂ©e, des fenĂȘtres, pas de lumiĂšres qui vivent ou trahissent la vie. Les murs serrĂ©s pleurent une inquiĂ©tante chanson quand le vent s’engouffre violemment dans la gorge des voies. Je souhaite alors plus que tout partir d’ici. Dans mon ventre il y a comme des nƓuds, ce lieu est chose mauvaise, la ville est grande, et pourtant pas une Ăąme ? Je me souviens des gens que je voyais marchant toujours vers l’est, je vais suivre leur direction. J’irai comme eux vers le levant. ● Le sol a la couleur cendre d’une boue argentĂ©e. Je comprends alors le nom de ce pays. Je foule une terre glabre et grise. Les hautes herbes qui la couvrent parfois sont dĂ©jĂ  mortes et leurs tiges dures cachent des ronces et les Ă©pines me font chaque pas pĂ©nible. OĂč est passĂ©e ta chaleur, Soleil frileux ? ● Le soir tombe, j’ai si froid. Le vent ne cesse jamais de souffler, il n’interrompt jamais son cri et sa morsure traverse ma chair, et mes os, et je frissonne, si proche de me briser. Je ne veux pas voir le soir tomber, je voudrais tout faire et retenir le jour. Le soir tombe et mon cƓur se dĂ©chire, des larmes coulent. Je frĂ©mis, j’ai si peur de ce soir qui tombe. Je continue de marcher pour sauver mon corps de la gelure. Allant vers l’est, j’avance vers le point le plus sombre du ciel, vers le point d’oĂč s’écoule la nuit. ● J’avance Ă  grande peine. Si je tombais sans doute je resterais au sol, et je fermerais les yeux, et le sommeil me prendrait et ne me rendrait pas, et ce serait bien. Mais au-dessus de moi, le vent qui souffle a chassĂ© de la voĂ»te les nuages ennemis et je peux voir alors les Ă©toiles. Le froid fait leurs lueurs vivantes, emplissant mon cƓur d’un vertige. Sous le ciel tremblant, sur la terre et sous la terre, et ni la mer et ni le jours, je n’aime rien plus que les Ă©toiles d’Éru. Les Ă©toiles ne sont pas dans le monde, elles ne lui appartiennent pas. Elles se tiennent en dehors dans les Brumes. Dans la longue nuit fut chantĂ©e leur lueur afin qu’elle perce le manteau de sang noir qui s’écoulait du corps du Jour. Car il aimait les hommes ses enfants, il les fit. ● Il fait trĂšs froid. Loin devant moi, une lueur rouge vacillante. Je m’approche et la lueur se divise en plusieurs foyers rougeoyants. Ce sont des feux contre le froid, autour d’eux des hommes se tiennent proches, autour des hommes est pour la nuit un camp de misĂšre. J’entre et je vois, des toiles, des charrettes, des couvertures, et des hommes, des femmes qui dorment ou qui essaient. Puis proches d’un feu, quelques tĂȘtes se hochent pour me dire que l’on m’a vue, que je peux rester. Je me tiens trĂšs prĂšs du feu, je sens sa flamme fidĂšle me brĂ»ler et me ramener Ă  la vie. Dans cette nuit au demi-sommeil, le feu seul parle, il fait mĂȘme beaucoup de bruit, et tout le reste sous l’obscuritĂ© n’est que silence livide, sur les visages et les corps, et dans le dehors, pas de bruit. Les bƓufs, les chevaux, rien ne souffle plus qu’il ne faut. Une grande tristesse comme une chape Ă©crase jusqu’au sourire des flammes. ● septiĂšme jour Il n’y a pas de joie dans le ciel gris et bas qui se lĂšve ce matin, il a pris pour lui la couleur de la terre morose. On me partage la nourriture d’un repas frugal. Le froid fait nos souffles courts. Puis nous levons les toiles et les tentes, nous chargeons les charrettes, sur lesquelles nous asseyons les anciens et les enfants. Nous devons ĂȘtre une centaine, un peu moins. Ceux qui ont rejoint le groupe comme moi sont nombreux. La longue caravane reprend la route. OĂč vont-ils ? Ils vont lĂ  oĂč le soleil se lĂšve, Ă  l’est, et qu’y cherchent-ils ? Je ne sais pas encore. Une femme ordonne tout cela et prononce des instructions. Elle se tient Ă  la tĂȘte de cette foule aux visages mornes, je la vois, il s’épand d’elle quelque chose de grand. Sa voix. Dans sa voix est une grande magie. Je demande son nom Ă  l’homme qui marche Ă  cĂŽtĂ© de moi, elle s’appelle Mariam Élise. Son nom rĂ©sonne. Elle n’est pas jeune, quelques cicatrices se mĂȘlent aux discrets sillons de son visage abĂźmĂ© mais sans Ăąge. Si je dis elle n’est pas jeune », c’est parce qu’il semble Ă©maner de cette femme une histoire trop profonde pour que son Ăąge puisse ĂȘtre infĂ©rieur Ă  quelques milliers d’annĂ©es. Elle doit avoir depuis toujours Ă©tĂ© lĂ , ĂȘtre lĂ  depuis le commencement, depuis le dĂ©but, et personne n’a pu ĂȘtre avant elle, voilĂ  ce que je me dis. Tous la suivent. L’homme qui marche Ă  cĂŽtĂ© de moi me raconte comment, lorsque Elle a traversĂ© son village qui mourrait, Mariam Élise s’est avancĂ©e, et leur a proposĂ© de venir avec elle et le groupe. Mariam Élise s’est avancĂ©e et a dit Je suis venue pour vous sauver. » Ils l’ont suivie. Et l’homme ajoute encore que c’est sa voix, sa voix qui les a armĂ©s du courage de partir. Oui sa voix, je l’entends, dans la voix de Mariam Élise, loge une grande magie. Elle n’est pas grande de taille, ses cheveux longs, trĂšs noirs, lĂ©gĂšrement bleus, elle les attache derriĂšre sa nuque. Sa seule prĂ©sence souffle quelque chose de l’espoir, et cela vient lutter durement, avec force, et cruellement contre la misĂšre du paysage qui s’étend, contre la dĂ©solation dans les cƓurs, contre ce ciel trop bas, contre ce soleil trop faible. Ses bras sont couverts de son large manteau mais je crois apercevoir, dans un mouvement, ses doigts et sa main noire. ● Je sais dĂ©sormais que nous allons vers la mer de l’est. Vers lĂ  oĂč repose la ville de Rajav, sur l’isthme du continent qui se jette dans la grande mer, jusque trĂšs loin dans l’est. Et ce lieu est le plus proche de l’extrĂ©mitĂ© du monde. Sur la mer de l’est, semblerait, certains connaissent d’autres voies sur la mer pour quitter le monde, d’autres voies pour les marches qui attendent dans les plis des Brumes. VoilĂ  ce que j’entends autour de moi. Dans le reste de la journĂ©e, d’autres groupes se joignent Ă  nous. Parfois ce ne sont que quelques personnes. Mariam Élise parle avec eux, et puis nous leur partageons ce que nous avons, la chaleur, Ă  manger et Ă  boire. Notre longue colonne s’allonge davantage, la caravane grandit et s’effile. Nous sommes deux fois le nombre que j’avais trouvĂ© la premiĂšre nuit oĂč je les ai rejoints. Nous traversons ainsi dans la boue cendrĂ©e, un paysage de ruine. Nous passons au travers de villages dĂ©serts. La caravane continue, et continue, et s’allonge, et s’étire mais derriĂšre Mariam Élise elle se maintient. Ce peuple qui a tout quittĂ©, la terre et le pays, pour vivre, ou au moins arracher quelques jours et quelques semaines de plus Ă  ce monde qui finit. Pour tuer le temps, une vieille femme me raconte l’histoire qu’elle invente d’un royaume et de son Roi qui ne mourrait pas, et le soleil de ce royaume Ă©tait figĂ© dans sa course pour toujours. Comment ferais-je pour rejoindre un tel royaume ? Et dans notre ciel Ă  nous, le soleil poursuit son terme qui mĂšne le jour Ă  sa fin, et la nuit dans une autre nuit. ● Au soir, dans le campement, lovĂ© dans le ravage du monde, une flĂ»te quelque part s’est mise Ă  chanter, sa plainte a dĂ©chirĂ© la nuit, Alors, je me suis rappelĂ© une chanson qui dit N’entre pas dans la nuit sans un cri ; À la ruine du jour, Que l’homme remue, Qu’il incendie. Emporte-toi et rage. Quand bien mĂȘme Ă  leur fin, Les hommes savent, ils sont sages, Que finir est bien ; Car dire ne fut rien, Et ne fit rien naĂźtre. Et cependant Ils n’entrent pas dans la nuit sans un cri ; Les hommes, les derniers qui viennent, Crient combien oh peut ĂȘtre ! Leurs actes auraient pu danser Dans des havres et sur les eaux. Alors Emporte-toi et rage contre la nuit qui vient. Les hommes qui chantent, Qui s’emparĂšrent dans son vol Du Soleil moite dans leurs mains, Ils apprennent qu’il est mort. Mais N’entre pas dans la nuit sans un cri. Les hommes, leurs visages graves, À la brisure profĂšrent bas que les yeux Que l’on crĂšve sont des feux, des mĂ©tĂ©ores, Des Ă©toiles qui filent
 Et pourtant pourtant Emporte-toi contre la nuit qui vient. Couvre-moi de tes larmes. Mais, je te prie, N’entre pas dans la nuit sans un cri. Remue et incendie, Emporte-toi et rage, Que ce qui meurt, Ne meurt pas sans bruit. Je me suis Ă©loignĂ©, et j’ai pleurĂ©. ● lepropos de ce blog est de voyager sur les Encres, les Mots, la PoĂ©sie surtout. J'espĂšre que vous serez nombreux Ă  visiter ce blog, tous les messages sont les bienvenus. Tous les textes qui pourront apparaĂźtre sur ce blog font l'objet d'un dĂ©pĂŽt officiel afin de garantir la propriĂ©tĂ©; intellectuelle de l'auteur. Jeudi 31 mars 2022 – Fred – ApprĂ©ciation sur “L’ñme du monde” J’ai beaucoup apprĂ©ciĂ© “L’ñme du monde” et “Juste aprĂšs la fin du monde”, j’adopte de plus en plus cette philosophie de vie et j’ai acquis de la sagesse, qui fait que je n’ai plus d’ennemis, ni de moments insupportables, tout est Ă  relativiser, aucun stress Ă  avoir, ce qui doit avoir lieu, aura lieu, le tout est de vivre ces derniers instants les plus agrĂ©ables possibles et de partager cet Ă©tat d’esprit avec ceux qui en ont le plus besoin. Prenez soin des humains qui vous entourent, la rĂ©compense est ultime. Un sourire, une poignĂ©e de main, un regard complice ont beaucoup de 25 mars 2022 – Giga amoroso – “Jung, un voyage ver soi” Je dĂ©couvre avec votre dernier essai ce grand visionnaire qui nous incite Ă  vous lire dĂšs votre introduction car bien que votre livre fĂ»t Ă©crit pendant la pandĂ©mie mais avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie vous citez ses propos en 1944 ” 
 mais que c’est bien l’homme qui constitue pour l’homme le plus grands dangers. La cause en est simple il n’existe encore aucune protection efficace contre les Ă©pidĂ©mies psychiques; or, ces Ă©pidĂ©mies-lĂ  sont infiniment plus dĂ©vastatrices que les pires catastrophes de la Nature ! Le suprĂȘme danger qui menace aussi bien l’ĂȘtre individuel que les peuples pris dans leur ensemble, c’est le d’ange psychique.”Dimanche 20 mars 2022 – Arlette – Merci Merci Monsieur pour votre humanitĂ© et sensibilitĂ©, je viens de lire LETTRE OUVERTE AUX ANIMAUX petit livremerveilleux de tendresse et surtout ce cri du cƓur pour toutes les cruautĂ©s infligĂ©es Ă  nos amis les bĂȘtes sous prĂ©texte pour certaines de “traditions” et de chasses criminelles. Merci infiniment Monsieur. Arlette Biard Ă  Mesland Loir et CherDimanche 13 mars 2022 – Anita – Suite lecture “juste aprĂšs la fin du monde” .. Pour vous remercier de ce conte initiatique, Ă  une Ă©poque et un moment de ma vie, qui me permet plus de conscience sur ce qui est Ă  l’Ɠuvre sur mon chemin de vie. Comme par hasard, mais y a-t-il hasard, quand mes pas m’ont conduit vers votre livre comme une Ă©vidence, une continuitĂ© Ă  une quĂȘte fondamentale pour s’éveiller, grandir ! Prendre conscience de son ego et de ses “exigences”, et reprendre le pouvoir sur ses Ă©motions pour vivre la joie, l’amour, et s’ouvrir Ă  un chemin libĂ©rateur
 Votre message arrive Ă  un moment prĂ©cis oĂč je peux l’intĂ©grer et le comprendre comme une douceur et un remerciement Ă  la vie. J’apprĂ©cie beaucoup votre Ă©criture et suis trĂšs rĂ©ceptive aux mots, aux parcours de vie des “hĂ©ros” en Ă©cho sans doute Ă  ce que je lis actuellement sur les contes guĂ©risseurs. Encore merci. Au plaisir de vous voir et entendre en confĂ©rence, peut-ĂȘtre dans nos contrĂ©es, trĂšs imprĂ©gnĂ©es d’énergies de la nature.. 10 mars 2022 – Moni – Remarques Bonjour, je viens de terminer la lecture de votre livre Le Miracle de Spinoza ». J’ai Ă©tĂ© déçue de la correspondance de votre ami Robert Misrahi qui affirme que Spinoza Ă©tait athĂ©e et qu’il parlait de Dieu, juste pour se protĂ©ger alors qu’il est toujours question d’une vision nouvelle de Dieu auquel il croit. Le mot “Dieu” n’appartient pas seulement Ă  la religion chrĂ©tienne ou autres religions. Je sais de quoi je parle, car j’ai Ă©tĂ© athĂ©e jusqu’à 45 ans sans connaissance de Dieu et catholique pratiquante jusqu’à 55 ans. Aujourd’hui, je ne suis plus catholique mais je crois toujours en Dieu et Spinoza m’a Ă©clairĂ©e sur mon rejet des religions souvent sectaires pour ne pas dire toujours. Heureusement, votre rĂ©ponse appelons ça de ” l’athĂ©isme”, si vous voulez puisque vous entendez rester dans la dĂ©finition biblique de Dieu. Merci. M. RenaultJeudi 24 fĂ©vrier 2022 – CĂ©line – Merci pour “Jung un voyage vers soi” FĂ©licitations et merci pour votre ouvrage “Jung un voyage vers soi”. J’ai dĂ©couvert rĂ©ellement Jung Ă  partir de ma dĂ©couverte du MBTI, et depuis je ne cesse de creuser le sujet. A la lecture de votre livre, je comprends Ă  prĂ©sent pourquoi les thĂ©ories et concepts de Jung rĂ©sonnent en moi je partage sa vision de la religion, le fait de considĂ©rer les ĂȘtres dans leur intĂ©gralitĂ©, et tellement d’autres concepts ! J’avais Ă©tĂ© frustrĂ©e Ă  la lecture d’ouvrages de Freud, car j’avais l’impression que certains aspects de la personnalitĂ© ou des comportements Ă©taient survolĂ©s voire occultĂ©s, et je comprends maintenant que je suis plus proche des pensĂ©es de Jung que de celles de Freud. Un grand merci pour avoir rendu la vie et les concepts de Jung accessibles. Votre livre va trĂšs certainement compter dans mon chemin vers l’ 20 fĂ©vrier 2022 – AurĂ©lien – Merci Bonjour, par ce message je souhaitais simplement vous remercier pour vos ouvrages. Je suis atteint d’une maladie chronique qui rend mon quotidien trĂšs douloureux et la lecture de “la sagesse expliquĂ©e Ă  ceux qui la cherchent” ainsi que du “petit traitĂ© de vie intĂ©rieure” m’ont redonnĂ© beaucoup d’allant et d’espoir. J’ai hĂąte de dĂ©couvrir le reste de votre trouve que vous ĂȘtes un excellent pĂ©dagogue parole de pro, je suis prof agrĂ©gĂ© de maths 🙂 et que vous rendez accessible Ă  tous la philosophie, ce qui n’est pas une mince affaire, qui plus est avec un message positif dont le monde a tellement trois fils, encore jeunes de 4 Ă  9 ans, Ă  qui je commence Ă  transmettre le goĂ»t de la lecture. DĂšs qu’ils en auront l’ñge, vos ouvrages seront parmi les premiers que je mettrai entre leurs mains. j’y pense, il y aurait pas mal de choses Ă  Ă©crire sur les liens entre maths et philo. Peut-ĂȘtre une idĂ©e pour un futur ouvrage ? 🙂Vendredi 18 fĂ©vrier 2022 – Nanou – L’extinction des sols Nous sommes confrontĂ©s Ă  un problĂšme massif et proche l’extinction des sols, c’est-Ă -dire les sols perdent leur vitalitĂ© et se transforment en sable. Le mouvement SaveSoil est un appel Ă  l’action pour chacun d’entre nous afin d’exhorter les gouvernements Ă  crĂ©er des stratĂ©gies politiques pour revitaliser les sols. Le 21 mars, nous lançons un mouvement mondial de 100 jours pour inciter 3,5 milliards de personnes Ă  comprendre le problĂšme, Ă  en parler, Ă  dĂ©fendre SaveSoil pour que le nombre pĂšse sur nos gouvernements. Il y a des rĂ©alisations intĂ©ressantes de jeunes agriculteurs qui s’installent en petites fermes, des spĂ©cialistes et des savants qui quantifient, Ă©tudient
.Il y a beaucoup Ă  faire, mais ensemble nous pouvons sauver le sol. Faisons en sorte que cela se produise. Merci consciousplanetsavesoilA regarder en replay sur ARTE – Le gĂ©nie des arbresVendredi 28 janvier 2022 – Roberta – Merci et encore merci Bonjour, je suis en train de suivre les 18 leçons Masterclass MentorShow et je le confirme vous ĂȘtes un cadeau prĂ©cieux. Merci et encore merci pour l’opportunitĂ© de vous suivre en ligne parce que ce n’est pas toujours facile de parler Ă  un ordinateur !Samedi 1 janvier 2022 – Quadrifolium – Deux rĂ©flexions Merci FrĂ©dĂ©ric pour toutes ces inspirations et Ă©clairages rĂ©vĂ©lĂ©s au fil de vos pages. Quel bonheur de lire un ouvrage sur Jung dans lequel sa spiritualitĂ© n’est ni occultĂ©e ni moquĂ©e. Et cela m’amenait Ă  penser que vous pourriez ĂȘtre la personne idĂ©ale pour nous proposer une biographie lumineuse de Swedenborg, Ă©voquĂ© dans le livre, et pour lequel il est quasi impossible de trouver une Ă©tude sans a priori. Dans la Puissance de la joie, votre description de Philia m’a Ă©voquĂ© l’Anam Cara de la tradition celtique, reprise dans son livre Ă©ponyme par John o’Donohue, poĂšte et prĂȘtre qui a reconnectĂ© l’Irlande contemporaine Ă  son Ăąme celte. Celui que vous aimez, votre anam cara, votre Ăąme frĂšre soul friend, est le miroir le plus vrai pour reflĂ©ter votre Ăąme.» Non traduit en français, ce serait lĂ  aussi, une belle dĂ©couverte pour les lecteurs francophones de rencontrer cette personnalitĂ© trĂšs aimĂ©e en Irlande 
 si un Ă©diteur se penchait sur ses Ă©crits. Oups ! DĂ©jĂ  1000 caractĂšresJeudi 30 dĂ©cembre 2021 – Christophe – Jung, un voyage vers soi Cher FrĂ©dĂ©ric, j’ai le plaisir de suivre vos rĂ©flexions et diffusions depuis de nombreuses annĂ©es. Vous ĂȘtes pour moi une source d’inspiration sur le chemin de la connaissance de soi et d’ouverture au monde. Je viens de finir de lire votre dernier livre Jung, un voyage vers soi. Je tenais Ă  vous remercier sincĂšrement pour la qualitĂ© de votre ouvrage, qui m’a passionnĂ©. Cela m’a permis de comprendre beaucoup de concepts, qui ont raisonnĂ© en moi comme des Ă©vidences. J’espĂšre avoir le plaisir d’échanger un jour avec vous de vive voix. Continuez Ă  Ă©veiller nos consciences. Je vous souhaite le meilleur pour la nouvelle annĂ©e. ChristopheJeudi 30 dĂ©cembre 2021 – Andrew – Merci pour cette belle lecture FrĂ©dĂ©ric, j’ai beaucoup apprĂ©ciĂ© votre nouveau livre sur Jung qui, pour moi, a Ă©tĂ© une introduction fantastique Ă  une pensĂ©e nouvelle, riche et complexe. Vous avez trouvĂ© un trĂšs bon Ă©quilibre entre votre point de vue personnel et un rĂ©cit de type documentaire. Merci beaucoup !Dimanche 26 dĂ©cembre 2021 – Morgane – Remerciements Bonjour, je vous remercie de nous donner Ă  savoir, Ă  comprendre le monde dans lequel nous jouons cette si intĂ©ressante partition. Merci Ă  vous de lire et dĂ©cortiquer tant de penseurs et chercheurs Ă  notre place. Merci d’avoir si bien exercĂ© et entraĂźnĂ© votre capacitĂ© Ă  organiser les idĂ©es, Ă©clairer les relations entre elles, synthĂ©tiser les propos. Vous lire ouvre des voies, des portes. Et donne le sentiment d’ĂȘtre plus connectĂ© Ă  l’univers et Ă  sa propre vie. L’ego est aussi trĂšs content de se sentir plus intelligent 😀. Quelle belle incarnation vous avez choisie et quelle belle façon de vous rĂ©aliser. Belle continuation. MorganeDimanche 19 dĂ©cembre 2021 – Sergio – Message C’est un plaisir de vous lire, vous nous aidez Ă  façonner les clĂ©s et Ă  dĂ©coder l’ouverture de portes vers le chemin du vrai. MerciVendredi 17 dĂ©cembre 2021 – GĂ©lou – Remerciements Cher FrĂ©dĂ©ric, je voudrais vous remercier pour tous ces livres que vous Ă©crivez. Ils sont une grande richesse pour toute l’humanitĂ©. Je vous assure que vous avez rĂ©enchantĂ© le monde dans lequel je vis par vos pensĂ©es de sagesse, de beautĂ© et de profondeur. J’ai presque 80 ans et j’attends toujours avec impatience la sortie d’un nouveau livre venant de vous. Je les ai presque tous lus depuis de nombreuses annĂ©es et chaque fois, c’est un grand bonheur de mĂ©diter sur ce que vous Ă©crivez. Je vous souhaite mes meilleurs vƓux pour les fĂȘtes et une bonne et riche annĂ©e 2022 en spiritualitĂ©, en imagination, en voyages et en amitiĂ©. Prenez soin de vous, car vous ĂȘtes prĂ©cieux pour nous tous et pour notre belle planĂšte qu’il faut prĂ©server en pensĂ©es, en paroles et en actions. Bien Ă  vous, amicalement, AngĂšleSamedi 11 dĂ©cembre 2021 – GĂ©rard – Merci Je viens de dĂ©guster le livre ”Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure”. J’ai apprĂ©ciĂ© chaque chapitre, je m’en suis servi comme lecture du matin et comme Ă©lĂ©ment de rĂ©flexion par la suite. J’avoue ĂȘtre plus Ă©panoui, en paix entre moi et la vie et plus heureux. Mille mercis !Jeudi 9 dĂ©cembre 2021 – Rizma – Hommage Je vous dĂ©couvre aujourd’hui, pas que je ne lise pas, loin s’en faut mais
 le moment n’était pas venu. C’est Ă  la gare de Toulouse que je vous ai vu, enfin, j’ai vu le titre de votre livre sur Jung et comme Jung est un de mes grands maĂźtres
 En gĂ©nĂ©ral je ne lis pas les auteurs qui Ă©crivent sur les autres mais lĂ , je ne sais pas pourquoi, la phrase sur Jung, votre bonne tĂšte, je vous remercie d’ĂȘtre lĂ  et de votre travail sur la place des animaux, de vos dialogue et partage avec les enfants et leur sagesse. Bref, c’est gĂ©nial !!!Mardi 7 dĂ©cembre 2021 – Roberta – Mille mercis Bonjour, si la vraie vie est rencontre, pour moi vous ĂȘtes le vĂ©ritable cadeau de la vie. À la prochaine confĂ©rence

en ligne. Un joyeux NoĂ«lMardi 30 novembre 2021 – FrĂ©dĂ©rique – Merci ! Bonjour ! Tout simplement vous dire “merci !”. Vos livres sont comme des amis, ils m’aident Ă  guĂ©rir mon Ăąme meurtrie, me guident sur mon chemin de vie que je voudrais enfin suivre lĂ©gĂšre comme une plume. Bonne route !Dimanche 10 octobre 2021 – Zara-N – Dialogue avec la nature Cher FrĂ©dĂ©ric, je vis en SibĂ©rie occidentale. J’écoute la radio “France Culture”, j’ai entendu ta conversation avec Abdennour Bidar La sacralisation de la vie quotidienne », et me rĂ©jouis que les philosophes en France s’intĂ©ressent aux secrets de la lis seulement le français, et mon dossier PDF en russe “ExpĂ©rience mystique de la communication avec les plantes, les oiseaux et les animaux” n’est pas tĂ©lĂ©chargĂ©. Peut-ĂȘtre Ă  cause de la langue russe. Je communique avec la nature Ă  travers les images, car je suis un empathe. Les plantes, les oiseaux et les animaux me comprennent, et je les comprends. Tous mes 19 septembre 2021 – Giga amoroso – Nos rencontres via vos Ă©crits Notre univers d’humanistesAu delĂ  de ce que nous voyons, ce que nous touchons,Notre Ăąme ressent l’invisible, ce que nous avant notre existence, la lumiĂšre et la joie,Ce bonheur source d’envie et d’extase qui nous lie Ă  4 septembre 2021 – belleroseline[at] – Le dogme de la TrinitĂ© Et si le dogme de la TrinitĂ© Ă©tait tout simplement l’entendement, la comprĂ©hension qu’on a de Dieu, illustrĂ© par des langues de feu au-dessus de la tĂȘte des apĂŽtres !Samedi 31 juillet 2021 – Karine – MERCI Cher FrĂ©dĂ©ric, il y a quelques annĂ©es, j’ai pu vous entendre et vous voir Ă  PARIS, et le “miracle Spinoza” a commencĂ© ! Je suis plongĂ©e dans vos Ă©crits, me rends parfois aux Rencontres perspectives, et tente de partager les rĂ©flexions procurĂ©es par vos lectures. A peine ai-je eu le temps de terminer votre livre “Vivre” que le “hasard” m’a offert “Transmettre ce que nous nous apportons les uns aux autres”. Je suis passionnĂ©e par ce que vous offrez Ă  travers vos Ă©crits, vos confĂ©rences, et Ă©missions. Je souhaite vous dire MERCI pour votre regard si lumineux, et pour les liens que vous tissez avec des personnes qui me fascinent aussi, comme Catherine GUEGUEN, Jeanne SIAUD-FACCHIN, Christophe ANDRE, Matthieu RICARD , Alexandre JOLLIEN, Boris CYRULNIK
 Je reste aussi persuadĂ©e que c’est en Ă©veillant Ă  la rĂ©flexion les enfants, mais aussi les adultes, que nous pouvons construire de belles relations. Vous ĂȘtes un rĂ©el guide de positivitĂ©, d’objectivitĂ© et de rĂ©flexion. MERCIMercredi 14 juillet 2021 – Giga amoroso – “Juste aprĂšs la fin du monde” Acceptation
 Pour vous🙏 Merci” Une lumiĂšre d’amour veilleLe temps est passĂ© et a laissĂ© son empreinte,Tant d’amours oubliĂ©s, souvenirs sans cƓur continue Ă  battreEt mon Ăąme se corps fatiguĂ©, ridĂ©Veut s’abandonner sans l’emporte vers sa destinĂ©e,L’hiver est Ă  ma porte, il frappe
Je ne veux pas le laisser entrer !Pas encore en me laissant plus profond de notre ĂȘtreLe printemps des rĂȘves sommeille,Une petite flamme d’amour veillePour que les matins nous puissions presque l’approche de l’étĂ© dans un dĂ©cor champĂȘtre,Il est si doux de sentir la vie avec nos envies,Ses odeurs, ses chants d’oiseaux, elle nous lumiĂšre de son maĂźtre tendrement nous pĂ©nĂštre,Ne serait-ce qu’un instantSuspendre un peu le temps,Contempler par passionS’épanouir les avec Ă©motion de la vie,Qui par enchantement l’extasie !
”Lundi 5 juillet 2021 – Chimed Tshomo Merci pour la lecture du livre La Puissance de la joie, sincĂšre et vivant. A vous lire, je ressens que vous souhaitez profondĂ©ment voir les lecteurs y trouver de la joie. Pour ma part c’est le cas. Merci. Voici un texte que je souhaite partager L’hirondelle“Une hirondelle est venue sur sa tĂȘte pour y poser ses ailes,Avec l’envie de la voir prendre son traverse les nuages avec fougueRespire l’air de la libertĂ© dans le bleu du ciel,En chute libre elle cyprĂšs lui tend la mainElle se niche Ă  ses cĂŽtĂ©sSes racines l’entourent, la sĂšve coule dans son cƓurD’un amour doux une joie l’inondeSes yeux s’ouvrent Ă  la vie.” vivre dans la joie auprĂšs de vos proches. Bien Ă  vousDimanche 4 juillet 2021 – Giga amoroso – Votre dernier roman “Juste aprĂšs la fin du monde” Cher Frederic, je suis en train de lire “Juste aprĂšs la fin du monde” avec dĂšs le dĂ©but un grand message d’espoir pour les enfants qui l’accueillent et cela m’a fait penser Ă  mon dernier poĂšme Ă©crit pour un devoir de ma petite fille sur thĂšme de la musique du “BolĂ©ro de Ravel”. Je vous en fais prĂ©sent.“L’éveil d’une belleQuelle est cette douce lumiĂšre qui se lĂšveS’illumine soudain Ă  l’horizon ?Pourquoi ce matin me rĂ©veille-t-elleM’enchante-t-elle Ă  l’appel du pinson ?Comment alors encore dans mes rĂȘvesSur un blanc nuage en flottaison,Mon corps allongĂ© lĂ©ger qui s’élĂšveSe laisse emporter par tentation ?Mais oui c’est mon bel astre cosmiqueQui nous Ă©claire Ă  nos plus haut jusqu’à son zĂ©nithIl rĂ©chauffe mon cƓur et mes hors de ma belle chrysalideSurprise, je m’envole en libre je danse avec mon guide,Et chante de bonheur Ă  l’unisson. “Samedi 19 juin 2021 – Marie Martine – ConfĂ©rence St Martin Quelle joie d’avoir pu venir vous Ă©couter une nouvelle fois sous ces 2 chĂȘnes. Que de messages transmis, d’amour, de sourires. Votre transmission nourrit notre Ăąme, notre quotidien, l’ombre, la lumiĂšre. Vous ĂȘtes vrai sur tous les plans, disponible et chaleureux. Votre dernier livre est une mĂ©ditation qu’il est important de relire et relire, je pense que Jung nous transportera Ă©galement, merci de mettre vos connaissances Ă  la portĂ©e de vos lecteurs, cela fait du bien. Plein de gratitude pour ces contacts physiques, vos dĂ©placements, le sud va vibrer de votre prĂ©sence. Amicalement, une lectrice depuis trĂšs longtempsLundi 31 mai 2021 – Isabelle – Les chemins du sacrĂ© Mr Lenoir, je vous remercie pour “Les chemins du sacrĂ©â€ que je ne me lasse pas de voir et de revoir. Ils sont d’une grande beautĂ© et d’une grande richesse. Pour vous remercier ce poĂšme “Tous les soleils Ă  l’aube dorment encore un peu engourdis, nonchalants, ils se moquent bien du feu du jour qui les attend, ils chassent les ombres des hommes et des guerres, tous les soleils Ă  l’aube sont comme de grands enfants qui n’ont que faire du temps” PoĂšme d’Alfio Antico ItalieIsabelleVendredi 14 mai 2021 – Ingrid – Remerciements Bonjour Monsieur, je tenais Ă  vous remercier pour les DVD que j’ai reçus suite Ă  ma petite contribution. J’avoue que j’avais oubliĂ©, mais pas vous. Je voulais vous remercier pour tous ces films apaisants et pleins de sĂ©rĂ©nitĂ© et de bienveillance. Gratitude🙏Samedi 8 mai 2021 – Bernard – VidĂ©o 21 Personne spirituelle Bonjour, j’ai visionnĂ© avec beaucoup d’intĂ©rĂȘt votre vidĂ©o intitulĂ©e “les trois dimensions fondamentales d’une personne spirituelle”, et j’avoue ĂȘtre demeurĂ© perplexe quant aux dimensions Ă©voquĂ©es, Ă  savoir 1. humour et capacitĂ© d’ĂȘtre intelligent, 2. le coeur et capacitĂ© d’aimer, 3. le corps, qu’il faut aimer, un esprit sain dans un corps sain. La spiritualitĂ© Ă©tant de grandir en humanitĂ©, dĂ©velopper ses rĂȘves, son potentiel, ses talents reçus. Certes, il nous faut “prendre soin de son corps pour que notre Âme ait envie d’y rester”, mais, encore faut-il prĂ©alablement avoir pleinement conscience que nous sommes d’abord et avant tout des ĂȘtres spirituels, dont les trois dimensions ou “composantes” fondamentales sont de mon humble point de vue Intelligence, Conscience, Émotions et Sentiments. Lesquelles s’harmonisent avec les deux autres Ă©tats de l’Être humain Énergie et MatiĂšre. Bien CordialementJeudi 22 avril 2021 – Danie – Remerciements A la suite de quelques soucis de santĂ©, je ne pouvais plus lire et cela finissait par me complexer
 malgrĂ© de multiples tentatives, je ne parvenais pas Ă  me concentrer quel que soit le type d’écrivain et puis lors de votre passage Ă  la tĂ©lĂ©vision puis Ă  la radio, je n’ai pas pu rĂ©sister Ă  l’envie de vous lire et depuis, je lis
 voire relis vos Ɠuvres qui m’apportent tant
 J’apprĂ©cie tellement votre cĂŽtĂ© philo accessible et “comprĂ©hensible” Ă  qui comme moi s’y intĂ©resse. C’est un rĂ©el enrichissement pour soi et pour les autres
 M E R C I
 et continuez encore et encore
Vendredi 16 avril 2021 – catherineparisot[arobase] – Votre intervention dans C’ Ă  dire du 16/04 Bonjour Monsieur Lenoir, je me permets de vous Ă©crire pour vous remercier de votre intervention dans C’ Ă  dire. Votre maniĂšre de voir le monde, qui consiste Ă  regarder d’abord Ă  l’intĂ©rieur de soi pour pouvoir voir l’extĂ©rieur diffĂ©remment, est totalement en harmonie avec ce que je vis depuis que j’ai subi un burn-out il y a 5 ans. Alors que j’étais privĂ©e de mes mots, que j’étais dĂ©vorĂ©e par la honte et la culpabilitĂ©, j’ai retrouvĂ© des forces dans les petites beautĂ©s que chaque jour nous offre. Lentement, j’ai rĂ©appris Ă  vivre, autrement. J’ai dĂ» faire le point de ma vie d’avant pour me centrer sur ce qui me faisait du bien la nature, la lumiĂšre, la beautĂ© de chaque jour qui se lĂšve
 et mettre de cĂŽtĂ© ce qui crĂ©e en moi angoisse et colĂšre. J’ai racontĂ© mon chemin d’introspection et de retour sur ma vie dans un livre “Lettres pour Vous”.Je vous remercie pour votre intervention si pleine de lumiĂšre. SincĂšrement, CatherineSamedi 3 avril 2021 – Sabine – Remerciement “Les chemins du sacrĂ©â€ Je viens de regarder votre documentaire sur Arte. Merci pour ce merveilleux cadeau et 2 avril 2021 – Margot – Votre interview Ă  la Grande Table du 1er avril 2021 Si je vous ai bien Ă©coutĂ©, la spiritualitĂ© c’est pour les bourgeois ? Pour des gens comme vous qui peuvent regarder la mer de leur maison de Corse, contempler la nature de leur maison Ă  la campagne, se rĂ©gĂ©nĂ©rer grĂące aux arbres et aux cascades, capter le feu sacrĂ© des volcans, interviewer des aborigĂšnes, marcher dans la nature pour retrouver le silence intĂ©rieur et faire le tour du monde pour recueillir le tĂ©moignage des sages, gourous, maĂźtres – tous des hommes, n’est-ce pas ? Je vis Ă  Paris, et depuis un an, je suis privĂ©e de silence, de forĂȘts, de volcans, de paysages. Je vis dans du minĂ©ral, du bĂ©ton, de l’asphalte, du bruit, de la foule
 au coude Ă  coude avec une communautĂ© d’ĂȘtres humains en souffrance et au bord de la crise de nerfs. Comme la majoritĂ© des hommes et des femmes sur notre planĂšte
 Sommes-nous exclus de votre spiritualitĂ©, inaptes Ă  l’expĂ©rience du sacrĂ©, incapables d’une vie intĂ©rieure ??? Êtes-vous un sage ou un marchand d’illusions ?Samedi 13 mars 2021 – VĂ©ronique J’ai commencĂ© Ă  vous lire, il y a un an environ sur les conseils de ma tante, car Ă  la suite Ă  plusieurs rĂ©unions de prĂ©paration au mariage, j’ai eu beaucoup de questions sur la religion et m’a conseillĂ© de lire L’Âme du Monde. J’ai dĂ©vorĂ© ce livre, il m’a beaucoup aidĂ© effectivement. Je suis quelqu’un qui fait beaucoup de crises d’angoisse, elles apparaissaient de temps en temps, et puis ces crises sont devenues chroniques, mon mĂ©decin m’a prescrit des anti-dĂ©presseurs que j’ai trĂšs vite arrĂȘtĂ© car je n’étais plus moi, je ne me reconnaissais plus. J’en parle Ă  ma Tante et elle me conseille de lire votre livre Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure. Je ne sais pas comment vous dĂ©crire les sentiments que j’ai ressenti en lisant juste le dĂ©but, les larmes ont commencĂ© Ă  couler sur mes joues, mais pas des larmes de tristesse mais de joie, car j’avais trouvĂ© de l’aide dans votre livre, comme si vous l’aviez Ă©crit pour moi. J’ai trouvĂ© des rĂ©ponses, des solutions qui m’ont soulagĂ©. Un Ă©norme MerciLundi 8 mars 2021 – Giga amoroso – Merci pour tous vos Ă©crits PensĂ©e intimes Ă  tous les rĂȘveurs Ă  la recherche du bonheurGarder espoir,Souvent de ne plus avoir de rĂȘves Ă©veillĂ©Nous entraĂźne Ă  d’horribles cauchemars et jour nous cherchons la lumiĂšre dans le noir,Car le bonheur dĂ©pend en partie de l’espoir 🙏😘Une leçon de vie par Erri DE LUCA Ce qui m’importe c’est la page qui me tient Ă©veillĂ© pendant que je l’écris, non pas celles dĂ©jĂ  Ă©crites, jamais relues. »Dimanche 7 mars 2021 – Roberta Je suis en train d’écouter la mĂ©ditation de la consolation lors de votre confĂ©rence et les Ă©motions sont nombreuses et surprenantes. Vous nous avez donnĂ© un cadeau merveilleux, un dimanche unique rempli d’espoir, de bienveillance, d’intelligence, pas de superficialitĂ© mais des conseils utiles, concrets et pratiques pour nous aider Ă  avancer dans un monde de plus en plus imprĂ©visible et chaotique. Que peut-on dire ? Que je vous adore MERCIIIIIIIIIIIIIVendredi 12 fĂ©vrier 2021 – Kevin – “L’Âme du monde” Bonjour Monsieur ! J’apprĂ©cie la qualitĂ© de vos ouvrages aprĂšs vous avoir dĂ©couvert il y a quelques annĂ©es. J’ai particuliĂšrement “voyagĂ©â€ Ă  travers la lecture de vos trois contes philosophiques. Dans l’ordre de mes prĂ©fĂ©rences, “L’Âme du Monde” tient la premiĂšre place. Moi-mĂȘme “assoiffĂ©â€ de dĂ©couvertes et de connaissances, vous ĂȘtes dans mon “parcours” personnel un “incontournable” ! Une preuve DĂ©sirant approfondir mon intĂ©rĂȘt pour la philosophie, ma thĂ©rapeute m’a conseillĂ© la lecture des “Philo – comics”, dont j’ai dĂ©couvert votre prĂ©face !! Je me rĂ©pĂšte VOUS ETES UN INCONTOURNABLE dans vos domaines dont la connaissance. Encore merci !Jeudi 11 fĂ©vrier 2021 – Jacques – Un avis Bonjour, malgrĂ© des prĂ©requis largement insuffisants dans bien des domaines, j’éprouve du plaisir Ă  vous manque de culture gĂ©nĂ©rale opĂšre une synthĂšse par la simplicitĂ© de vos Ă©crits. Croyez-le ou non, j’ai le sentiment de garder, en fin de compte, un renforcement des idĂ©es maĂźtresses qui m’aident Ă  garder l’intĂ©rĂȘt de la vie. 9 fĂ©vrier 2021 – Cartecieliste – Le pardon Pardonner libĂšreLe pardon est source de libertĂ©, de paix et de comme nous sommes appelĂ©s Ă  pardonner aux Autres,Nous sommes Ă©galement Ă  nous pardonner avec la mĂȘme bontĂ© et la mĂȘme ouverture d’ est temps de laisser les vieilles rancunes se est temps d’enlever la poussiĂšre dans les recoins de notre est temps de rĂ©tablir le flux de la joie dans nos est grand temps de FrĂ©dĂ©ric pour vos Ă©crits j’en suis Ă  votre chapitre 13 sur la non-violence et le pardon du Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure et je souhaiterai savoir qui a Ă©crit le texte ci dessus car il invite Ă  la non-violence. Moi-mĂȘme, je suis trĂšs colĂ©reux’ et donc violent envers Moi-mĂȘme et ça depuis fort longtemps. Votre livre est un dĂ©lice de vĂ©ritĂ© et incite Ă  la modĂ©ration. MerciJeudi 4 fĂ©vrier 2021 – Yves – Du bonheur » Merci tellement pour cette randonnĂ©e philosophique ! 😉â˜șDimanche 24 janvier 2021 – Françoise Bonjour, merci pour cette pĂ©pite Vivre dans un monde imprĂ©visible que jÂŽai dĂ©gustĂ© comme on le fait avec un bonbon au chocolat, doucement, dĂ©licieusement pour en extraire toutes les saveurs. TrĂšs cordialementDimanche 20 dĂ©cembre 2020 – Giga amoroso – Votre nouvel ouvrage avec Nicolas “D’un monde Ă  l’autre” Bonjour Joyeux NoĂ«l avec mon dernier poĂšme et l’espoir d’une re “Naissance” grĂące Ă  votre bienveillance sur notre humanitĂ© et notre univers.“RĂ©veiller notre conscienceDis-moi que la vie ne s’éteindra pas ici,Surtout qu’il existera bien un paradis,OĂč l’amour, les joies, les dĂ©sirs sont Ă©ternels,Sans misĂšre ni souffrance comme notre Tour de Babel !Plus nous nous confondons au ” Vivant”,Moins nous acceptons de voir souffrir,Plus nous nous poussons Ă  rĂ©flĂ©chir,Moins nous manquons d’ĂȘtre cette terre, inondĂ©e d’ocĂ©ans et de mers,De tant de beautĂ©s formĂ©es d’immenses univers,D’abysses, aux belles Ă©tendues vivantes jusqu’au ciel,RĂ©veiller l’homme et sa conscience originelle !”Samedi 5 dĂ©cembre 2020 – Marina – Merci pour maman Bonjour FrĂ©dĂ©ric Lenoir, j’ai commencĂ© Ă  vous lire Ă  la suite d’une dĂ©pression. J’ai partagĂ© mes lectures avec ma mĂšre et cela a resserrĂ© mes liens avec elle. Mardi 1er dĂ©cembre peu aprĂšs 9h, elle s’est faite renversĂ©e par une voiture, sa tĂȘte Ă  claquĂ© contre le sol, et elle nous a quittĂ©. Votre livre Du bonheur un voyage philosophique » est encore sur sa tablette de nuit. Maman Ă©tait une femme dĂ©vouĂ©e, souriante, dĂ©bordante de vie et de courage. Mon frĂšre me dit qu’elle avait terminĂ© sa mission parmi nous mais c’est un peu trop tĂŽt pour moi, elle n’avait que 61ans. Je tiens Ă  vous remercier Ă©normĂ©ment pour ce que vous Ă©crivez, vous nous avez rapprochĂ©es, et vous m’aidez Ă  grandir. Merci 21 novembre 2020 – Joan – Gratitude Bonjour FrĂ©dĂ©ric, je souhaitais vous remercier du fond du cƓur pour tous vos livres et plus particuliĂšrement pour “Du Bonheur – un voyage philosophique”. Il y a maintenant plus de 7 ans, j’ai eu de grosses difficultĂ©s au travail. Je passe les dĂ©tails, l’important est que je ne me souviens plus comment votre livre m’est arrivĂ© dans les mains, mais ce fut une rĂ©vĂ©lation. Il m’a aidĂ© Ă  dĂ©passer ce moment en me reconstruisant avec de nouvelles fondations. Encore aujourd’hui j’aime le relire, et juste l’évocation du titre me permet de rayonner et de me connecter au meilleur de moi-mĂȘme, des autres et de la vie. Alors simplement MERCI du fond du CƒUR !Mardi 17 novembre 2020 – Sandie – La “libertĂ©â€ coĂ»te-t-elle trop chĂšre ? Pour nous libĂ©rer de nos croyances et de nos agissements inconscients qui dĂ©terminent “nos” choix professionnels et amoureux, il serait bien de les identifier, de les dĂ©cortiquer Ă  l’aide de professionnels tels des psychologues. Le plus beau serait de s’en servir pour ne pas reproduire cette “erreur” sur nos enfants ou nos conjoints. Qui peut investir autant de temps et d’argent dans cette belle aventure ?Mercredi 11 novembre 2020 – Roberta – Une merveilleuse coĂŻncidence Bonjour, pour mon anniversaire l’11/11 un nouveau livre [Les chemins du sacrĂ©] – magique comme tous les autres – vient de paraĂźtre
 Immense joie. Admiration infinieLundi 2 novembre 2020 – Giga amoroso – PoĂšme pour le mariage de ma fille Merci Ă  FrĂ©dĂ©ric et Nicolas de s’ĂȘtre rĂ©unis pour notre futur et “Vivre autrement “.Pour le bonheur d’ElsaElsa chĂ©rie, le bonheur ne se conquiert pas,Se dĂ©clare pas non plus du jour au Ă  petit il s’apprivoise dans tes mains,Fragile, sensible, s’envole au premier geste brusque, faux tellement attachĂ© aux douceurs, aux joies,Amoureux de la vie, des envies comme toi,Il revient par surprise au dĂ©tour d’un cheminOu quand le soleil se lĂšve comme ce matin
Bien avant l’aube au Chapeau Cornu oĂč dormentTon sourire, tes beaux yeux qui embellissent ta robeAussi blanche de lumiĂšre que l’éclair de l’Amour,
Seule un instant, mais rayonnante pour son retour 💑🙏Mardi 27 octobre 2020 – Eric – Merci ! D’un monde Ă  l’autre Bonjour FrĂ©dĂ©ric, je suis presque Ă  la fin de votre livre coĂ©crit avec Nicolas Hulot et en quelques mots
 je vous remercie tous les deux. Tout d’abord, pour le partage de vos expĂ©riences et rĂ©flexions qui contribuent assurĂ©ment Ă  l’éveil individuel nĂ©cessaire Ă  la prise de conscience collective. Puis, j’en ai parlĂ© Ă  ma fille qui, du haut de ses 17 ans, est trĂšs impliquĂ©e dans la cause Ă©cologique et d’autres ! et qui ne se sent ni comprise, ni Ă©coutĂ©e par notre gĂ©nĂ©ration
 merci pour ce lien gĂ©nĂ©rationnel qui doit ĂȘtre un des moteurs du changement de paradigme dont nous avons absolument besoin. Je vous salue tous les deux et vous promet d’ĂȘtre, Ă  MontrĂ©al, l’écho de votre ouvrage. SincĂšrement
 EricLundi 26 octobre 2020 – Emmanuelle – La Consolation de l’ange Bonjour, j’ai d’abord empruntĂ© votre livre Ă  la mĂ©diathĂšque de mon village, puis je l’ai achetĂ© pour vous remercier et pour l’avoir avec moi quand j’anime des cercles de parole avec des victimes d’abus sexuels. J’apprĂ©cie Ă©galement l’idĂ©e de pouvoir m’y replonger Ă  tout moment. Je ne m’y attendais pas, juste je savourais chaque page. Puis j’ai lu les pages 169 et 170 ; j’ai alors senti en moi quelque chose se rĂ©vĂ©ler, quelque chose qui me permet pour la premiĂšre fois de ma vie de penser que, peut-ĂȘtre, je suis quelqu’un de bien finalement, en tout cas digne d’ĂȘtre aimĂ©e et respectĂ©e. J’ai lu, puis fermĂ© votre livre, bouleversĂ©e sans vraiment oser encore me l’avouer. Peur que ça ne dure pas, peur de me mentir Ă  moi-mĂȘme. Cependant, cela fait maintenant plusieurs jours que j’ai lu votre livre, et l’effet perdure ! Merci infiniment. Aussi pour SEVE dont j’ai suivi le parcours. Mon seul espoir en Ă©crivant ces mots est que vous ayez le temps de les lire afin de recevoir ma 3 octobre 2020 – Cat – Merci Bonsoir, merci pour tous les ouvrages que vous Ă©crivez. Je viens de finir “La Sagesse expliquĂ©e Ă  ceux qui la cherchent”. Mon merci va avec le fait que vos mots, vos explications sont si claires qu’elles sont un baume au cƓur. Ma vie a Ă©tĂ© si riche d’enseignements, que j’ai appris ce que lĂącher prise signifie. Ce soir, j’ai eu encore l’occasion d’y songer. Je me prĂ©pare et votre tĂ©moignage sur votre incident avec le paragraphe de Tchouang-Tseu, m’est apparu. Une lumiĂšre, 19 septembre 2020 – Marie-Odile – D’un monde Ă  l’autre UN IMMENSE MERCI, Monsieur Lenoir, pour votre livre de dialogue avec Monsieur Hulot. Je n’ai pu attendre la fin de la lecture de votre ouvrage pour en parler Ă  mes amis et connaissances, tellement j’avais envie qu’ils s’en emparent au plus vite
 Car il y a urgence pour qu’un monde meilleur puisse advenir et, ce qui fait du bien, vous y croyez. Il y a urgence pour le bonheur de chacun parce que votre livre est un baume pour l’esprit Ă  faire connaĂźtre Ă  ceux que l’on aime et au plus grand nombre. Merci, merci, merci
. pour avoir divulguer vos rĂ©flexions et expĂ©riences dans un Ă©change aussi riche et 7 septembre 2020 – Lionel – TĂ©lĂ©matin, l’élevage en France Bonjour, ce matin lors de votre interview Ă  TĂ©lĂ©matin,vous avez dit une “fake news” concernant la consommation de viande en France, 80% de la viande française ne vient pas de l’élevage industriel. Pour vous en rendre compte, n’hĂ©sitez pas Ă  venir dans les campagnes de l’Aubrac oĂč vous verrez de petits Ă©levages qui nourrissent la France et qui sont souvent dĂ©criĂ©s par des personnes comme Ă  Lionel Il existe encore heureusement en France des petits agriculteurs qui Ă©lĂšvent leurs bĂȘtes dans une dĂ©marche respectueuse et qualitative. Malheureusement, 80% de la viande consommĂ©e en France provient de grosses exploitations dont une bonne partie sont Ă©trangĂšres. Cf. article du Parisien 4/06/2018Dimanche 6 septembre 2020 – Catherine – PensĂ©e du jour Bonjour Monsieur, je crois que la philosophie peut sauver une vie et je crois que monsieur Spinoza n’a pas Ă©crit par hasard ne pas se moquer, ne pas se lamenter, ne pas dĂ©tester, mais COMPRENDRE ». Alors merci car pour moi, mais cela n’engage que moi, si vous, vous avez Ă©crit le miracle de Spinoza peut-ĂȘtre qu’un jour, on Ă©crira le miracle 3 septembre 2020 – MichĂšle – Merci Bonjour FrĂ©dĂ©ric, juste pour vous dire que vous m’apportez du mieux dans cette vie, un des rares avec Nicolas qui me redonnent l’espoir. J’aime vous entendre dire ce que je pense au plus profond de moi-mĂȘme car on me considĂšre comme une utopiste ! C’est dur de vivre sereine dans ce monde. Comme Nicolas, je n’ai pas de filtre et je ressens tout. Merci Ă  tous les deux, je vais lire votre dernier ouvrage. Continuez le combat, nous sommes avec vous ! Bien cordialementJeudi 3 septembre 2020 – Françoise Mementomori – Bizarre tous ces compliments. M. Lenoir m’agace prodigieusement avec son optimisme Ă  quatre sous ; il ne manquait que sa collaboration avec le riche corse Hulot ; pourtant il me semble sincĂšre; il croit ce qu’il raconte, en boucle Ă  prĂ©sent et sur tous les mĂ©dias ; pas bon signe. Je vais lire la “consolation de l’ange”
 Alors la question existentielle le sens de la vie ? Il n’y en a aucun ; un spermatozoĂŻde rencontre un ovule, parfois dans un acte dit d’amour, parfois juste pour une partie de jambes en l’air, parfois, hĂ©las, dans un viol, mĂȘme en cas de mariage
 Voir la “biologie des passions ” de Vincent. A quoi tient l’amour ? mais bon on y a tous cru. Un enfant naĂźt “et le cercle de famille applaudit ». Ben voyons
 qu’allons-nous offrir Ă  ces petits qui n’ont rien demandĂ© ? La beautĂ© de la nature qu’on ne peut nier sauf quand elle se rebelle et tue. Un monde oĂč il faudra lutter Ă  l’école, au travail quand on en trouve malgrĂ© un bac plus 5, un monde oĂč l’on tue pour des religions
 Jeudi 30 juillet 2020 – Martine – MĂ©ditation Bonjour FrĂ©dĂ©ric depuis plusieurs mois je mĂ©dite presque chaque jour avec votre CD, cela me fait un bien fou, votre voix ainsi que le choix de chaque mot et des musiques est juste PARFAIT. Consolation est un vrai bouleversement Ă  chaque Ă©coute
 Merci infiniment 🙏Mercredi 29 juillet 2020 – Pierre – Mes remerciements Cher Monsieur Lenoir, je viens de terminer votre livre La consolation de l’ange » et je m’autorise, mĂȘme si j’imagine que votre emploi du temps doit ĂȘtre bien rempli, Ă  vous Ă©crire pour vous adresser ce merci pour les beaux moments que vous m’avez offert avec cette lecture. C’est vrai Ă©galement pour vos autres ouvrages qui m’ont permis de faire Ă©voluer ma pensĂ©e, moi qui n’ai pas poursuivi d’études autrement qu’en autodidacte soucieux de m’élever 80 ans passĂ©s et l’approche du terme de mon existence est une Ă©vidence que je ne peux lecture m’aidera certainement Ă  passer le miroir plus sereinement. Encore merci pour cela. Je vous Ă©cris en Ă©coutant le miserere d’Allegri » et j’ai les larmes aux yeux. Cela ne devrait pas vous surprendre
 pour cela aussi merci. Je vous souhaite tout le meilleur du monde. 28 juillet 2020 – Marie-AmĂ©lie – Philosopher avec les enfants Quelle belle dĂ©couverte que ce livre
 Qui va me permettre de parler philosophie avec mes filles
 Si seulement j’étais Ă  l’aise avec le sujet
 J’aurais eu plaisir Ă  rĂ©aliser comme vous ces ateliers avec les enfants de l’école de quartier. Je suis sĂ»re que ça leur apporterait confiance en eux. En tout cas vous m’avez donnĂ© envie d’approfondir et de lire vos autres livres. MerciSamedi 25 juillet 2020 – Marie – Merci Bonsoir, je souhaitais simplement vous remercier pour vos Ă©crits. Je vous ai dĂ©couvert avec Le miracle Spinoza et les magnifiques idĂ©es que ce livre contient. Je viens de terminer “Vivre !” et j’ai apprĂ©ciĂ© la bienveillance de ces pages. Merci pour votre style d’écriture qui est tout simplement agrĂ©able et pour tout ce que vos ouvrages apportent dans une vie. Merci pour vos engagements, particuliĂšrement envers les 25 juillet 2020 – Jean Michel – Remerciements Aillant lu quelques-uns de vos ouvrages, particuliĂšrement ceux aillant pour thĂšme la religion, je tiens Ă  vous remercier pour leur Ă©criture. Je viens de lire Le Christ philosophe qui donne une lecture et un regard de JĂ©sus que me semble juste. De mĂȘme qu’une interprĂ©tation des Ă©crits bibliques d’oĂč Ă©mane une tolĂ©rance, et une ouverture d’esprit que j’apprĂ©cie. Étant moi-mĂȘme croyant, mais quelque peu en dissidence avec les Ă©glises. Je trouve un rĂ©confort et la confirmation de pensĂ©es qui me traversent l’esprit depuis longtemps
 J’ose espĂ©rer, et mĂȘme croire que vous ĂȘtes inspirĂ© par l’esprit saint. Encore merci et bonne continuationDimanche 19 juillet 2020 – Citoyenhmida – L’ange de la consolation J’ai 76 ans et j’avais beaucoup apprĂ©ciĂ© L’Oracle della Luna
 tout comme je respecte infiniment votre travail de pĂ©dagogue de la philosophie
 J’ai donc lu votre dernier roman Ă  mon Ăąge, il m’a paru un peu lĂ©ger mais vous savez si bien prĂ©senter les choses
 Je l’ai donnĂ© Ă  lire Ă  ma filleule qui a 22 ans elle l’a lu avec un plaisir infini et elle m’a dĂ©rangĂ©e cent et une fois pour telle ou telle prĂ©cision
 Elle commence aujourd’hui Le miracle Spinoza
Samedi 18 juillet 2020 – Claude – Spinoza Bonjour, je viens de terminer Le Miracle Spinoza. Curieusement, je fais un rapprochement avec l’Ɠuvre de Jean E. Charon 1920-1998. DĂšs 1960, Jean Charon reprend les ThĂ©ories d’Einstein par les nombres complexes ; dotĂ©s d’une partie rĂ©elle et d’une partie imaginaire par la racine carrĂ©e nĂ©gative, notĂ©e ” i “. Toute chose est constituĂ©e d’électrons complexes. C’est “l’électron pensant”. Sa partie rĂ©elle matiĂšre est soumise Ă  l’entropie destructrice, et sa partie imaginaire, est “l’Éon”, “l’Esprit”, croissant continĂ»ment par nĂ©guentropie. A la mort, l’Éon subsiste, rejoint le Cosmos et l’Éon Primitif, nommĂ© Dieu, enrichi de toutes les expĂ©riences de l’Univers ” J’ai vĂ©cu 15 milliards d’annĂ©es”, ” Je suis dans l’Univers, Je suis l’Univers”. Ainsi, peut-on rapprocher la partie rĂ©elle de l’électron de la ” Nature naturĂ©e” de Spinoza, et l’Éon, de sa ” Nature naturante”. Par un autre biais, Jean Charon rejoint d’une certaine façon, la pensĂ©e de SpinozLundi 13 juillet 2020 – Delphine – La consolation de l’ange, un bijou de lecture Bonjour M. Lenoir, je viens d’avaler en 3 jours votre roman La consolation de l’ange. Merci pour ce merveilleux roman, il m’a profondĂ©ment remuĂ©e, dans le bon sens. Tout au long des pages je ruisselais de larmes. Comme une confirmation de ce que je ressens quotidiennement, merci Blanche ! sans pouvoir mettre les mots. Lorsqu’une lecture vous transporte dans l’émotion Ă  ce point, c’est merveilleux, elle a touchĂ© au coeur, c’est un pur bonheur ! J’aime vous lire et vous relire, merci, la lecture des belles choses que vous Ă©crivez est un vĂ©ritable remĂšde pour se sentir bien. Bien Ă  vousMercredi 8 juillet 2020 – Ludovic – Remerciements Bonsoir, je viens de finir L’Oracle della Luna. Quel plaisir de lecture avec ce roman qui associe le romanesque mĂ©diĂ©val et la spiritualitĂ©. J’ai retrouvĂ© le parcours initiatique du jeune chevalier du roman de Roger Mauge “le chevalier infidĂšle” avec la dimension mystique en plus. Je voulais simplement vous remercier. Membre laĂŻc d’une Ă©quipe baptĂȘme dans ma paroisse et ayant participĂ© Ă  2 JMJ avec Jean Paul 2, j’ai Ă©galement sĂ©journĂ© 2 fois au NĂ©pal Ă  la rencontre du Bouddhisme et vos livres participent indirectement Ă  mon cheminement personnel avec 26 juin 2020 – RenĂ© – La consolation de l’ange Bonsoir Ă  vous, tout d’abord, j’ai lu plusieurs de vos ouvrages que j’ai beaucoup aimĂ©s, avec une “petite” prĂ©fĂ©rence pour l’Oracle della Luna, que j’ai lu plusieurs fois. Vos interventions sur des Ă©missions tĂ©lĂ©visĂ©es, trĂšs claires Ă©taient apprĂ©ciĂ©es. Dommage de ne pas vous voir plus souvent. Ma dĂ©marche est la suivante, avec beaucoup de respect. Dans le livre citĂ© en objet, je me permets de vous indiquer que Victor Hugo ne s’est pas exilĂ© Ă  Jersey, mais Ă  Guernesey. Cela ne m’empĂȘche pas de dire que c’est un ouvrage plein de sensibilitĂ©, entre une gĂ©nĂ©ration qui souhaite partir avec humilitĂ© aprĂšs avoir tant souffert dans sa chair, et celle montante, qui a tout Ă  apprendre de la vie. Recevez l’admiration d’un lecteur et continuez Ă  nous faire 22 juin 2020 – Sarah – Merci Bonjour, ce petit message pour vous dire que j’ai lu pas mal de vos livres et que vous ĂȘtes une personne qui m’inspire beaucoup. Votre dernier livre “Vivre dans un monde imprĂ©visible” est un livre intemporel, apaisant. Merci 🙂 HĂąte de lire vos prochains livres
Lundi 22 juin 2020 – Martine – Merci M. Lenoir, merci pour tous ces enseignements qui me bercent et me guident prĂ©sentement. Merci pour votre charisme, votre humilitĂ©, votre engagement dans ce monde surtout envers les petits qui seront les adultes de demain. Merci simplement de nous aider Ă  Ă©voluer et Ă  grandir. En espĂ©rant, vous rencontrer au QuĂ©bec dans un avenir 4 juin 2020 – Alix – Remerciement Cher FrĂ©dĂ©ric. Je vous souhaite un bon anniversaire avec un jour de retard. Mon intention Ă©tait de vous fĂ©liciter et en mĂȘme temps de vous remercier pour votre roman trĂ©sor L’Oracle della Luna, grĂące auquel j’ai passĂ© un merveilleux confinement. A bientĂŽt, sometime somewhere et toujours avec cette immense joie. Bien Ă  vous !Lundi 25 mai 2020 – Marie – Merveilleux roman Bonjour Monsieur Lenoir, je viens de terminer votre roman La consolation de l’Ange qui m’a littĂ©ralement bouleversĂ©e. Cette ode Ă  la vie, Ă  la mort, au bonheur, m’a profondĂ©ment touchĂ©e par sa justesse de ton, qui fait Ă©videmment Ă©cho Ă  mes propres convictions et ressentis. Vous m’avez Ă©galement donnĂ© l’envie de relire la poĂ©sie de Victor Hugo, et de Baudelaire entre autres
 J’ai dĂ©jĂ  lu quelques-unes de vos Ɠuvres dans lesquelles je trouve paix et rĂ©confort. Merci pour tout cela !!!! J’aimerais tant que nos politiques s’inspirent de votre sagesse, peut ĂȘtre pourrions nous entrevoir un monde plus juste et moins cruel
Jeudi 21 mai 2020 – Fran Je ne vous lis que depuis le confinement et je me rĂ©gale
 Et grĂące Ă  vous je dĂ©couvre Spinoza. 8 mai 2020 – Myriam – La Consolation de l’ange Bonjour, j’ai lu votre livre “La consolation de l’ange”, et j’ai Ă©tĂ© inspirĂ©e surtout par les rĂ©fĂ©rences Ă  Hugo et Ă  Allegri. Je vais donc relire la poĂ©sie de Hugo – je me souvenais trĂšs bien du poĂšme “aux arbres” que vous citez -, et j’ai un peu Ă©tĂ© déçue par Allegri. J’aimerais donc partager avec vous une musique dans la mĂȘme veine, que vous connaissez sĂ»rement, c’est l’hymne des ChĂ©rubins de TchaĂŻkovski voici le lien que je trouve bouleversant. Merci pour vos ouvrages, mais j’avoue que je prĂ©fĂšre vos confĂ©rences qui me parlent davantage. Bonne 2 mai 2020 – Isabel Mendes – Une toute petite pensĂ©e TrĂšs, trĂšs cher FrĂ©dĂ©ric, la dĂ©couverte de ta pensĂ©e, Ă  travers tes Ă©crits ou tes confĂ©rences, me remplit de joie. Je comprends enfin l’attachement des disciples Ă  leur maĂźtre et le bonheur que tu peux Ă©prouver en frĂ©quentant Spinoza. Merci pour ta lumiĂšreJeudi 30 avril 2020 – Line – Remerciement Merci FrĂ©dĂ©ric Lenoir de transmettre votre sagesse et votre lumiĂšre. J’ai lu votre livre L’Âme du monde juste avant le confinement du Covid 19
 on dirait que le message de ce livre est une prĂ©monition Ă  ce que l’humanitĂ© vit prĂ©sentement
 je l’ai relu une seconde fois
 ces messages me guident et m’inspirent
 Encore une fois MerciMercredi 29 avril 2020 – phibaudin[arobase] – Merci Je viens de terminer votre livre Le Christ philosophe et j’y ai enfin trouvĂ© l’écho Ă  ma quĂȘte spirituelle, que je n’avais jamais trouvĂ© dans les principes de l’Église traditionnelle. Ce livre traĂźnait dans ma bibliothĂšque depuis longtemps, son titre m’avait plu, puis je l’avais oubliĂ©. Je l’ai redĂ©couvert avec le confinement. Comme le message du Christ est moderne, juste et beau ! J’ai envie de lire les Évangiles 29 avril 2020 – Nathalie – Remerciement DĂ©couvrant votre livre L’Âme du monde par hasard », dans un contexte particulier socio-politiquo-sanitaire, votre Sagesse Ă©claire mon chemin dĂ©jĂ  semĂ© de spiritualitĂ© et de rĂ©alisations intĂ©rieures. Quelle joie de dĂ©couvrir aussi La consolation de l’ange, La guĂ©rison du monde et d’entendre des vĂ©ritĂ©s rĂ©vĂ©latrices lors de votre confĂ©rence du 14/01/2018 dont celle sur la dualitĂ© entre joie et tristesse en lien avec l’étude de Spinoza Ă  travers votre comprĂ©hension. Bref, je vous dĂ©couvre en tant qu’auteur Ă©clairant le chemin de beaucoup dont je fais partie. Pour cela MERCI 🙏🌈Dimanche 12 avril 2020 – Isabelle – La Consolation de l’ange En ce jour de PĂąques bien particulier, baignĂ©e par le Miserere d’Allegri, je viens de lĂącher la main de Blanche et d’Hugo, tous deux ressuscitĂ©s Ă  la vie aprĂšs de terribles souffrances. Ce magnifique livre vient Ă  point, il n’y a pas de hasard » en effet peu Ă  peu, aprĂšs un accident survenu en 2016, j’espĂšre ĂȘtre sur ce chemin de la rĂ©silience, accompagnĂ©e de la consolation de l’ange ! Tout le chemin de la vie, c’est de passer de l’inconscience Ă  la conscience et de la peur Ă  l’amour ».Magnifique ouvrage, hymne Ă  la vie, Ă  l’amour, Ă  la poĂ©sie Victor Hugo, Baudelaire et le poĂšte contemporain Christian Bobin, je suis Ă©mue, reconnaissante bravo et merci Ă  vous, FrĂ©dĂ©ric 11 avril 2020 – Giga amoroso – Merci pour les contacts avec “Voyage aux confins de la conscience La valeur du silencePourquoi ces bruits tout autour de moiPour comprendre la notion d’existence ?Alors que par chance ma simple absenceQuelquefois sans vacarme guide mes les Ă©preuves, mes diffĂ©rencesAucune larme, ni extase n’auraient sens,Si Ă  l’évidence mes joies viennent de ma confianceMes bonheurs s’apprĂ©cient trĂšs souvent en bonheur si pudiqueUne seule rose sous mon toit,Met mon cƓur en Ă©moi,Mais plus encore, le premier sourire d’un enfantBlotti tendrement, goulu au sein d’une maman !J’aime tant l’indĂ©finissable bonheurD’écouter vraiment qu’avec le cƓur,De ressentir cette divine musiqueEnvahir ma belle Ăąme si 9 avril 2020 – Francesca – La Consolation de l’ange Cher FrĂ©dĂ©ric,J’ai lu votre roman l’ange de la consolation j’aime tout ce qui parle des angesJe veux vous dire que vos personnages m’ont profondĂ©ment relation de Blanche et d’Hugo, leurs confidences et surtout l’amour qu’ils ont dĂ©couvert l’un pour l’ acceptation mutuelle mais aussi ce grand besoin de se confier, de s’accueillir et de se dĂ©tresse d’Hugo m’a permis de me connecter Ă  la de 3 ans j’ai Ă©tĂ© hospitalisĂ©e pour une opĂ©ration des ganglions, durant ce sĂ©jour, j’ai Ă©tĂ© abusĂ©e par un employĂ© de l’ n’ai jamais rĂ©ussi ĂȘtre en contact avec cette expĂ©rience, elle Ă©tait profondĂ©ment enfouie en moi jusqu’à ce que je lise votre Hugo rĂ©vĂšle Ă  Blanche son triste secret, j’ai Ă©tĂ© en contact avec le mien et les valves se sont ouvertes. J’ai rĂ©ussi enfin Ă  pleurer et Ă  libĂ©rer ce grand chagrin qui Ă©tait toujours prĂ©sent en moi. À travers vos Ă©crits, il se fait beaucoup de guĂ©rison, 7 avril 2020 – Roberta – Merci infiniment Bonjour monsieur FrĂ©dĂ©ric Lenoir, j’habite en Lombardie, la rĂ©gion d’Italie la plus touchĂ©e par le coronavirus et aujourd’hui je veux vous dire tout simplement 6 avril 2020 – Philippe – La Promesse de l’ange Bonjour Monsieur, Le confinement propice Ă  la lecture permet de prendre le temps. Je savoure votre roman coĂ©crit avec Violette Cabesos “La promesse de l’ange”. Je ne verrai plus le Mont Saint-Michel avec la mĂȘme lĂ©gĂšretĂ© mais Ă©clairĂ© par vos pages et cette si belle histoire entre MoĂŻra et Roman. Je vous remercie pour ce roman de haute voltige. Bien Ă  vousLundi 6 avril 2020 – GĂ©raldine – Evaluations La situation actuelle nous demande de faire face au changement, et Ă  l’acceptation. Telle une bulle d’oxygĂšne, vos messages me dĂ©confinent, comme le sculpteur parvient Ă  ĂŽter de sa statue tout ce qui ne ressemble pas Ă  la beautĂ© qu’il recherche. Et lĂ , je suis nez Ă  nez avec un dilemme. Il me faut gĂ©rer le suivi scolaire de mon enfant de 10 ans et je me rends compte de mon impuissance face Ă  son ennui. Les “il suffirait que les profs fassent comme ci ou comme ça pour que l’enfant soit parfait” m’ont bien quittĂ©e
 C’est en vous entendant sur Spinoza, qu’une lueur me traverse le dĂ©sir serait-il le moteur de l’action ? Il suffirait donc de trouver son angle de dĂ©sir pour que sa motivation soit Ă  son maximum. Plus besoin d’évaluations qui classent, ou dĂ©classent des gĂ©nĂ©rations entiĂšres. Tous les enfants possĂšdent en eux les capacitĂ©s. Il suffit d’aborder le dĂ©sir en premier et non la compĂ©tence. J’ai une expĂ©rience Ă  mener. MerciLundi 6 avril 2020 – Brigitte – La Consolation de l’ange Bonjour, je viens de lire votre dernier ouvrage et je me suis remĂ©morĂ©e mon EMI vĂ©cue Ă  19 ans. J’ai aujourd’hui 63 ans et je confirme que Dieu est Amour et que tant que l’exercice n’est pas compris dans son CƓur, alors il se reprĂ©sente encore et encore. Lorsque j’étais hors de mon corps, je faisais partie d’une conscience collective et, bien que j’aurais prĂ©fĂ©rĂ© rester, je comprenais et acceptais de revenir parce que j’avais autre chose Ă  faire. Et chaque jour je me reconnecte Ă  cet Amour infini pour me nourrir et partager avec la crĂ©ation visible et non visible. J’ai compris que ce que l’homme a créé, en bien ou en mal, il en est responsable et peut, ou doit, le changer pour le plus grand bien de tous. Merci FrĂ©dĂ©ric de partager vos cordialement, BrigitteSamedi 4 avril 2020 – Sugundhi – La Consolation de l’ange Voici un an que je recherche dans les livres de FrĂ©dĂ©ric Lenoir, des pistes sur la relation amoureuse et enfin je les ai dans ce roman ! Ce livre aborde aussi d’autres sujets comme le sens de la vie, la mort, le bonheur, la religion, les expĂ©riences de mort imminente, les secrets de famille
 Sa lecture m’a beaucoup intĂ©ressĂ©e et apportĂ© mĂȘme si le dĂ©but du roman m’a semblĂ© naĂŻf et peu rĂ©aliste Hugo, qui sort d’une expĂ©rience douloureuse, accepte de discuter avec Blanche dĂšs le dĂ©part et sans rĂ©serve
 Je connais beaucoup de jeunes de cette Ăąge, dont mes enfants, et ils auraient plutĂŽt Ă©tĂ© rĂ©ticents et “ronchons”
Vendredi 27 mars 2020 – – Remerciements Votre message chaleureux et bienveillant m’a beaucoup touchĂ©e. Vos paroles et vos Ă©crits sont porteurs d’espoir, humanitĂ©, sĂ©rĂ©nitĂ©. Prenez soin de vous. 27 mars 2020 – Jean-Philippe Cher FrĂ©dĂ©ric, merci pour ce grand moment d’émotion que vous avez su transmettre au travers de “La consolation de l’ange”.Mercredi 25 mars 2020 – Corinne Ma famille, mes amis vous appellent mon chouchou
 et oui ! Je vous lis avec joie depuis toutes ces annĂ©es
 MERCI d’écrire, d’exprimer si justement ce que je ressens, ce que je vis modestement alors que je pensais ĂȘtre seule dans mon univers. Youpi !! Plein de lumiĂšre et vive votre crĂ©ativité MERCIMercredi 18 mars 2020 – madameT1963[at] – Gratitude
 Merci infiniment d’avoir ce don et d’en faire profiter le vous soyez heureuxQue vous soyez bienQue vous soyez en sĂ©curitĂ©Dimanche 15 mars 2020 – Jean-Louis Bonjour Monsieur, si je viens ici aujourd’hui, c’est pour vous dire MERCI ! Oui, “L’Ange de la consolation” m’a sauvĂ© la vie, oui vraiment ! Au bord j’étais, et Ă  la fin de la lecture, j’étais debout, vivant et dĂ©sireux de vivre. Merci Ă  vousVendredi 6 mars 2020 – alanpuech[at] – Du bonheur
 Merci pour Du bonheur dense mais jamais ennuyeux. On peut ĂȘtre sur les hauteurs et nĂ©anmoins accessible. FĂ©licitations depuis Font Romeu oĂč je skie avec mes 5 mars 2020 – Thiphaine – Gratitude Bonjour, je connaissais de nom FrĂ©dĂ©ric Lenoir. Je l’ai d’abord dĂ©couvert en vidĂ©o, merci Facebook ! Ma maman m’a offert “La consolation de l’ange”, quel magnifique cadeau. Depuis 10 ans, j’évolue dans le dĂ©veloppement personnel, je grandis et ai parcouru un beau et riche chemin. J’ai dĂ©vorĂ© ce roman, ai ressenti tant d’émotions, rĂ©alisĂ© Ă  quel point je suis en phase avec cette vision de l’ĂȘtre et du monde. Merci Ă  la vie, merci Ă  FrĂ©dĂ©ric pour ce cadeau. Je vous souhaite une belle journĂ©e pleine de sourire et de 10 fĂ©vrier 2020 – Mounia Bonjour Mr Lenoir, j’ai lu votre dernier roman La consolation de l’ange », Ă  la fois Ă©mouvant mais c’est aussi un livre trĂšs beau, en le lisant je me suis mĂȘme retrouvĂ©e dans d’autres de vos Ɠuvres telles que La sagesse expliquĂ©e Ă  ceux qui la cherchent » ou encore Le miracle Spinoza ». Pour ma part, je dirais de ce roman “une ode Ă  la vie ou encore Ă  l’amour”, tout simplement sublime. Bravo. Prochainement, j’attaque MĂ©diter Ă  cƓur ouvert ».Dimanche 12 janvier 2020 – Roger – La consolation de l’ange FrĂ©dĂ©ric, je te retrouve bien dans ce roman idyllique qui complĂšte Le noir d’une Blanche en me rappelant qu’une blanche vaut deux noires, surtout en musique angĂ©lique. Suis convaincu que l’homme est un ĂȘtre spirituel engagĂ© dans une incarnation temporaire comme “Dieu” en JĂ©sus-Christ, fils de l’Homme-fils de Dieu. Cette incarnation est politique, sociale, etc, dĂ©pendante de notre libertĂ©. Le monde idĂ©al est Ă  construire au jour le jour, patiemment et 5 janvier 2020 – Isabelle – Le miracle de Spinoza, prĂ©sentation Ă  Crans-Montana Je viens de vous dĂ©couvrir. Il y a trois jours, je ne vous connaissais pas. J’ai Ă©coutĂ© votre prĂ©sentation Ă  Montagn’Arts en janvier 2018, Ă  Crans-Montana, intitulĂ©e Le miracle de Spinoza ». Vous ne pouvez pas imaginer l’impact que vos mots ont eu sur moi. J’ai 61 ans. À 5 ans, je disais Ă  peu prĂšs tout ce que Spinoza disait, sans le savoir. Et j’ai hurlĂ© lorsque les adultes autour de moi ont essayĂ© de me convaincre du contraire. Seule Ă  hurler, j’ai finalement baissĂ© les bras et j’ai adoptĂ© leur vie de tristesse pour survivre. Vos mots ont un tel effet sur moi que j’ai l’impression que ma vie commence et que je ne suis plus seule. Un simple merci ne parvient pas Ă  exprimer toute ma 3 janvier 2020 – Fabienne – Remerciement Mon compagnon m’a offert “La consolation de l’ange” Ă  NoĂ«l. Hasard, me dit-il
 Je ne le crois pas ; il correspond parfaitement Ă  ce que j’ai vĂ©cu et ce que je dĂ©couvre depuis un certain temps. Juste envie Ă©videmment de le partager et de remercier FrĂ©dĂ©ric Lenoir pour tout ce qu’il produit et apporte. Autant aux enfants qu’aux adultes de tout Ăąge !Dimanche 29 dĂ©cembre 2019 – Gigi amoroso – La Consolation de l’ange Mon hommage Ă  la vie sur notre belle Terre et pour agir par toi mĂȘme.“Pour te fondre en elleRessens en toi toute cette Ă©nergie,PrĂ©serve ta vĂ©ritable nature, la vie,BeautĂ© de chaque matin qui raviveLa douce lueur solaire sur tes plus haut mais ne sera jamais trop,Tes mains s’élĂšvent des flots vers le ciel,Te libĂšrent, recueillent la plus pure des eaux,Pour enfin renaĂźtre et te fondre en cet amour d’alors en exĂ©gĂšseEst Ă  l’origine d’aussi graves malaises ?Par fidĂ©litĂ© Ă  ta terre universelleMais perpĂ©tuant son Ɠuvre, mystĂšre solennel,Ton ĂȘtre Ă  la recherche du bonheurParmi la foule chagrine et en pleur,T’oblige Ă  avancer, croire en ta sƓurA la puretĂ© de l’esprit, du ainsi ta seule issue Ă  l’heureDu temps qui passe, avec tous ses leurres,Ses envies, ses fantasmes bien trompeurs,Car ton Ăąme saura dominer ta peur.”Mardi 24 dĂ©cembre 2019 – arobase – La Consolation de l’ange Un petit acrostiche pour votre livre que j’ai adorĂ© et que j’offre Ă  NoĂ«l Ă  ma fille
La rencontre est fortuite entre Blanche et HugoAlors dĂ©lecte-toi de ce roman si beau !Chacun des personnages apporte sa moult conseils, Blanche va s’en allerN’ayant que peu de temps et d’amour Ă  donner
Sous le charme d’Hugo, triste mais rescapĂ©,On va la dĂ©couvrir, prompte Ă  le consoler ;Le chemin de la vie c’est de perpĂ©tuerAvec dĂ©licatesse ses Ă©motions passĂ©es,Transmettre la sagesse des ans accumulĂ©sIlluminer une Ăąme en des mots ciselĂ©s,OĂč le regard de l’autre sera Ă©clairĂ©Nourri par ce qui mĂšne Ă  la crĂ©puscule de Blanche Ă  l’avenir d’HugoEntre ces embellies, quel merveilleux duo !L’auteur de cet ouvrage, vaut vraiment le dĂ©tourAu seuil de la veillĂ©e, tel un vrai troubadourNoĂ«l est Ă  tes pieds et en cet heureux jour,Gageons que FrĂ©dĂ©ric Lenoir te dit Bonjour »Et t’invite Ă  passer 
de la peur Ă  l’amour
Dimanche 15 dĂ©cembre 2019 – AndrĂ© – Le miracle SPINOZA Bonjour, aprĂšs La Consolation de l’ange, voilĂ  que je viens de lire “Le miracle Spinoza”. J’avais dĂ©jĂ  lu des livres sur Spinoza mais, des lectures trop complexes. Cette fois, grĂące Ă  votre ouvrage, la lecture m’est apparue bien plus accessible. Du fait, j’ai lu le roman “Le secret”, encore un super roman. Une belle histoire sur les valeurs. Tout Ă  fait le genre de roman que j’adore. Ah
 quelle belle histoire mĂȘme si un peu triste ! J’espĂšre que vous garderez ce style et que vous continuerez Ă  nous raconter de belles histoires. 15 dĂ©cembre 2019 – Leya – MĂ©diter Ă  coeur ouvert Bonjour, je viens de finir votre livre MĂ©diter Ă  cƓur ouvert. A priori, je mĂ©ditais sans le savoir depuis trĂšs longtemps mais votre livre m’apporte un nouveau regard pour aller plus loin ; je prĂ©cise que je suis quelqu’un de positif malgrĂ© tous les alĂ©as de la vie, entourĂ©e d’animaux depuis mon plus jeune 13 dĂ©cembre 2019 – Jean-Jacques – La Consolation de l’ange Merveilleux ouvrage ! Pratiquement tous les concepts et/ou idĂ©es qui peuvent aujourd’hui faire avancer chacun d’entre nous vers notre libertĂ© intĂ©rieure qui accompagnĂ©e de bienveillance et de compassion est le guide de notre libertĂ© extĂ©rieure y sont abordĂ©s. Quel long et magnifique parcours que le vĂŽtre pour arriver Ă  Ă©crire un texte aussi attirant, lĂ©ger, apaisant et instructif Ă  la fois. Puisse votre livre ĂȘtre lu par le plus grand monde et titiller la curiositĂ© de ses lecteurs. Leur donner envie d’en savoir plus. Leur donner le courage, la force de continuer Ă  s’amĂ©liorer et par lĂ  mĂȘme de nous amĂ©liorer tous. Bravo et merci, 15 novembre 2019 – AndrĂ© – La consolation de l’ange Monsieur, je tenais Ă  vous remercier de m’avoir fait dĂ©couvrir votre livre “La consolation de l’ange”. J’ai 70 ans, j’ai vĂ©cu un passĂ© trĂšs lourd depuis mon enfance. Mon histoire de dĂ©racinĂ©, ancrĂ©e dans ma mĂ©moire, ressurgit trop souvent. J’ai lu certains ouvrages d’autres auteurs, pensant trouver des rĂ©ponses. Pour la premiĂšre fois dans ma vie j’ai lu un livre en 2 jours et, ce livre m’a extrĂȘmement touchĂ© et Ă©mu. Votre roman “La consolation de l’ange” m’a fait pleurer. Puis je confirme que “l’ange de la consolation ” existe rĂ©ellement. Oui il existe quelque chose aprĂšs je le confirme. Encore merci Ă  vous. J’aurais plaisir Ă  vous suivre, voire Ă  lire d’autres ouvrages
 Merci du fond du 4 novembre 2019 – Olbro – Le divin Miracle Spinoza Cher Monsieur Lenoir, vous devriez offrir votre livre Ă  tous les prĂȘtres d’obĂ©dience chrĂ©tienne. Votre ami Spinoza et vous ĂȘtes parvenus Ă  me faire comprendre en quelques heures le message du Christ, dont l’Église Catholique avait rĂ©ussi Ă  m’éloigner peu Ă  peu en quarante ans. Merci pour cette lecture divine !Vendredi 4 octobre 2019 – Roger – Livre L’Oracle della Luna Bonjour FrĂ©dĂ©ric Lenoir, Je viens de terminer ce livre qui m’a enthousiasmĂ© par son contenu, tout ce que j’y ai appris, pour la trame passionnante, pour tout ce qui concerne les autres religions, pour la sensibilitĂ©, la tolĂ©rance que j’y perçois. Je vous ai entendu en confĂ©rence Ă  Fribourg au collĂšge Saint Michel, Ă©galement Ă  la tĂ©lĂ© Ă  plusieurs reprises. J’ai lu plusieurs de vos livres, entre autres celui concernant la philosophie avec les enfants des Ă©coles. J’y suis sensible car j’ai Ă©tĂ© enseignant avec un immense plaisir spĂ©cialement auprĂšs d’enfants en difficultĂ©s scolaires. Je vous exprime ma profonde gratitude pour tous vos partages qui me poussent en avant. Avec ma profonde 9 septembre 2019 – Sandrine – Merci J’ai dĂ©couvert votre travail par la lecture de votre ouvrage sur Spinoza et j’ai eu la bonne surprise de prendre connaissance de votre association Ensemble avec les animaux, moi qui suis engagĂ©e selon mes moyens dans plusieurs d’entre elles ; j’ai dĂ©couvert Ă©galement vos livres sur la sagesse et le bonheur ; merci encore cela fait du bien de savoir qu’il y a des personnes comme 2 septembre 2019 – Patricia – Coeur de cristal Je viens de terminer la lecture de “Coeur de cristal”, vĂ©ritable bijou riche en messages et rĂ©flexions de sagesse ! Ce conte, dont le sujet est la quĂȘte et la peur de l’amour, a fait fondre mon coeur de cristal ?!? ! 😉Mardi 27 aoĂ»t 2019 – Jacqueline – Votre livre “La Sagesse” FrĂ©dĂ©ric Lenoir, bonjour. C’est Ă  la tĂ©lĂ©vision dans l’émission C dans l’air que je vous ai connu. J’ai lu alors un certain nombre de vos Ă©crits tels “Le miracle Spinoza”, “La GuĂ©rison du monde”, “Les CommunautĂ©s nouvelles”, “Le Christ philosophe”, “Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure”, “Du bonheur un voyage philosophique”, tous m’ont beaucoup apportĂ© dans ma recherche de progression, d’évolution. Le dernier “La Sagesse” m’a enchantĂ©e, trĂšs pĂ©dagogique, trĂšs documentĂ© et surtout “prĂȘt Ă  l’emploi” pour qui dĂ©sire essayer d’accĂ©der Ă  la “sagesse” vaste “art de vie” ou “faire de sa vie un art”. Il est au plus prĂšs de ce Ă  quoi j’aspire, je m’en suis imprĂ©gnĂ©e en relevant de nombreux passages. Bref, un vrai Bonheur et bravo pour votre façon d’écrire. Un grand merci pour ce que vous partagez. Je m’intĂ©resse Ă  la bioanalogie de Jean-Philippe BrĂ©bion et j’ai retrouvĂ© des similitudes d’approches. Merci, Jacqueline CSamedi 24 aoĂ»t 2019 – Talitha – Le miracle Spinoza Attention livre magique 🙂 pour ceux qui cherchent Ă  guĂ©rir leur Ăąme, sortir de la tristesse, ouvrez ce livre !! Je suis tombĂ©e dessus par hasard, croyant que ce n’était “que de la philo” et bien, je suis bouleversĂ©e par ce que j’ai reçu en esprit, c’est une belle Ăąme qui a transmis avec puissance un vrai remĂšde Ă  travers sa parole guĂ©risseuse
 j’ai rencontrĂ© 2 anges Spinoza et FrĂ©dĂ©ric Lenoir <3Samedi 17 aoĂ»t 2019 – Marie-Pierre – Merci Un grand merci de m’avoir accompagnĂ© dans une pĂ©riode compliquĂ©e de ma vie et de m’avoir ouvert de trĂšs belles perspectives grĂące Ă  la lecture de “La puissance de la joie”.Lundi 12 aoĂ»t 2019 – Fredou – RĂ©ponse universelle Bonjour, je tiens Ă  vous remercier pour la qualitĂ© de votre ouvrage, Du bonheur. Celui-ci fut une mine d’informations incroyables quant Ă  la vision du bonheur et ces courants de pensĂ©e . Je recommanderais ce livre Ă  tout mon entourage, pour que eux-mĂȘmes puissent trouver leurs 23 juillet 2019 – Andrea – L’Ame du monde, quelle merveille Je tenais Ă  vous remercier pour le chef d’Ɠuvre qu’est l’Ame du monde. Vous avez mis en mots tout ce que je ressens dans le plus profond de mon cƓur, et n’ai jamais pu formuler aussi clairement, inclus Ă  moi-mĂȘme ! Quel incroyable tĂ©moignage de paix, de bonheur, de sens ! Ce livre doit ĂȘtre distribuĂ© Ă  la planĂšte entiĂšre. N’étant pas habile avec mes mots, j’espĂšre juste vous montrer Ă  quel point ce livre m’a touchĂ©e, bouleversĂ©e, combien il tĂ©moigne de tout ce en quoi je crois. C’est la premiĂšre fois que je me permets de violer la saintetĂ© d’un livre et de surligner tous les passages qui m’ont interpellĂ©e, de prendre des notes, et de “mapper” les messages que je veux me rappeler et qui sont vraiment des principes par lesquelles je veux vivre. Merci, ce fut une vraie connexion avec l’Ame du monde de vous lire !Dimanche 30 juin 2019 – Vicky – Gratitude Bonjour M. Lenoir, un petit mot pour vous tĂ©moigner toute ma gratitude pour les merveilleuses mĂ©ditations dans MĂ©diter Ă  cƓur ouvert. Elles me procurent un trĂšs grand bien-ĂȘtre et une paix intĂ©rieure. Votre voix, vos enseignements, la musique et les thĂšmes traitĂ©s sont magnifiques. Merci beaucoup pour votre grande sagesse et votre gĂ©nĂ©rositĂ© ! NamastĂ© !Vendredi 28 juin 2019 – Trypto5927 – Les couleurs de l’arc en ciel Vert de rage pour l’environnement, Rouge de colĂšre pour les mĂ©dicaments dangereux, Bleu de colĂšre pour notre eau polluĂ©e
 Bonjour, je souhaiterais rĂ©agir sur le sujet des puissants lobbys pharmaceutiques et agro-alimentaires qui gangrĂšnent notre planĂšte et notre pays, nous tuent Ă  petit feu et sur le tryptophane, un des 8 acide aminĂ©s essentiels de l’alimentation humaine. Il rĂ©git notre santĂ© physique et mentale et nous en sommes pourtant tous carencĂ©s dĂšs notre naissance et tout au long de notre vie. Je suis maman de 4 enfants et depuis 2010, j’exerce le mĂ©tier d’enseignante en maternelle avec des enfants ĂągĂ©s de 3 Ă  6 ans. Je suis sidĂ©rĂ©e et trĂšs peinĂ©e de constater que nos Ă©lĂšves soient sans cesse malades de septembre Ă  la fin de l’annĂ©e scolaire en cours
Dimanche 23 juin 2019 – Marie JosĂ© – Votre livre “la guĂ©rison du monde” Bonjour, seulement quelques mots pour vous dire que j’ai beaucoup aimĂ© votre livre “La guĂ©rison du monde”. TrĂšs intĂ©ressant, il a retenu mon attention jusqu’au dernier mot. Ce livre laisse une trace vĂ©ritablement dans mon intĂ©rieur. J’aurai besoin du temps pour pouvoir le digĂ©rer, mais je sens dĂ©jĂ  que beaucoup des messages me sont parvenus. Merci pour cette sincĂšre et puissante contribution qui m’a, en quelque sorte ouvert l’esprit vers “d’autres mondes”. Le mot “monde” m’a dĂ©cidĂ© Ă  le lire. J’ai fait une exposition qui porte le titre “le monde tourne”. Merci encore de transmettre “au monde” tellement des choses positives. Je sens qu’encore un autre monde s’est ouvert en 17 juin 2019 – pascal – Article sur la pleine conscience The Guardian 14/06/19 Comment se positionneraient FrĂ©dĂ©ric Lenoir et plus accessoirement les guides new age de la Fondation SEVE, voire les journalistes “pleinement conscients” du magazine du Monde des Religions, Ă  la lecture du rĂ©cent article du Guardian ce 14 juin, intitulĂ© “The mindfullness conspiracy” ? Le propos de cet article rejoint curieusement mon approche critique initiale de ces techniques “non scientifiques” comme le concĂšde Jon Kabat-Zinn, qui tendent Ă  Ă©vacuer toute protestation politique chez le citoyen en prĂ©tendu Ă©tat de “pleine conscience” candide et passive. Cette mode stigmatise par ailleurs bizarrement, selon un a priori arbitraire, le stress ordinaire rĂ©action saine de la psychĂ© face Ă  un contexte agressif comme une pathologie Ă  soigner par une technique thĂ©rapeutique. Merci d’avance pour vos 30 mai 2019 – malula – MĂ©diter Ă  coeur ouvert J’avais simplement envie de vous dire combien j’apprĂ©cie votre livre “MĂ©diter Ă  coeur ouvert”, le CD de mĂ©ditations me fait vivre des moments trĂšs riches en Ă©motions, 7 mai 2019 – Gigi amoroso – Pour mon frĂšre d’ñme Petite pensĂ©e de ma nuit“En allĂ©gresseAnnĂ©e aprĂšs annĂ©e,Notre Ăąme se rĂ©vĂšle,Parmi les cƓurs brisĂ©s,Elle en fait fi et se le ciel qui l’intĂ©resse,TrĂšs haut en pure allĂ©gresse,OĂč le temps ne compte plus,L’amour comme seule vertu,Elle accomplit son voyage,Dans l’espoir d’un retourA son tout premier Ăąge,Sa crĂ©ation d’un jour.”Vendredi 3 mai 2019 – Une europĂ©enne qui observe votre pays – Appel au calme Ne serait-il pas temps que les français qui croient aux vertus de la raison, de la tempĂ©rance des Ă©motions, de la rĂ©flexion et qui comprennent les risques sĂ©rieux du passage Ă  l’acte irrĂ©flĂ©chi d’une foule dans la haine et la colĂšre, temps que ces français donc se mobilisent pour oser s’adresser aux gilets jaunes qui continuent Ă  manifester, cultivant ainsi la haine et les idĂ©es inadĂ©quates sur les causes de leur situation. A quoi servent les beaux livres sur la paix, le culte de la mĂ©ditation si les convaincus de ces façons de voir n’osent pas questionner publiquement la pertinence des opinions Ă©mises par les manifestants gilets jaunes en s’adressant Ă  eux non pour les disqualifier mais pour les inviter Ă  retrouver une capacitĂ© de penser et de se vivre autrement que comme pauvres victimes ?Lundi 22 avril 2019 – SĂ©phora – TĂ©moignage L’Âme du monde !!! Je pense ne pas vraiment trouver de mots ou sans doute pas les bons mots pour exprimer ce que j’ai pu ressentir tout au long de cette lecture. Je n’ai jamais lu un un livre aussi rapidement, en 3 fois, ce qui est un exploit pour moi qui ne lis quasiment pas. Mais quel bonheur. Cet ouvrage devrait ĂȘtre au programme de l’Education nationale. La planĂšte entiĂšre devrait le lire. Merci infinimentDimanche 21 avril 2019 – – Ateliers de philosophie Ă  l’école Belle initiative de F. Lenoir que ces ateliers philosophiques ! Pour autant, sachez que cette pratique est plus courante Ă  l’école qu’il n’y paraĂźt. En tant qu’instituteur, je l’ai pratiquĂ©e tout au long de ma carriĂšre. De toute façon, les enfants, naturellement, questionnent et rĂ©agissent ce qui suscite un dĂ©bat permanent et pas seulement sur des questions philosophiques. La comprĂ©hension d’un texte littĂ©raire, les diffĂ©rentes mĂ©thodes pour rĂ©soudre un problĂšme mathĂ©matique, les stratĂ©gies Ă  mettre en oeuvre pour gagner un match sportif, Ă  chaque instant le dĂ©bat s’installe et, ensemble, les solutions les plus adaptĂ©es et comprĂ©hensibles sont validĂ©es par le groupe. Apprendre, ce n’est pas seulement ingurgiter des savoirs, c’est aussi et surtout ĂȘtre capable d’avoir une opinion, d’apprendre Ă  la dĂ©fendre, d’écouter et de respecter celle des autres. Bref, l’obsession d’un enseignant doit, selon moi, se placer dans une recherche permanente d’accĂšs Ă  l’autonomie pour tous ses 21 avril 2019 – Roberta – Encore une fois, merci Quand ce matin Papa Francesco a dit que nous devons devenir “artisan de la paix”, j’ai pensĂ© Ă  vous et Ă  tout le bien que vous nous faites avec vos livres et je veux partager avec vous mes pensĂ©es. Il y a quelques mois, j’écrivais que tous les efforts pour aspirer Ă  la joie et au bonheur profond et durable Ă©tait une recherche vaine
 En 2017, j’ai dĂ» faire face Ă  un Ă©vĂšnement extrĂȘmement douloureux. AprĂšs une longue pĂ©riode de fermeture totale, aujourd’hui malgrĂ© mes nombreuses fragilitĂ©s, grĂące Ă  la priĂšre, grĂące Ă  la lecture de vos livres merveilleux, grĂące Ă  votre vision de la vie que j’ai fait mienne, j’ai la force d’essayer d’accepter la vie telle qu’elle est avec ses Ă©preuves et ses douleurs et avec conscience, je la remercie chaque jour. Du fond du cƓur, 2 avril 2019 – Burgenpsy – L’Âme du monde Ă  propos de l’introspection Bonjour, je termine la lecture de cet ouvrage et – en tant que psychanalyste – j’ai Ă©tĂ© saisi par le passage sur la nĂ©cessitĂ© du travail d’introspection qui est – c’est ainsi que je le reçois – un plaidoyer pour le travail que je rĂ©alise avec mes patients. Aussi me suis-je permis de citer quelques phrases de ce passage dans mon blog en citant – bien entendu – la rĂ©fĂ©rence bibliographique. Merci pour ce texte qui – Ă  l’origine avait Ă©tĂ© offert Ă  mon Ă©pouse – que j’ai pris le temps de lire entre deux Ă©crits de Freud et ses disciples, qui m’a convaincu dans mon orientation Jocelyne Beguerytemps pour pouvoir le digĂ©rer, mais je sens dĂ©jĂ  que beaucoup de messages me sont parvenus. Merci pour cette sincĂšre et puissante contribution qui m’a, en quelque sorte ouvert l’esprit vers“d’autres mondes”. Le mot “monde” m’a dĂ©cidĂ© Ă  le lire. Je viens juste de faire une exposition qui porte le titre “le monde tourne”.Merci encore de transmettre “au monde” tellement des choses positives. Je sens encore qu’un autre monde s’est ouvert en 3 mars 2019 – Cathia – Remerciements VoilĂ  je viens de terminer la lecture de votre livre “La sagesse expliquĂ©e Ă  ceux qui la cherchent”, j’apprĂ©cie toujours autant l’énergie qui se dĂ©gage de vos Ă©crits. J’ai aimĂ© la pertinence des questions, la richesse des citations, l’humour et la sincĂ©ritĂ© au fil des pages. Enfin j’ai Ă©tĂ© particuliĂšrement Ă©mue par la derniĂšre partie “La sagesse des enfants”. Un grand merciVendredi 15 fĂ©vrier 2019 – Samia – Le message de l’ange Bonsoir, c’est la premiĂšre fois que j’écris pour quelqu’un qui Ă©crit pour moi. Je n’ai pas terminĂ© votre livre La Promesse de l’ange. Ce matin, en prenant le train puis le mĂ©tro, j’ai vĂ©cu le supplice et la mort de MoĂŻra, inexorable. Et puis, au moment oĂč j’arrivais Ă  la station de ma destination, je lis avec avec plaisir et contre toute attente que Roman a tenu sa parole aux derniers instants de sa vie. J’ai passĂ©, aprĂšs ces Ă©vĂ©nements, aussi fictifs qu’ils soient une journĂ©e pleine de questions sur l’amour charnel, pas charnel, filial, amical ou de l’autre, qui se rĂ©sument finalement en une seule, Ă  savoir ” Mais qu’est-ce que c’est que ce foutu amour ?”. Nous somme vendredi et j’ai hĂąte d’ĂȘtre Ă  lundi et de trouver une place assise dans le train de 8h02 pour lire la suite. En lisant cet ouvrage, j’ai l’impression d’ĂȘtre sĂ©duite et forcĂ©e Ă  la fois. J’ai dĂ©jĂ  eu cette impression en Ă©coutant Mozart et ses musiques qui peuvent ĂȘtre aussi flamboyantes qu’intimes en une seule fois. SamiaVendredi 1 fĂ©vrier 2019 – SĂ©bastien – Remerciement Bonjour FrĂ©dĂ©ric, j’ai 34 ans et cela fait une dizaine d’annĂ©es que je lis des ouvrages qui ont trait Ă  la spiritualitĂ©. J’ai commencĂ© par Krishnamurti puis des ouvrages sur le bouddhisme et maintenant je suis davantage tournĂ© vers la spiritualitĂ© occidentale. C’est dans ce cadre que j’ai commencĂ© Ă  vous lire car vous faites des ponts entre Orient et Occident dans vos ouvrages et c’est un angle qui me plait beaucoup. Je voulais vous remercier car grĂące Ă  vous, j’ai commencĂ© Ă  lire Pierre Hadot auquel vous faites souvent rĂ©fĂ©rence, le lire a Ă©tĂ© une vĂ©ritable rĂ©vĂ©lation pour moi. Son approche de la philosophie comme mode de vie est fascinante et je me rĂ©gale Ă  lire ses ouvrages. Vous m’avez permis de lire des gens qui pensent comme moi et ainsi de me sentir moins seul. Merci beaucoup !Samedi 26 janvier 2019 – Pascale Dor – 4 heures de joie Juste pour vous remercier, un Paris-Toulouse TGV, 4 heures, avec Le miracle Spinoza, achetĂ© dans un kiosque de la gare. Cela fait tellement Ă©cho Ă  ce que je ressens, vis et pense
 Juste un dĂ©saccord philosophique grave, le chocolat est forcĂ©ment bon intrinsĂšquement, ça ne peut pas ĂȘtre autrement. Alors juste merci pour tant de joie !Jeudi 24 janvier 2019 – Laurence – Que fait-on ? Bonjour Ă  tous, j’aurais aimĂ© apporter par ces quelques mots du soleil. HĂ©las, voici la rĂ©alitĂ© j’interviens dans une famille dit cas social», je suis psy et Ă©duc aussi pour Ă©duquer qui ?? J’en viens au fait. Mes premiers pas dans cette famille m’inspirent l’horreur. Je constate des animaux trois chiens en Ă©tat famĂ©lique enfermĂ©s dans une piĂšce, ils urinent au sol, hurlent Ă  la mort, ils se dĂ©placent lentement quand ils peuvent sortir mais jamais dehors. J’écris tout de suite Ă  la SPA, j’interpelle le maire, la police municipale intervient, fait des photos, le logement est parsemĂ© de blattes, quatre enfants y vivent aussi. Deux mois s’écoulent, les chats ont Ă©tĂ© placĂ©s. Depuis, plus rien. J’ai aussi adressĂ© un courrier Ă  L’assoc de Brigitte Bardot, 30 millions d’annĂ©es, personne ne peut rien faire. Le proc aussi et rien ! Qui peut m’aider Ă  sauver ces trois chiens victimes et aux mains de ces malades ? Cette histoire hante mes nuits, je ne peux oublier le regard dĂ©sespĂ©rĂ© d’un des 20 janvier 2019 – Jean – Titre du chant 7 du cd de mĂ©ditation Merci pour le beau livre et le cd de mĂ©ditation Ă  cƓur ouvert ». Je voudrais savoir d’oĂč sont tirĂ©s la belle voix et le beau chant de la mĂ©ditation numĂ©ro 7 qui s’intitule consolation ». Merci pour vos Ă©crits qui nous aident Ă  mieux vivre. JeanLundi 14 janvier 2019 – Laurence Bonjour M. Lenoir, je ne connaissais pas vos Ă©crits et suis tombĂ©e par hasard sur “Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure”. En pleine sĂ©paration, remplie de doutes et d’angoisse face Ă  la nouvelle vie qui m’attend, j’ai dĂ©vorĂ© votre livre. Je pense qu’il est un tremplin vers d’autres lectures tout aussi enrichissantes, et il m’a amenĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir sur mon propre parcours. Un grand merci pour ce partage. Bien Ă  13 janvier 2019 – Fred – TĂ©moignage Bonjour, je viens de finir le livre “Lettre ouverte aux animaux
”, aprĂšs une fin d’annĂ©e 2018 difficile pour moi, surtout d’un point de vue psychologique. La question d’une rĂ©orientation professionnelle s’éclaircie Ă  la suite de cette lecture, et surtout le choix de l’orientation. Merci pour eux et Ă  28 novembre 2018 – Diane dianetremblay53[at]icloud[point]com – Achat d’un livre Bonjour Monsieur Lenoir. Je vous ai Ă©coutĂ© Ă  l’émission de Tout le monde en parle au QuĂ©bec. J’ai adorĂ© vous Ă©couter. J’ai achetĂ© votre livre ÂŽÂŽ MĂ©diter Ă  cƓur ouvert ÂŽÂŽ avec le CD de 10 mĂ©ditations. J’adore ça et j’ai commencĂ© les mĂ©ditations. Je suis une dĂ©butante. FĂ©licitations pour ce beau livre. J’espĂšre que vous en ferez d’autres. Je vous suis sur votre site. Bonjour et merci 13 novembre 2018 – Roberta – Merci Monsieur Lenoir Bonjour Monsieur Lenoir, je suis italienne, n’écris pas bien en français mais depuis que j’ai lu par hasard vos livres, je suis motivĂ©e Ă  le faire. Votre compĂ©tence en communication est un don. Dans un monde ou l’égoĂŻsme personnel, la superficialitĂ© et l’extĂ©rioritĂ© prĂ©valent, vous ĂȘtes une raretĂ©. Quand je ressens le besoin de me dĂ©connecter de la rĂ©alitĂ©, je me refugie dans ce que vous Ă©crivez. J’essaie d’assimiler autant que possible la sagesse Ă  laquelle vous croyez mais quand je ferme le livre, le rĂ©el avec sa bonne part de douleur est tout autre chose. J’aime et je crois en Dieu et je le remercie tous les jours. Le problĂšme est que toute l’existence est une Ă©nigme et, mĂȘme avec l’effort de raisonnement et de discernement, avec luciditĂ© et attention, avec gĂ©nĂ©rositĂ© et gratitude, aspirer Ă  la joie suprĂȘme et au bonheur profond et durable est une recherche vaine. La plĂ©nitude de la vie est une prĂ©rogative de Dieu. Merci 12 novembre 2018 – Sandie – Les Prix Nobel de la paix du 5 octobre 2018 sont
 Bonjour, lectrice occasionnelle de vos livres que je trouve fort intĂ©ressants sur le bonheur, la joie, etc
 j’avais envie de partager avec vous cette information qui est parvenue un peu tardivement Ă  mes oreilles les Prix Nobel de la paix de cette annĂ©e sont Nadia Murad et Denis Mukwedge. Si vous ne savez pas qui elle est et qui il est, faites une petite recherche sur internet et vous verrez
 Je les trouve forts et merveilleux. Quel bonheur de les savoir agir pour rĂ©parer les actes atroces que l’Homme peut parfois commettre dans certains 5 novembre 2018 – DaniĂšle – ConfĂ©rence du Tampon RĂ©union Bonjour, j’ai eu la chance ce 2 novembre d’assister Ă  la confĂ©rence sur “Religion et spiritualitĂ©â€ Ă  l’universitĂ© du Tampon, ce qui m’a permis de comprendre enfin la signification de chacun d’eux. Tel Ă©tait mon but, m’avez-vous rĂ©pondu en souriant lorsque je vous ai abordĂ© de maniĂšre furtive Ă  la fin. Pendant longtemps, j’ai cherchĂ© des rĂ©ponses, mais sans en ĂȘtre totalement satisfaite. En effet, les personnes autour de moi qui partageaient leur expĂ©rience spirituelle, n’étaient mĂȘme pas capables de me l’expliquer, en dehors du fait que ce sont des choses relatives Ă  l’esprit. Me voilĂ  donc bien avancĂ©e sur la question. Votre confĂ©rence m’a Ă©clairĂ©e et m’y a fait rĂ©flĂ©chir. Si religion et spiritualitĂ© ne menaient qu’à un but unique la quĂȘte d’un bonheur, aussi fugace soit-il, que ce monde matĂ©riel et Ă©goĂŻste ne nous apporte pas ? A chacun d’y trouver sa raison. Le matĂ©rialisme de masse face Ă  la sobriĂ©tĂ© heureuse rejette la diffĂ©rence et ne comprend pas nos convictions. 18 octobre 2018 – Marylene49 – En totale harmonie avec votre coeur et vos pensĂ©es Un grand et chaleureux MERCI tout d’abord pour la FĂ©e et le Ciel qui vous ont mis sur terre FrĂ©dĂ©ric LENOIR ! Autodidacte aprĂšs un humble niveau de culture gĂ©nĂ©rale scolaire – prĂšs de 69 ans Ă  l’heure actuelle – j’ai eu la chance de vous dĂ©couvrir Ă  travers nombre de livres que vous avez Ă©crits et publiĂ©s. J’ai Ă©coutĂ© – via YouTube – nombre de confĂ©rences oĂč vous philosophez sur le sens de la vie, l’orientation favorable Ă  lui donner, les chemins Ă  prendre pour y parvenir, je me suis intĂ©ressĂ©e Ă  vos maĂźtres Ă  penser que vous citez, Spinoza et autres
 Avec vous, je revis, tant vous avez une ouverture d’esprit s’appuyant sur des connaissances inĂ©puisables qui vous ont enrichi de tous les courants de pensĂ©es de diverses religions. Vous ĂȘtes dans le vrai quant Ă  proposer de creuser au fond de soi pour y trouver Dieu et la joie, et ĂȘtre pour autrui des ĂȘtres de sagesse disant oui Ă  la Vie, Ă  tout ce qui est VIE. Merci pour les enfants Ă  qui vous apprenez Ă  penser. MERCIMercredi 24 septembre 2018 – Pierrette – Emission C Politique France 5 Je vous ai dĂ©couvert et j’ai adorĂ© vraiment adorĂ©. Je partage pleinement et vous 15 septembre 2018 – Marianne – RĂ©ponse Ă  MĂ©lanie Bonjour MĂ©lanie, pour rĂ©pondre Ă  votre message que vous avez adressĂ© Ă  Monsieur Lenoir. A titre d’information, je voulais juste vous dire que FrĂ©dĂ©ric Lenoir attache un intĂ©rĂȘt particulier au bien-ĂȘtre et Ă  l’accompagnement des personnes vieillissantes, et au mĂ©lange des gĂ©nĂ©rations puisqu’il est le parrain depuis de nombreuses annĂ©es d’une trĂšs belle association intitulĂ©e “Le Pari Solidaire” qui rĂ©pond justement aux besoins des jeunes et des seniors dont l’objectif et de dĂ©velopper l’offre de logements pour les Ă©tudiants et lutter contre le sentiment d’insĂ©curitĂ© des seniors et ainsi contribuer Ă  leur maintien Ă  domicile le plus longtemps possible. Bien Ă  4 septembre 2018 – Melanie – La mort aujourd’hui Cher Monsieur. Actuellement plus de 9% de la population française a 75 ans et plus. Une nouveautĂ© dans notre pays qui prĂŽne les droits de l’Homme. Or il s’agit en fait d’une population sans droits vĂ©ritables. IsolĂ©e parce qu’incapable de s’adapter au dĂ©veloppement de la technologie. Elle est non productive donc intĂ©ressante pour la sociĂ©tĂ©. Dans un pays riche et de culture chrĂ©tienne, comment la France devrait-elle agir pour honorer sa vieillesse ? Lui accorder une belle mort librement choisie ! URGENT ! Merci de vous intĂ©resser Ă  ce sujet brulant peu compatible avec votre jeunesse .Samedi 1 septembre 2018 – Carole – La Promesse de l’Ange Un grand merci pour votre dĂ©dicace, pour votre prĂ©sence Ă  Morges, et vos paroles
 incroyable comme je me retrouve dans celles-ci, ces idĂ©es que je partage mais que je ne sais exprimer
 Merci pour le Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure qui m’a tant apportĂ© et La Lettre ouverte aux animaux
 Je vais me lancer sous peu dans Le miracle Spinoza, alors que je ne suis pas une habituĂ©e de littĂ©rature mais vous entendre en parler m’a donnĂ© envie. Prenez grand soin de vous
Vendredi 31 aoĂ»t 2018 – Jean – L’Oracle della luna Quel bel ouvrage, si riche, foisonnant, avec ces longs exposĂ©s sur les trois religions monothĂ©istes, l’astrologie, indĂ©pendamment de la trame romanesque. Petite remarque Ă  Alger, le cap Matifou s’appelait-il comme cela avant 1830 ? Il est quand mĂȘme Ă  28 km de la Casbah et il n’y avait pas de routes, une soirĂ©e me parait donc peu pour faire le trajet. Puis le voyage en bateau d’Oran Ă  Toulon pour Georges, pourquoi pas Marseille ou mieux encore un port d’Espagne ? 28 juillet 2018 – Jacques-Emile – Spinoza Mille fois merci pour vos ouvrages/enseignements sur la philosophie et sur Spinoza. Vous en Ă©clairez avec profondeur certains aspects essentiels comme la joie et la tristesse. Entrons et participons Ă  cette Ă©cole de philosophie avec Joie nous y dĂ©couvrirons et puiserons des richesses utiles dans toutes nos activitĂ©s et 18 juillet 2018 – Isabelle – L’Âme du monde Quel bel ouvrage que L’ÂME DU MONDE
. Je dĂ©couvre depuis peu vos ouvrages M. Lenoir et j’ai commencĂ© par “Du bonheur, un voyage philosophique” en parcourant les rayons de ma petite et trĂšs agrĂ©able bibliothĂšque de village. Cela a forcĂ©ment aiguisĂ© ma curiositĂ© puisque j’ai poursuivi par “L’Âme du monde” et quel enchantement ! Les contes et illustrations sont dĂ©licieux et portent Ă  des rĂ©flexions existentielles essentielles. A 45 ans, il est toujours temps
.. La vie est en effet faite de maintes Ă©volutions. Merci encore au plaisir de vous lire encore😉Lundi 16 juillet 2018 – Richard – La philosophie du Christ Je viens de lire cet ouvrage qui m’a passionnĂ©. En le refermant, et en parcourant Ă  nouveau les pages sur l’inquisition et autres horreurs commises au nom de Dieu, j’ai immĂ©diatement pensĂ© Ă  cet aphorisme de Woody Allen “Si Dieu existe, j’espĂšre qu’il a une bonne excuse !”. Merci monsieurDimanche 1 juillet 2018 – Michel – Commentaires sur Spinoza Accessible et Ă©veillant la conscience votre ouvrage sur Spinoza. Il m’a permis de le dĂ©couvrir. Un Il me semble que Spinoza n’a pas personnellement atteint cette bĂ©atitude qu’il souhaitait pour les autres, au contraire de Socrate. Il aurait vĂ©cu en ermite ?2. À la suite de vos citations sur JĂ©sus, pas Ă©tonnant qu’il ait Ă©tĂ© rejetĂ© par les autoritĂ©s juives. La croyance en l’existence de Dieu reste en 
agir en fonction de notre nature propre
’ me rappelle la thĂ©orie de l’économie libĂ©rale lorsque chacun recherche son intĂ©rĂȘt individuel la sociĂ©tĂ© parvient Ă  son efficacitĂ© maximale. Mais quels sont ses garde-fous contre les abus de pouvoir et les comportements asociaux ? Spinoza est-il aveugle aux imperfections de la nature humaine, aux mĂ©canismes de la survie ? Tous les hommes ne pensent pas en philosophes. Revenons sur religions, les lois, les polices ont pour objectif de protĂ©ger contre 31 mai 2018 – pascal – Spinoza, le faux philosophe Spinoza plait au public bobo d’aujourd’hui car sa caricature de philosophie en fait un prĂ©curseur des auteurs actuels de pseudoscience et autres vulgarisateurs tous azimuts, qui corrompent les idĂ©es pour les transformer en produits 29 mai 2018 – AurĂ©lie – De la Joie Bonjour, j’ai beaucoup apprĂ©ciĂ© votre travail et votre approche dans La Puissance de le Joie. C’est trĂšs agrĂ©able de pouvoir dĂ©battre simplement et profondĂ©ment d’une thĂ©matique aussi essentielle et universelle. Je me retrouve dans vos centres d’intĂ©rĂȘts, comme beaucoup d’autres, ce qui reprĂ©sente Ă  mes yeux une belle vague d’espoir. Bien Ă  vous, encore merci 🙂Samedi 21 avril 2018 – – Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure une vraie “thĂ©rapie littĂ©raire” Bonjour FrĂ©dĂ©ric, jai 51 ans et, depuis le dĂ©but de l’annĂ©e derniĂšre, je suis en traitement chimio pour un cancer du pancrĂ©as. Le combat est long, Ăąpre et difficile mais je reste profondĂ©ment optimiste, confiant et dĂ©terminĂ© pour atteindre ce seul et unique objectif la guĂ©rison 🙂 J’ai dĂ©couvert par hasard mais est-ce bien le hasard ? votre ouvrage “Petit traitĂ© de vie IntĂ©rieure” qui m’a apportĂ© toute une sĂ©rie de clĂ©s et de repĂšres pour avancer sur mon chemin de vie et de lumiĂšre. Vous ĂȘtes un bĂątisseur de bonheur et un assembleur des possibles je tiens ainsi Ă  vous remercier infiniment pour cette “thĂ©rapie littĂ©raire” qui m’a permis tout simplement de comprendre ce qu’est la vie. Jeudi 12 avril 2018 – ACB – Remerciements Merci pour Le miracle Spinoza » ; je lis vos ouvrages avec plaisir, mais lĂ  c’était une joie ludique et un appĂ©tit certain. J’avais Ă©tĂ© trĂšs interpellĂ©e il y a longtemps par les ouvrages de Damasio, en tant que mĂ©decin, ils m’autorisaient d’autres horizons, j’ai un peu fait connaissance Spinoza avec l’ouvrage de Yalom, et lĂ  dĂ©lectation, merci de vulgariser cette pensĂ©e extraordinaire. J’ai dĂ©butĂ© votre ouvrage il y a 3h et lu les 3/4. Vivement demain !Lundi 9 avril 2018 – AM – Remerciements pour partage d’expĂ©rience Bonjour, j’ai dĂ©couvert vos Ă©crits il y a seulement trois ans et demi. Vos Ă©crits m’ont amenĂ© Ă  des visionnages de vidĂ©os confĂ©rences, interviews
 Ă  d’autres lectures, Ă  d’autres auteurs comme Laurent GOUNELLE par exemple, Ă  une de vos confĂ©rences l’annĂ©e derniĂšre Ă  LA GARDE 83. Tout ce travail de comprĂ©hension sur trois ans et demi et les croisements de points de vues avec des convergences ont fait sauter en moi de nombreux verrous afin de retrouver en moi un Ă©tat de “joie” que j’avais dĂ©jĂ  eu en moi il y a fort longtemps mais bien “polluĂ©â€ depuis par des causes extĂ©rieures. Je voulais simplement vous remercier d’avoir Ă©tĂ© l’élĂ©ment dĂ©clencheur de ce long travail sur moi-mĂȘme, qui n’est que le dĂ©but d’un long chemin. Amicalement. 4 avril 2018 – AurĂ©lien – Le miracle Spinoza Merci pour ce bel ouvrage trĂšs accessible qui m’a permis de dĂ©couvrir la philosophie de Spinoza et qui a fait Ă©cho en intĂ©ressĂ© par la philosophie, ce livre a aussi dĂ©clenchĂ© ma candidature pour devenir animateur d’ateliers philo pour les enfants. Bravo pour votre travail, pour vos actions, pour votre engagement qui dĂ©gagent un vrai souffle de 28 mars 2018 – Isabelle – Spinoza 
 frĂ©quenter quelques bons amis
 et
 livres
 pour Ă©changer des idĂ©es profondes dans un beau jardin nous partageons les mĂȘmes 6 mars 2018 – HiĂ©male – Chouette ! Un miracle ! Je n’ai jamais su oĂč me situer dans cette quĂȘte spirituelle. J’avais fini par me ranger du cĂŽtĂ© athĂ©e, mais je n’ai pourtant jamais cessĂ© de penser Dieu. Dieu existe-t-il ? Je rĂ©ponds volontiers, inspirĂ©e par ce qu’écrit E-E. Schmitt dans La nuit de feu je ne sais pas mais je crois que non. Un jour, j’avais osĂ© me qualifier d’athĂ©e chrĂ©tienne pour signifier mon attachement au Christ sur un forum de discussion religieuse. Ou une autre fois encore de citer Einstein et son texte sur la religion cosmique lors d’une confĂ©rence avec une assemblĂ©e de rationalistes. Je produisais chaque fois l’effet d’un chien dans un jeu de quilles. En d’autres temps, j’aurais peut-ĂȘtre eu le bĂ»cher comme destinĂ©e. Pourtant, j’ai toujours eu envie de croire qu’il pouvait exister une autre voie dĂ©jĂ  tracĂ©e. Mille mercis donc de m’éclairer la voie/voix de Spinoza. [Pas facile de n’avoir que mille caractĂšres pour passer mille mercis..]Lundi 5 mars 2018 – Annedc – VidĂ©o sur la joie Je suis totalement d’accord avec vous sur la culture de la joie. Pour ma part, je voulais tĂ©moigner Ă  ce sujet Ă©galement. A vrai dire, aprĂšs une accumulation de nombreux problĂšmes familiaux qui m’ont amenĂ©e Ă  partir de chez moi quand j’étais Ă©tudiante, j’ai de façon tout Ă  fait consciente, fait en sorte, aprĂšs mon dĂ©part, de me crĂ©er une nouvelle vie. Et je me souviens m’ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ©e une jolie phrase dans ma tĂȘte Tu vas te crĂ©er des souvenirs positifs maintenant. Comme ça, quand tu seras triste Ă  l’avenir, tu t’appuieras sur eux ». Je ne sais pas d’oĂč ça m’est venu, c’est une force que j’ai dĂ» entretenir trĂšs souvent, et non sans difficultĂ©s, mais qui a portĂ© ses fruits. 4 mars 2018 – Liline – Commentaire sur le miracle Spinoza Bonjour, enchantĂ©e par la correspondance que vous faites entre l’écriture, de Spinoza, et de la peinture, de Vermeer
.en lisant cela il me vient en mĂȘme temps, et de façon troublante, la lumiĂšre des cuivres de la musique de Lully
.une triade parfaite pour Ă©lever notre Ăąme. Merci pour l’enrichissement donnĂ© par vos 2 mars 2018 – François – Encore plus loin A la lecture de vos ouvrages on comprend votre popularitĂ©. Vous transmettez trĂšs naturellement votre amour de la vie et des gens. Il est agrĂ©able mais aussi stimulant de dĂ©couvrir un Ă©crit tant on est curieux de ces nouvelles pages, on attend d’ĂȘtre surpris. Et pourtant, vous l’exprimez vous-mĂȘme, la critique vous chatouille sur cette popularitĂ©, cette fameuse “vulgarisation” de la pensĂ©e de courants et d’auteurs pas forcĂ©ment accessibles. Cette vulgarisation, je la trouve fameuse ! Vous Ă©veillez en nous lecteurs le dĂ©sir de grandir un peu, en allant Ă  la dĂ©couverte de ces brĂšches ouvertes dans notre culture quotidienne. Mais dĂšs les premiers chapitres de Nietzsche ou Epicure, je me dĂ©courage. Finalement, ce que je recherche dans votre travail, ce n’est pas la pensĂ©e des autres auteurs ni l’a pensĂ©e universelle que vous savez extraire, mais l’invitation Ă  l’ouverture par-delĂ  nos mĂ©canismes. Allons “encore plus loin avec vous”, par-delĂ  nos mĂ©canismes et votre culture 26 fĂ©vrier 2018 – Raynald – Spinoza athĂ©e ? Je salue votre lumineuse prĂ©sentation de la pensĂ©e de Spinoza. Vous ne l’avez sĂ»rement pas Ă©crite dans une perspective opportuniste, car il s’agit probablement du philosophe le plus opposĂ© aux postures intellectuelles actuellement en vogue. Spinoza ne peut Ă©videmment pas susciter l’intĂ©rĂȘt ni des religieux, ni des athĂ©es, ni des agnostiques. Les premiers n’en ont que pour la foi et l’acceptation plus ou moins aveugle d’une rĂ©vĂ©lation. Les seconds ne veulent rien savoir de Dieu. Les troisiĂšmes Ă©prouvent une absolue rĂ©pulsion pour toute mĂ©taphysique, dont ils ne cessent de dĂ©crĂ©ter le dĂ©passement. Or Spinoza Ă©tait Ă©pris d’un Dieu qui n’a rien Ă  voir avec la foi et dont il tente de dĂ©montrer l’existence avec la rigueur rationnelle d’un gĂ©omĂštre. J’aurais des rĂ©flexions Ă  faire sur le prĂ©tendu athĂ©isme de Spinoza, mais, faute d’espace, je n’ai pu les copier ici
Jeudi 22 fĂ©vrier 2018 – Christiane – TĂ©moignage Merci Ă  FrĂ©dĂ©ric Lenoir pour son engagement auprĂšs des enfants et pour ces nombreux livres initiatiques qui nous permettent de prendre conscience des valeurs de l’existence et nous encouragent Ă  Ɠuvrer ensemble pour un monde 21 fĂ©vrier – Roger – Merci ! Juste un bref message pour vous remercier de la justesse de vos ouvrages. Votre livre “Petit TraitĂ© de Vie IntĂ©rieure” est mon livre de chevet, que je relis rĂ©guliĂšrement, et qui m’apporte tant Ă  chaque lecture. Aujourd’hui est mon jour d’anniversaire, le premier cadeau que je m’offre est de vous dire Merci 🙂 et le second sera de m’offrir votre ouvrage sur Spinoza. Continuez Ă  partager avec nous vos connaissances et votre gentillesse Mr Lenoir ! Belle journĂ©e Ă  vous !Dimanche 18 fĂ©vrier 2018 – Alain – Satisfaction Je viens de terminer “Dieu” c’est une mine Ă  exploiter, j’y retournerai. Vous ĂȘtes agnostique de tendance dĂ©iste, c’est votre droit et je pense mĂȘme dogmatiquement rationnellement qu’on ne peut ĂȘtre qu’agnostique. Je vous rends justice. Personnellement, je suis de tendance athĂ©e mais ce n’est pas un problĂšme. J’avais dĂ©couvert, bien tardivement que Jean d’Ormesson Ă©tait lui aussi agnostique. J’avais aimĂ©. J’ai pris conscience que je ne pouvais prouver mon athĂ©isme. Nous sommes tous croyants en tout, en rien, peu importe en quoi. La spiritualitĂ©, la vie de l’esprit, est importante pour moi, et je vais jusqu’à parler du Dieu des AthĂ©es, sans savoir Ă©videmment le 4 fĂ©vrier 2018 – Mila – La synchronicitĂ© Bonjour, j’étais spinoziste, je ne le savais pas, merci de me l’avoir fait dĂ©couvrir. Je partage presque toutes vos idĂ©es sauf sur la synchronicitĂ©. J’aime beaucoup Wagner mĂȘme s’il Ă©tait antisĂ©mite mais il y aura toujours quelque chose qui me dĂ©rangera en arriĂšre-plan lorsque j’écoute sa musique. Quant Ă  Jung, il Ă©tait raciste envers les africains et antisĂ©mite. Je ne crois pas que la musique puisse ĂȘtre raciste, les mots, si. En ce qui concerne la synchronicitĂ© sur 200 personnes qui prennent l’avion quelques-uns vont rĂȘver que celui-ci va s’écraser. La quasi-totalitĂ© des avions ne s’écrasent pas, il y a donc absence de synchronicitĂ©. Et lorsque malheureusement un avion s’écrase et qu’un rescapĂ© avait rĂȘvĂ© de cet accident, peut-on parler de synchronicitĂ© ? Les ĂȘtres humains sont hyperactifs et des milliers de pensĂ©es les traversent ce qui amĂšne Ă  des hasards incroyables. On ne connait pas le sens de notre vie, on nait, on se reproduit, on meurt, on sert la nature. Croire Ă  la
Vendredi 26 janvier 2018 – Socratic – Spinoza Merci, Monsieur Lenoir, pour votre contribution Ă  l’émerveillement du monde. GrĂące Ă  vous, j’ai enfin dĂ©couvert Spinoza comme homme et comme visionnaire. C’est en raison de ce que vous ĂȘtes et de ce que vous faites que j’ai dĂ©cidĂ© d’en savoir davantage sur ce philosophe. Tout comme vous, je n’apprĂ©cie pas sa conception des femmes ni celle des animaux. Pas plus que je n’adhĂšre Ă  son rationalisme absolu. Cependant, quelle luciditĂ©, quelle ouverture et quelle intuition ! Votre livre m’a donnĂ© l’envie de lire L’éthique revue et réécrite par Bruno Giuliani. Merci enfin pour votre engagement humaniste, reflet de votre adhĂ©sion Ă  celui que vous qualifiez de plus grand philosophe de tous les 15 janvier 2018 – Corine – MaĂźtres de vie Psycho mag Je suis une maĂźtresse de CP. La premiĂšre fois que je me suis retrouvĂ©e dans une classe, j’avais 18 ans et aujourd’hui j’en ai 54. Cela en fait des rencontres et des heures Ă  apprendre Ă  Vivre. Comment pouvez-vous penser que je n’ai fait qu’appliquer les programmes lire, Ă©crire, compter ? Comment pouvez-vous imaginer qu’on puisse Etre ensemble 6 heures par jour sans apprendre Ă  gĂ©rer ses Ă©motions afin de s’ouvrir Ă  soi et aux autres, sans chercher du sens et de la joie dans chaque petite Ă©volution et dans le chemin qui y mĂšne ? Je n’ai pas la prĂ©tention d’ĂȘtre une maĂźtresse de vie, j’ai juste tentĂ© de donner confiance Ă  mes petits dans la relation Ă  l’adulte afin de justement les prĂ©parer Ă  aller Ă  la rencontre de l’Autre. Merci Ă  tous mes petits Ă©lĂšves car ils ont Ă©tĂ© mes MaĂźtres de Vie bien avant les plus grands. Lorsque vous convoquez les vĂŽtres, je suis dĂ©solĂ©e si vous n’avez jamais entendu la voix d’un de vos professeurs car cela veut dire que nous avons tous 14 janvier 2018 – Alain PIQUEREY – Le miracle SPINOZA Bonjour FrĂ©dĂ©ric, tirĂ© de l’éternitĂ© il y a 89 ans, le retour ne saurait ĂȘtre bien loin. ForcĂ©ment, le questionnement intĂ©rieur s’intensifie un peu. J’ai achetĂ© “Le Miracle SPINOZA” et j’ai eu l’impression d’une conversation passionnante avec un ami. Merci FrĂ©dĂ©ric ! S’émerveiller d’exister, malgrĂ© les avatars de la vie, c’est ma petite philosophie Ă  moi et j’ai donc Ă©tĂ© content de mieux connaitre cette pensĂ©e “fondĂ©e sur le dĂ©sir et la joie.” MĂȘme si j’ai eu quelque difficultĂ© Ă  suivre le raisonnement qui tente de concilier dĂ©terminisme et libertĂ©. Personnellement je serais plus proche de Teilhard de Chardin “l’humanitĂ© est en marche vers son Dieu” La Condition humaine que j’imagine comme concept dans un Ă©pais brouillard au sommet d’une montagne que les humains gravissent par des chemins diffĂ©rents, avec des guides diffĂ©rents mais une conviction largement partagĂ©e qu’il faut l’atteindre. Tout en ayant la libertĂ© de dĂ©visser, plus ou moins gravement. – Cordialement !Dimanche 14 janvier 2018 – Alain PIQUEREY – Le miracle de SPINOZA Monsieur, vous Ă©crivez Ă  votre ami Robert Misrahi que votre ambition – d’écrire le MIRACLE DE SPINOZA -n’est autre que de faire dĂ©couvrir Ă  un large public la vie et la pensĂ©e de celui que vous considĂ©rez comme le plus grand des philosophes. Vous me l’avez fait dĂ©couvrir et de belle maniĂšre. Je vous en 4 janvier 2018 – Josiane – La puissance de la joie Bonjour, J’ai acquis ce livre, bien dĂ©cidĂ©e Ă  le lire rapidement, et espĂ©rant beaucoup de cette lecture. Toutefois, au bout de plusieurs semaines, je n’ai pas rĂ©ussi Ă  dĂ©passer la moitiĂ©. Je suis pourtant assez bonne lectrice. Et il est bien Ă©crit. AprĂšs rĂ©flexion, je dois me rĂ©soudre Ă  me dire que la joie, ce n’est pas pour tous. Il faut avoir connu quelques racines joyeuses durant son enfance pour y croire, ne pensez-vous pas ?Mardi 2 janvier 2018 – Jean Jisset – PoĂšme Une voie Ă  suivre À FrĂ©dĂ©ric Lenoir J’ai dĂ©cidĂ© de vivre heureux Et je dĂ©couvre en Spinoza, Par votre expertise, monsieur, La voie qu’il faut suivre ici bas !Dimanche 31 dĂ©cembre 2017 – Plevig – Merci Il faut vous dire merci pour entre-autres ce brillant Ă©clairage sur Spinoza. Pas un mot de plus. Juste merci. Tout cela est si 16 dĂ©cembre 2017 – Murielle – Interview C news du 16/12 Je viens de vous Ă©couter sur C news, malheureusement juste la fin. Mais quel bonheur de vous entendre ! Absolument toutes vos observations sont censĂ©es, justes et belles. Moi qui ne rencontre que des gens cyniques, ça m’a fait un bien fou de vous Ă©couter. Comme vous, j’ai dĂ©laissĂ© trĂšs jeune la religion catholique, je me suis intĂ©ressĂ©e au bouddhisme, puis j’ai lu quelques passages des Ă©vangiles, et j’ai ressenti la mĂȘme chose que vous. Je pense que la clef de l’harmonie entre les hommes et du bonheur intĂ©rieur, est lĂ . Vous dĂ©fendez aussi la condition animale et c’est trĂšs important. Dans moins d’une dĂ©cennie, nous nous demanderons probablement comment nous avons pu agir envers eux d’une façon si barbare. Bravo et merci Ă  vous d’ĂȘtre ce que vous ĂȘtes et d’agir comme vous le 16 dĂ©cembre 2017 – Robert Morane – Interview parue dans Le Soir du 16 dĂ©cembre 2017. “Spinoza nous oriente vers la joie” LA QUESTION DU LIBRE ARBITRE article 1 L’approche scientifique dans le champ macro physique se fonde, en rĂšgle gĂ©nĂ©rale, sur une dĂ©marche strictement dĂ©terministe. Cette dĂ©marche met en question la possibilitĂ© que s’y produisent des phĂ©nomĂšnes ex nihilo, Ă  savoir des phĂ©nomĂšnes Ă©chappant Ă  tout fil de causalitĂ©. Le libre arbitre, tel qu’il nous est habituellement prĂ©sentĂ©, fait partie de ces phĂ©nomĂšnes. Le contester aboutit Ă  dĂ©pouiller l’homme de sa capacitĂ© d’autodĂ©termination, capacitĂ© liĂ©e Ă  l’aptitude au choix et Ă  la dĂ©cision. La question du libre arbitre a une longue histoire derriĂšre elle. C’est ainsi que B. Spinoza affirmait dĂ©jĂ  dans un ouvrage datant de 1677 Ethique, Pars 1, proposition 32 que la volontĂ© ne peut ĂȘtre cause libre, mais seulement cause nĂ©cessaire 
 car la volontĂ©, comme toute chose, demande une cause qui la dĂ©termine Ă  exister et Ă  agir d’une maniĂšre donnĂ©e». 14 dĂ©cembre 2017 – Catherine – Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure Suite Ă  l’émission Rendez-vous en terre inconnue, j’ai constatĂ© que FrĂ©dĂ©ric Lenoir n’est pas seulement un historien des religions !!! J’ai lu Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure et lĂ  je dois dire merci. Merci Monsieur Lenoir, Ă  la fois de me conforter dans les choix que j’ai faits pour vivre ma vie et de m’éclairer davantage sur ces mĂȘmes choix qui Ă©taient jusqu’à prĂ©sent plutĂŽt intuitifs
Vendredi 8 dĂ©cembre 2017 – Marianne – Les animaux Merci Monsieur Lenoir pour votre livre “Lettre ouverte aux Animaux” mais aussi un immense merci d’avoir intĂ©grĂ© le ComitĂ© d’Honneur de la FLAC. Pour reprendre la citation d’Émile Zola ” La corrida, ni un art, ni une culture mais la torture d’une victime dĂ©signĂ©e”. Bien Ă  6 dĂ©cembre 2017 – Carole – ConfĂ©rence du 5 dĂ©c 2017 Quelle joie de vous rencontrer et de vous Ă©couter hier, lors de votre confĂ©rence sur le savoir vivre ensemble ! J’ai lu la plupart de vos ouvrages, j’ai, moi aussi, eu cette impression Ă©trange d’écouter un ami en vous lisant. Je vous ai, moi aussi, dĂ©couvert en cherchant sans y croire, un livre qui puisse me donner le courage pour avancer, la bontĂ© et la bienveillance pour pardonner et me pardonner, et pourquoi pas, retrouver la joie de vivre, parce que, moi aussi, j’allais trĂšs mal. Le petit TraitĂ© de la Vie IntĂ©rieure’ m’a enchantĂ©e et
 allĂ©gĂ©e. J’ai Ă©tĂ© curieuse de vous lire encore. Avec la mĂȘme satisfaction, le mĂȘme Ă©tonnement de tant de sagesse et de tant de simplicitĂ©. A la portĂ©e de chacun. Les chemins vers la joie et le bonheur ne sont pas aisĂ©s mais ils valent bien la peine qu’on les emprunte. Chaque fois que le vague Ă  l’ñme s’installe, je me plonge dans vos essais, cherchant des passages qui me feront du bien, Ă  n’en pas douter. Chapeau bas et respect Monsieur Lenoir !Lundi 20 novembre 2017 – Catherine – Le miracle Spinoza Selon Spinoza, tout ce qui arrive est nĂ©cessaire. Donc il Ă©tait nĂ©cessaire que j’aille passer 3 petits jours en France du 11 au 13 novembre, que je visite Le Furet du Nord Ă  Lille et que je tombe’ sur ce livre. Ayant dĂ©couvert le Vedanta il y a bientĂŽt 20 ans et ayant beaucoup lu sur le sujet, et sur les autres sagesses orientales, ne voilĂ -t-il pas que je dĂ©couvre qu’un EuropĂ©en du 17Ăšme siĂšcle avait lui aussi dĂ©couvert la mĂȘme chose ! Bref, je suis devenue une grande fan’ de Spinoza grĂące Ă  votre livre. Le plus par rapport aux sagesses orientales, c’est que Spinoza explique comment appliquer cette sagesse’ dans la vie de tous les jours. Et insiste sur le dĂ©broussaillage de notre psychĂ© et de nos projections. Passionnant. Un grand 10 novembre 2017 – Romina – Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure Ce livre “Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure” m’a rendu le sourire, l’espoir et m’a redonnĂ© l’envie de croquer Ă  nouveau la vie Ă  pleines dents et surtout d’oser enfin AIMER et ETRE AIMEE ! A un moment de ma vie oĂč j’étais vraiment trĂšs mal. J’ai eu l’impression de lire un ami et j’ai reçu une claque monumentale ! J’ai enfin compris et dĂšs que je me sens triste, je le relis. Aujourd’hui, je suis mariĂ©e avec un homme merveilleux, je mĂšne une existence sereine et paisible et j’essaye de profiter de chaque instant. Juste MERCI de m’avoir permis Ă  travers ce livre, d’ĂȘtre MOI et de m’avoir appris Ă  vivre et plus que tout A 9 novembre 2017 – Alexandra – Le miracle Spinoza AprĂšs avoir patientĂ© durant plusieurs annĂ©es pour dĂ©couvrir votre “philosophe prĂ©fĂ©rĂ©â€, le miracle est enfin arrivé  en librairie. Je viens, en effet, de dĂ©vorer -Ă  la maniĂšre d’un bon thriller- votre dernier ouvrage “Le miracle Spinoza”. Pour rĂ©sumer le substrat de votre magnifique ouvrage qui porte sur la vie chaotique d’un philosophe visionnaire qui a vĂ©cu il y a presque 4 siĂšcles, je reprendrai la devise de PĂ©riclĂšs “il n’est point de bonheur sans libertĂ©, ni de libertĂ© sans courage”. Merci infiniment pour cette pĂ©pite philosophique. A lire et Ă  13 octobre 2017 – pierreturgeonxyz[at] – Comment JĂ©sus est devenu Dieu Quel magnifique livre. J’estime que j’ai Ă©tĂ© privilĂ©giĂ© de vous lire. J’admire les recherches que vous avez faites. C’est un cours magistral sur les dĂ©buts du christianisme mais plus prĂ©cisĂ©ment du catholicisme. Que de querelles inutiles pour le pouvoir par la religion. Comme vous le citez si bien Ă  la toute fin de votre ouvrage “Dieu est amour “et que “quiconque aime est nĂ© de Dieu et connaĂźt Dieu” 1,Jean,4. C’est la vraie et unique religion L’AMOUR. Merci pour vos 8 octobre 2017 – Etteile – Lettre ouverte aux animaux Je viens de refermer votre livre “Lettre ouverte aux animaux”, et j’ai eu immĂ©diatement le flash de ce couple de rĂ©fugiĂ©s syriens que j’ai reçu il y a quelques jours qui m’ont dit avec pudeur et dignitĂ© “c’est l’horreur”. Pourtant j’aurais aimĂ© partager votre utopie, mĂȘme si Mimine ne comprend jamais que je lui ĂŽte les souris des pattes
Jeudi 14 septembre 2017 – Jacques – Du bonheur
 que du bonheur J’ai pris ce petit bouquin pendant les vacances, achetĂ© Ă  un vide grenier au hasard
 C’est le genre de bouquin pelote de laine qui donne envie de tirer sur les Ă©cheveaux qui pendent
 Chaque sujet donne lieu Ă  reprendre la lecture de certains classiques ou philosophes ou commencer Ă  fouiner sur certaines Ă©coles jamais abordĂ©es personnellement, comme les Épicuriens. J’ai Ă©tĂ© ravi de retrouver Tchouang-Tseu et son insolence tranquille. Alors de midi Ă  minuit, j’ai vagabondĂ© au grĂ© des moments sur cette plage rayonnante de plaisir et de bien-ĂȘtre, oĂč l’auteur distille sa grande sensibilitĂ© avec une grande humilitĂ© et une bienveillance Ă  mĂ©diter. Dans la douceur de l’esprit
 Un livre qui fait du bien. 30 aoĂ»t 2017 – Sophie – Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure Je viens de finir ce livre qui a Ă©tĂ© un vĂ©ritable enchantement pour mon esprit, mon coeur et mon ĂȘtre. J’ai beaucoup apprĂ©ciĂ© la mise en rĂ©sonance que vous faites entre les diffĂ©rentes religions, leur spiritualitĂ©, la psychologie et la philosophie. J’ai Ă©tĂ© Ă©galement trĂšs touchĂ©e par le partage que vous faites de votre vie et le don de votre expĂ©rience sur les clĂ©s d’une vie 28 aoĂ»t 2017 – Olga – Merci ! Cher FrĂ©dĂ©ric Lenoir, vous ĂȘtes une personnalitĂ© incroyable, tellement rayonnante, profonde, positive et gentille ! Tellement rare. Merci de partager avec nous votre expĂ©rience, vos lectures et vos rĂ©flexions, notamment sur le mieux-ĂȘtre et le vivre-ensemble. Venez en Belgique avec une confĂ©rence ! Nous avons besoin de vous ici 25 aoĂ»t 2017 – Martika – Soyons utopistes c’est bon pour la santĂ© 😉 J’ai hĂąte de venir Ă  votre rencontre le 5 novembre prochain ! Je vous ai beaucoup lu avant de “passer Ă  l’acte” ! et de suivre la formation SEVE cette annĂ©e. Aujourd’hui je sais que ces premiers pas en ateliers philo, outre la joie qu’ils me procurent, marquent l’entrĂ©e dans une nouvelle Ăšre
 qui sera collective, consciente et Ă©veillĂ©e notamment grĂące Ă  vous. Vous avez cette remarquable aptitude Ă  formuler simplement ce que beaucoup d’entre nous devinons au fond de notre Ăąme, sans le saisir vraiment. Et vos mots sont particuliĂšrement impactants car pour moi vous ĂȘtes ce que vous dites congruent, Ă©loquent, inspirant. Merci FrĂ©dĂ©ric ! Vous ĂȘtes pour moi une source d’inspiration inĂ©puisable 🙂Vendredi 18 aoĂ»t 2017 – Isa J’ai lu cet Ă©tĂ© le livre “L’Oracle della luna”. Je ne sais mĂȘme pas trouver les mots pour exprimer Ă  quel point ce livre est magnifique. Lors de ma lecture j’ai voyagĂ© dans l’histoire, dans les cultures du monde et des religions et aussi dans mon coeur. Ce livre a touchĂ© mon coeur! Merci FrĂ©dĂ©ric Lenoir pour ce fabuleux voyage philosophique !Mercredi 26 juillet 2017 – – La paix intĂ©rieure Un jour, je me suis tournĂ© vers dieu et j’ai suivi la voix de mon coeur qui est amour. Je me suis tournĂ© vers l’enseignement de JĂ©sus et ma vie s’est complĂštement transformĂ©e. Voir la vie sans fin. C’est en faisant ce travail spirituel en recherchant dieu Ă  l’intĂ©rieur de soi que l’éternitĂ© s’ouvre devant vous, que l’on s’ouvre Ă  cet amour universel, Ă  l’amour du prochain, Ă  ce bonheur merveilleux Ă  l’intĂ©rieur de soi, Ă  l’humilitĂ©, Ă  la compassion, Ă  la bontĂ©. Et grĂące Ă  mon propre travail spirituel, un coeur pur. Je peux dire que tant que tout ĂȘtre humain ne comprendra pas le sens que dieu a fait, il ne connaitra pas les vraies valeurs de la vie. Merci pour vos 26 juillet 2017 – Colette colettepalatte – Merci Merci pour cette philosophie tellement positive que vos livres et interviews rĂ©vĂšlent au monde, l’espoir court partout avec vous et c’est comme si la vie renaissait chaque matin, avec son cortĂšge d’espoir, de foi et d’amour

. c’est revivifiant et revalidant

 Bien Ă  vous
 vous ĂȘtes celui qui a compris la complexitĂ© de l’humanité  Bien Ă  15 juillet 2017 – Adrien – Retour de lecture Cher FrĂ©dĂ©ric, jeune chrĂ©tien converti Ă  20 ans, j’ai dĂ©sormais 22 ans et vos livres m’ont beaucoup servi dans l’intervalle, pour construire ma pensĂ©e critique, philosophique et religieuse. Je me suis Ă©galement reconnu dans votre histoire personnelle, votre quĂȘte de sens, d’absolu et votre sensibilitĂ© envers les pauvres. Vos contes philosophiques, vos traitĂ©s sur la vie intĂ©rieure, la joie ou le bonheur, ainsi que vos romans et vos essais Le Christ philosophe, Petit traitĂ© de l’histoire des religions, Socrate-JĂ©sus-Bouddha, Lettre ouverte aux Animaux
 constituent toute une pensĂ©e philosophique passionnante que je partage avec plaisir Ă  mes amis, qui souscrivent souvent Ă  vos analyses. Je tiens Ă  vous remercier pour votre travail et vos associations. Vous m’avez donnĂ© l’envie d’écrire moi aussi, Ă  mon humble niveau, pour apporter tel le colibri, ma goutte d’eau, mĂȘme si je ne sais rĂ©ellement comment et que j’aurai surement besoin de conseils. Encore une fois, merci Ă  vous !Samedi 8 juillet 2017 – Jean Lago – Lettre ouverte aux animaux Je viens de terminer la lecture de “La lettre ouverte aux animaux”. J’ai bien apprĂ©ciĂ©. Je suis nĂ© Ă  la campagne il y a 80 ans et grandi dans une ferme. On y tuait le cochon, chaque jour ou presque Ă©tait sacrifiĂ© un poulet, un lapin
 Ces animaux Ă©taient Ă©gorgĂ©s, seuls les lapins Ă©taient assommĂ©s avant d’ĂȘtre Ă©gorgĂ©s. J’entends encore les cris du cochon qui se saignait. Je suis opposĂ© au retour de l’abattage Ă  la ferme, ce ne serait pas une avancĂ©e car je ne vois pas comment peut ĂȘtre mis en place l’étourdissement prĂ©alable. Il faudrait travailler sĂ©rieusement le 22 juin 2017 – Viviane – Un immense MERCI !!! TrĂšs cher FrĂ©dĂ©ric , grĂące Ă  la MĂ©diathĂšque de Bourges, j’ai dĂ©couvert en gros caractĂšres moi qui suis malvoyante 1/20Ăšme seulement
 votre magnifique livre “Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure” .Ce fut une dĂ©couverte totale de la philo, accessible et ludique bien qu’approfondie, et vous m’avez donnĂ© l’envie de progresser dans mon cheminement spirituel rien que ça !!. Je me prĂ©cipite Ă  ma mĂ©diathĂšque oĂč un autre de vos ouvrages y est prĂ©sent en GROS CARACTERES “L’ñme du Monde”. Merci encore mille fois d’avoir pensĂ© aux personnes handicapĂ©es visuelles et un grand coup de chapeau pour ce que vous ĂȘtes tout simplement. Viviane GOULAUX 12 juin 2017 – Thalie – Lettre ouverte aux animaux Bonjour, je viens de finir votre dernier livre et quel bonheur, quel bonheur de voir que d’autres partagent les mĂȘmes idĂ©es, les mĂȘmes Ă©motions , les mĂȘmes vibrations concernant l’amour des animaux. Je viens de perdre ma chienne aprĂšs 13 ans de vie commune et je me suis reconnue dans ce que vous Ă©crivez. L’amour des bĂȘtes est unique, vrai, sans ambiguĂŻtĂ©, c’est de l’amour Ă  l’état pur, qui nous rend plus humain chaque jour. Je suis de celles qui sauvent les petites bĂȘtes dans les piscines, qui capture les araignĂ©es et les remets dehors j’ai une super technique
, j’apprĂ©cie parfois plus la compagnie de mes chats Ă  certains humains et concernant mon alimentation, je mange de moins en moins de viande et je ne m’en porte pas plus mal. Bref votre livre m’a fait beaucoup de bien mĂȘme si parfois il m’a fait mal et m’a tirĂ© quelques larmes
 j’ai admirĂ© Ă©galement les belles illustrations tout le long de cette lecture. Je pense que vous ĂȘtes une Belle personne. MerciJeudi 8 juin 2017 – Sandie – ConfĂ©rence “rĂ©-enchanter le monde” avec P. Rabhi Je n’ai pas de compte “Facebook” et ne souhaite pas en avoir, c’est pour cela que je poste mon commentaire ici, concernant votre confĂ©rence que je souhaiterais voir mais pas sur mon ordi. Ayant dĂ©butĂ©, il y a quelques annĂ©es mes lectures dites “sources et ressources spirituelles qui me permettent de maintenir un objectif de vie”, j’avais commencĂ© par celles de votre ami Pierre Rabhi puis je vous ai lu il y a peu et vous faites partie de cette “rĂ©fĂ©rence” maintenant. Alors c’est pour vous dire que vous voir tous les deux, entre autre, lors d’un entretien me tient Ă  cƓur, mais j’attends, peut-ĂȘtre Ă  tort, de pouvoir la voir en public, comme au cinĂ©ma par exemple et pas chez moi en tĂȘte Ă  tĂȘte avec mon ordinateur. Est-ce que c’est une chose qui est prĂ©vue dans l’avenir concernant cette confĂ©rence ? Si oui, j’espĂšre que l’on en sera informĂ©, car si je n’ai pas de compte “Facebook”, je peux toujours consulter le vĂŽtre et certains autres quand mĂȘme. 31 mai 2017 – Franoise – A propos de l’association “Ensemble pour les animaux” Bonjour M. Lenoir, merci d’apporter votre lumineux soutien Ă  la cause animale. J’espĂšre sincĂšrement que ce nouveau gouvernement vous Ă©coutera par l’intermĂ©diaire de son ministre de l’écologie et que ces vĂ©ritables camps de concentration que sont certains Ă©levages disparaĂźtront trĂšs vite. Manger moins de viande est un choix militant, mais, lorsque l’on a vraiment envie d’en manger, il faudrait pouvoir ne pas culpabiliser en pensant Ă  la condition des animaux Ă©levage et abattage. Serons-nous capables, un jour, d’oublier “le profit” au profit du bien ĂȘtre des animaux qui nous permettent de nous nourrir ? Merci de mettre votre aura mĂ©diatique au service des animaux. Bonne continuation, nous serons Ă  vos 30 mai 2017 – Animalslover – Emission RTL 30 mai 2017 Merci pour votre intervention d’aujourd’hui sur RTL ; lorsque vous parliez, j’avais l’impression d’entendre une Ăąme sƓur. Hier encore, ma mĂšre Ă©crasait un insecte pas un moustique, je le prĂ©cise. Devant mon indignation, elle m’a dit “mais ce n’est qu’un insecte”, je lui ai rĂ©torquĂ© “c’est avant tout un ĂȘtre vivant” ! Vous sauviez les abeilles, moi je passe des heures, dans les piscines Ă  sauver toutes ces petites merveilles de perfection, Ă  les observer reprendre vie. Je pensais d’ailleurs en faire un jeu pour les enfants avec petite Ă©puisette, loupe et abĂ©cĂ©daire des insectes pour leur apprendre Ă  les observer, les admirer puis les respecter ainsi que toute forme de vie. Jamais une piqĂ»re. Idem pour mes abeilles sauvages qui squattent le grand saule, j’arrive au milieu d’elles avec ma raquette de tennis pour tuer ces horribles frelons et jamais une seule ne m’a fait du mal. Bravo encore et merci pour eux. AmicalementJeudi 25 mai 2017 – Marianne – Emission “GG” RMC Bonjour Mr Lenoir, un grand bravo pour votre intervention d’aujourd’hui sur RMC Ă  l’émission les “GG”. Je sais Ă  quel point ! Parfois c’est si compliquĂ© de dire Ă  des personnes que l’on milite pour la cause animale, car c’est souvent le mĂȘme leitmotiv que l’on entend “il y a quand mĂȘme des choses plus graves dans la vie que de militer pour cette cause”. Comment peut-on dĂ©finir qu’une cause est plus importante qu’une autre ? Et pour cela, je tenais Ă  vous remercier car vous avez su l’exprimer clairement et efficacement face aux personnes prĂ©sentes sur le plateau. Toutes mes fĂ©licitations pour la parution de votre nouveau livre “Lettre ouverte aux animaux” et heureuse depuis hier d’adhĂ©rer Ă  votre association Ensemble pour les animaux. TrĂšs bon week end de l’Ascension. 25 mai 2017 – Lamina – Maltraitance des animaux Bonjour, je voudrais remercier M. FrĂ©dĂ©ric Lenoir pour ses engagements philosophiques et en particulier pour son dernier livre “Lettre ouverte aux animaux”. Je salue son investissement personnel qui nous informe sur la maltraitance des animaux et je voudrais insister sur le fait qu’il ne faut pas opposer la souffrance des hommes Ă  celle des animaux comme c’est souvent le cas. Je suis persuadĂ©e que le respect des hommes passera par celui des animaux. D’oĂč l’importance de ces tĂ©moignages et luttes afin de faire bouger les mentalitĂ©s sur ce sujet. Toutes les familles ne sont pas sensibles Ă  l’espĂšce animale ; ne pourrait-on pas imaginer par exemple, un programme scolaire qui intĂšgrerait ce sujet et Ă©duquerait les enfants ? Bien 22 mai 2017 – Audrey – Info travailler avec les communicants animaliers Bonjour FrĂ©dĂ©ric Lenoir. J’aimerais tellement que les politiciens, les femmes et hommes publics dont vous faites partie se donnent la main avec ces communicants qui se dĂ©vouent avec coeur et consacrent leur temps, parfois leur vie, Ă  aider les animaux, en ayant appris Ă  rentrer en communication avec leur esprit. Ils sont de plus en plus nombreux ces hommes et femmes Ă  entrer en tĂ©lĂ©pathie avec tous les animaux, Ă  ĂȘtre formĂ©s pour les aider. Les rĂ©sultats sont un peu approximatifs au dĂ©part, mais en prenant confiance, les perceptions s’affinent et les informations reçues d’une prĂ©cision stupĂ©fiante. Je vous recommande de visionner le documentaire de France 5 sur Laila Del Monte youtube, pionniĂšre en communication animale, intervenant partout dans le monde, dans des zoos ou chez des particuliers. Je souhaite que les communicants animaliers soient mieux connus car ils apportent des informations prĂ©cieuses sur les besoins, les dĂ©sirs, et les sentiments des 13 mai 2017 – Anne Vos livres m’accompagnent dans mon voyage de la vie
 Ils sont comme des pierres de lumiĂšre qui me guident dans mes questionnements, mes doutes et me dĂ©voilent de nouvelles portes Ă  ouvrir en moi-mĂȘme. Merci pour vos mots, votre bienveillance, votre qualitĂ© d’écoute et de regard lors de vos confĂ©rences. Vous ĂȘtes un homme, juste un homme et c’est pour cela que vous ĂȘtes si prĂ©cieux
 Anne, compositriceMercredi 15 mars 2017 – Claire – Remerciement Bonjour M. Lenoir, merci de partager votre passion de la philosophie pour qui n’a pas d’études supĂ©rieures et ne connaĂźt rien Ă  la philosophie. Vous m’avez fait comprendre Ă  travers votre regard, et la simplicitĂ© du cƓur et je dirais mĂȘme le courage de dire tout haut ce que d’autres n’osent mĂȘme pas se l’avouer, que le Bonheur est simple. L’image la plus forte Ă  imprimer, vraiment Ă  imprimer, j’ose vous la livrer aussitĂŽt que j’ai des idĂ©es nĂ©gatives ou sombres et que je me vois prendre un grand verre de ciguĂ«, je le dĂ©pose immĂ©diatement et je m’entoure d’une lumiĂšre vive pleine d’amour, de joie et de Bonheur. Je ne veux plus ĂȘtre mon propre bourreau de mon propre camp de concentration. Un grand merci, je suis extrĂȘmement heureuse d’avoir fait votre connaissance Ă  travers votre livre Du bonheur, un voyage philosophique. Claire Boissel peut-ĂȘtre aurons-nous la chance de vous voir au QuĂ©bec au salon du livre Ă  MontrĂ©al ou Ă  Trois-RiviĂšresVendredi 10 mars 2017 – Marie – En relation avec la puissance de la joie Ma bibliothĂšque s’est renversĂ©e rĂ©cemment
 En ramassant les livres, j’ai trouvĂ© un petit carton. D’un cĂŽtĂ©, il Ă©tait Ă©crit “JOIE”. De l’autre, trois citations de Nietzsche rassemblĂ©es d’une lecture pendant mes Ă©tudes de philosophie “Si l’on est intelligent, la seule chose dont on ait Ă  s’occuper est d’avoir la joie au cƓur” ; “Vivre de telle sorte que notre Ă©nergie connaisse son maximum d’intensitĂ© et de joie, et tout sacrifier Ă  cela ” Humain trop humain, §300, II. “Il y a encore beaucoup, beaucoup de joie rĂ©servĂ©e aux hommes, dont le parfum n’est pas encore arrivĂ© aux vivants d’aujourd’hui.” Merci encore aux visionnaires de la joie qui rĂ©enchantent le monde comme 19 fĂ©vrier 2017 – Anne LG – Belle dĂ©couverte J’ai littĂ©ralement dĂ©vorĂ© le “Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure”, livre qui m’a particuliĂšrement touchĂ© de par ses rĂ©fĂ©rences et sa sagesse. J’y ai trouvĂ© ce qui, pour moi semblait difficile Ă  exprimer, des “rĂ©ponses” Ă©galement aux grandes questions existentielles qui nous tourmentent constamment. 18 fĂ©vrier 2017 – Archirel Bonjour Monsieur Lenoir. Je dĂ©couvre votre travail Ă  travers La Puissance de la Joie, L’Âme du monde. Belle invitation Ă  retrouver le chemin de l’ñme et de la communion. C’est loin d’ĂȘtre simple. Courageux plutĂŽt. Merci de mettre votre expĂ©rience et votre talent au service des grands, des petits et des pauvres de cƓur !Samedi 14 janvier 2017 – Pariji – “On a fait de la
 philoscalogie !” Merci pour le magnifique texte des vƓux pour 2017. Je l’ai lu dans tous mes cours de Yoga, tous ont entendu, adhĂ©rĂ© ; ont Ă©tĂ© touchĂ©s par cette subtile Ă©tincelle de lumiĂšre dans vos mots. Puis je l’ai lu Ă  des enfants en CP Yoga en TAP, premiĂšre expĂ©rience de philo, de partage d’un texte. Les enfants furent complĂštement en lien ; touchĂ©s par “transformer ta colĂšre en pardon” et “traverser tes chagrins profonds”
 la souffrance est dĂ©jĂ  parfois tellement prĂ©sente en eux qu’ils ne savent pas quoi en faire. Nous avions dĂ©jĂ  vĂ©cu de belles expĂ©riences de libĂ©ration avec les sons avec des CM1 et lĂ  ce fut avec la parole, consciemment, calmement. Ensuite je les ai amenĂ©s Ă  Ă©voquer la joie, le plaisir, l’amour, on a lu et relu
 Enfin le rire en Ă©clat lorsque je leur ai demandĂ© s’ils savaient ce que nous venions de faire. Tous hochĂšrent la tĂȘte par le “non” c’est chouette mais chacun essaya Ă  partir de “philo” philogie, scilogie, 
 un enfant s’est Ă©criĂ© en joie “philoscalogie” ! MERCIJeudi 12 janvier 2017 – Bastet Bonjour FrĂ©dĂ©ric Lenoir, j’ai terminĂ© la lecture du livre “L’Âme du monde”. Un trĂšs beau message d’amour universel. Un livre que je relis avec plaisir et Ă©motion. Un livre de travail pour tous les jours. J’ai dĂ©jĂ  lu tous vos livres et j’apprends un grand merci pour tout ce que vous faites. Je vous souhaite une belle journĂ©e remplie de 9 janvier 2017 – Nabila – Merci Bonjour FrĂ©dĂ©ric LENOIR, j’avais juste envie de vous dire “merci”, je viens de finir la lecture de votre livre “Du bonheur, un voyage philosophique” j’aime votre Ă©criture et la simplicitĂ© avec laquelle vous dites les choses. Je ne suis pas une intellectuelle , mais je suis intĂ©ressĂ©e par la philosophie et par tout ce qui peut m’apporter une connaissance sur la vie et m’aider aujourd’hui Ă  mieux me connaĂźtre et donc Ă  connaĂźtre les autres aussi
 Encore merci !Lundi 9 janvier 2017 – Florence Je suis entiĂšrement d’accord avec ce que dit Anne le 10 dĂ©cembre dernier. Abaisser les autres ne fait grandir personne. Ce n’est qu’une rĂ©action de faiblesse et de manque de confiance en soi, parfois un indice de grande souffrance. Grandir est un duel entre soi et soi, c’est utiliser nos capacitĂ©s, les faire fleurir et donner des fruits et surtout avoir le courage d’admettre ses propres faiblesses et d’oser les vivres. C’est Ă  ce prix qu’on peut enfin ĂȘtre vraiment bien dans sa peau parce qu’on est entier. Alors on peut s’ouvrir sans crainte d’ĂȘtre dĂ©vorĂ©, on peut vivre dans l’épanouissement et le rĂ©percuter autour de soi. Ce n’est pas pour cela que les mauvais coups ne feront pas mal mais on a tant de force en soi que les capacitĂ©s Ă  rebondir, Ă  relativiser, Ă  analyser et tenter de comprendre nous aident Ă  retomber plus facilement sur nos pieds. Je souhaite Ă  tous et Ă  toutes pour 2017 la capacitĂ© de voir et de reconnaĂźtre tous les petits bonheurs quotidiens qui 14 dĂ©cembre 2016 – Bernard – Les confĂ©rences Quel bonheur de dĂ©couvrir votre passage
 Je me suis dit chouette un bol d’air avec un personnage intĂ©ressant
 Je regarde pour me rendre Ă  la confĂ©rence mais lĂ , je tombe de HAUT 20€ l’entrĂ©e, aĂŻe comme je veux venir avec mon Ă©pouse cela veut dire 40€. Donc je vais rester tranquillement chez moi
 avec un livre
 Ceux de FrĂ©dĂ©ric Lenoir je les ai mais lĂ , je viens de ressentir la place de l’argent et non du DON. DONNER c’est ĂȘtre plus riche. Je sais qu’il faut financer les lieux etc
 mais STOP STOP Ă  de faux prĂ©textes. J’espĂšre avoir un jour une rĂ©ponse de Monsieur FrĂ©deric LENOIR mais ne rĂȘvons pas j’ai pas 20€ Ă  donner 10 dĂ©cembre 2016 – Marianne – RĂ©ponse Ă  un lecteur
 Anne Bonjour, lorsque l’on arrive Ă  un niveau de rĂ©ussite et de notoriĂ©tĂ© aussi haut que Monsieur Lenoir, et que l’on vend plus de cinq millions de livres qui sont ensuite traduits dans une vingtaine de langues, je pense qu’effectivement on risque plus la critique, que si on ne fait rien ! Contredire injustement pour remonter son estime personnelle, en descendant celle des autres avec des mots inĂ©lĂ©gants, n’a aucun sens ! Car la critique est constructive lorsqu’elle est justifiĂ©e, mais quand elle n’est pas fondĂ©e cela n’apporte rien Ă  la personne qui critique et encore moins Ă  la personne qui la 7 dĂ©cembre 2016 – Matthieu – Mon petit billet
d’humeur Bonjour, trĂšs trĂšs heureux de voir que vous donnez une confĂ©rence Ă  Besançon 25 qui affiche complet
 Ă  ce propos mais ce n’est pas de l’idolĂątrie, Ă  connotation nĂ©gative, mais plus une admiration pour les valeurs que vous incarnez !. Et si vous vous portiez candidat aux Ă©lections prĂ©sidentielles, je voterais pour vous assurĂ©ment ! Pour parler un peu de moi et des maux qui me font souffrir horriblement que je partage avec bon nombre de citoyens dans l’espace public, je n’en citerai qu’un le bruit, le vacarme, la nuisance sonore
 de nos villes. Les abbayes ou autres demeures Ă  la campagne sont-elles encore Ă©pargnĂ©es de ces parasites de mon cerveau ? Ah, ce silence qui me permet d’entendre le chant du coq, des oiseaux
 de la nature. Mon paradis perdu, vertus Ă  reconquĂ©rir ou Ă  2 dĂ©cembre 2016 – Anne – ConfĂ©rence du 28 novembre DĂ©solĂ©e, mais votre confĂ©rence m’a laissĂ©e totalement sur ma faim
 Je vous vois comme un Marc LĂ©vy de la philosophie et ce n’est pas vĂ©ritablement un compliment !
 Un look un peu soixante huitard, quelques rĂ©fĂ©rences aux philosophes grecs mais juste pour dire les avoir lus, beaucoup de “Je”, une pincĂ©e d’émotion avec des mots d’enfants, quand je vois que dans la salle, certaines personnes prenaient des notes, je pense que ma prof de philo de Terminale doit se retourner dans sa tombe ! A la sortie de la salle, on peut voir l’étendue de votre “oeuvre”, titres accrocheurs je m’y suis laissĂ©e prendre
 et l’ampleur de l’opĂ©ration marketing que vous rĂ©ussissez fort bien ma foi, c’est sĂ»r
 mais cela suffit-il, Monsieur Lenoir, pour se dire philosophe ? Mardi 29 novembre 2016 – CĂ©cilia – Merci ! Merci pour ce moment exceptionnel, votre confĂ©rence Ă  Lille hier Ă©tait d’une richesse, d’une authenticitĂ© et d’un enseignement remarquable. Vous avez, avec beaucoup d’humilitĂ© Ă©clairĂ© les consciences. J’en suis ressortie diffĂ©rente, un peu bousculĂ©e de l’intĂ©rieur, ce qui me fait dire que cela m’a fait grandir. Quel bonheur
 J’aurais tant aimĂ© vous le dire de vive voix mais je n’étais pas la seule dans ce cas ! Continuez FrĂ©dĂ©ric sur ce chemin merveilleux qu’est le vĂŽtre, le monde a besoin de 29 novembre 2016 – Nicolas nikolasdelique – Merci ! FĂ©licitations pour votre confĂ©rence lilloise ! Vous faites mieux qu’éveiller la curiositĂ© des plus jeunes vous rĂ©veillez aussi celle des plus grands ! J’aime beaucoup le test du trombone de Ken Robinson, expert en Ă©ducation, qui illustre parfaitement vos propos. Combien d’utilisations diffĂ©rentes d’un trombone pouvons-nous imaginer ? La majoritĂ© des gens en imagine entre 10 et 15. Certains, les plus crĂ©atifs, sont assez forts pour en imaginer 200. Pour en arriver Ă  ce nombre de solutions, ils s’interrogent et si le trombone mesurait 200 mĂštres de haut ? Et s’il Ă©tait en mousse ? 1 500 enfants de maternelle ont ainsi Ă©tĂ© testĂ©s afin de dĂ©terminer leur niveau de crĂ©ativitĂ©. Le pourcentage Ă©tait de 98%. 5 ans plus tard, ces enfants ont Ă©tĂ© de nouveau testĂ©s. Le pourcentage Ă©tait de 30%. 10 ans plus tard, le pourcentage Ă©tait de 12%. » Je fais le pari que vos ateliers philo permettront demain de faire germer dans toutes les Ă©coles des trombones en mousse de 200 m de haut !Lundi 28 novembre 2016 – MichĂšle – Merci Merci FrĂ©dĂ©ric pour vos paroles pleines de sagesse et d’humilitĂ©, pleines d’espĂ©rance Ă©galement, un message de joie et d’humanitĂ© qui touche les cƓurs. Je vous offre une priĂšre Ă©crite par ma maman aprĂšs le dĂ©cĂšs de notre pĂšre, il y a plus de 25 ans, tĂ©moignage du consentement Ă  la vie face Ă  l’inĂ©luctable dont vous parlez si bien. Notre mariage Ă©tait un jardin. Viens mon Dieu, assieds-toi auprĂšs de moi et regarde. Regarde ma situation. Je suis seule maintenant. Lorsque je considĂšre notre vie jadis, je la compare Ă  un jardin. Pour certains, le foyer est disloquĂ© et pour moi, Seigneur, vers toi s’en est allĂ©. Seigneur, tu as donnĂ© et tu as repris. Que ton nom soit bĂ©ni ! Pour cela, je te dis viens ! Assieds-toi prĂšs de moi et parle moi. J’ai besoin d’entendre ta voix. Je suis seule maintenant dans mon jardin, seule Ă  rĂ©colter ce que nous avons semĂ©. Mais dans ma solitude, dans mon chagrin, je me tourne vers toi mon Dieu pour te dire Merci ! Car ensemble nous avons vĂ©cu heureux et de ce jardin je ne retiens pas le labeur. J’ai le souvenir que notre vie Ă  deux fut un immense bouquet de fleurs. Merci mon Dieu pour ce passĂ© vĂ©cu ensemble. Merci pour ton assistance aujourd’hui. Merci pour demain qui restera dans ta main. Amen » Cette priĂšre illustre votre message sur la joie intĂ©rieure et aimer la vie telle qu’elle se prĂ©sente. Je vous transmets cette priĂšre pour vous remercier de tout ce que vous donner aux autres pour construire un monde meilleur et vivre mieux. Avec toute ma 20 novembre 2016 – Patricia patriciacorbin – Remerciements TrĂšs agrĂ©able confĂ©rence, samedi 19 novembre Ă  Rennes. FrĂ©dĂ©ric est “lumineux”, je garderai un beau souvenir de son Ă©treinte, Ă©motion trĂšs intense. Pour moi, il vĂ©hicule “un mode d’emploi”, pour une vie heureuse !! MERCIMardi 15 novembre 2016 – Sylvain – FraternitĂ© Cet Ă©lan vers la fraternitĂ© nous renvoie Ă  la devise de notre rĂ©publique LibertĂ©, Ă©galitĂ©, fraternitĂ©. » Les deux premiĂšres notions libertĂ© et Ă©galitĂ© » ne deviennent efficientes pour l’individu et la sociĂ©tĂ© que si elles sont encadrĂ©es par la derniĂšre la fraternitĂ©. C’est la plus fondamentale. Car la libertĂ© si on la pousse dans sa logique peut aboutir Ă  la loi de la jungle, la loi du plus fort, la loi du plus riche, Ă  l’anarchie et donc Ă  la mort de la rĂ©publique. Car la pleine Ă©galitĂ© peut aboutir Ă  une volontĂ© Ă©galitariste qui ne peut, et les exemples ne manquent pas, que mener Ă  des rĂ©gimes totalitaires ayant vocation Ă  l’imposer dans la sociĂ©tĂ© humaine ce qui conduit Ă  la mort de la libertĂ© et de la rĂ©publique. Seule la fraternitĂ©, non seulement tient toute seule, mais elle magnifie, encadre et justifie les deux autres 2 novembre 2016 – Charlotte – DĂ©dicace de ce jour Ă  Bastia Re bonsoir ! J’ai pris plaisir Ă  venir vous Ă©couter cet aprĂšs-midi Ă  Bastia, et je suis repartie forte de votre rĂ©ponse Ă  l’une de mes questions et de votre dĂ©dicace, c’était trĂšs sympa, merci ! Je songe fortement Ă  m’inscrire Ă  la formation SÈVE, alors Ă  bientĂŽt peut-ĂȘtre !Mardi 1er novembre 2016 – zorg-f – ConfĂ©rence Challans Monsieur, la ville de Challans fait environ 20 000 habitants. Vous en avez rĂ©uni 1000 ce qui est exceptionnel. Une question me brĂ»lait les lĂšvres avant que vous commenciez votre exposĂ© sur le bonheur. Peut-on Ă©prouver le bonheur si on n’a pas connu la souffrance ? DĂšs le dĂ©but de votre exposĂ© vous y avez rĂ©pondu en parlant de votre enfance, de vos parents et de votre psychanalyse et j’ai compris qu’elle ne vous avait pas Ă©pargnĂ©. J’ai pris la parole et je vous ai posĂ© la question. Vous n’y avez pas rĂ©pondu peut-ĂȘtre parce que la rĂ©ponse Ă©tait Ă©vidente et que vous ne teniez pas aborder ce sujet. Je suis mĂ©decin et le seul point oĂč je suis en dĂ©saccord avec vous, c’est quand vous dites que le bonheur est gĂ©nĂ©tique. Les gĂšnes n’ont rien Ă  y voir. Tout est transmissible rien n’est acquis ni programmĂ©. Vous avez parlĂ© Ă©galement de la neuroplasticitĂ©. Le cerveau est en constante Ă©volution mais ce n’est pas chimique, c’est du Ă  des processus d’apprentissage que vous pratiquez. J’ai apprĂ©ciĂ© votre simplicitĂ© et la façon abordable pour tout le monde de traiter de sujets plutĂŽt pointus. Ci-dessous un texte que vous connaissez peut-ĂȘtre et qui vous parlera sĂ»rement. Cordialement Ă  vous. Alors une femme dit, parle-nous de la joie et de la tristesse. Il rĂ©pondit votre joie est votre tristesse sans masque, et ce mĂȘme puits d’oĂč monte votre rire a souvent Ă©tĂ© rempli de vos larmes. Et comment en serait-il autrement ? Plus la tristesse creusera profond dans votre ĂȘtre, plus vous pourrez contenir de joie. » Khalil Gibran – Le ProphĂšte 1923Lundi 31 octobre 2016 – Jacky – L’Âme du monde J’ai aimĂ© ce livre, je ne dirais pas dĂ©vorĂ©, car il y avait tant de sagesse, de pensĂ©es, que j’ai lu, relu certains passages. C’est une oeuvre qui me fait penser que nous pouvons vivre heureux avec nos diffĂ©rences, en partageant nos doutes, nos dĂ©sirs, nos expĂ©riences
 C’est un livre qui donne Ă  rĂ©flĂ©chir. J’ai particuliĂšrement aimĂ© l’histoire d’un homme trĂšs religieux et d’une prostituĂ©e vivant dans la mĂȘme rue. Merci Ă  vousLundi 24 octobre 2016 – Jean Christophe – Edito dans le Monde des religions Cher FrĂ©dĂ©ric, ce matin pour me changer de la tristesse des actualitĂ©s, j’ai Ă©coutĂ© vos paroles de sagesse sur le web. Depuis La puissance de la joie » vos propos ont pris une force nouvelle. Une nouvelle fraicheur peut-ĂȘtre plus mystique qui changent des abondantes connaissances plus convenues dĂ©veloppĂ©es jusque alors, mais ici je fus surpris par l’édito sur “JĂ©sus et le bonheur” qui dit en gros que pour le Christ la bĂ©atitude n’est pas de ce monde! Soit, il n’est pas aisĂ© d’interprĂ©ter la portĂ©e de tous les messages souvent contextuelles des Ă©vangiles, mais on ne peut plus faire l’impasse sur l’un des plus central et trĂšs explicite dans Luc 17 “On ne dira point Il est ici, ou Il est lĂ . Car voici, le royaume de Dieu est au milieu de vous”. Mieux traduit en anglais “The kingdom of god is within you”. AprĂšs ce livre exaltant Ă  juste titre la joie de vivre, je me suis donc fait cette rĂ©flexion. Ecririez-vous encore ainsi cet Ă©dito? Namaste, bien Ă  vousDimanche 9 octobre 2016 – Marianne mputallaz – PoĂšme inspirĂ© d’une de vos expressions Au hasard de l’autre Certains disent que l’enfer c’est les autres. D’autres au contraire affirment qu’on ne peut ĂȘtre heureux tout seul. Il est des rencontres lumineuses qui ensoleillent nos journĂ©es comme une Ă©vidence. D’autres plus Ăąpres plus tendues nous atteignent au cƓur. On aurait envie de les refuser, de dire “plus jamais”. Pourtant elles arrivent rarement par hasard. Si nous sommes assez ouverts disponibles honnĂȘtes et bienveillants avec nous-mĂȘmes d’abord puis avec cet autre qui vient nous dĂ©ranger, nous Ă©reinter, nous raboter alors l’aventure intĂ©rieure peut commencer. Cet autre si diffĂ©rent, si enquiquinant, ne me tend-il pas simplement un miroir dans lequel je me reconnais, frustrĂ©, aigri, envieux, jaloux ? Si j’accepte alors la remise en question, si je me laisse polir comme le galet par la riviĂšre tourbillonnante, je deviendrai cette pĂ©pite d’or fragile, vulnĂ©rable mais tellement prĂ©cieuse
 au hasard de l’autre. Sensine, Valais, octobre 16 Jeudi 6 octobre 2016 – Cathia – Merci Bonjour FrĂ©dĂ©ric, Ă©tant enseignante en primaire et maman de 4 enfants dont 3 sont dĂ©sormais des adolescents !, c’est avec grand plaisir que je dĂ©couvre votre livre intitulĂ© “Philosopher et mĂ©diter avec les enfants”. J’ai hĂąte de l’avoir entre les mains afin d’expĂ©rimenter avec les Ă©lĂšves de Creil 60, les ateliers philosophiques ainsi que les mĂ©ditations guidĂ©es qui s’avĂšreront, j’en suis certaine, trĂšs utiles aussi auprĂšs de mes enfants. Petite parenthĂšse, je suis ZIL c’est Ă  dire remplaçante et il est fort probable que j’en parle Ă  tous mes collĂšgues dans les Ă©coles oĂč je ne suis que de passage. Un grand merci pour cette belle initiative et continuez de nous inspirer !Mardi 27 septembre 2016 – BĂ©atrice – Juste merci Bonjour Monsieur Lenoir, j’ai envie de dire FrĂ©dĂ©ric tellement votre gentillesse et votre spontanĂ©itĂ© bienveillante m’ont touchĂ©e lorsque j’ai eu la chance de vous rencontrer en fin de journĂ©e “Emergence” Ă  Bruxelles. Ce qui m’importe chez un Ă©crivain ou toute personne qui milite pour une noble cause, c’est la cohĂ©rence entre ce qu’elle dit et ce qu’elle fait, ce qu’elle Ă©crit et ce qu’elle est. Et j’ai Ă©tĂ© d’autant plus heureuse de vous avoir parlĂ© que de dĂ©couvrir un homme plein de sagesse, d’humilitĂ©, de naturel Ă  la tĂ©lĂ© comme sur scĂšne et surtout dans la vraie vie 🙂 Merci pour vos Ă©crits tellement inspirants de luciditĂ© et de bienveillance. Vos connaissances sont tout simplement impressionnantes vous voyagez avec tellement d’aisance Ă  travers l’histoire des grands philosophes et des religions que l’on vous Ă©couterait des heures et des heures. Je vous souhaite autant de bonheur dans votre vie que vous n’en partagez Ă  travers vos confĂ©rences et vos livres. Juste 22 septembre 2016 – Maliel – Merci reconnaissant Un mot pour vous signifier ma gratitude
.. Merci !!! Merci pour chaque ligne venant de votre Coeur et touchant directement mon Âme. Vous arrivez tellement bien Ă  exprimer toute la beautĂ© humaine que nous avons tous en nous
. Entre autres, votre roman L’Âme du monde est le livre que je sauverai si je devais n’en choisir qu’un dans le monde des livres !!!! Je me plais Ă  l’offrir en sachant que je fais du Bien
. J’espĂšre que vous recevez autant de Joie et de Bonheur Ă  Ă©crire vos livres que j’en ai Ă  vous 21 septembre 2016 – Anne – Petits morceaux de vie Bonjour Monsieur Lenoir, je viens vous remercier pour votre travail il m’est trĂšs prĂ©cieux. En effet mon travail consiste Ă  aider des gens dont la vie est devenue difficile. Ils ont pour beaucoup perdu “la lumiĂšre” et ils parlent
.. moi je les Ă©coute et je dois les aider Ă  retrouver un peu de bonheur. Vos ouvrages sont remplis de lumiĂšre de joies et de bonheur je m’en sers beaucoup Ă  l’intĂ©rieur on y trouve de l’espoir, de l’humilitĂ© et une simplicitĂ© remarquable Ă  transmettre de la joie Ă  ceux pour qui le bonheur semble si lointain. Je voulais vous le dire tout simplement, je pense que vous rallumez beaucoup d’étoiles rire “il est grand temps de rallumer les Ă©toiles” Apollinaire. Un grand merci Ă  vousSamedi 17 septembre 2016 – AlessF – Merci de nous faire autant de bien Tout simplement heureuse d’avoir fait votre connaissance, je suis tombĂ©e sur vous lors de l’émission de Drucker un aprĂšs-midi parmi tant d’autres
 et lĂ  j’ai entendu votre dĂ©finition du bonheur, et tout Ă©tait limpide pour moi
 vos paroles ont fait Ă©cho dans ma tĂȘte depuis je ne cesse de vouloir acquĂ©rir votre sagesse et votre sĂ©rĂ©nité  merci de donner autant, merci d’écrire pour nous permettre de nous guider sur la voie du bonheur et nous donner accĂšs Ă  la sagesse qui est pour moi la chose la plus importante dans ce monde. Je ne suis ĂągĂ©e que de 22 ans et pourtant votre parcours, et vos livres me passionnent
 je terminerai par encore un merci 
Lundi 12 septembre 2016 – Marie – Partage Bonsoir FrĂ©dĂ©ric, tout d’abord merci pour vos Ă©crits, quand je les lis c’est comme si de l’eau fraĂźche coulait sur mon Ăąme, je me retrouve tellement dans vos paroles, je ne suis pourtant ni philosophe ni thĂ©ologienne. Toutefois j’ai trouvĂ© dommage de ne pas citer les diffĂ©rents sages quand ils s’expriment Ă  chaque chapitre de l’Âme du monde, le livre aurait gagnĂ©, Ă  mon avis, en couleurs et en saveurs dans le sens oĂč les explications donnĂ©es par chaque sage puisent leurs racines dans des traditions qui ne sont pas Ă  renier et qui sont intĂ©ressantes Ă  identifier. Je voulais savoir pourquoi vous avez fait ce choix ? Ceci dit je suis en train de lire un 3Ăšme livre de vous et je me sens tellement en accord avec ce que vous affirmez que je suis fiĂšre de moi, car sans avoir de doctorat je retrouve des paroles que je place ici ou lĂ  dans des conversations, je vais finir par avoir la grosse tĂȘte ! Merci pour ces livres, j’espĂšre qu’ils apportent de la sĂ©rĂ©nitĂ© contagieuse Ă  notre 10 septembre 2016 – jamul495 – La pensĂ©e de Fr. Lenoir Bonjour Mr Lenoir, je suis un jeune homme d’origine congolaise mais vivant actuellement en RĂ©publique Sud-Africaine. Dans mon pays d’origine, la RDC, l’école ne m’avait pas appris Ă  vous connaitre, mĂȘme pas Ă  vous lire un tout petit peu. Je viens de faire une dĂ©couverte de vous ici au pays de Mandela, dans une revue catholique dans laquelle on paraphrase une citation dans laquelle vous faites rĂ©fĂ©rence Ă  Gandhi, je cite Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde» voilĂ  oĂč je viens de vous connaitre, grĂące Ă  votre citation, je me suis dit que je devais connaitre Lenoir, je me rends compte que vous n’ĂȘtes pas noir mais blanc de peau ! Merci beaucoup pour ce que vous ĂȘtes et pour vos pensĂ©es qui peuvent ĂȘtre ou qui sont dĂ©jĂ  en train de transformer le monde. Mon souci est que le Congo vous dĂ©couvre afin de mettre de l’ordre dans mon pays ! Une fois de plus Merci 1er septembre 2016 – Fred – Partage Bonsoir FrĂ©dĂ©ric, il y a 10 ans “je ne savais ni lire ni Ă©crire” et Ă  peine rencontrer. Pourtant votre livre L’Oracle della Luna, aprĂšs un long et fastidieux parcours initiatique, m’a permis de me rencontrer. DerniĂšrement, j’ai eu le bonheur et le plaisir de vous rencontrer, de partager un peu Ă  St Antoine l’Abbaye sur le thĂšme de la joie. Je vous remercie de transmettre ce que vous ĂȘtes. Pour moi des hommes comme vous me confirme qu’il y a de l’espoir dans l’ 25 aoĂ»t 2016 – Sylvie – Il n’y a pas de hasard ! Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure Ă©tait dans ma bibliothĂšque depuis 2011
 je l’ai lu cet Ă©tĂ© 2016 ! Peut-ĂȘtre m’a-t-il fallu ces annĂ©es de vie pour que rĂ©sonne chaque mot ! Depuis, je ralentis ma lecture Ă  la fin de chacun de vos livres, tant je vous y ai rencontrĂ© comme “frĂšre de cƓur”, de l’humanitĂ©. Je vous reçois comme un compagnon celui avec qui on partage aussi les mots car je puise dans vos livres l’énergie suffisante pour, moi aussi, transmettre, guider etc. Je suis pleine de gratitude envers l’Univers pour cette “Puissance Profonde du monde” qui Ɠuvre Ă  travers des hommes tels que vous. Je vous remercie pour cette page des lecteurs mon cƓur, mon Ăąme ont vibrĂ© particuliĂšrement Ă  la lecture de certains tĂ©moignages, notamment ces personnes de plus de 80 ans
 Ma joie d’ĂȘtre au monde est alors dĂ©cuplĂ©e ! FrĂ©dĂ©ric, mon amour bienveillant vous accompagne !Dimanche 21 aoĂ»t 2016 – Lou de MontrĂ©al, CA – Commentaire DĂ©couvrir vos livres est un vĂ©ritable plaisir, ils sont remplis d’informations, de rĂ©fĂ©rences et d’une grande inspiration
 ils sont pour moi un vĂ©ritable cadeau
 merci ! Mon coup de coeur ”La puissance de la Joie”Mercredi 3 aoĂ»t 2016 – Vincent – TrĂšs belle dĂ©couverte Suite Ă  la visite d’un ami Ă  l’occasion des vacances d’étĂ©, celui ci m’a prĂȘtĂ© votre livre l’Oracle della Luna. Un grand merci pour ce moment. Je m’empresse du coup d’en offrir un exemplaire Ă  une amie qui j’en suis certain saura apprĂ©cier ce roman “initiatique”. Merci encore. Bonne journĂ©eMardi 26 juillet 2016 – Mathieu – Mes livres prĂ©fĂ©rĂ©s Ah, les livres de FrĂ©dĂ©ric Lenoir
 RĂ©cemment, j’ai fait le vide dans ma bibliothĂšque pour ne garder que quelques livres ! Mon critĂšre Ă©tait quels sont les 20 livres que je pourrais relire Ă  l’infini ? RĂ©sultat 1/3 des livres sont ceux de FrĂ©dĂ©ric Lenoir. Vivement le prochain !Samedi 16 juillet 2016 – Sigale – Merci
 s Vos livres en perfusions Ă  ceux qui ne lisent pas
 Comme un onguent pour apaiser le feu du tir nourri des questions. Je n’en ai lu que deux
 Mais me suis empressĂ©e de les offrir aux miens les plus jeunes, jeunes adultes
 Merci Merci MerciSamedi 9 juillet 2016 – BĂ©atrice – DĂ©couverte Bonjour Frederic, je viens de finir mon premier roman de vous, L’oracle della Luna. Et je voulais vous adresser la priĂšre des priĂšres
 Merci. Belle journĂ©e Ă  vous
 🙂Vendredi 8 juillet 2016 – Yerouchalaim 12tr – Temps de la fin
 Voici, j’en veux aux pasteurs, et je rĂ©clamerai mes brebis de leur main ; je les ferai cesser de paĂźtre le troupeau, et les pasteurs ne se paĂźtront plus eux–mĂȘmes ; et je dĂ©livrerai mes brebis de leur bouche, et ils ne les dĂ©voreront plus. Et je les ferai sortir d’entre les peuples, et je les rassemblerai des pays, et les amĂšnerai dans leur terre ; et je les paĂźtrai sur les montagnes d’IsraĂ«l, auprĂšs des ruisseaux et dans toutes les habitations du pays. EzĂ©chiel chap. 34, versets 10, 13 Et je vis une autre bĂȘte montant de la terre ; et elle avait deux cornes * semblables Ă  un agneau ; et elle parlait comme un dragon. Apocalypse 13 v. 11 Et tous ceux qui habitent sur la terre, dont le nom n’a pas Ă©tĂ© Ă©crit, dĂšs la fondation du monde, dans le livre de vie de l’Agneau immolĂ©, lui rendront hommage. RĂ©vĂ©lation = Apocalypse, ch. 13, v. 8 Je regardai cette corne faire la guerre aux saints et l’emporter sur eux. * puissancesSamedi 25 juin 2016 – Marchepascal Pascalhallou – Une poĂ©sie qui va bien avec vos propos Seul La nuit tombe, cette fois-ci la derniĂšre! En croix face au ciel, seul en priĂšre
 PĂšre, pourquoi m’as-tu abandonnĂ©? Cela me semble loin, l’éternité  Je suis lĂ , pour qui pourquoi dis-moi? En plus ils ne savent pas ce qu’ils font!!! 100 fois je suis tombĂ©, admettons
 Mais lĂ  clouĂ© en croix “quel effroi” Et ce silence, sacrĂ© silence noir À couper le souffle me manque “î pĂšre” OĂč es-tu ne m’entends pas ce soir? Pourtant si fidĂšle Ă  tes affaires M’affaisse, sang dĂ©gouline perle de vie Que la terre entiĂšre sache ton oubli Et moi je pars dans l’autre monde aaah !!! Le vent emporte mon dernier soufflera
Mercredi 22 juin 2016 – Francesca – Retour du sĂ©minaire Ă  Saint Antoine de l’Abbaye Un grand merci pour ce week-end magique qui m’a beaucoup apportĂ© et ressourcĂ©e. Un autre moyen de faire Ă©merger la joie et que nous n’avons pas Ă©voquĂ© chanter des louanges au Divin. Le fait de chanter nous relie directement Ă  Lui et nous met dans une joie, une paix incommensurables. Maintenant il ne s’agit pas de rester en haut de la montagne, mais de redescendre dans le monde et mettre en application vos messages
 Et booster vos projets. Rayonnons ensemble afin d’apporter un nouveau souffle d’espĂ©rance et de joie oĂč que nous soyons ! A bientĂŽtLundi 20 juin 2016 – Barthelemy Mayers – L’Âme du monde Bonjour FrĂ©dĂ©ric, j’ai lu L’Âme du monde ce weekend et je l’ai trouvĂ© excellent. Ce livre m’a tellement plu que ce matin j’ai repris mon cahier pour prendre des notes. Il m’a fait vraiment du bien car je suis moi-mĂȘme en travail de conscientisation. Vos mots m’ont touchĂ© et ravi. Merci du fond du 4 juin 2016 – Camille – L’Âme du monde Bonjour FrĂ©dĂ©ric, je viens tout juste de terminer votre livre L’Âme du monde, que ma mĂšre m’avait dĂ©jĂ  fortement conseillĂ© il y a un moment, et je dois vous dire qu’en voyant les commentaires de certains autres lecteurs, je m’aperçois que l’émotion est la mĂȘme pour moi. Tout au long de ma lecture j’ai eu envie de prendre des notes, pour ĂȘtre sĂ»re de ne pas oublier, de bien intĂ©grer certaines leçons de sagesse comme vos personnages qui me parlent et me touchent profondĂ©ment. Je suis actuellement en pleine recherche de moi-mĂȘme, de qui je suis, de ce que je souhaite rĂ©ellement, je ne veux pas passer Ă  cĂŽtĂ© et je m’initie pour ça Ă  l’apprentissage de la mĂ©ditation et m’appuie sur diffĂ©rents ouvrages comme les vĂŽtres, je m’écoute, je me retrouve. MERCI pour ce partage, merci pour cette sagesse, merci pour vos livres et merci de continuer ainsi. Je vous envoie une vague d’amour et de bons sentiments. 4 juin 2016 – Luc – Merci Ă  vous Bonjour Monsieur Lenoir, je voulais tĂ©moigner de la puissance philosophique et crĂ©ative de vos livres en effet, ils amĂšnent en toute simplicitĂ© Ă  se questionner sur les fondements de nos choix et actes ; mais d’une maniĂšre positive contrairement Ă  bien des thĂ©ories philosophiques
 Repenser les buts de sa vie et rĂ© apprendre Ă  ĂȘtre content tout simplement du jour qui passe et qui amĂšne avec lui bien des joies simples et fondamentales. Pour cela je vous dis merci, vous ĂȘtes un grand monsieur !
 Luc professeurDimanche 22 mai 2016 – Viviane – Merci pour Dieu Entretiens avec Marie Drucker Cher FrĂ©dĂ©ric. En fĂ©vrier dernier je commençais des Ă©tudes de thĂ©ologie chrĂ©tienne dans mon pays d’adoption, l’üle Maurice et voilĂ  que le mois dernier je tombe par hasard sur ce livre d’entretiens dans notre Institut Français. Je viens de le finir Ă  l’instant mĂȘme et je tiens Ă  vous remercier Ă  chaud car je sens qu’il va m’aider tout au long de ce nouveau parcours que j’ai choisi d’entamer Ă  38 ans. J’ai aimĂ© votre approche objective et respectueuse mais surtout l’épilogue plus personnel qui maintenant me donne l’impression de mieux vous connaĂźtre dans un domaine qui se limite malheureusement Ă  la sphĂšre privĂ©e en France. MĂȘme si vous n’avez pas besoin de publicitĂ©, je parle de ce prĂ©cieux livre Ă  tous ceux dans mon entourage qui sont passionnĂ©s sur le sujet. J’ai dĂ©jĂ  eu un retour positif d’une collĂšgue Ă©tudiante de confession diffĂ©rente. Merci de tout cƓur
 j’ai hĂąte de vous lire pour La Puissance de la 21 mai 2016 – Alexandra – Un grand merci Un grand merci pour le bonheur de lire vos livres
 J’ai d’abord dĂ©couvert, François le printemps de l’évangile
 un trĂšs bon moment. Puis je me suis dĂ©lectĂ©e avec L’Oracle della Luna. Je me suis laissĂ©e porter dans une autre Ă©poque, Ă  la rencontre des diffĂ©rents sages
 Je suis catholique, je vis avec un musulman. Dans L’Âme du monde que j’ai commencĂ© hier soir, je me plonge avec un tel bonheur
 Je repousse le moment de terminer le livre, d’oĂč ma dĂ©cision de vous Ă©crire. J’aurais envie d’apprendre par coeur des pages entiĂšres. Elles me parlent tellement de cette communion spirituelle que l’on peut vivre avec des religions diffĂ©rentes
 MERCI !!!Samedi 30 avril 2016 – Nelii – Une convaincue de plus Bonjour, je ne vous connaissais pas encore hier et ce jour je regarde l’émission de FrĂ©dĂ©ric Lopez “La parenthĂšse inattendue” et lĂ , le choc
 je me sens en phase avec vos phrases
 je quitte l’émission avec l’intention d’acheter quelques livres et de vous connaitre mieux, par ce site dĂ©jĂ , puis vos Ă©crits, pour ensuite Ă©largir mes horizons. Alors 24 avril 2016 – Nadia – Une vĂ©ritable rĂ©vĂ©lation Bonjour FrĂ©dĂ©ric, voilĂ  des mois que la couverture de votre livre L’Âme du monde attire mon regard dans les librairies, sans que je sache pourquoi et sans que je cherche Ă  en savoir plus sur cet ouvrage. Jusqu’à ce jour oĂč je le prends enfin en main dans la bibliothĂšque de mon quartier. Je l’ai lu en 3 jours tellement il a Ă©tĂ© une rĂ©vĂ©lation et je suis partie l’acheter. Ainsi chaque jour, je l’ai Ă  mes cĂŽtĂ©s et je lis un passage afin de m’en imprĂ©gner encore plus. Et puis, j’ai lu Coeur de cristal, en quelques jours Ă©galement
 La Puissance de la joie est Ă©galement un de mes prochains projets de lecture. Je tiens Ă  vous remercier car vous ĂȘtes un auteur qui m’inspire rĂ©ellement, je n’ai jamais autant “accrochĂ©â€ sur une personnalitĂ©, mais lĂ  vos livres et vos confĂ©rences me touchent en plein coeur. MERCI !Dimanche 10 avril 2016 – NR – James Tabor et votre livre ” Comment JĂ©sus est devenu Dieu” Bonjour FrĂ©dĂ©ric, je suis une fan des “Racines du ciel” et ai un Ă  priori trĂšs positif sur votre travail et dĂ©marche. Cependant j’ai Ă©tĂ© trĂšs déçue par votre livre Comment JĂ©sus est devenu Dieu que je viens de lire sur Kindle. Je venais d’achever “La Vraie histoire de JĂ©sus” du fabuleux archĂ©ologue historien amĂ©ricain que j’avais dĂ©couvert par hasard tandis que je cherchais un livre intĂ©ressant sur JĂ©sus pour le baptĂȘme de mon neveu. Votre livre fait un pot pourri du nouveau testament sans beaucoup de regard critique historique. C’est une bonne dissertation qui semble complĂšte mais qui reste malheureusement trĂšs superficielle et prend peu en compte les recherches historiques fort intĂ©ressantes telles celles de James Tabor. J’imagine pourtant que vous connaissez ses Ă©crits ? Pourquoi ne l’invitez-vous pas aux Racines du Ciel ? J’ai trouvĂ© son approche des plus solides et des plus passionnantes
Samedi 9 avril 2016 – Joanne MontrĂ©al – Merci d’Être ! Bonjour FrĂ©dĂ©ric, il y a 3 semaines, je ne connaissais ni votre nom, ni votre existence. À l’entrĂ©e d’une librairie, j’ai aussitĂŽt vu un livre intitulĂ© “La Puissance de la Joie. Et si la Sagesse c’était la Joie de vivre”. Je l’ai achetĂ© spontanĂ©ment en me disant “Ce titre me ressemble! J’ai bien hĂąte de lire ce qu’on a Ă©crit Ă  ce sujet!”. En le lisant, ce qui m’a le plus Ă©tonnĂ©e, c’est de ressentir jusqu’à quel point l’auteur me ressemblait intĂ©rieurement. J’avais l’impression que c’était moi qui m’exprimais mais au masculin ; dans un corps d’homme. C’était tellement intense que j’en ai parlĂ© Ă  ma fille et elle m’a dit “Maman, vous avez le mĂȘme regard!”. J’ai senti que c’était vrai et ça m’a profondĂ©ment touchĂ©e. PrĂ©sentement, je suis Ă  Paris et une petite voix a insistĂ© toute la semaine pour vous partager ce tĂ©moignage que j’aurais pu garder pour moi. Alors profondĂ©ment FrĂ©dĂ©ric, MERCI D’ÊTRE ! Au plaisir de se rencontrer un jour. TrĂšs sincĂšrement et 7 avril 2016 – Gino – Des mots sur une pensĂ©e commune Bonjour, un grand merci pour votre capacitĂ© Ă  comprendre le monde actuel, d’exprimer une vĂ©ritĂ© universelle et de rester humble. Vous ĂȘtes pour moi une preuve vivante qu’il y a de l’espoir et que la bontĂ© mĂ©rite d’ĂȘtre partagĂ©e. Que ce soit pour soi, pour les autres ou pour le Monde, nous avons besoin de joie et d’espoir. Je vous recontacterai une fois que je serai moi-mĂȘme devenu Ă©crivain. Une vraie conversation me semble essentielle pour arriver Ă  une Ă©lĂ©vation similaire Ă  la vĂŽtre. J’ai brulĂ© des Ă©tapes pour en arriver aux mĂȘmes conclusions que vous et pour guĂ©rir je dois passer par l’individuation. C’est l’une des principales problĂ©matiques de ma vie. J’aimerais pouvoir avoir un guide de haut niveau pour que je puisse arrĂȘter de me torturer et pour pouvoir Ă©voluer. Merci d’avoir mis des mots sur la pensĂ©e de l’ñme du 5 avril 2016 – Domi – ConfĂ©rence Ă  Monaco du 04/06/2016 Merci FrĂ©dĂ©ric pour cette magnifique confĂ©rence sur la joie , mĂȘme sans les mots il suffit de vous regarder pour ressentir cet Ă©tat de joie . Votre visage irradie avec une telle intensitĂ© que l’on ne peut que ressentir la joie et l’amour du monde et d’autrui. J’ai lu L’Âme du monde et j’ai Ă©tĂ© littĂ©ralement transportĂ©e de bonheur, je l’ai trouvĂ© tellement beau et expressif que j’en ai offert un exemplaire Ă  un ami dans la peine. Je suis plutĂŽt du style Ă  voir le verre Ă  moitiĂ© plein et cela aide et je savoure chaque instant . Peu importe la mĂ©tĂ©o il suffit de se mettre en harmonie avec ce qui nous entoure et comme vous le dites nous avons la chance de vivre dans un beau pays, alors profitons de tous les sens que la nature nous a donnĂ© laissons-nous habiter par la joie, l’amour et le partage. Merci encore pour vos Ă©crits, tout ce que vous ĂȘtes, heureusement qu’il existe des personnes telles que vous pour transmettre de la joie, de l’authenticitĂ© Ă  tous ceux qui sont dans le 4 avril 2016 – Lassya – Philosophie de la joie Je viens de terminer votre dernier ouvrage, la philosophie de la joie. Mon intĂ©rĂȘt pour Spinoza n’est plus un secret. C’est pour cette raison que j’ai littĂ©ralement dĂ©vorĂ© ce livre. Livre Ă  mettre sous la main de nos ados, parents, amis, voisins, Ă©lecteurs et autre missionnaire
 SĂ©rieusement, ce livre donne l’eau Ă  la bouche. Il ne prĂ©sume de rien, ne clame rien, ne prĂŽne rien sauf un dĂ©sir ardent de vivre
 vie.. en communion avec le monde. BouffĂ©e d’air frais dans ce tumulte incessant qu’est notre sociĂ©tĂ© industrielle
 On comprend bien pourquoi l’éternitĂ© ne se dĂ©finit pas dans une projection future de libĂ©ration mais dans l’instant prĂ©sent, paisible chemin dans la rĂ©alité  Bonne continuité Samedi 2 avril 2016 – Christine Bonjour, je viens de terminer votre livre La puissance de la joie . Comme cela fait du bien de vous lire
 Plaisir, bonheur et joie
 Des mots que l’on aurait presque oubliĂ©s dans notre sociĂ©tĂ©. Vous ĂȘtes un rayon de soleil en ces temps bien perturbĂ©s. Mardi 29 mars 2016 – Sandie Un livre de La puissance de la Joie est maintenant Ă  Calcutta dans les mains de Gaston Dayanand. Je ne suis pas sĂ»re qu’il en ait besoin
 mais ça fait parfois tellement de bien de lire des choses qui nous parlent. J’espĂšre qu’il aura le temps de le lire, il est tellement occupĂ© Ă  s’occuper des autres. A bientĂŽt. Bonne journĂ©eSamedi 26 mars 2016 – Joao – Merci !!! Bonjour Mr Lenoir, je tenais Ă  vous remercier pour votre bel ouvrage L’Âme du monde, que j’ai pris au hasard dans une librairie, que j’ai commencĂ© Ă  lire sur place, je l’ai achetĂ© et je l’ai lu en une soirĂ©e. De trĂšs beaux textes de sagesse qui malheureusement ne sont pas toujours appliquĂ©s !!! Mais le fait de les lire, on si retrouve parfois. Et cela nous redonne espoir !!! C’est le premier ouvrage que je lis mais ça ne sera pas le dernier. Et encore BravoJeudi 24 mars 2016 – Isabelle – Merci Cher FrĂ©dĂ©ric, MystĂ©rieusement, je ne vous ai pas encore lu, mais je vous Ă©coute depuis plusieurs jours merci le net votre pensĂ©e, votre philosophie rejoint ma façon de voir le monde, de dĂ©crypter la vie. DĂšs que possible j’irai chercher un de vos ouvrages, j’ai encore votre style Ă  dĂ©couvrir 🙂 La lecture et l’écriture sont mes passions depuis que j’ai appris Ă  lire. Je vous Ă©coutais quand ont eu lieu les attentats dans mon pays, Ă  Bruxelles, il n’y a pas de hasard, vos mots guĂ©rissent
Jeudi 17 mars 2016 – Anita – Vers l’apaisement avec L’AME DU MONDE Cher FrĂ©dĂ©ric, je relis ponctuellement un chapitre pris au hasard de L’Âme du monde lorsque ça ne va pas trop. Cela fait souvent Ă©cho Ă  la situation que je traverse et me permet de m’apaiser. Je peux ensuite rĂ©flĂ©chir plus clairement et agir avec plus de justesse. Merci profondĂ©ment pour ce fabuleux texte qui m’aide et m’inspire rĂ©guliĂšrement. Jeudi 10 mars 2016 – Ronny – Nombre de dieux AprĂšs la lecture du Petit traitĂ© d’histoire des religions dans ma langue maternelle, qui est le nĂ©erlandais je ne pouvais qu’ observer qu’aprĂšs la dĂ©monstration de l’ Ă©volution tous les objets ont une Ăąme, le polythĂ©isme, un seul dieu on arrivait finalement au 
 “zĂ©ro dieux”.Mercredi 2 mars 2016 – ValĂ©rie – Remerciement Bonjour Mr Lenoir. J’ai lu votre livre La puissance de la joie, qui m’a Ă©tĂ© prĂȘtĂ© par ma prof de yoga. J’ai Ă©tĂ© particuliĂšrement touchĂ©e par vos pensĂ©es, vos analyses, vos expĂ©riences, auxquelles j’adhĂšre complĂštement. Cette lecture m’a fait un bien fou ! et une flamme de joie s’est invitĂ©e en moi au fil des pages, ainsi que des transformations intĂ©rieures. Merci pour cela, que la joie grandisse, grandisse en nous tous. Au plaisir de vous lire encore et de vous Ă©coutez peut-ĂȘtre Ă  2 mars 2016 – Raissa – Conseil Bonjour FrĂ©dĂ©ric. J’aime ĂȘtre joyeuse comme tout le monde. Cependant, lorsque je suis trop heureuse, les jours qui viennent deviennent tristes. Et aprĂšs, la joie revient. J’ai fait cette remarque et depuis lors, j’ai peur d’ĂȘtre trop en joie. Parce que la suite sera tristesse. Une tristesse qui se voit profonde et me fait couler des larmes. Que faire ?Jeudi 25 fĂ©vrier 2016 – Fabienne Il y avait Aristote, Platon, Kant, Rousseau et tant d’autres, mes pĂšres nourriciers et maintenant, il y a vous, un merveilleux contemporain qui a su intelligemment s’adapter Ă  notre Ă©poque avec des moyens de communication supplĂ©mentaires. Continuez ainsi car la sociĂ©tĂ© aura toujours besoin de penseurs partageant la connaissance par la rĂ©flexion avec bienveillance, Ă©motion et simplicitĂ© comme vous le faites. Merci d’ĂȘtre aussi bon tĂ©moin et passeur de notre temps. Pensez Ă  la rĂ©gion de Montpellier pour vos prochaines confĂ©rences !Jeudi 18 fĂ©vrier 2016 – Cath – Merci Je voulais tout simplement vous remercier pour vos livres empreints de bontĂ© et de sagesse. C’est toujours un bonheur de vous lire. Je viens de finir L’ñme du monde et ce livre possĂšde tellement de rĂ©ponses Ă  certaines de mes questions
 MERCI infiniment !!Mercredi 17 fĂ©vrier 2016 – D’elfe – Merci ! Merci FrĂ©dĂ©ric Lenoir. Je suis en train de lire La puissance de la joie, offert par un ami qui explore actuellement les facettes de ce sentiment porteur de vie ! Ce qui me met en joie ? Vous lire, Ă  cĂŽtĂ© du feu de cheminĂ©e, une tisane et un carreau de chocolat Ă  mes cĂŽtĂ©s. Tout simplement. Merci la vie. Merci Monsieur Lenoir. Et bravo pour la fluiditĂ© de votre Ă©criture, vous savez comme nul autre nous amener, l’air de rien, vers la sagesse des plus grands penseurs
Mercredi 17 fĂ©vrier 2016 – La Chouette Bonsoir, j’ai lu certains de vos livres, j’ Ă©tais Ă  votre confĂ©rence St Jean Ă  Grenoble. La puissance de la joie achetĂ© dĂšs sa sortie m’a permis de me mettre en chemin afin de retrouver la joie intĂ©rieure suite Ă  une rupture de ma derniĂšre fille et de son mari, je suis maintenant privĂ©e de 4 petits enfants . Merci pour votre simplicitĂ© , votre joie qui sort par tout votre ĂȘtre, l’expression de votre visage et vos yeux qui pĂ©tillent. Le petit traitĂ© de vie intĂ©rieure est venu complĂ©ter le prĂ©cĂ©dent. Je réécoute vos confĂ©rences afin de mieux avancer sur ce chemin de travail sur soi, je me fais aider. Votre joie active et passive est dans les conversations des amies le 8/01. Merci et continuez Ă  Ă©crire et/ou Ă  parler .Mardi 16 fĂ©vrier 2016 – Chantal – Y’a de la joie Bonjour FrĂ©dĂ©ric, j’ai fait une dĂ©couverte hors du commun samedi 13 fĂ©vrier
 Vous ! Une inspiration pour ma vie. Je n’ai pas encore lu un de vos livres, mais j’ai le goĂ»t de les dĂ©couvrir TOUS. Il n’y a pas de hasard, la confĂ©rence a eu lieu dans un moment nĂ©cessaire pour mon cheminement. Cette journĂ©e confĂ©rence Ă  laquelle j’ai assistĂ© avec mon merveilleux amour nous a inspirĂ©s et je vous remercie mille fois pour 16 fĂ©vrier 2016 – Line – ConfĂ©rence du 12 fĂ©vrier Ă  MontrĂ©al Bonjour, je suis, depuis samedi, dans la Joie et je suis aussi Ă©mue d’y ĂȘtre encore aujourd’hui les deux pieds bien ancrĂ©s dans la joie. Je ne vous connaissais pas et j’ai eu la chance d’ĂȘtre invitĂ©e par une bonne amie Ă  me rendre Ă  votre confĂ©rence et Ă  Ă©couter vos paroles sages. Pour moi ce fut une rĂ©vĂ©lation. Les 5 minutes de mĂ©ditation en dĂ©but de confĂ©rence m’ont aussi rĂ©vĂ©lĂ© un cĂŽtĂ© de moi que j’ignorais, soit la beautĂ© d’ĂȘtre dans le moment prĂ©sent
 vous ĂȘtes maintenant mon accompagnateur et vous ĂȘtes aussi dans mes pensĂ©es. J’ai aussi dĂ©cidĂ© de rĂ©pandre la bonne nouvelle en vous faisant connaĂźtre Ă  des amies chĂšres Ă  mon cƓur
 j’ai hĂąte de vous croiser Ă  votre prochain passage Ă  MontrĂ©al, qui j’espĂšre, sera Ă  nouveau Ă  2016
 une fan pour la vie !Lundi 15 fĂ©vrier 2016 – Jacqueline – Samedi 13 fĂ©vrier 2016 – Y’a d’la JOIE Cher FrĂ©dĂ©ric. Lors de la journĂ©e pour cĂ©lĂ©brer officiellement la sortie au QuĂ©bec de ton plus rĂ©cent livre La Puissance de la joie, j’ai vĂ©cu une reconnexion avec mon Ăąme, ce bonheur d’aimer et d’ĂȘtre aimĂ©e. J’ai vibrĂ© Ă  ce bonheur d’ĂȘtre. Merci pour cette puissante expĂ©rience FrĂ©dĂ©ric, elle restera marquĂ©e dans mon cƓur oĂč que j’aille. Tu as dit lors de ta confĂ©rence je ne suis pas un gourou ni un maĂźtre de sagesse. Moi, je dirais que tu es un grand maitre de la vie, tout comme dans ton livre Socrate JĂ©sus Bouddha, non pas en comparaison de la grandeur physique de JĂ©rĂ©my Demay
 rire, mais en terme de joie de vivre, gĂ©nĂ©rositĂ©, bontĂ©, humanitĂ©, douceur, simplicitĂ©, spiritualitĂ©, autodiscipline, compassion, intelligence, etc. Je retiens tes paroles exister est un fait et vivre est un matin, mes yeux se posent sur ces mots Le choix 1 Matelas BONHEUR. J’étais dans cet Ă©tat de bonheur. De tout mon coeur Jacqueline xxDimanche 14 fĂ©vrier 2016 – Janique – Tellement merci ! Bonjour FrĂ©dĂ©ric, nous sommes au lendemain de la superbe journĂ©e Y’a de la joie avec toi, Christine et les autres porteurs de bonheur et je suis tellement remplie de gratitude et de reconnaissance. Je vous aurais Ă©coutĂ© pendant des heures. Tout de vous parle, vos mots, vos yeux, votre charisme et votre bontĂ©. J’ai notĂ© une citation que vous avez partagĂ©e avec nous soit celle de St-Augustin qui dit que la joie, le bonheur c’est de continuer Ă  dĂ©sirer ce qu’on a dĂ©jĂ  ! Je suis une personne qui est dans la gratitude depuis un grand bout de temps dĂ©jĂ  ! Trois mots sont dessinĂ©s sur mon corps
 Believe croyance que j’ai dĂ©jĂ , Carpe Diem Saisir le jour, ce que je tends Ă  faire et SĂ©rĂ©nitĂ© ce que je tends Ă  atteindre. C’est avec des guides comme vous que notre Ăąme reçoit comme une grosse caresse, des mots, des gestes, des regards qui nous donnent envie de poursuivre dans notre cheminement. Merci pour ces extraordinaires parcelles de bonheur que vous avez semĂ©es sur ma 14 fĂ©vrier 2016 – Bela – Commentaire J’ai assistĂ© Ă  votre confĂ©rence, c’était trĂšs nourrissant, nous avons besoin d’apprendre et entendre ces phrases comme comment garder un Ă©tat de joie et de paix pour pouvoir grandir et mieux supporter l’existence. J’ai la puissance de la joie en ma 14 fĂ©vrier 2016 – Caroline – La puissance de la joie Bonjour FrĂ©dĂ©ric, je me permets de vous appeler par votre prĂ©nom puisque vendredi dernier vous avez passĂ© la journĂ©e avec moi assis dans mon salon devant un feu de foyer. Bien sĂ»r, vous y Ă©tiez virtuellement Ă  travers les mots de votre livre ” la puissance de la joie” . Quel beau moment, j’ai passĂ© Ă  vous lire, Ă  vous dĂ©couvrir et Ă  apprendre le sens de la joie que je tente de faire rĂ©apparaĂźtre dans ma vie. Car depuis le dĂ©cĂšs de ma conjointe, disons que la peine Ă  pris plus de place que la joie. Alors pour cela, merci et merci pour votre prĂ©sence Ă  MontrĂ©al en cette journĂ©e d’un froid sibĂ©rien. Je suis sortie de chez moi pour aller vous Ă©couter et vous rencontrer lors de la confĂ©rence “journĂ©e y’a de la joie”. Vous ĂȘtes Ă  l’image de vos Ă©crits, charmant et inspirant. Encore merci !Mercredi 3 fĂ©vrier 2016 – Diane – La puissance de la joie J’écoutais votre entretien radiophonique sur la chaĂźne ICI Radio-Canada, hier dans ma voiture, et j’ai senti une grande paix m’habiter. Depuis le dĂ©but de janvier que je cherche Ă  Ă©crire dans mon agenda 2016, mon grand POURQUOI. Je l’associais Ă  une forme de rĂ©ussite sociale, de reconnaissance et je sentais le vide, tout Ă  coup le mot joie est montĂ©. La joie dans mon coeur, le sens de la dĂ©couverte, de l’émerveillement, de la beautĂ© et la grandeur de la Vie. De transpirer la joie autour de moi. De savoir que vous avez Ă©crit un livre sur la puissance de la joie a fait tout d’un coup dĂ©cupler la mienne. La lecture de votre livre sera un support inestimable. Merci !Mardi 2 fĂ©vrier 2016 – Marie Jocelyne – Du bonheur un voyage philosophique Je vous ai connu grĂące Ă  une entrevue diffusĂ©e par Radio-Canada, Ă  l’émission Second Regard. Puis je me suis donnĂ© “Du bonheur” en cadeau de NoĂ«l. J’ai adorĂ© ĂȘtre accompagnĂ©e par vous et aussi par Spinoza, Montaigne, ÉpictĂšte, 
 et par la sagesse orientale. Je suis nĂ©e en 1962 tout comme vous. Il semble toutefois que je prenne plus de temps pour devenir qui je suis. Votre bouquin me donne la main dans cette dĂ©marche vitale. Merci, merci, de l’autre cĂŽtĂ© de la 31 janvier 2016 – Ishraq – Un petit mot de reliance Bonjour FrĂ©dĂ©ric, en chemin depuis longtemps, je suis heureuse de vous Ă©couter car vous apparaissez dans une humanitĂ© simple, pleine de bon sens. Je me relie Ă  vos rĂ©flexions sur le monde et l’humain car je partage vos conclusions, vos Ă©vocations. Ce petit mot pour manifester ma participation Ă  cet Ă©grĂ©gore de personnes humaines en chemin, qui Ɠuvrons du mieux que nous pouvons lĂ  oĂč nous sommes, lĂ  oĂč nous en sommes. VoilĂ  c’est un petit signe d’une existence qui cherche Ă  Etre
. nous ne sommes pas seuls, ni les seuls. Cordialement, MartineDimanche 31 janvier 2016 – Foulosophe – Mes remerciements et mes pensĂ©es joyeuses Dimanche, il est 10 heures et je quitte mon monde de rĂȘves. Les yeux ouverts, il m’est maintenant difficile de dire oĂč j’étais. Il est tellement beau ce monde que certains matins je ne voudrais pas le quitter. Ce monde c’est moi qui l’aie imaginĂ© et qui le construit mais pas tout seul, pas par hasard ! Mon environnement quotidien, les personnes que j’aime et parfois celles que je dĂ©teste, ce que l’on m’a appris, ce que j’ai oubliĂ©, ce que je fais, ce que je n’arrive pas Ă  faire
 tout cela nourrit et pousse dans le grand champ de mon Âme et de de mon CƓur. Alors des Sages, des Esprits, des Fous, des Artistes et principalement des Musiciens, des Chanteurs, des Écrivains me disent c’est Ă  toi Cultiv’Acteur, de faire pousser, d’arroser, de cueillir, de partager et de profiter naturellement des fruits de la joie. Oui c’est Ă  moi qu’il appartient en prioritĂ© de donner de la Puissance Ă  ma Joie ! À vous FrĂ©dĂ©ric LENOIR qui m’apprenez Ă  cultiver cette joie, merci. EricVendredi 29 janvier 2016 – HĂ©lĂšne – Bonne AnnĂ©e FrĂ©dĂ©ric Cette nuit je me rĂ©veillais et pensais que vous Ă©tiez un vrai artisan de la paix dans le monde. En effet, grĂące Ă  vos confĂ©rences accessibles sur internet et tous vos livres, vous permettez Ă  tant de gens de faire la paix avec eux-mĂȘmes. Nous savons que tout commence par la relation que l’on a avec soi. Alors encore MERCI Ă  vous pour tous ces partages, pour cette GENEROSITE, aussi pour votre HUMILITE, cela fait tellement de bien Ă  L’HUMANITE. J’ai juste eu envie de vous dire ce que je pensais et de vous souhaiter sincĂšrement une TRES BONNE ANNEE 2016, il est encore temps !Jeudi 28 janvier 2016 – Elga – Buch Was ist ein GeglĂŒcktes Leben Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure Gutes Buch zum nachdenken lernen und sich annehmen
 Traduction Bon livre pour apprendre Ă  rĂ©flĂ©chir et prendre soin de 28 janvier 2016 – Marion UN GRAND MERCI. Avant je ne lisais pas
 Et vous m’avez donnĂ© goĂ»t Ă  la lecture. Le premier livre que j’ai lu est Le Bonheur
 J’étais Ă  une pĂ©riode de ma vie oĂč je n’allais pas bien je lisais dans le train, en marchant, chez moi
, il m’a rĂ©ellement aidĂ©. En ce moment je lis Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure. Et encore un GRAND MERCI. CONTINUEZ A ÉCRIRE !Mardi 26 janvier 2016 – CĂ©line de Strasbourg – Merci Merci, merci de m’avoir conduit Ă  la libĂ©ration il y a ceci un an. C’est en effet, dans un contexte de santĂ© et de moral houleux, alors que je lisais le chapitre sur la libertĂ© de votre livre L’ñme du monde, que l’inimaginable est enfin arrivĂ© j’ai arrĂȘtĂ© de fumer. Par peur certes mais surtout par prise de conscience de n’ĂȘtre plus que l’esclave de ces envies continuelles de fumer. Merci donc de m’avoir permis de retrouver ma libertĂ©, de m’avoir permis de me rĂ©concilier avec moi-mĂȘme je m’en voulais tant d’avoir fumĂ© pendant ma grossesse et ensuite et de m’avoir initiĂ©e sur la voie du changement, de l’apprĂ©ciation du moment prĂ©sent dĂ©sormais non polluĂ© par ces pulsions nicotiniques en Ă©voquant la pratique mĂ©ditative. Aujourd’hui et dĂ©sormais, je continue mon parcours vers l’acceptation de mes douleurs et la captation des bonheurs simples et si nombreux dans la vie. Merci beaucoup d’ĂȘtre vous, de transmettre votre 25 janvier 2016 – Catherine – La puissance de la joie Bonjour FrĂ©dĂ©ric, j’ai adorĂ© votre dernier livre La Puissance de la joie. Je ressens depuis quelques mois une profonde tristesse et beaucoup d’abattement comme beaucoup de Français aprĂšs les attentats et chaque fois que j’entends la triste litanie des migrants naufragĂ©s. Puis, pour me consoler j’ai lu votre dernier ouvrage et j’y ai puisĂ© beaucoup de force. Ma joie intĂ©rieure, qui n’est jamais bien loin heureusement, est revenue Ă  la lecture de vos propos. Merci Ă  vous de nous Ă©clairer toujours aussi bien sur les tourments de nos Ăąmes et de toujours voir le verre Ă  moitiĂ© plein. Je vous suis depuis longtemps Ă  travers vos Ă©crits et tenais Ă  vous fĂ©liciter pour votre parcours. Continuez Ă  nous consoler et Ă  nous faire grandir. Merci !Jeudi 21 janvier 2016 – Rolande rolandeb – ApprĂ©ciations J’ai lu tous vos livres. Et il me tarde d’avoir entre les mains La puissance de la joie. C’est toujours avec un appĂ©tit vorace “que je vous dĂ©vore” !!! Je suis ĂągĂ©e de 86 ans et le temps m’appartient pour ensuite digĂ©rer le tout. Je vous trouve encore jeune pour avoir assimilĂ© toutes ces rĂ©alitĂ©s que vous partagez
 FELICITATIONSJeudi 21 janvier 2016 – Maddy Besson – Le hasard “Dieu qui passe incognito” Einstein Une amie me recommande un ouvrage sur le bonheur, je tape sur le site de Payot en ligne et je m’aperçois que cet ouvrage est trop couteux pour moi !!! Sur la page, je dĂ©couvre l’ouvrage Du bonheur, un voyage philosophique, et l’auteur FrĂ©deric Lenoir me rappelle le nom de famille de ma grand-mĂšre
 Lenoir
 Je tente ma chance et je commande ce livre en version poche qui correspond Ă  ce que je recherche
 m’instruire sans me ruiner !!! Et lĂ , une immense surprise m’attend, un auteur, qui jusque-lĂ  m’était inconnu, m’apporte des rĂ©ponses Ă  mes questions, un rĂ©el soutien et surtout la Joie de retrouver ma Joie de Vivre !!!!!! Merci, Merci, Merci
 de mettre Ă  la portĂ©e de tout un chacun votre richesse, vos connaissances et votre Joie de Vivre. En vous souhaitant une belle 20 janvier 2016 – Isabelle Lyon – Coeur de cristal Je suis en train de dĂ©couvrir CƓur de cristal, que j’ai dĂ©couvert par hasard sur une Ă©tagĂšre de librairie. J’ai beaucoup accrochĂ© sur l’idĂ©e du conte. J’ai lu les citations en guise de rĂ©confort avant de reprendre le travail
 et depuis j’ai lu la moitiĂ© du livre et je continue. C’est tout simplement beau, Ă  la fois lĂ©ger et terriblement profond. A recommander pour tous les grands et pas uniquement aux enfants. Merci 20 janvier 2016 – RĂ©gine – L’ñme du monde Bonjour, L’ñme du monde est le premier livre de FrĂ©dĂ©ric Lenoir que j’ai lu et il est vrai, qu’il est le premier d’une longue liste. J’avoue que ces lectures ont Ă©tĂ© les prĂ©mices d’un profond changement en moi, Ă  la fois d’un point de vue professionnel et personnel. Elles me sont trĂšs utiles en cas d’émotions nĂ©gatives. Je vous remercie infiniment pour cette approche de la vie qui ces lectures sont trĂšs accessibles pour des lecteurs non initiĂ©s comme je le suis. Je vous souhaite une trĂšs belle continuation et une trĂšs belle annĂ©e, remplie d’énergie, de passion, 
Mercredi 13 janvier 2016 – Florence – Remerciement Cher FrĂ©dĂ©ric Lenoir, merci d’avoir Ă©crit “Petit traitĂ© de vie intĂ©rieure”. Je le conserve dans mon sac et le feuillette rĂ©guliĂšrement pour me ramener Ă  l’essentiel et rectifier mon comportement. Je le feuillette aussi quand je dĂ©sespĂšre des difficultĂ©s rencontrĂ©es pour communiquer avec les autres et du manque d’ouverture dont la plupart d’entre nous faisons preuve. Je suis d’un tempĂ©rament emportĂ© issu d’un manque de confiance en moi causĂ© par cette “blessure narcissique” que nos parents nous infligent parfois et dont vous expliquez si bien la teneur. Il y a tout ce en quoi je crois dans votre livre, suffisamment vulgarisĂ© pour rester Ă  portĂ©e de tous, et je me rĂ©gale de l’offrir pour en rĂ©pandre la sagesse, du moins essayer car, comme l’a dit Einstein, “il est plus facile de briser un atome qu’un prĂ©jugĂ©â€. Votre livre devrait ĂȘtre offert Ă  chaque nouveau-nĂ© ! GrĂące Ă  vous je me plonge Ă  prĂ©sent dans les Ă©crits de Marc AurĂšle. Merci lĂ  encore de me l’avoir fait dĂ©couvrir. Belle annĂ©eMardi 12 janvier 2016 – Christine Je tenais Ă  vous souhaiter une trĂšs heureuse annĂ©e 2016. Qu’elle vous apporte bonheur, joies partagĂ©es, projets, 
 Je vous remercie pour vos livres et vos confĂ©rences. J’ai toujours beaucoup de bonheur Ă  dĂ©couvrir vos 12 janvier 2016 – Bribri73 – La Puissance de la joie Un grand merci pour votre livre qui me confirme que certains jugements ou constatations que je portais sur la sociĂ©tĂ© actuelle et sur moi-mĂȘme remise en question, influence de la religion
 Ă©taient justes. Je ressentais ces choses mais je ne savais pas bien les exprimer. GrĂące Ă  vous, vos expĂ©riences multiples, je me sens bien et j’en Ă©prouve une joie profonde que je vais essayer de faire partager Ă  tous ceux que j’aime
 Merci 11 janvier 2016 – Catherine – Calendrier Cher FrĂ©dĂ©ric Lenoir, s’il vous plaĂźt, pensez Ă  la rĂ©gion de Nimes pour vos confĂ©rences ou week end de rĂ©flexion. Merci infiniment, tous mes vƓux de chaleureuse audience !Samedi 9 janvier 2016 – Sandrine – La Puissance de la joie Cher FrĂ©dĂ©ric, je viens de finir votre livre La Puissance de la joie et en le refermant, j’ai pensĂ© que si vous aviez Ă©tĂ© prĂšs de moi, je serai allĂ©e joyeusement vous embrasser pour vous remercier
 Je commence bien 2016 ! C’est toujours un plaisir de vous lire mais est-ce que parce que je me sentais moins alignĂ©e sur moi-mĂȘme ces temps-ci, ne sachant plus trĂšs bien oĂč j’allais, j’ai ressenti une vraie connexion avec une joie profonde en lisant ce livre et il m’a aidĂ©e Ă  me recentrer sur qui je suis profondĂ©ment, mon Ă©lan de vie et mes projets pour participer Ă  amĂ©liorer le monde. J’ai aussi beaucoup apprĂ©ciĂ© votre partage d’expĂ©riences personnelles pour illustrer vos propos car je trouve que cela participe Ă  rendre encore plus humain vos Ă©crits. Merci beaucoup et trĂšs belle annĂ©e 2016 !Vendredi 8 janvier 2016 – Dakini – Remerciement Je vous ai Ă©coutĂ© hier soir Ă  Valence, je vous avais dĂ©jĂ  entendu grĂące Ă  votre livre La Puissance de la joie. Vous avez renforcĂ© mes croyances, mes rĂ©flexions, tout rĂ©sonnait juste pour moi. Sauf un seul point, celui concernant l’intuition. Dans le dernier “science et avenir” des neuro- scientifiques tiennent un discours moins radical. Il ne faut pas toujours se fier Ă  notre intuition
 la raison parfois nous permet de l’analyser et d’agir avec discernement. Je vais tout de mĂȘme essayer de renforcer mon intuition concernant mes appels tĂ©lĂ©phoniques, pour expĂ©rimenter
 sourire. Vous ĂȘtes une personne pleine d’énergie positive, qui nous contamine et c’est bien. A bientĂŽt Mr Lenoir car je vais relire avec plus d’attention votre “Puissance de la joie”.Mercredi 6 janvier 2016 – Cathia – Bonne annĂ©e Merci d’écrire vos livres qui ouvrent notre cƓur afin que s’invite le bonheur. Merci de nous rappeler que ce noble sentiment qui nous relie, hommes, femmes et enfants, est puissant, il nous tient en vie au prĂ©sent. Soyons sĂ»rs qu’en le nourrissant, les ĂȘtres sur cette terre feront taire les guerres
 Merci de nous aider Ă  contrĂŽler notre Ă©go car nous sommes tous Ă©gaux. Merci d’écrire car vivre en harmonie sans juger autrui est un art. Une trĂšs bonne annĂ©e M. LenoirMardi 5 janvier 2016 – Alice – La puissance de la joie Je viens de lire La puissance de la joie et ce fut un grand mĂ©nage. Je croyais avoir fait sur moi tout le travail que vous prĂ©conisez et bien non, Ă  83 ans je continue “à me mettre au monde” comme dit Marie de Hennezel. Ma vie Ă  14 ans Ă©tait de rentrer Ă  l’usine, mes parents Ă©taient trop pauvres pour que je puisse continuer mes Ă©tudes. La maladie Ă  30 ans 6 mois de sana laissant Ă  la maison 3 enfants, a complĂ©tement changĂ© ma vie. A 50 ans j’animais des sĂ©minaires dans une grosse entreprise sur la communication, en mĂȘme temps j’animais des stages d’insertions. J’ai Ă©crit mes souvenirs pour mes petits-enfants et quelques amis, j’étais sĂ»re que j’étais arrivĂ©e au bout. Et bien non, votre livre m’a fait dĂ©couvrir combien malgrĂ© tout ce travail fait pour me construire, je restais marquĂ©e par le vouloir TOUT MAITRISER. J’ai bien avancĂ©, Grand Merci !Vendredi 1er janvier 2016 – Karineds – TĂ©moignage du jour 1 de l’annĂ©e 2016 Bonjour, je suis dans cette gare ce matin, seule, en ce jour 1 de l’an 2016, me demandant aprĂšs toutes les pĂ©ripĂ©ties de ma vie en 2015, perte d’emploi, sĂ©paration, problĂšmes financiers, si j’allais vraiment continuer Ă  vivre
 Je suis allĂ©e en attendant mon train au coin presse de cette gare et vu votre livre. Je me suis dis encore un qui nous raconte des sornettes, il ne connait pas la rĂ©alitĂ© de la vie. Mais curieuse, quand mĂȘme, j’ai achetĂ© votre livre Du Bonheur, un voyage philosophique. Je me suis mise Ă  le lire, quelle surprise, quelle joie, je l’ai dĂ©vorĂ© !!! En bref, MERCI, MERCI, d’avoir Ă©crit ce livre !!! Continuez !Vendredi 1er janvier 2016 – RĂ©my – L’ñme du monde Bel ouvrage ! Cependant j’ai trouvĂ© contre productif le ” Ô enfants des hommes” et je regrette l’absence de la note dissonante, la psychanalyse lacanienne motivant par son incrĂ©dulitĂ© et sa suffisance un huitiĂšme enseignement Comment mettre en oeuvre concrĂštement une pensĂ©e post promĂ©thĂ©enne ? Suffisance est entendu au sens de constituer Ă  soi seul le facteur dĂ©terminant pour que soit obtenu l’effet que l’on constate ou le rĂ©sultat que l’on attend en se basant uniquement sur la raison et le savoir scientifique contemporain ; chacun a en tĂȘte la pensĂ©e des enfants de la Commune en ce qui concerne les religions et la culture bourgeoise, inutile donc de dĂ©velopper la confrontation. Bel instant prĂ©sent. CdtPage des lecteurs 2015Page des lecteurs 2014 Page des lecteurs 2013
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EllesĂ©taient ensemble Ă  la crĂšche, les parents d'Andrea habitaient dans le mĂȘme immeuble que nous, 3 Ă©tages au dessus, et elles Ă©taient dans la mĂȘme classe Ă  l'Ă©cole maternelle. Et puis toute la famille est partie s'installer Ă  Singapour et la Plumette a perdu son amie de coeur. Ca a Ă©tĂ© assez difficile Ă  vivre pour elle, et encore maintenant elle me parle beaucoup d'Andrea.

"Concerto pour pas un rond" Avec une fourche de vĂ©lo, un pneu et six cordes, Jean-Louis Mechali fait une guitare. Il donne des cours et des nom. A l'origine, le projet s'intitulait “Lutteries urbaines et lutherie urbaine”, en rĂ©fĂ©rence au combat menĂ© contre la sociĂ©tĂ© de consommation et la musique Ă©litiste. Trop long ! Le patronyme a Ă©tĂ© raccourci en "Lutherie urbaine". Mais la lutte reste la particulier. Tous les instruments de musique sont fabriquĂ©s Ă  partir de matĂ©riaux de rĂ©cupĂ©ration et d'objets dĂ©tournĂ©s de leur fonction premiĂšre poĂ«les Ă  frire, tambours de machines Ă  laver, claviers d'ordinateurs, tuyaux de plomberie, jantes en alu ou pompes Ă  vĂ©lo !Le pĂšre. Jean-Louis Mechali, batteur, compositeur et professeur de musique "Je voulais montrer qu'on pouvait faire de la musique pour pas un rond." Tout en produisant des sons
 ronds chaque instrument s'accorde, permettant de jouer des mĂ©lodies harmonieuses et de naissance. Si Jean-Louis "Ă©cume les poubelles" depuis 2000, Ă  la recherche de dĂ©chets pour "souffler dedans ou taper dessus", innovant toujours, la "ressourcerie" musicale a ouvert ses portes au public en Un atelier de construction instrumentale est proposĂ© chaque dernier dimanche du mois, de 15h Ă  19h. L'association Lutherie urbaine prĂ©sente aussi rĂ©guliĂšrement des crĂ©ations musicales. VĂ©ritables poĂ©sies Dans une ancienne cartonnerie, 59 avenue du GĂ©nĂ©ral de Gaulle, Ă  Bagnolet 93.[ TĂ©lĂ©rama Sortir - 13 avril 2011]... et en particulier cet Ă©tonnant Instrumentarium 
 "MĂ©lodicamateursflĂ»tes" ï»żï»ż "Compressophone" Tous les soleils Ă  l’aube dorment encore un peu engourdis, nonchalants, ils se moquent bien du feu du jour qui les attend, ils chassent les ombres des hommes et des guerres, tous les soleils Ă  l’aube sont comme de grands enfants qui n’ont que faire du temps"-[Silenziu d'Amuri - Alfio Antico] #mulhouse #alsace #france #ig_france #ig_lebanon #iglobal_photographers #ig_europe #city
Oui, je sais, je voulais faire un blog qui ne parle que des expositions bon, faut pas ĂȘtre sectaire, il y a d'autres choses dans la vie... et puis on est pas mardi!Alors je voulais juste vous signaler une petite merveille qui fait chaud au cƓur le film Tous les soleils de Philippe un Ă©norme faible pour le personnage principal, c'est vrai. Et pas seulement parce qu'il est italien et qu'il passe la moitiĂ© du film Ă  s'engueuler dans cette surtout parce qu'il est Ă  la fois monstrueusement agaçant, trĂšs attendrissant, et qu'on a Ă  la fois envie de lui mettre des baffes et de s'identifier Ă  en fait, ce qui me fait craquer, c'est sa capacitĂ© Ă  ĂȘtre en mĂȘme temps trĂšs malheureux et Ă  chercher le bonheur dans un personnage avec une vraie profondeur comme on en fait tout le film est remuant, relations pĂšre/fille, frĂšres, amis, mĂšre/fille, grand-mĂšre/fille, amours dĂ©butants, tout ou presque y est abordĂ©, survolĂ© avec douceur, et donc juste pour vous dire que si vous avez le temps, besoin d'un peu de chaleur, n'hĂ©sitez pas Ă  faire un petit tour dans votre cinĂ©ma favori!
Soleilscouchants Une aube affaiblie Verse par les champs La mĂ©lancolie Des soleils couchants. La mĂ©lancolie Berce de doux chants Mon coeur qui s'oublie Aux soleils couchants. Et d'Ă©tranges rĂȘves, Comme des soleils Couchants sur les grĂšves, FantĂŽmes vermeils, DĂ©filent sans trĂȘves, DĂ©filent, pareils A de grands soleils Couchants sur les
DĂ©couverte - À Auron, dans l’une des stations de sports d’hiver les plus ensoleillĂ©es de France, ou dans les sables chauds des Wahiba Sands, au sultanat d’Oman deux destinations dans la chaleur de la saison plein sud Ă  AuronDeux choses sont dĂ©sormais Ă  peu prĂšs certaines Ă  Auron
 Toujours trouver du soleil sur les pistes 300 jours d’ensoleillement et ĂȘtre assurĂ© d’avoir de la neige, entre novembre, date d’ouverture de la station, et avril, sa fermeture. À 1 h eure et 45 minutes de Nice, dont elle a rejoint la MĂ©tropole, une route exceptionnellement belle conduit Ă  ce domaine de 46 pistes 135 km qui s’ébroue de nouveautĂ©s. Alors qu’un centre aquatique sera inaugurĂ© dans les prochaines semaines, le groupe Partouche s’apprĂȘte Ă  transformer un ancien petit hĂŽtel du cƓur de village en un 5-Ă©toiles de luxe dĂ©diĂ© Ă  la montagne et ouvert toute l’ second projet d’hĂŽtel 5 Ă©toiles, fondu dans un ensemble immobilier de luxe, avec un spa de 1 200 m2, devrait ouvrir concomitamment. CommencĂ© en 2002, la phase de modernisation de la station chic du Mercantour, portĂ©e notamment par la MĂ©tropole Nice CĂŽte d’azur, dont elle est une des 49 communes, est en voie d’achĂšvement. Quatre-vingt-douze millions d’euros ont Ă©tĂ© mis pour moderniser l’ensemble des remontĂ©es mĂ©caniques et se donner les moyens, au cas oĂč, de couvrir 60 % du domaine en neige de culture», explique Pascal Lequenne, directeur de l’office de tourisme. NĂ© en 1937 sur un plateau occupĂ© jadis par des champs de blĂ©, dont il reste quelques granges Ă  grain anciennes et une ravissante chapelle du XIVe siĂšcle, Auron fut la troisiĂšme station en France Ă  s’équiper d’un tĂ©lĂ©phĂ©rique. People, elle accueille dans les annĂ©es 1970 Georges Pompidou - l’ancien prĂ©sident dormait au mythique hĂŽtel Le Pilon, aujourd’hui disparu -, puis, plus rĂ©cemment, la princesse StĂ©phanie, qui y possĂšde un chalet, et le prince Albert II, habituĂ© des pistes. Accessible de Nice gare et aĂ©roport par des navettes Ă  1,50 euro, avec un forfait journalier Ă  35 euros, des conditions mĂ©tĂ©o exceptionnelles et des activitĂ©s d’aprĂšs-ski plutĂŽt bon marchĂ©, la station finit par attirer un public chaque annĂ©e plus nombreux, jusqu’à 10 000 clients par jour en saison. Au-dessus du cƓur du village, architecture Ă©clectique des annĂ©es 1960-1970, dans le quartier du Puy, se sont dĂ©veloppĂ©s des chalets de luxe, occupĂ©s notamment par des familles monĂ©gasques.» À lire aussi - De MegĂšve Ă  Val Thorens, les meilleurs hĂŽtels de montagne dans les AlpesPistes longuesCĂŽtĂ© ski, le site marque des points. Avec 8 pistes noires, 16 rouges, autant de bleues et seulement 3 vertes, Auron 1 600 m n’est pas une station idĂ©ale pour dĂ©buter. On est vite dans la pente, les pistes sont longues et les dĂ©nivelĂ©s impressionnants sur les quatre secteurs. Las Donnas, le front de neige, d’oĂč s’élĂšve un tĂ©lĂ©phĂ©rique Ă©ponyme qui mĂšne Ă  2 450 m, constitue le premier. Du sommet, le ski est panoramique. Face Ă  nous, la chaĂźne des Alpes frontaliĂšres avec l’Italie. À nos pieds, des pistes abruptes, noires, rouges, et de longues routes bleues qui redescendent vers la station. Autre option, emprunter un col impressionnant de beautĂ© TraversĂ©e 2000 pour gagner le second secteur Sauma Longue, que dessert un six-places dĂ©brayable. Puis, vient Demandols, le troisiĂšme et le prĂ©fĂ©rĂ© des skieurs, car plein soleil, desservi par le tĂ©lĂ©siĂšge du belles pistes filent Ă  travers les mĂ©lĂšzes dans un panorama Ă  couper le souffle. MĂȘme Ă©merveillement sur le dernier secteur, le Lieuson, moins frĂ©quentĂ©, dont une piste bleue Gaudissart, doublĂ© Ă  mi-parcours d’une rouge La Croix, offre dans un impressionnant dĂ©nivelĂ© une balade Ă  travers les sapins jusqu’à Saint-Étienne-de-TinĂ©e, la commune sur laquelle est domiciliĂ©e la station d’Auron. On ne rejoint pas le village skis aux pieds, un tĂ©lĂ©siĂšge permet de franchir les derniers obstacles rocheux avant de l’atteindre. Hormis le tĂ©lĂ©phĂ©rique vintage qui vous emporte du cƓur de la station au front de neige de Chastellares 1 650 m, le reste des remontĂ©es mĂ©caniques a fait peau neuve. De nombreux chalets d’alpage, transformĂ©s en restaurant d’altitude, Ă  la cuisine mĂ©diterranĂ©enne, terrasse plein soleil, assurent le dĂ©paysement de cette jolie station des Alpes du Sud dont l’accent du Midi et la singularitĂ© qui l’accompagnent n’ont pas fini de sĂ©duire
 D.Les Mille et Une Nuits» dans les dunes d’OmanMagic Camps, une destination d’exception, dans le dĂ©sert des Wahiba Sands. Karim HeshamÀ l’amble des chameaux, juchĂ© entre leurs bosses, on aperçoit les cĂŽnes des khaĂŻmas lovĂ©es dans un croissant de dunes. Vingt tentes entourent un majilis, ce terme arabe qui dĂ©signe le centre de la maison oĂč se rĂ©unissent famille et amis. Les 4 × 4 nous ont dĂ©posĂ©s Ă  mi-chemin des derniers 11 kilomĂštres Ă  parcourir dans les sables aprĂšs la derniĂšre route asphaltĂ©e du village de Bidiyah, aux portes des Wahiba Sands, dans la rĂ©gion orientale du sultanat d’Oman. Mascate, la capitale, se situe Ă  environ 250 kilomĂštres. Plus proche encore sur la cĂŽte, Sur est un immanquable, Ă  voir pour ses chantiers navals ancestraux oĂč l’on construit des boutres comme au temps de Sindbad, le marin des Mille et Une Nuits, qui est nĂ© Ă  Sohar, au nord de Mascate. Le dĂ©sert des Wahiba Sands est une goutte d’eau dans l’ocĂ©an des sables. Si les dĂ©serts d’Arabie couvrent plus de 1,6 million de kilomĂštres carrĂ©s, celui-ci s’étend sur 150 kilomĂštres de long pour 90 kilomĂštres de large. Mais cela suffit. L’Ɠil humain ne peut pas voir plus porte bien son nom, Magic Camps, le campement privĂ© oĂč nous sommes arrivĂ©s. Son concept a Ă©tĂ© créé par une agence locale, Magic Travel, fondĂ©e sur une autre terre d’histoires et de lĂ©gendes, la Syrie, en 1985. Son logo en dit long, lampe Ă  huile comme celle d’Aladin. Et aussi la prose de Gustave Nadaud dĂ©posĂ©e sur le lit entre autres messages de bienvenue Rester c’est exister, mais voyager c’est vivre.» C’est un nouveau camp, le plus Ă©loignĂ© de tous ceux de la rĂ©gion, mais aussi le plus Ă©lĂ©gant et respectueux de l’environnement. Soyez les bienvenus», lance Jad Naaman, son responsable francophone. Des rafraĂźchissements nous attendent sur la crĂȘte d’une dune amĂ©nagĂ©e d’un lounge. On y monte par une Ă©chelle en bois posĂ©e sur son flanc. Sofas en rotin, tapis, tables basses en bambou sont disposĂ©s comme des siĂšges face Ă  un Ă©cran de cinĂ©ma. Notre projecteur, c’est le soleil qui peint le ciel et puis les dunes. L’immensitĂ© nous saisit. Le silence aussi. Dans ce paysage ondulant comme un plan d’eau ridĂ©, l’émotion monte Ă  mesure que le regard embrasse les courbes voluptueuses, les couleurs qui varient, rosĂ©es, ocres, orangĂ©es, au fil de la lumiĂšre du vent et du fait 25 °C au cƓur de la journĂ©e en ce mois de janvier. Cette nuit, il en fera dix de moins. Fouler le sable encore chaud. Pieds nus, l’énergie de la terre se ressent mieux. Impossible d’instragrammer les images de ce monde que l’on photographie instantanĂ©ment avec son tĂ©lĂ©phone portable. Il n’y a pas de rĂ©seau mais un tĂ©lĂ©phone satellite d’urgence dans le camp. La parole circule comme aux temps anciens oĂč les BĂ©douins dans le dĂ©sert parlaient de poĂ©sie. Abdullah raconte les rites et coutumes du pays. C’est au guide d’expliquer qu’on voyage dans une nature mais aussi Ă  la rencontre d’un peuple», souligne le nĂŽtre, seul Omanais de l’équipage» qui compte surtout des Libanais, des Égyptiens, des Philippins.» À lire aussi - 48 heures Ă  Salalah, palmiers et plages de sable blanc sur la Riviera omanaiseUne divine surpriseL’installation dans les khaĂŻmas est une divine surprise. Chaque voyageur en a deux rassemblĂ©es par un petit enclos. La plus grande, 20 m2, abrite une chambre double au design sobre et chic avec un mobilier en bois naturel, petites tables, chaises, lampadaires, cintres, tapis de coco, grand lit confortable au sommier d’osier tressĂ©, couverture en laine aux tons grĂšges, Ă©crus, anthracite. Le luxe est dans la dĂ©licatesse avant que les convives ne viennent se coucher, une petite bouillotte est glissĂ©e dans leur lit. L’autre tente est une salle de bains inouĂŻe dans le dĂ©sert, privative, avec toilettes semi-sĂšches comme dans un bateau et une douche Ă  l’indienne, avec eau puisĂ©e dans une jarre en tadelakt, lavabo en terre cuite, serviettes moelleuses et miroir sur une coiffeuse. Presque tout vient du Maroc. Sous le majilis dĂ©corĂ© de canapĂ©s, fauteuils, poufs ornĂ©s de coussins, et panachĂ© de lampes en paille, le dĂźner est un point d’orgue, dĂ©bauche de mets raffinĂ©s Ă  base de poissons et de viandes servis dans de la porcelaine blanche qui, elle, vient de nuit, des BĂ©douins viendront danser, chanter, partager un peu leur culture. Demain, l’un d’eux nous recevra pour un dĂ©jeuner sous sa tente Ă  Bidiyah, spot de tourisme Ă©voquant une station de ski oĂč le buggy aurait remplacĂ© la motoneige et les 4 × 4 surfent sur les dunes. Ce sera une option, comme celle de l’excursion dans le Wadi Bani Khalid, Ă  une heure de route de notre campement, oĂč l’on se baignera dans l’eau verte et claire de piscines naturelles peuplĂ©es de petits poissons mangeurs de peaux de pieds, entre les hauts rochers. Mais la plus belle option est celle de l’astronome qui vient tutoyer les Ă©toiles. Les voyageurs autour du feu Ă©couteront ce passionnĂ©, intarissable, au laser bleu qui semble toucher la lune. On la verra, dans sa lunette, pareille Ă  celle de MĂ©liĂšs. On voudra l’écouter jusqu’à l’aube, comme dans un vĂ©ritable conte des Mille et Une Nuits. de routeAURON, Y ALLERDe l’aĂ©roport de Nice et de la gare SNCF, navettes le week-end et bus rĂ©gulier en semaine vous mĂšnent entre 1 h 45 et 2 heures Ă  la station Ă  partir d’ 1,5 €. chalet d’Auron, seul 4-Ă©toiles de la station, dĂ©co contemporaine avec une superbe vue sur la station. Hammam, sauna, jacuzzi et bonne table. TĂ©l. 04 93 23 00 21 ; TABLELe Grizly, sur les pistes du Lieuson, un chalet de montagne avec une belle cheminĂ©e et des icĂŽnes de la gastronomie locale. Forfait 240 € pour deux, transferts moto neige inclus. TĂ©l. 04 93 02 49 SKIAdulte/jour 35 €, semaine 170 € ; Enfant/jour de 5 Ă  11 ans 26,90 €, semaine 130,20 € ; Jeune 12-17 ans et Ăąge d’or 62 ans/jour 24,90 €, semaine 143,90 €.SE RENSEIGNEROffice de tourisme, TĂ©l. 04 93 23 02 66 ; de la station 19 avril Y ALLERAvec Oman Air, vol quotidien depuis Paris vers Mascate Ă  partir de 903 € par personne en classe Ă©conomique, 2 715 € en classe affaires. DĂ©parts possibles aussi depuis six autres villes Bordeaux, Lyon, Marseille, Montpellier, Nice et Toulouse. PrivilĂ©gier le vol de nuit, 6 h 30 pour une arrivĂ©e au petit matin. partir de 765 € par personne pour une nuit au Magic Camp avec le petit dĂ©jeuner et le dĂźner. Vente via des spĂ©cialistes du voyage sur-mesure dont Club Faune Voyages Tselana Travel et les Maisons du Voyage du camp 20 avril 2020. RĂ©ouverture en
Bonnenuit. Si je ne te vois pas dans mes rĂȘves, je te vois demain. Je suis impatient d’aller dormir car je sais que je vais rĂȘver de toi. Bonne nuit. J’aimerais ĂȘtre lĂ  pour dire te dire bonjour. Tu es la raison pour laquelle je passe des nuits blanches. Tu es Rechercher Interne GoogleRĂ©sultats par Messages Sujets Tags Recherche avancĂ©eDerniers sujets» 30 aoĂ»t Bienheureux Eustaquio Van Lieshoutpar ami de la MisĂ©ricorde Aujourd'hui Ă  2236» MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieupar ami de la MisĂ©ricorde Aujourd'hui Ă  2219» Veillons et prions CHAPELET quotidien Ă  la Grotte de Françoise Aujourd'hui Ă  2134» 29 aoĂ»t Martyre de Saint Jean-Baptiste DĂ©collationpar ami de la MisĂ©ricorde Hier Ă  2303» 28 aoĂ»t Saint Augustin d'Hipponepar ami de la MisĂ©ricorde Sam 27 AoĂ» - 2327» 10 aoĂ»t Sainte PhilomĂšnepar Tite Sam 27 AoĂ» - 2002» 27 aoĂ»t Saint AmĂ©dĂ©e de Clermont de Lausannepar ami de la MisĂ©ricorde Sam 27 AoĂ» - 851» La communion dans la mainpar Tite Ven 26 AoĂ» - 1643» La priĂšre des psaumes - par Françoise Jeu 25 AoĂ» - 2303» 26 aoĂ»t Sainte Marie de JĂ©sus crucifiĂ© Maryam Baouardypar ami de la MisĂ©ricorde Jeu 25 AoĂ» - 2302» Quand est-ce que l'Avertissement aura lieu?3 Ă©vĂšnements doivent d'abord arriver par Françoise Jeu 25 AoĂ» - 2123» 25 aoĂ»t Saint Louis Louis IXpar ami de la MisĂ©ricorde Mer 24 AoĂ» - 2301» ChaĂŻne d'amour - Louange vivante et Sylvain Françoise Mer 24 AoĂ» - 2206» 24 aoĂ»t Saint BarthĂ©lĂ©my NatanaĂ«lpar ami de la MisĂ©ricorde Mar 23 AoĂ» - 2224» Les 3 jours de tĂ©nĂšbre au Padre Pio Famille St Joseph - PĂšre JM Verlindepar Françoise Mar 23 AoĂ» - 1023» Les chĂątiments sont proches - Etes-vous prĂȘt ?par Françoise Mar 23 AoĂ» - 728» Les 3 jours de tĂ©nĂšbres du Padre PIO - un enseignement de Fabienne Françoise Mar 23 AoĂ» - 723» 23 aoĂ»t Saint Julien de Lescarpar ami de la MisĂ©ricorde Lun 22 AoĂ» - 2312» Le code Ratzingerpar ami de la MisĂ©ricorde Dim 21 AoĂ» - 2325» 22 aoĂ»t Marie Reinepar ami de la MisĂ©ricorde Dim 21 AoĂ» - 2256» Deux histoires inspirantes de NOEL/Huillam Daverec YouTube 18/12/2021par Françoise Dim 21 AoĂ» - 2032» 21 aoĂ»t Saint Pie Xpar ami de la MisĂ©ricorde Sam 20 AoĂ» - 2329» 20 aoĂ»t Saint Bernard de Clairvaux par ami de la MisĂ©ricorde Sam 20 AoĂ» - 2309» Le SERMON de l'EPIPHANIE - 10 janvier 2021 - Les Capucins de Morgon/ Françoise Sam 20 AoĂ» - 034» 19 aoĂ»t Saint Jean Eudes par ami de la MisĂ©ricorde Ven 19 AoĂ» - 037» 18 aoĂ»t Sainte HĂ©lĂšnepar ami de la MisĂ©ricorde Mer 17 AoĂ» - 2305» 17 aoĂ»t Bienheureuse Leopoldina Naudetpar ami de la MisĂ©ricorde Mer 17 AoĂ» - 2235» L'avenir de Paris et de la France selon la visionnaire Catherine Tite Mar 16 AoĂ» - 1441» 16 aoĂ»t Saint Etienne de Hongriepar ami de la MisĂ©ricorde Lun 15 AoĂ» - 2250» 15 aoĂ»t Assomption de la Vierge Mariepar ami de la MisĂ©ricorde Dim 14 AoĂ» - 2259» 14 aout Saint Maximilien Kolbepar ami de la MisĂ©ricorde Sam 13 AoĂ» - 2326» 13 aoĂ»t Saint DorothĂ©e de Gazapar ami de la MisĂ©ricorde Ven 12 AoĂ» - 2325» 12 aoĂ»t Sainte Jeanne-Françoise FrĂ©miot de Chantal par ami de la MisĂ©ricorde Jeu 11 AoĂ» - 2333» 11 aoĂ»t Sainte Claire d'Assise par ami de la MisĂ©ricorde Mer 10 AoĂ» - 2324» 10 aoĂ»t Saint Laurent de Romepar ami de la MisĂ©ricorde Mer 10 AoĂ» - 006 Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau coffret Ultra Premium ... Voir le deal Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. Vivre avec notre Seigneur et sa mĂšre FORMATION Aller Ă  la page 1, 2, 3 AuteurMessageami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Ven 22 Avr - 816 Rappel du premier message DIEU SEULOULE SAINT ESCLAVAGE DE L'ADMIRABLE MÈRE DE DIEUÀ LA VIERGE FIDÈLESouveraine reine des anges et des hommes, abĂźmĂ© dans mon nĂ©ant, et me reconnaissant entiĂšrement indigne de paraĂźtre en votre sainte prĂ©sence, j'ose nĂ©anmoins, appuyĂ© sur vos maternelles bontĂ©s, le sujet ordinaire de mes plus douces espĂ©rances, vous consacrer cet ouvrage qui ne respire que votre honneur et votre gloire, pour la seule gloire et le seul honneur de Dieu seul, qui est l'unique chose que je dĂ©sire, et que je veux rechercher en toutes entiĂšre et irrĂ©vocable que je vous ai faite il y a longtemps de tout ce que je suis en l'ĂȘtre et en l'ordre de la nature, et de la grĂące et de tout ce qui en dĂ©pend, de toutes les actions naturelles, indiffĂ©rentes et bonnes que j'opĂšrerai Ă  jamais, m'ĂŽte tout le pouvoir d'en user vie, tant intĂ©rieure qu'extĂ©rieure, et gĂ©nĂ©ralement tout ce qui est mien, est plus Ă  vous qu'Ă  moi-mĂȘme, et mĂȘme, ĂŽ ma divine princesse ! n'ayant plus rien Ă  moi, tout ce que j'ai vous appartient par mon Ă©tat et condition de servitude, et je veux et dĂ©sire de tout mon cƓur aujourd'hui, dans un jour tout dĂ©diĂ© en l'honneur du glorieux Archange saint Michel et de tous les anges, en prĂ©sence de tous ces esprits bienheureux que j'invoque avec les soumissions les plus respectueuses Ă  mon secours, vous parlant avec l'un de vos plus vĂ©ritables esclaves, et m'unissant Ă  la saintetĂ© de ses intentions, que vous ayez une puissance spĂ©ciale sur mon Ăąme, sur mon Ă©tat, sur ma vie, sur mes actions, comme sur des choses qui vous appartiennent tout de nouveau par un droit particulier, en vertu de l'Ă©lection que je renouvelle de dĂ©pendre entiĂšrement de votre maternitĂ© et souverainetĂ©, m'abandonnant Ă  tous vos vouloirs, me livrant Ă  tous vos pouvoirs et Ă  tous les effets de votre mon regret est de n'avoir qu'un coeur et une vie pour vous donner. Mais, s'il m'est permis de donner quelque libertĂ© Ă  mes dĂ©sirs, je voudrais avoir autant de coeurs et de vies qu'il y a d'Ă©toiles au ciel, de gouttes d'eau dans la mer, d'Ă©tincelles au feu, de brins d'herbes sur la terre, pour vous les donner, pour vous les consacrer dans l'ordre de votre Fils bien-aimĂ© et pour sa pure gloire. Mais au moins, puisque cela n'est pas en mon pouvoir, je ferai tout et je n'oublierai rien en la vertu de Notre-Seigneur JĂ©sus-Christ, votre Fils adorable, pour vous gagner des coeurs et vous acquĂ©rir des Vierge, il est vrai que mon cƓur se sent plus pressĂ© que jamais de vous aimer, et, si je l'ose dire, il me semble qu'il vous aime, et il me paraĂźt qu'il voudrait disputer avec tous les cƓurs de votre hĂ©las ! que peut faire un misĂ©rable et chĂ©tif cƓur comme il est ? Il appelle donc Ă  son secours tous les neuf chƓurs des anges, tous les cƓurs des saints, et veut vous aimer par tous leurs amours ; et, comme tout cela ne le contente pas, il veut vous aimer par le divin cƓur de conjure ce cƓur trĂšs aimable d'anĂ©antir, par sa puissance et MisĂ©ricorde, tout ce qui est contraire dans tous les cƓurs Ă  l'Ă©tablissement de son rĂšgne, toutes les oppositions que les hommes y forment, tous les obstacles qu'ils y apportent, toute la force et les ruses des dĂ©mons qui le combattent, pour y Ă©tablir l'empire de son amour, afin que les hommes Ă©tant parfaitement assujettis Ă  ses lois, vivant dans un Ă©tat de servitude perpĂ©tuelle, ils soient, ĂŽ glorieuse Vierge, ses vĂ©ritables esclaves et les JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde AuteurMessageami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Sujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mer 1 Juin - 2327 CHAPITRE VIIILa dĂ©votion de la sainte Vierge est prouvĂ©e par les saints PĂšres, l'autoritĂ© des conciles, l'usage de l'Église et la conduite de Dieu mĂȘmeLe bienheureux Pape CĂ©lestin, comblĂ© de joie et de consolation d'avoir vu sous son autoritĂ© ces saints prĂ©lats condamner ce monstre, leur en Ă©crivit une lettre pour se conjouir avec eux, comme aussi Ă  l'empereur, au clergĂ© et au peuple de Constantinople, pour les exhorter de persĂ©vĂ©rer en la dĂ©fense et confession des vĂ©ritĂ©s qui avaient Ă©tĂ© dĂ©terminĂ©es par le ce qui est de saint Cyrille, il ne se peut dire avec combien de larmes de joie il fut reçu en sa ville d'Alexandrie, oĂč ayant fait prĂȘcher le jour de la naissance de Notre-Seigneur un Ă©vĂȘque, qui prononça que le vĂ©ritable Emmanuel avait Ă©tĂ© enfantĂ© par la trĂšs sainte Vierge Marie mĂšre de Dieu, tout le peuple qui avait Ă©tĂ© jusqu'alors dans le silence, poussa de grands cris, disant VoilĂ  quelle est la vĂ©ritable foi, c'est lĂ  le vrai don de grand Cyrille ! Nous souhaitions entendre cette parole que celui qui ne parle point de la sorte, soit anathĂšme. Et ce bon Ă©vĂȘque continuant sa prĂ©dication, comme il eut dans la suite du discours rĂ©itĂ©rĂ© ces paroles, la Vierge mĂšre de Dieu, le peuple pour la seconde fois fit de grands cris, se rĂ©jouissant les larmes aux yeux de ce que ce prĂ©lat parlait ne sais, aprĂšs cela, comme il se trouve des personnes qui, se disant catholiques, tĂąchent de diminuer la dĂ©votion de la MĂšre de Dieu, comme si elle Ă©tait contraire au premier esprit du christianisme ; ou si elles n'ont pas assez de hardiesse pour s'y opposer ouvertement, prĂ©tendent que l'on y est trop mon Dieu ! S'il y a quelque plainte Ă  faire, c'est de nos insensibilitĂ©s car nous pouvons dire avec bien de la justice, que nos plus grandes ardeurs pour la MĂšre de Dieu ne sont que des glaces, comparĂ©es Ă  la fervente dĂ©votion de la sacrĂ©e Vierge des ChrĂ©tiens des premiers ceux qui avancent tĂ©mĂ©rairement que les louanges sont excessives que l'on donne en nos temps Ă  cette reine des anges, et que les expressions sont trop fortes que l'on fait de ses grandeurs, entendent les sentiments d'un concile parlant par la bouche de celui qui y prĂ©sidait, le grand saint par vous, dit le bienheureux patriarche parlant devant tous les PĂšres, et adressant ces paroles Ă  la divine Marie, c'est par vous que la trĂšs sainte TrinitĂ© est adorĂ©e et glorifiĂ©e ; c'est par vous que le ciel est rempli d'allĂ©gresse et que les anges et les archanges se rĂ©jouissent ; c'est par vous que les dĂ©mons sont mis en dĂ©route, et que notre chute est rĂ©parĂ©e et l'entrĂ©e du ciel ouverte aux hommes, c'est par votre entremise que ceux qui sont aveuglĂ©s par l'idolĂątrie, parviennent Ă  la connaissance de la vĂ©ritĂ©, et par le moyen de la foi Ă  la grĂące du saint baptĂȘme ; c'est par votre faveur et assistance que le saint Évangile a Ă©tĂ© prĂȘchĂ©, et l'Église fondĂ©e par Ă  toutes les rĂ©gions de la des louanges si sublimes, je laisse Ă  considĂ©rer si l'on peut parler d'une maniĂšre plus glorieuse de cette sainte citĂ© de JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Sujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Jeu 2 Juin - 2203 CHAPITRE VIIILa dĂ©votion de la sainte Vierge est prouvĂ©e par les saints PĂšres, l'autoritĂ© des conciles, l'usage de l'Église et la conduite de Dieu mĂȘmeLe second concile de NicĂ©e, composĂ© de trois cent cinquante prĂ©lats, oĂč les lĂ©gats du Pape Adrien prĂ©sidĂšrent, jugea qu'il Ă©tait si nĂ©cessaire d'Ă©tablir fortement le culte de la sacrĂ©e Vierge, que les PĂšres qui y Ă©taient assemblĂ©s ordonnĂšrent que plusieurs miracles arrivĂ©s en sa faveur seraient insĂ©rĂ©s dans les actes du concile. Mais l'Église universelle, qui ne peut avoir que des sentiments lĂ©gitimes en toutes les pratiques de dĂ©votion qu'elle approuve, que ne fait-elle pas pour tĂ©moigner ses respects envers sa glorieuse Dame ? Combien d'Ă©glises cathĂ©drales dĂ©diĂ©es Ă  Dieu sous son nom par toute la terre ? Et se rencontre-t-il presque aucune Ă©glise, oĂč il n'y ait une chapelle en son honneur ? Avec combien de religion honore-t-elle tous ses mystĂšres, et tant de fĂȘtes qu'elle a instituĂ©es pour sa gloire, et comme si toutes ces solennitĂ©s n'Ă©taient pas suffisantes pour satisfaire Ă  sa dĂ©votion, elle destine un jour toutes les semaines, c'est Ă  savoir le samedi, qu'elle consacre Ă  sa mĂ©moire. Mais ce qui est de merveilleux, c'est que du jour de la conception du Notre-Seigneur, elle en fait une fĂȘte de son immaculĂ©e MĂšre, et l'office et les hymnes du jour sont en l'honneur de cette admirable princesse. Elle appelle le jour de la prĂ©sentation de notre Sauveur la fĂȘte de la Purification de la Vierge, et les hymnes du jour dans le brĂ©viaire romain sont en l'honneur de cette sacrĂ©e Vierge. Ce qui est encore de plus Ă©tonnant, c'est que le jour de la Circoncision et qui est l'octave de la solennitĂ© de la naissance de notre divin Maitre, les antiennes de l'office sont de la Vierge aussi bien que l'oraison du jour, dans laquelle l'Église, pour commencer l'annĂ©e, demande Ă  Dieu de ressentir les secours de sa puissante protection. Elle commence et finit tous ses offices par ses louanges et par son invocation ; l'on ne publie les vĂ©ritĂ©s de l'Évangile que sous sa faveur ; les sermons se commencent par la Salutation angĂ©lique. Combien de confrĂ©ries et d'associations Ă©tablies par tout le monde pour l'honorer ? Enfin, il faut finir la preuve de la dĂ©votion Ă  la sainte Vierge par la conduite de Dieu mĂȘme. Il est aisĂ© de savoir qu'il n'y a point de royaume ni de province oĂč il ne se rencontre des lieux de dĂ©votion de la MĂšre de Dieu, honorĂ©s de plusieurs miracles ce qui attire un grand concours de peuples de tous cĂŽtĂ©s. Or il est certain que n'y ayant que Dieu seul qui puisse faire des miracles, ceux qui s'opĂšrent en ces saints lieux sont une preuve indubitable que les vĂ©ritables dĂ©votions qui s'y pratiquent sont un effet de sa divine donc une illusion que de blĂąmer le concours des peuples qui viennent implorer le secours de Dieu au pied des autels de sa glorieuse MĂšre, sous prĂ©texte que cela pourrait apporter quelque diminution au respect souverain qui est dĂ» Ă  Dieu car nous l'avons dĂ©jĂ  dit plusieurs fois, c'est Dieu qui est honorĂ© en tous les honneurs que l'on rend Ă  la Reine du ciel et si l'on demande, mais pourquoi plutĂŽt en cette Ă©glise qu'en une autre ? Pourquoi tant de monde prosternĂ© devant cet autel, pendant qu'il y a peu de personnes devant plusieurs autres ? Je rĂ©ponds que cela arrive par la conduite de Dieu qui en inspire le mouvement et si l'on en veut des preuves, je dis que les miracles en sont de si assurĂ©es qu'il n'y a pas lieu d'en JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Sujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Sam 4 Juin - 820 Chapitre VIIILa dĂ©votion de la sainte Vierge est prouvĂ©e par les saints PĂšres, l'autoritĂ© des conciles, l'usage de l'Église et la conduite de Dieu mĂȘmeSi l'on rĂ©plique qu'il y aurait plus de raison d'offrir ses priĂšres devant les autels de Notre-Seigneur ; je dĂ©clare qu'il n'y a point d'autel de la Vierge qui ne soit un autel de JĂ©sus-Christ, tout ce qui se fait pour la gloire de la MĂšre ayant pour fin la gloire de son Fils l'on recherche de plus d'oĂč vient que l'on ne s'adresse pas Ă  Dieu immĂ©diatement pour l'ordinaire, la raison en est Ă©vidente c'est parce qu'il a voulu que nous allassions Ă  lui par de certains moyens qu'il nous a donnĂ©s, comme par la sainte tout, que ces personnes opposĂ©es Ă  une dĂ©votion si sainte, s'en prennent Ă  Dieu mĂȘme car d'oĂč vient que dans un royaume oĂč Dieu opĂšre des miracles en des Ă©glises ou chapelles de la sainte Vierge, non-seulement en toutes les provinces, mais presqu'en tous les diocĂšses, et en plusieurs lieus d'un grand nombre de diocĂšses, Ă  peine trouvera-t-on quatre ou cinq lieux de dĂ©votion qui soient immĂ©diatement en l'honneur de notre Sauveur, oĂč il fasse ses merveilles ?Ce que nous avons remarquĂ© en l'usage de l'Église universelle est plus que suffisant pour faire voir la soliditĂ© de la dĂ©votion des particuliers, soit en la multitude des pratiques bien rĂ©glĂ©es, soit dans les louanges qu'ils donnent Ă  celle qui ne peut jamais ĂȘtre assez de vrai, outre ce que nous avons dit ci-dessus, c'est une chose bien remarquable de voir les titres et Ă©loges que l'Église donne Ă  la sacrĂ©e Vierge, et je puis assurer que l'on n'y peut rien ajouter car que peut-on dire davantage, si l'on veut louer sa puretĂ©, que de l'appeler la virginitĂ© mĂȘme ? et c'est ce que fait l' se servir de termes qui marquent davantage la confiance que nous devons avoir en sa bontĂ© que ceux dont l'Église use, l'appelant notre vie, notre douceur, notre espĂ©rance ?Peut-on avancer rien de plus glorieux, que de soutenir qu'elle seule a dĂ©truit toutes les hĂ©rĂ©sies dans le monde universel ? et c'est ce que chante l'Église, de cette incomparable demande ici ce que ces personnes opposĂ©es diraient d'un particulier s'il avait Ă©crit, s'il avait prĂȘchĂ©, que non-seulement quelques hĂ©rĂ©sies, mais toutes les hĂ©rĂ©sies, non-seulement en une partie du monde, mais dans tout le monde, ont Ă©tĂ© dĂ©truites par la seule Vierge ?Que ces personnes nous disent d'oĂč vient que les prĂ©dicateurs au commencement de leurs sermons rĂ©citent la Salutation angĂ©lique, et non pas l'Oraison dominicale ?D'oĂč vient que le chapelet de la Vierge est la priĂšre commune de presque tous les fidĂšles, et que la couronne de Notre-Seigneur est une dĂ©votion plus rare ? D'oĂč vient que l'office de la divine Sagesse est rĂ©citĂ© par bien peu de personnes, pendant que presque tous les sĂ©culiers qui sont adonnĂ©s Ă  la priĂšre rĂ©citent celui de Notre-Dame, et font ce que font les Ă©glises au chƓur quand on fait de la fĂ©rie et l'ordre de Saint-Bernard tous les jours, aussi bien que celui des Chartreux en leur particulier, ordres recommandables pour leur singuliĂšre piĂ©tĂ© envers la mĂšre de Dieu, et dont toutes les Ă©glises sont dĂ©diĂ©es en son honneur ?Source JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Sujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Dim 5 Juin - 048 CHAPITRE VIIILa dĂ©votion de la sainte Vierge est prouvĂ©e par les saints PĂšres, l'autoritĂ© des conciles, l'usage de l'Église et la conduite de Dieu mĂȘmeSans doute que des mouvements d'une dĂ©votion si universelle en l'Église, et parmi les fidĂšles de l'Église, ne peuvent venir que de l'inspiration de l'Esprit de Dieu, aussi bien que les sentiments contraires, de l'esprit du dĂ©mon, qui, craignant extrĂȘmement la puissance de celle qui lui a brisĂ© la tĂȘte, et qui lui ravit si souvent tant d'Ăąmes, les tirant du pĂ©chĂ© qui les engage dans sa malheureuse captivitĂ©, fait tous ses efforts, et emploie toute sa rage pour en diminuer les c'est ce qu'il fait en deux maniĂšres la premiĂšre, en combattant ouvertement sa dĂ©votion par les hĂ©rĂ©tiques et impies ; la seconde, en tĂąchant d'en dĂ©tourner par d'autres suppĂŽts, qui assurent d'un cĂŽtĂ© qu'ils n'en veulent pas au culte de la MĂšre de Dieu, mais qui, d'autre part, le diminuent par leurs artifices, en dissuadant les pratiques qu'une vĂ©ritable piĂ©tĂ© en peut et j'en demeure d'accord, que lorsqu'il s'y rencontre de la superstition, de l'ignorance, ou quelque autre abus, qu'il faut abolir ces superstitions, qu'il faut instruire les ignorants, qu'il faut dĂ©couvrir les abus et les mĂȘme ce que j'ai tĂąchĂ© de faire en nos campagnes dans les visites que j'ai faites de nos paroisses, et l'on ne peut assez recommander aux pasteurs qu'ils enseignent Ă  leurs peuples la diffĂ©rence du culte qui est dĂ» Ă  Dieu d'avec celui qui est dĂ» Ă  sa virginale MĂšre, qui, n'Ă©tant qu'une pure crĂ©ature, doit s'humilier en lĂ  prĂ©sence de ses manieurs infinies et c'est une chose dĂ©plorable de voir l'ignorance grossiĂšre de grand nombre de ces pauvres gens de la campagne sur ce sujet, et dont les curĂ©s rendront un compte terrible au jugement de Dieu. Mais je soutiens qu'il faut bien prendre garde de ne pas ĂŽter la dĂ©votion, sous prĂ©texte des abus qui s'y rencontrent et qu'il faut au commencement, ne criait que contre les abus qui se commettaient touchant les indulgences, ensuite il combattit les indulgences mĂȘmes c'est un piĂšge que les fidĂšles catholiques doivent dirai ici ce qui m'est arrivĂ© faisant quelques entretiens de piĂ©tĂ© en une maison religieuse, dont le confesseur me dĂ©clara qu'il en avait bien ĂŽtĂ© les dĂ©votions de la Vierge, et m'en parlait comme s'il eĂ»t fait quelque grand coup pour la gloire de Dieu. Je fus saisi d'Ă©tonnement et d'horreur, voyant de mes yeux un dĂ©rĂšglement que j'aurais bien eu de la peine Ă  croire parmi les faut donc bien prendre garde Ă  ces artifices de l'enfer, et ĂȘtre une bonne fois persuadĂ©s que, quelque effort que nous fassions pour honorer la MĂšre de Dieu, jamais nous ne l'honorons assez car, hĂ©las ! Que pouvons-nous faire, pauvres crĂ©atures que nous sommes ?Il faut donc avoir une haute estime de sa dĂ©votion, et de toutes les choses, pour petites qu'elles soient, qui peuvent y contribuer et pour ce sujet il est bon d'avoir ses images, les aimer, y faire brĂ»ler des cierges, se mettre de ses confrĂ©ries, solenniser avec des respects particuliers ses fĂȘtes, avoir une dĂ©votion spĂ©ciale au samedi, pratiquer des jeĂ»nes et autres mortifications tant intĂ©rieures qu'extĂ©rieures, avoir et lire de bons livres qui traitent de ses grandeurs, parler et Ă©couter volontiers parler de ses louanges, enfin embrasser avec amour tous les moyens qui peuvent Ă©tablir ou augmenter sa dĂ©votion, autant que l'ordre de Dieu le demande de JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Sujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Lun 6 Juin - 002 CHAPITRE IXLa dĂ©votion de la trĂšs sacrĂ©e Vierge est une source de toutes sortes de bĂ©nĂ©dictions et de grĂącesQuand une personne parlerait de la langue des hommes et des anges, il ne lui serait pas possible d'exprimer les avantages qui viennent de la dĂ©votion Ă  l'admirable MĂšre de ne sera pas trop longue pour en admirer les biens incroyables, dont le prix est une chose cachĂ©e Ă  la terre, et que le monde n'entend ! Si les hommes savaient ce que c'est que d'avoir une sincĂšre affection pour le service de cette Reine du paradis !Que n'entendent-ils une bonne fois combien il est doux et glorieux de la servir et aimer ? Quand on a trouvĂ© Marie, dit le savant Idiot, tout le bien est c'est en elle, assure son dĂ©vot saint Bernard, que Dieu en a mis la pauvres y trouvent des richesses pour le soulagement de leur pauvretĂ© ; les malades, des remĂšdes Ă  leurs maux ; les ignorants, de la science ; les faibles, de la force ; les dĂ©laissĂ©s, du secours ; les abjects, de la gloire ; les affligĂ©s, de la consolation ; ceux qui sont dans la peine, du repos ; ceux qui vivent dans l'inquiĂ©tude, de la pĂ©cheurs y rencontrent la grĂące ; les justes, leur sanctification ; les Ăąmes du purgatoire, leur soulagement ; enfin, il n'y a point de condition, point d'Ă©tat qui n'en ressentent les bĂ©nĂ©dictions ; point de royaume, point de pays qui ne participent Ă  ses la terre est remplie de ses MisĂ©ricordes, et tous les hommes sont obligĂ©s Ă  ses amoureuses prĂ©cieux coeur, qu'un pieux auteur considĂšre comme une vive flamme du pur amour façonnĂ©e en coeur ; ce coeur, fournaise sacrĂ©e de ce pur amour, la merveille des merveilles et le miracle incomparable des coeurs ; ce coeur, aprĂšs le coeur de JĂ©sus, le plus doux, le plus tendre, le plus obligeant et le plus charitable de tous les coeurs, non-seulement surpasse en sa charitĂ© tout l'amour des sĂ©raphins et des saints les plus Ă©minents en la gloire, mais il a plus d'amour lui seul que tous les anges et les saints il est vrai de dire que quand l'on renfermerait dans un coeur tout l'amour de tous les coeurs qui ont Ă©tĂ©, qui sont et qui seront jamais, ce coeur n'aurait pas ni tant d'amour, ni tant de tendresse, ni tant de douces inclinations pour le bien des hommes, comme le coeur seul de l'incomparable ne faut donc pas s'Ă©tonner si ce coeur trĂšs MisĂ©ricordieux est comme une fontaine sacrĂ©e d'oĂč dĂ©coulent continuellement, sur toutes les crĂ©atures, une multitude presque infinie de toutes sortes de JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Sujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Lun 6 Juin - 2241 CHAPITRE IXLa dĂ©votion de la trĂšs sacrĂ©e Vierge est une source de toutes sortes de bĂ©nĂ©dictions et de grĂącesLe savant cardinal Bellarmin, qui a si bien mĂ©ritĂ© de toute l'Église par ses doctes et pieux Ă©crits, et l'un des plus zĂ©lĂ©s serviteurs de la trĂšs pure Vierge, avait coutume d'appeler les biens temporels, des maux n'y a pas Ă  s'Ă©tonner si un homme si Ă©clairĂ© dans les voies du christianisme parle de la sorte. Mais Aristote, au milieu des tĂ©nĂšbres de l'infidĂ©litĂ©, n'a pas laissĂ© de soutenir que les biens temporels n'Ă©taient pas de vĂ©ritables biens, parce que, disait-il, s'ils Ă©taient des biens vĂ©ritables, ils rendraient bons ceux qui les possĂšdent, et c'est ce qu'ils ne font l'exemple du Fils de Dieu, qui les a si mĂ©prisĂ©s, je ne comprends pas l'aveuglement des ChrĂ©tiens qui en ont de l'estime, et je ne puis pas concevoir comme un fidĂšle qui croit par article de foi que les riches sont malheureux, que ceux qui ont leurs consolations en la vie prĂ©sente sont misĂ©rables, que les pauvres d'esprit sont bienheureux, que l'on est bienheureux lorsque les hommes nous haĂŻssent, nous chassent et nous Ă©loignent, lorsque non-seulement ils mĂ©disent de nous, mais qu'ils en disent toute sorte de mal ; je ne puis pas, dis-je, concevoir comme l'on fait Ă©tat de l'honneur du monde, de l'estime et de l'amitiĂ© des crĂ©atures, des richesses et plaisirs de la vois bien que presque tous les hommes marchent dans les tĂ©nĂšbres, et qu'une si nombreuse multitude est comme un torrent qui entraĂźne et emporte avec soi tout ce qu'il n'est-ce pas une chose bien Ă©trange de marcher dans l'obscuritĂ© en plein midi, et de ne pas voir lorsque le soleil nous Ă©claire de ses plus brillantes lumiĂšres ? Il est vrai, et cela soit dit avec larmes, l'on parle presque partout en infidĂšle, et l'on vit en arrive souvent mĂȘme que l'on est plus attachĂ© aux biens sensibles que ces pauvres et au redoutable jour du jugement l'on en verra plusieurs s'Ă©lever contre nous, dont les actions serviront Ă  notre condamnation mais faut-il que les enfants de lumiĂšre soient des enfants de tĂ©nĂšbres ?Pourquoi dans une famille chrĂ©tienne les pĂšres et les mĂšres, les maĂźtres et maĂźtresses, ne s'entretenant qu'avec estime des grandes naissances, des richesses et des honneurs de cette vie, portent-ils la corruption dans l'esprit de leurs enfants, de leurs serviteurs, de ceux qui vivent avec eux ?Pourquoi les pasteurs des Ăąmes, les religieux, et ceux qui sont dans les dignitĂ©s de l'Église, qui doivent ĂȘtre les soleils du monde, en deviennent-ils les tĂ©nĂšbres, entretenant, et mĂȘme quelquefois augmentant l'amour des choses de la terre, par l'Ă©tat qu'ils font de ces choses pĂ©rissables, ce qu'ils font voir par leurs discours et par leurs actions ?Oh ! Qu'il y a peu de conversations, peu de familles, peu de maisons oĂč l'on ne parle, comme dit l'Écriture, que des discours de Dieu, oĂč l'on entende faire estime de la pauvretĂ©, de l'abjection, du mĂ©pris, des douleurs, selon les maximes de l'Évangile ! Tout notre bien, selon ces maximes indubitables, aussi bien que notre honneur et notre gloire, se rencontrent dans les voies de la tous les ChrĂ©tiens, Ă©tant appelĂ©s au dĂ©tachement des biens temporels et Ă  la connaissance de leur rien, et ne devant tenir en aucune façon au monde, puisqu'ils y sont morts avec leur MaĂźtre qui y a Ă©tĂ© crucifiĂ©, n'ont pas tous l'honneur d'ĂȘtre dans une actuelle pauvretĂ©, et privation des biens de pourquoi dans cet Ă©tat, la MĂšre de MisĂ©ricorde ne laisse pas de leur accorder sa charitable protection, soit Ă  raison de la nĂ©cessitĂ© qui s'y retrouve, soit parce que quelquefois Dieu veut faire paraĂźtre aux personnes du monde, que les dĂ©vots de sa bienheureuse MĂšre ne perdent rien au mĂ©pris qu'ils font de ce qu'ils estiment, et possĂšdent avec plus d'avantage et moins de peine ,ce qu'ils recherchent avec bien de l'empressement et de l' JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Sujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mar 7 Juin - 2308 CHAPITRE IXLa dĂ©votion de la trĂšs sacrĂ©e Vierge est une source de toutes sortes de bĂ©nĂ©dictions et de grĂącesSi c'est le propre de l'amour d'ĂȘtre libĂ©ral, jamais il n'y a eu crĂ©ature plus aimante que la trĂšs-sainte Vierge, car jamais il n'y en a eu de plus libĂ©rale elle a fait servir au bienheureux Henri de Suso des mets cĂ©lestes, et tout pleins de dĂ©lices, pendant que le monde le nourrissait d'opprobres, et l'abĂźmait dans les plus noires que n'a pas fait cette aimable princesse Ă  son cher Herman, religieux de l'ordre de PrĂ©montrĂ© ? Elle lui donna le nom de Joseph, et voulut de plus lui accorder la qualitĂ© glorieuse de son Ă©poux, toute triomphante qu'elle est dans le ciel, et cela en prĂ©sence des saints anges pour rendre l'action plus ces faveurs ne jettent l'Ă©tonnement dans l'empyrĂ©e, je ne sais ce qui y peut causer de l'admiration des choses qui se passent sur la quand le ciel commence une fois Ă  honorer quelqu'un de ses dons, ce n'est pas sitĂŽt fait. Quand Herman avait besoin d'argent, pendant qu'il Ă©tait Ă©colier, sa divine maĂźtresse lui en donnait, elle le caressait amoureusement dĂšs son bas Ăąge, et le rĂ©crĂ©ait avec le saint enfant JĂ©sus et saint Jean l'ÉvangĂ©liste ; elle lui remit une dent qu'il avait perdue, et Ă©tant sur le point de perdre son sang aprĂšs une saignĂ©e, les bandes dont on lui avait liĂ© le bras s'Ă©tant dĂ©faites, elle a voulu elle-mĂȘme les lui a quelquefois invitĂ© les religieuses oĂč ce cher favori devait aller, de se prĂ©parer Ă  dignement le ces bontĂ©s, il faut avoir le coeur bien dur pour n'ĂȘtre pas vivement touchĂ© de l'amour de Marie et quand nous serions tous convertis en langues et en coeurs, jamais nous ne pourrions assez hautement les louer, jamais nous ne pourrions assez fortement les Herman Joseph n'a pas Ă©tĂ© le seul qu'elle a pourvu d'argent en ses besoins, saint Boniface Ă©vĂȘque a reçu le mĂȘme vierge EuphĂ©mie s'Ă©tant toute consacrĂ©e Ă  Dieu par le vu de virginitĂ© dĂšs le commencement de sa vie, son pĂšre qui regardait en sa fille plutĂŽt ses intĂ©rĂȘts que la gloire du PĂšre cĂ©leste, l'Ă©pousa malgrĂ© elle Ă  un grand seigneur ce que ne pouvant souffrir cette fidĂšle Ă©pouse de JĂ©sus-Christ, aprĂšs avoir invoquĂ© le secours de la Vierge des vierges, elle se coupa le nez et les lĂšvres, se rendant difforme aux yeux des hommes, pour ĂȘtre belle aux yeux de action gĂ©nĂ©reuse irrita tellement l'esprit de son pĂšre, qu'il la mit entre les mains d'un paysan, qui la faisait servir comme une chĂ©tive servante, et l'accablait de travail, et quelquefois mĂȘme de passa sept ans en cet Ă©tat, et ensuite en une nuit de NoĂ«l pendant que ce paysan et sa famille Ă©taient occupĂ©s Ă  manger, s'Ă©tant retirĂ©e en une Ă©table pour chanter les louanges de Dieu, la digne MĂšre du saint enfant JĂ©sus venant la trouver accompagnĂ©e des anges, elle lui redonna miraculeusement son nez et ses lĂšvres, et la remit en sa premiĂšre JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Sujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mer 8 Juin - 2257 CHAPITRE IXLa dĂ©votion de la trĂšs sacrĂ©e Vierge est une source de toutes sortes de bĂ©nĂ©dictions et de grĂącesCe qu'ayant su son pĂšre, il lui fit bĂątir un monastĂšre pour y passer le reste de ses jours. C'est ainsi que la virginitĂ© est honorĂ©e de la Reine des vierges et cet exemple doit apprendre aux personnes qui possĂšdent un si prĂ©cieux trĂ©sor, qu'il n'y a rien qu'elles ne doivent souffrir pour conserver un don si prĂ©cieux ; ceux qui en ont connu la valeur, ont mieux aimĂ© perdre leurs empires que de la perdre mĂȘme par des voies lĂ©gitimes, comme le mariage ; ont aimĂ© mieux perdre la vie, et dans le temps de leurs plus belles annĂ©es, comme les Casimir, ont choisi plutĂŽt de souffrir toute sorte de tourments oĂč la rage des dĂ©mons et des hommes les a exposĂ©s, comme nous le lisons en tant d'exemples de l'Histoire virginitĂ©, qui changez heureusement les hommes en anges, et qui faites mener ici-bas sur la terre la vie des bienheureux du paradis ! Ô vertu toute cĂ©leste, toute divine, vertu si chĂ©rie de l'Ă©poux de nos Ăąmes et de la Reine des anges !Mais ce qui est admirable, c'est que pour les moindres choses elle fait paraitre des bontĂ©s excessives. Un gentilhomme de Portugal, qui prenait ordinairement son divertissement Ă  la pĂȘche, demandant la ligne dont il se servait en cet exercice, et son laquais l'ayant rompue, la demoiselle sa femme craignant l'humeur de son mari qui Ă©tait Ă©trangement colĂšre, eĂ»t tout simplement recours Ă  la mĂšre de MisĂ©ricorde, et en mĂȘme temps cette mĂȘme ligne qui avait Ă©tĂ© rompue en deux piĂšces, parut tout entiĂšre avec une petite marque blanche Ă  l'endroit de sa P. de Grenade rapporte cet exemple, et assure que la ligne lui fut mise entre les mains, qui Ă©tait une marque de la charitĂ© de la MĂšre d'amour, d'autant plus admirable, que le sujet en Ă©tait plus lisons dans l'Histoire de la rĂ©forme de l'ordre du Carmel par sainte ThĂ©rĂšse, qu'une bonne sur n'ayant personne pour lui aider Ă  porter des plats qu'elle Ă©tait pressĂ©e de servir au rĂ©fectoire, et s'Ă©criant Ah ! Sainte Vierge, qui m'aidera ? À mĂȘme temps cette reine de toutes les douceurs de paradis parut, et l'aida avec des bontĂ©s capables de consommer saintement les coeurs de son avons dit ci-devant que Vaultier de Birbach, cavalier, servait la MĂšre de Dieu en qualitĂ© d'esclave mais remarquons en sa personne, que les esclaves de la sainte Vierge sont par trop honorĂ©s, n'y ayant presque point de faveur dont elle ne l'ait gratifiĂ© sa dĂ©votion le rendait considĂ©rable auprĂšs des rois et des pendant qu'il Ă©tait occupĂ© Ă  en exercer avec fidĂ©litĂ© les pratiques, on le voyait paraĂźtre en des lieux oĂč il n'Ă©tait pas, y faisant des actions grandes et gĂ©nĂ©reuses par le moyen des anges qui prenaient sa forme par le commandement de leur glorieuse reine ; elle lui a changĂ© l'eau en vin, et lui fit prĂ©sent d'une croix d'or trouvĂ©e au pied du calice par un prĂȘtre dont il entendait la messe, avec ces paroles Donnez cette croix de ma part Ă  mon ami JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Sujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Jeu 9 Juin - 2247 CHAPITRE VIIILa dĂ©votion de la sainte Vierge est prouvĂ©e par les saints PĂšres, l'autoritĂ© des conciles, l'usage de l'Église et la conduite de Dieu mĂȘme Nous avons, disait ce saint patriarche, condamnĂ© ce nouveau Judas, nous l'avons privĂ© de tout grade et dignitĂ© ecclĂ©siastique. » À ces paroles l'on entendit de grands cris de joie et d'allĂ©gresse, dont l'on commença de faire retentir les airs de toutes parts. L'on criait L'ennemi de la Vierge est terrassĂ©, vive la grande, l'auguste, et toujours victorieuse MĂšre de prononçait toute sorte d'exĂ©crations contre Nestorius, l'on donnait mille bĂ©nĂ©dictions au glorieux Cyrille et Ă  tous les autres prĂ©lats ; l'on conduisit les PĂšres en leurs maisons avec des flambeaux, et les dames faisaient brĂ»ler des parfums dans les rues par oĂč ils devaient alluma des feux de joie ; partout on ne parlait que des victoires de la MĂšre de Dieu ; c'Ă©tait le sujet de tous les entretiens, et il semblait quune nouvelle vie eĂ»t Ă©tĂ© rendue Ă  ce peuple, qui estimait linjure faite Ă  la MĂšre de Dieu pire que la mort saints abbĂ©s et ermites sortirent de leurs cellules, et entre autres le cĂ©lĂšbre moine Dalmatius, qui depuis quarante-huit ans Ă©tait enfermĂ© dans son monastĂšre, y alla avec les autres par un ordre mĂȘme exprĂšs qui lui fut donnĂ© du ciel, et tous chantaient des hymnes et cantiques en action de grĂąces du jugement du concile. L'on peut dire que jamais dĂ©cret de l'Église n'a Ă©tĂ© reçu avec tant de la superbe des hĂ©rĂ©tiques s'augmente toujours, Nestorius au lieu de se soumettre au concile, en fait intercepter les lettres, pour empĂȘcher qu'on ne sĂ»t dans Constantinople ce qui s'y Ă©tait passĂ©, et en mĂȘme temps Ă©crit Ă  l'empereur contre les PĂšres, et trĂšs particuliĂšrement contre saint Cyrille ; et pour mieux couvrir sa perfidie, il proteste qu'il veut garder inviolablement les dĂ©crets du concile de NicĂ©e, puis se plaint d'avoir Ă©tĂ© malicieusement condamnĂ© par quelques Ă©vĂȘques portĂ©s de haine et d'envie, en un concile que l'on avait tenu contre les formes ordinaires, sans lui donner aucun temps pour se ayant Ă©tĂ© surpris de la sorte, envoie un de ses principaux seigneurs Ă  ÉphĂšse, qui fit arrĂȘter saint Cyrille, et le vĂ©nĂ©rable Memnon, Ă©vĂȘque de cette ville d'ÉphĂšse, qui se crurent bienheureux de se voir en prison pour la cause de celle qui nous a tous tirĂ©s de la captivitĂ© de l' les PĂšres, voyant toutes les avenues fermĂ©es par les soldats qui soutenaient Nestorius, chargĂšrent un fidĂšle catholique de leurs lettres qui, pour n'ĂȘtre dĂ©couvert, se dĂ©guise en pauvre et met toutes ses dĂ©pĂȘches dans un bĂąton creusĂ©, et ainsi arrive heureusement Ă  lettres ayant dĂ©couvert les impostures de l'hĂ©rĂ©siarque, l'empereur ordonna que tout ce qui avait Ă©tĂ© rĂ©solu dans le concile serait exĂ©cutĂ©, et fit un Ă©dit par lequel, pour abolir entiĂšrement la mĂ©moire honteuse de ce malheureux, il commanda que le nom de Nestorius serait effacĂ© de tous les livres, et que quand on parlerait de ses sectateurs, on ne les appellerait pas nestoriens, mais ne fut plus permis de lire ou retenir ses livres ; et, aprĂšs avoir Ă©tĂ© banni dans les dĂ©serts de l'Afrique, sa langue fut rongĂ©e des vers, et la terre s'ouvrit sous ses pieds, pour l'abimer tout vivant dans les JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Ven 10 Juin - 2251 CHAPITRE IXLa dĂ©votion de la trĂšs sacrĂ©e Vierge est une source de toutes sortes de bĂ©nĂ©dictions et de grĂącesMais entre toutes les faveurs que cette grande et libĂ©rale princesse accorde Ă  ses serviteurs, il n'y en a point de comparables Ă  celles qui sont donnĂ©es pour la pratique de la pure vertu ; ce sont aussi les faveurs qu'elle accorde le plus souvent, et dont elle fait bonne part Ă  ses dĂ©vots, les faisant exceller dans la puretĂ© de la foi, de l'espĂ©rance et de la charitĂ©, les conduisant par les voies les plus saintes du christianisme, les enrichissant des plus prĂ©cieuses grĂąces, les soutenant en toutes leurs difficultĂ©s, les faisant triompher de tous leurs ennemis, et enfin leur procurant des couronnes immortelles dans la possession d'un royaume qui n'aura jamais de n'est point besoin de preuves pour convaincre d'une vĂ©ritĂ© qui est si claire ; il ne faut que lire les Vies des saints, et particuliĂšrement de ceux qui ont le plus excellĂ© en son amour, pour en ĂȘtre entiĂšrement rapporterai seulement ici ce que j'ai appris de tĂ©moins oculaires, qui en plusieurs villes de diffĂ©rentes provinces ont remarquĂ© une abondance prodigieuse de grĂąces sur les dĂ©vots de la trĂšs sainte y en avait qui, dĂšs leur bas Ăąge, ne respiraient que son pur amour, et qui, ne faisant que commencer leurs Ă©tudes dans les basses classes, excellaient en la science des demeuraient ensemble en une maison oĂč ils Ă©taient pensionnaires, pour pouvoir aller au collĂšge, et ils y avaient un petit oratoire oĂč tous les jours ils s'assemblaient pour y rendre leurs respects Ă  leur bonne maĂźtresse, employant le peu d'argent que leurs parents leur donnaient Ă  orner ses images, Ă  y mettre des fleurs, Ă  faire brĂ»ler de l'encens et quantitĂ© de cierges en son disputaient saintement Ă  qui lui donnerait de plus magnifiques Ă©loges, et souvent c'Ă©tait ce qui faisait tout leur entretien pendant leur le sujet de leurs rĂ©crĂ©ations, et, quelquefois au milieu de ces discours, leurs cƓurs se sentaient si embrasĂ©s de l'amour de la divine Marie, que le temps des repas et des rĂ©crĂ©ations leur semblait trop court pour parler Ă  leur aise de ses louanges, ils y employaient une partie de la nuit ; ils faisaient un saint dĂ©fi Ă  qui lui rendrait plus d'honneur, et passaient des temps considĂ©rables Ă  faire des gĂ©nuflexions, s'humiliant devant cette souveraine du plus chĂšres dĂ©lices Ă©taient les jours de congĂ©, d'aller visiter les Ă©glises et chapelles consacrĂ©es Ă  Dieu sous son nom, et, en des rencontres, ils faisaient mĂȘme ces pĂšlerinages nu-jambes et nu-pieds ; ils se prĂ©paraient Ă  ses fĂȘtes par des jeĂ»nes et autres mortifications ; ils jeĂ»naient sept jours, auparavant, ne mangeant presque que du pain et un peu de beurre, et il y en avait qui, la veille de ses fĂȘtes, passaient toute la nuit en la mĂ©ditation de ses excellences JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Sam 11 Juin - 2311 CHAPITRE XLa dĂ©votion de la trĂšs sacrĂ©e Vierge est une source de toutes sortes de bĂ©nĂ©dictions et de grĂąces suiteComme ils Ă©taient plusieurs logĂ©s en une mĂȘme chambre, ils se rĂ©veillaient les nuits, hors le temps mĂȘme de ses fĂȘtes, pour psalmodier et rĂ©citer des hymnes en son honneur ; enfin ils exerçaient toutes les pratiques de dĂ©votion qui se peuvent faire par de jeunes Ă©coliers qui sont occupĂ©s dans l'Ă©tude des pendant que ces jeunes gens, dont il y en avait qui n'Ă©taient pas ĂągĂ©s d'environ plus de treize ou quatorze ans, forçaient d'honorer de la sorte cette reine de toutes les vertus, elle prenait plaisir Ă  les combler de ses plus amoureuses leur avait obtenu des mouvements si puissants pour l'oraison, qu'on les a vus passer les nuits tout entiĂšres en cet exercice, et le soleil qui, en se couchant, les avait laissĂ©s prosternĂ©s devant la divine majestĂ©, les trouvait encore dans le mĂȘme Ă©tat lorsque tout de nouveau il commençait Ă  se faire voir sur notre Ă©taient dans la solide pratique de la mortification intĂ©rieure et extĂ©rieure. Combien de fois ont-ils essuyĂ© avec une douceur non pareille les railleries que l'on faisait de leurs dĂ©votions ? Et en combien de rencontres ont-ils fait paraĂźtre avec hardiesse qu'ils ne rougissaient pas de l'Évangile ? IL y en avait qui Ă©taient crucifiĂ©s de peines d'esprit qui leur causaient des souffrances terribles ; ils marchaient en une terre dĂ©serte, sans chemin et sans eau, au milieu d'une nuit obscure, oĂč Ă  chaque pas ils pensaient tomber en quelque se voyaient privĂ©s des consolations du ciel et de la terre ; et de quelque cĂŽtĂ© qu'ils jetassent les yeux, ils ne dĂ©couvraient aucun secours. Pour lors ils pouvaient bien dire avec un prophĂšte Thren. III, 9, que toutes leurs voies Ă©taient bouchĂ©es par des pierres Seigneur les nourrissait d'un pain de larmes, et il Ă©tait pour eux un Dieu cachĂ© dans la nuĂ©e. Si, en de certains moments, le ciel leur donnait quelque petite lumiĂšre, ce n'Ă©tait que comme l'Ă©clair qui disparait en mĂȘme temps qu'il se fait voir ; il ne leur envoyait sa clartĂ© que, comme dit le Psalmiste, par petites bouchĂ©es. Psal.. CXLVII, 17 Leur pauvre coeur leur semblait ĂȘtre comme ces montagnes de GelboĂ©, oĂč la pluie et la rosĂ©e ne tombent le dire en un mot, ils Ă©taient conduits par les voies de toutes sortes de peines intĂ©rieures, et cela pendant bien des annĂ©es, dans un Ăąge bien jeune, et Ă©tant obligĂ©s d'Ă©tudier ; ce qu'ils faisaient avec un secours si puissant de la MĂšre de MisĂ©ricorde, que n'ayant presque pas le loisir de penser Ă  autre chose qu'Ă  leurs peines, ils ne laissaient pas d'ĂȘtre des premiers de leurs y en avait qui, aprĂšs avoir lavĂ© les pieds aux pauvres, buvaient quelque petite partie de l'eau qui avait servi Ă  leur nettoyer les pieds, qui Ă©taient tout remplis de fange et de boue, malgrĂ© la rĂ©sistance que la nature donne Ă  de telles mortifications. Ils se privaient de leur dĂ©jeuner pour le donner aux nĂ©cessiteux, qu'ils allaient instruire des voies de Notre-Seigneur jusqu'aux portes des Ă©glises, et, lorsqu'ils n'Ă©taient pas dans le public, ils se prosternaient Ă  leurs pieds, les baisant avec tendresse et une cordialitĂ© non pareille ; ils se levaient quelquefois la nuit pour aller les prendre dans la rue et les coucher dans leur chambre, avec une si grande bĂ©nĂ©diction, que les personnes chez qui ils Ă©taient en pension les souffraient sans leur en faire du jeunes qu'ils Ă©taient, leur piĂ©tĂ© leur donnait une telle autoritĂ© qu'on osait faire rien qui choquĂąt la modestie en leur prĂ©sence, et on avait une telle confiance en eux, que j'ai su que de grands pĂ©cheurs leur dĂ©couvraient des crimes Ă©normes qu'ils avaient commis, pour y trouver le remĂšde, et cela Ă  des gens de treize ou quatorze ans. Ils Ă©taient tellement appliquĂ©s au trĂšs saint Sacrement, qu'il s'en rencontrait qui demandaient Ă  leurs directeurs permission, pendant l'hiver mĂȘme, de veiller les nuits aux portes des JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Dim 12 Juin - 2309 CHAPITRE XLa dĂ©votion de la trĂšs sacrĂ©e Vierge est une source de toutes sortes de bĂ©nĂ©dictions et de grĂąces suiteJ'ai appris certainement que d'autres Ă©coliers, brĂ»lant des mĂȘmes flammes de l'amour virginal de Marie, participaient aux mĂȘmes un plaisir de les voir disputer avec ferveur Ă  qui se rendrait le premier devant la porte d'un collĂšge de la Compagnie de JĂ©sus, pour ensuite se rendre Ă  la chapelle de la CongrĂ©gation de Notre-Dame ; ils y Ă©taient dĂšs trois ou quatre heures du matin, attendant que la porte fĂ»t ouverte, se souvenant de ce qui est Ă©crit de la sainte Vierge, selon l'application qui lui en faite par l'Église Bienheureux celui qui veille Ă  mes Ă©taient dans un saint oubli de leurs intĂ©rĂȘts mĂȘme spirituels, pour ne se souvenir que des intĂ©rĂȘts de celle qui, en JĂ©sus et pour JĂ©sus, faisait leur les classes et aprĂšs les classes, et presque tous les jours aprĂšs souper, ils s'assemblaient pour traiter de ses grandeurs ; et les jours de congĂ©, allant faire des pĂšlerinages en son honneur, ils faisaient retentir les airs, dans les campagnes et sur les montagnes, des hymnes et cantiques qu'ils chantaient Ă  sa faisaient cĂ©lĂ©brer le trĂšs saint sacrifice de la messe, pour remercier Dieu des grandes grĂąces qu'il lui a faites, et pour demander l'Ă©tablissement et l'augmentation de son la fin de l'annĂ©e, ils faisaient des dĂ©votions en action de grĂąces des MisĂ©ricordes que la MĂšre de Dieu avait reçues en pareille annĂ©e de sa vie que celle oĂč ils Ă©taient ; car l'amour qu'ils portaient Ă  cette mĂšre de la belle dilection les occupait si fortement de tout ce qui la regardait qu'ils n'avaient pas le loisir de penser Ă  heureux oubli de ce que l'on est, pour ne songer qu'Ă  l'objet qui fait le sujet des plus douces complaisances de Dieu ! Ô mon Ăąme ! Ô mon Ăąme ! Puisses-tu Ă  jamais ĂȘtre perdue dans un oubli si avantageux !Tirons-nous Ă  l'Ă©cart du monde et des crĂ©atures du monde ; perdons une bonne fois la terre de vue, et aimons chĂšrement les humiliations qui nous y Dieu seul, Dieu seul, Dieu seul par sa trĂšs chĂšre MĂšre, la divine gouvernante de mon coeur, Ă  qui je veux plus ĂȘtre un million de fois qu'Ă  moi-mĂȘme ! Je reviens Ă  ces fidĂšles dĂ©vots de notre maĂźtresse ils avaient un cahier de parchemin dans lequel ils avaient signĂ©, et plusieurs mĂȘme de leur sang, qu'ils Ă©taient ses esclaves, et lui avaient donnĂ© en sa disposition la valeur de leurs bonnes y en avait qui avaient signĂ© qu'ils dĂ©fendraient jusqu'Ă  la mort l'ImmaculĂ©e Conception, et s'y Ă©taient obligĂ©s par vu, autant que les ordres de l'Église leur pourrait nous l'avons dĂ©jĂ  dit, le coeur de Marie, le plus obligeant de tous les coeurs des pures crĂ©atures, ne se laisse pas vaincre en me semble lui disait un jour le saint homme Alphonse Rodriguez, de la Compagnie de JĂ©sus, ma trĂšs bonne mĂšre, que je vous aime plus que vous ne m' en mĂȘme temps il entendit la voix de cette mĂšre de toute bontĂ© qui lui rĂ©pondit Vous vous trompez, Alphonse ; sachez que je vous aime davantage. Elle fit bien voir cette vĂ©ritĂ© Ă  ces personnes dont nous parlons, embellissant leurs Ăąmes, et les favorisant des plus pures JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mar 14 Juin - 939 CHAPITRE XLa dĂ©votion de la trĂšs sacrĂ©e Vierge est une source de toutes sortes de bĂ©nĂ©dictions et de grĂąces suiteJ'en ai rencontrĂ© en d'autres provinces qui Ă©taient animĂ©s du mĂȘme zĂšle, et qui en ressentaient les mĂȘmes Ă©taient logĂ©s en un mĂȘme lieu, et faisaient tous les jours en commun cent gĂ©nuflexion en l'honneur de leur glorieuse dame, et la priaient tous ensemble trois fois par les fois qu'ils entraient en leur chambre, ils disaient ces paroles LouĂ© soit Ă  jamais le trĂšs-saint Sacrement de l' ceux qui Ă©taient en la chambre rĂ©pondaient Et l'ImmaculĂ©e Conception de la trĂšs sacrĂ©e Vierge, avec les saints anges ; ils frĂ©quentaient les congrĂ©gations Ă©tablies aux collĂ©ges de la Compagnie de JĂ©sus avec une piĂ©tĂ© merveilleuse ; et ils y recevaient une si grande force pour la pratique des plus hĂ©roĂŻques vertus que je puis assurer qu'il ne m'est pas possible de l' grĂące les faisait tellement mourir Ă  eux-mĂȘmes qu'il leur semblait abonder en richesses parmi une pauvretĂ© fort rigoureuse ; et la confiance qu'ils avaient en la Providence est une chose incroyable, aussi bien que les secours extraordinaires qu'ils en avaient qu'on auraient bien de la peine Ă  s'imaginer parmi des crĂ©atures qui ont presque tout leur appui sur la terre et les hommes de la mon Seigneur, quel Ă©trange aveuglement ! Ô que les hommes ont peu de foi, et qu'ils savent peu combien vous ĂȘtes bon Ă  ceux qui mettent toutes leurs espĂ©rances en vous !Je me trouvai un jour en la chambre de ces personnes, oĂč je fus tĂ©moin d'une insigne mortification que pratiqua quelqu'un d'entre eux, disant tout haut des choses fort secrĂštes qu'il avait en l'esprit, et qui pouvaient lui causer une grande honte et bien de l'humiliation que tout ce qui se fait par le mouvement de l'esprit de Dieu est bien fait ! Une si grande mortification, au lieu de produire le mĂ©pris qui en devait naturellement arriver, toucha si vivement les coeurs de tous ceux qui Ă©taient prĂ©sents qu'ils commencĂšrent Ă  rĂ©pandre quantitĂ© de larmes, magnifiant le Seigneur qui opĂšre de telles grĂąces dans l'Ăąme des serviteurs de sa trĂšs digne se souciaient si peu de l'estime du monde, qu'ils prenaient quelque chose de fort ridicule en leurs habits pour se faire moquer par les ruesIls allaient avec des cruches aux fontaines, pour y ĂȘtre raillĂ©s des crocheteurs et porteurs d'eau qui les chargeaient d'injures et de moqueries, et ils Ă©taient en disposition d'aller faire les fous dans les places publiques, si on leur eĂ»t dit que Dieu tout bon en eĂ»t Ă©tĂ© ya bien d'autres choses plus grandes Ă  dire ; mais ce que je viens de rapporter suffira pour faire connaĂźtre les soins amoureux de la MĂšre de Dieu Ă  l'Ă©gard de ses dĂ©vots, pour les faire avancer en la sa seule voix, dit saint Ambroise, l'Ăąme de saint Jean-Baptiste fut dĂ©livrĂ©e du pĂ©chĂ© originel, elle fut sanctifiĂ©e, et ce saint devint un grand prophĂšte mĂȘme avant sa JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mar 14 Juin - 2212 CHAPITRE XLa dĂ©votion de la trĂšs sacrĂ©e Vierge est une source de toutes sortes de bĂ©nĂ©dictions et de grĂąces suiteMais nous avons besoin d'un puissant secours, non-seulement pour surmonter les difficultĂ©s qui se rencontrent en la pratique de la vertu, mais encore pour triompher des ennemis terribles qui s'y opposent, et par leurs forces qui sont redoutables, et par leurs ruses qui sont Dieu disait un jour un de ces malheureux au divin PacĂŽme, l'honneur des dĂ©serts nous laissait tenter les hommes de toutes nos forces, nous en viendrions bientĂŽt Ă  bout, et ils ne rĂ©sisteraient jamais Ă  nos qui pourrait expliquer toutes les ruses dont ils se servent ? AssurĂ©ment il faut avoir l'esprit Ă©clairĂ© des plus pures lumiĂšres du ciel pour les sont des ennemis qui ont toute la rage que l'on peut avoir contre les hommes, qui sont terribles en leur malice, qui nous font la guerre sans aucune trĂȘve, dont les combats durent autant que la vie, qui ne se lassent jamais de nous poursuivre, qui, Ă©tant vaincus, reprennent de nouvelles forces pour nous attaquer avec plus de vigueur, et ces ennemis sont invisibles, qui entrent sans difficultĂ© dans les chambres les mieux fermĂ©es, qui nous suivent de tous cĂŽtĂ©s, et dans les villes et dans les campagnes, qui ne dorment jamais, qui veillent tout le long des jours et des nuits Ă  notre ruine, qui souvent mĂȘme nous font la plus cruelle guerre, lorsque nous pensons ĂȘtre dans la plus grande paix ; dont les embĂ»ches sont si cachĂ©es que, quelquefois oĂč nous pensons trouver plus de sĂ»retĂ©, c'est oĂč il y a plus de se glissent imperceptiblement dans les choses qui d'elles-mĂȘmes nous peuvent servir davantage pour les vaincre, ils se servent de nos armes pour nous dĂ©faire, ils empoisonnent nos mĂ©decines, ils tournent contre nous les secours qui nous sont donnĂ©s pour les combattre, et enfin il y a bien peu de personnes qui ne cĂšdent Ă  leurs tentations, et ne succombent Ă  leurs Ă  nous, qui vivons au milieu de tous ces dangers comme les gens qui sont en assurance. L'on a vu des Ă©toiles du ciel tomber, l'on a vu ceux qui conversaient avec les anges, Ă©loignĂ©s dans leurs solitudes des occasions fĂącheuses qui nous environnent, remplis des dons de Dieu, et admirables en toutes sortes de vertus, hommes excellents et illustres en saintetĂ©, se perdre et se damner, abattus et terrassĂ©s par ces esprits apostats et nous qui sommes tout plongĂ©s dans les sens, qui marchons toujours sur le bord du prĂ©cipice, il semble que nous n'ayons rien Ă  qu'il est vrai que notre aveuglement est une chose surprenante ! Quel moyen donc de se sauver des piĂšges que nous tendent des ennemis si puissants ?Le moyen le plus assurĂ© est la dĂ©votion Ă  la MĂšre de Dieu, qui est terrible comme une armĂ©e rangĂ©e en bataille Ă  nos adversaires de l' la vĂ©ritĂ©, les dĂ©mons craignent grandement les jeĂ»nes, les veilles, les austĂ©ritĂ©s et pĂ©nitences, les priĂšres ; mais ils n'ont pas laissĂ© de perdre plusieurs Ăąmes qui avaient excellĂ© en ces choses ; mais jamais il n'a Ă©tĂ© dit ni ouĂŻ qu'une personne vĂ©ritablement dĂ©vote Ă  la trĂšs-sainte Vierge, ait Ă©tĂ© JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Jeu 16 Juin - 939 CHAPITRE XLa dĂ©votion de la trĂšs sacrĂ©e Vierge est une source de toutes sortes de bĂ©nĂ©dictions et de grĂąces suiteDe lĂ  vient qu'il n'y a rien qu'ils redoutent davantage que le culte de la MĂšre de Dieu. Aussi voyons-nous qu'ils portent Ă©trangement leurs suppĂŽts, comme les hĂ©rĂ©tiques ou les mauvais catholiques, Ă  le dĂ©truire, soit ouvertement, ou indirectement par des prĂ©textes savent qu'il est aisĂ© de jeter de la corruption dans l'intĂ©rieur de ceux qui Ă©clatent le plus par les oeuvres extĂ©rieures, comme par les aumĂŽnes, assistance des malades, austĂ©ritĂ©s corporelles, et choses n'ignorent pas que les Ăąmes les plus solidement Ă©tablies en la vertu, sont sujettes Ă  l'inconstance ; et l'expĂ©rience ne les rend que trop savants sur ce ils connaissent que la protection de la MĂšre de Dieu ne manquera jamais Ă  ceux qui implorent ses MisĂ©ricordes, retirant du vice ceux qui y sont plongĂ©s, et augmentant les grĂąces Ă  ceux qui vivent dans l'observance des commandements de son Fils, impĂ©trant Ă  tous la grĂące finale et le don d'une prĂ©cieuse sais-tu pas, disait Notre-Seigneur Ă  un dĂ©mon qui se plaignait Ă  lui de ce que les plus grands pĂ©cheurs lui Ă©taient ravis par le crĂ©dit de la sacrĂ©e Vierge, que ma mĂšre peut tout en mon empire, et que tout ce qu'elle veut est fait ?Ceci est rapportĂ© dans les RĂ©vĂ©lations de sainte Brigitte. Les PĂšres du second concile de NicĂ©e ont jugĂ© Ă  propos d'instruire tous les fidĂšles de l'Église du grand pouvoir de la MĂšre de Dieu sur les dĂ©mons, par les exemples qu'ils ont fait insĂ©rer dans les actes du est donc rapportĂ© dans l'action quatriĂšme, qu'un solitaire, Ă©tant extraordinairement tourmentĂ© des tentations du malin esprit, comme un jour il Ă©tait accablĂ© d'ennui, le dĂ©mon lui apparut, et lui promit qu'il cesserait de le tenter, pourvu qu'il dĂ©sistĂąt d'honorer, et de faire quelques dĂ©votions devant une image de Marie, mĂšre de JĂ©sus. Il est Ă  remarquer qu'il fit promettre inconsidĂ©rĂ©ment, par serment, Ă  l'ermite de tenir la chose secrĂšte ce qui marque assez qu'il avait peur que l'on connĂ»t une chose trĂšs vĂ©ritable, que les diables redoutent plus la confiance sincĂšre Ă  la sainte Vierge, que toutes les autres choses dont ils pourraient mĂȘme espĂ©rer plus d'avantage.En la mĂȘme action, il est Ă©crit qu'un homme possĂ©dĂ© du diable depuis plusieurs annĂ©es, fut dĂ©livrĂ© Ă  l'occasion d'une image de la reine du ciel, qui fut mise dans le lieu oĂč il demeurait ; le dĂ©mon, jetant divers hurlements contre cette image, et avouant qu'il Ă©tait contraint de sortir par sa vertu, ne pouvant demeurer dans un lieu oĂč serait honorĂ©e de Marie vierge, et mĂšre de des religieux de l'humble saint François entendait bien cette vĂ©ritĂ©, lorsque dans une confĂ©rence qui se fit aprĂšs la mort de ce grand saint, oĂč l'on s'entretenait de divers moyens de rĂ©sister aux diables et Ă  leurs tentations, il dit que sa pratique Ă©tait d'avoir recours Ă  la MĂšre de Dieu, et de mettre sa confiance en son extrĂȘme bontĂ©, et de ne lasser jamais d'implorer son JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Ven 17 Juin - 929 CHAPITRE XLa dĂ©votion de la trĂšs sacrĂ©e Vierge est une source de toutes sortes de bĂ©nĂ©dictions et de grĂąces suiteComme le moment de la mort est celui duquel dĂ©pend l'Ă©ternitĂ© de notre salut, ou de notre perte ; c'est en ce temps que la reine de MisĂ©ricorde fait ressortir principalement les effets de sa charitĂ©. Le docteur sĂ©raphique assure qu'elle envoie saint Michel, archange, pour dĂ©fendre et assister ses dĂ©vots Ă  la mort et aprĂšs la il serait bien difficile d'exprimer ici combien est douce et puissante, Ă  cet instant terrible, la protection des saints anges, et particuliĂšrement de saint Michel, le prince de ces glorieux esprits. C'est un de nos malheurs de voir tant de glaces dans la plupart des coeurs pour ces grands de l'empirĂ©e, qui ne sont animĂ©s et qui ne vivent que des plus vives flammes de l'amour tiendrais ma vie bien employĂ©e si je pouvais contribuer Ă  Ă©tablir et rĂ©veiller la dĂ©votion de ces aimables esprits, et je m'estimerais heureux de pouvoir mourir plusieurs fois pour leur gloire. Notre bonne maĂźtresse ne se contente pas de nous dĂ©fendre et soutenir en ce passage, oĂč se doit dĂ©cider l'affaire de notre bonheur ou malheur Ă©ternel, mais elle fait mille faveurs Ă  ses des premiers religieux Servites Ă©tant sur le point de mourir, on entendit la voix cĂ©leste de cette reine du ciel qui lui dit Ô mon enfant ! Parce que vous avez tout quittĂ© pour l'amour de mon Fils, et avez suivi ses conseils, vous possĂ©derez tout en jouissant de la vie Ă©ternelle. »À ces paroles, qui furent ouĂŻes de tous les religieux, dont les esprits furent saisis d'une sainte frayeur, toute la compagnie gardant un grand silence, ce fidĂšle serviteur de Marie expira, et pour lors on entendit derechef la voix miraculeuse de la bienheureuse Vierge, qui disait Venez, ĂŽ les saints bien-aimĂ©s de mon fils, allez au-devant, glorieux esprits du ciel, tenez compagnie, par honneur, Ă  l'Ăąme de celui qui m'a servie avec tant de fidĂ©litĂ© pendant les jours de soir pĂšlerinage ; et vous, ĂŽ mes trĂšs chers amis et serviteurs, recevez les dĂ©pouilles de son corps qu'il vous laisse, et ayez soin de l'ensevelir avec tous les respects qu'il mĂ©rite. »C'est ainsi que sont honorĂ©s les serviteurs de cette grande reine ; c'est ainsi qu'elle rend leur mort prĂ©cieuse aux yeux de Dieu, des anges et des bienheureux Marin, dont la mĂ©moire sera Ă  jamais glorieuse pour la qualitĂ© d'esclave de la souveraine du ciel et de la terre, qu'il a portĂ© avec la ferveur d'un zĂšle non pareil, Ă©tant rĂ©duit Ă  l'extrĂ©mitĂ© d'une maladie de poitrine et de poumon, fut vu un matin parler Ă  quelque personne que l'on ne voyait pas, dont la prĂ©sence le comblait d'une joie extraordinaire, puis se tournant vers les assistants, il leur dit Levez-vous, voici la reine du ciel, rendez vos respects Ă  ma bonne maitresse ; et adressant la parole Ă  la sainte Vierge, il s'Ă©cria Ô ma bonne dame, d'oĂč vient que vous voulez bien visiter votre pauvre serviteur ?BĂ©nissez-moi et ne permettez pas que celui-lĂ  aille dans les tĂ©nĂšbres de l'Ă©ternitĂ©, que vous avez honorĂ© des lumiĂšres de votre douce prĂ©sence. » En ce temps-lĂ  son frĂšre Damien, revenant de l'Ă©glise, oĂč il avait rĂ©citĂ© les heures canoniales de la nuit, et lui demandant l'Ă©tat de sa santĂ©, il lui rĂ©pondit qu'il Ă©tait certain de sa mort, et dit ensuite Ô mon cher frĂšre, nous avons ici des domestiques bien peu civils. »Et se plaignant Ă  un homme de considĂ©ration, qui Ă©tait prĂ©sent, de la mĂȘme incivilitĂ©, Ă  raison qu'il ne s'Ă©tait pas levĂ© Ă  l'arrivĂ©e de la reine du paradis, cela lui donna occasion de douter si ce n'Ă©tait point quelque faiblesse d'imagination qui le fĂźt parler de la que voyant, le malade, il rĂ©partit Ne pensez pas que ce que j'avance soit une illusion de l'imagination ; c'est une pure vĂ©ritĂ© ; l'on sait assez qu'ordinairement les maladies du poumon laissent le jugement libre non, il n'y a point Ă  douter, la MĂšre de notre Sauveur, accompagnĂ©e des saints anges, m'est venue visiter ; elle s'est montrĂ©e Ă  son pauvre serviteur, elle m'a donnĂ© sa sainte bĂ©nĂ©diction. »Tout ceci est rapportĂ© bien au long par le saint cardinal Pierre Damien, frĂšre du bienheureux Marin, en l'une de ses EpĂźtres. Ils avaient encore un autre frĂšre, archiprĂȘtre, qui s'appelait Damien , et c'est de lui dont il est parlĂ© JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Sam 18 Juin - 1255 CHAPITRE XLa dĂ©votion de la trĂšs sacrĂ©e Vierge est une source de toutes sortes de bĂ©nĂ©dictions et de grĂąces suiteLes soins que la MĂšre de Dieu prend de ses dĂ©vots ne se terminent pas Ă  la vie prĂ©sente et ne finissent pas Ă  la mĂšre, qui n'a que des entrailles de MisĂ©ricorde, ne peut les oublier en quelque Ă©tat qu'ils soient et en quelque lieu qu'ils puissent est toujours pour eux une mĂšre d'amour, elle leur rend des assistances continuelles pendant toute leur vie ; elle les soutient Ă  la mort, elle les dĂ©fend au jugement et elle leur donne des secours incroyables dans les feux et les flammes du purgatoire, tantĂŽt les consolant par le ministĂšre des saints anges, tantĂŽt leur appliquant les bonnes uvres dont on lui cĂšde la disposition, ou procurant de forts mouvements aux vivants de prier et de satisfaire pour eux, et quelquefois obtenant de son Fils bien-aimĂ© la grĂące pour ces pauvres captifs, en impĂ©trant la rĂ©mission de leurs a fait connaĂźtre en plusieurs rencontres qu'il dĂ©livre du purgatoire grand nombre d'Ăąmes en sa faveur, et il a voulu que quelques-unes de ces Ăąmes, heureusement dĂ©livrĂ©es, fissent savoir en notre terre qu'en de certains jours de grandes fĂȘtes, comme autant de jours de ses triomphes, elle donnait la libertĂ© Ă  ceux qui sont dĂ©tenus par la justice divine en ces sombres prisons, et les conduisait en la gloire est donc la mĂšre de nos plus douces espĂ©rances ; c'est en elle, comme le chante l'Église, que se rencontrent tous les sujets d'espĂ©rer le salut et la vie Ă©ternelle, et l'on peut appliquer avec bien de la justice Ă  sa vĂ©ritable dĂ©votion ces paroles de l'Écriture Toute sorte de biens me sont venus avec elle. Sap. VII, 11L'Ăąme qui l'honore sincĂšrement n'a rien Ă  craindre et a tout sujet d'espĂ©rer ; ses dĂ©vots doivent se faire quittes de leurs scrupules et mettre bas toutes leurs leur Ăąme est-elle triste ? Pourquoi est-elle troublĂ©e ? Qu'ils espĂšrent en ses MisĂ©ricordes et qu'ils sachent ce que dit saint Anselme qu'il n'est pas possible de pĂ©rir sous son aimable protection ; qu'ils sachent, selon le tĂ©moignage de l'Église mĂȘme, que son esprit est plus doux que le miel, et qu'il n'y a que des grĂąces et des faveurs Ă  attendre dans son un avant-goĂ»t de la fĂ©licitĂ© du ciel que d'ĂȘtre Ă  elle ; c'est commencer, dĂšs cette vie, la vie des est-elle appelĂ©e par les saints un paradis de dĂ©lices, le paradis de la terre. Et saint Jean DamascĂšne la nomme une mer de si tous ceux qui prennent bien sa dĂ©votion peuvent lĂ©gitimement aspirer Ă  ces privilĂšges, ses esclaves y ont des droits particuliers ; et l'on peut dire d'eux ces paroles de l'Évangile Matth. XIX, 50 Ce sont des derniers qui deviennent les derniers, par les fers dont ils se chargent, par la servitude qu'ils professent, qui mĂ©ritent, par leurs abaissements, d'ĂȘtre Ă©levĂ©s aux premiĂšres places de la Aristote enseignait que le serviteur Ă©tait une partie animĂ©e du maĂźtre, mais le Saint-Esprit, en l'EcclĂ©siastique XXXIII, 31, nous apprend que, lorsqu'il est fidĂšle, il doit ĂȘtre traitĂ© en frĂšre et comme notre propre nous n'avons point Ă  douter que la divine Marie ne soit la meilleure maĂźtresse qui fut et qui sera jamais, et qu'elle ne nous considĂšre, comme le Saint-Esprit, son Ă©poux, le JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Dim 19 Juin - 856 CHAPITRE XLa dĂ©votion de la trĂšs sacrĂ©e Vierge est une source de toutes sortes de bĂ©nĂ©dictions et de grĂąces suiteNous voilĂ  donc bienheureux et infiniment bienheureux, et les sujets que nous avons de nous consoler et de nous rĂ©jouir peuvent bien ĂȘtre admirĂ©s, mais c'est ce qu'on ne peut exprimer. Ce que nous pouvons dire, est qu'il est bien doux de vivre au service de Marie, et encore plus doux d'y mourir. Ô mon Dieu ! Quelle consolation, Ă  la mort, de l'avoir servie avec fidĂ©litĂ©, et quel Ă©tonnement, dans l'Ă©ternitĂ©, des biens, privilĂšges et faveurs incroyables qui sont attachĂ©s Ă  sa vĂ©ritable TRAITÉCHAPITRE PREMIERAvoir une affection singuliĂšre Ă  tout ce qui regarde le service de la MĂšre de DieuSaint Ildefonse, parlant de sa divine maĂźtresse, assure qu'elle a Ă©tĂ© presque toute changĂ©e dans le divin nous voyons, dit ce saint, que le feu pĂ©nĂštre le fer, de mĂȘme le Saint-Esprit a tout pĂ©nĂ©trĂ© et consumĂ© la divine Marie dans les vives flammes de son pur amour ; en sorte qu'on ne voyait en elle que les feux adorables de cet maĂźtresse si aimante demande des serviteurs et des esclaves qui aiment, et en vĂ©ritĂ© je ne sais pas comment il est possible d'avoir un coeur, et ne la pas aimer Je ne comprends pas comme il y a des hommes insensibles, pour n'ĂȘtre pas touchĂ©s de la chaste dilection d'une princesse si ici qu'il faut ou n'avoir plus de coeur, ou l'aimer ; mais disons qu'il faut ĂȘtre tout de coeur pour l' celui qui aura un vĂ©ritable amour pour la trĂšs sacrĂ©e Vierge, ne manquera jamais de zĂšle pour tout ce qui regarde son honneur et sa gloire et c'est ce zĂšle que nous donnons pour premiĂšre pratique Ă  ses fidĂšles esclaves, qui non-seulement doivent faire tout ce qui est en leur pouvoir pour les intĂ©rĂȘts de leur glorieuse dame ; mais encore ils doivent respecter et chĂ©rir tout ce que l'esprit de Dieu inspire aux autres touchant le culte d'une si auguste faut grandement honorer toutes ses confrĂ©ries et congrĂ©gations, toutes les dĂ©votions rĂ©glĂ©es qui se pratiquent en son honneur, les chapelles et autels, ses images en quelques lieux qu'elles soient ; toutes les choses qui servent Ă  sa dĂ©votion, comme les chapelets, les scapulaires, les livres qui traitent de ses louanges, les ordres qui lui sont spĂ©cialement dĂ©diĂ©s, les personnes qui font une profession particuliĂšre de la qui aiment vĂ©ritablement la mĂšre du bel amour n'ont pas besoin de preuves pour les convaincre sur ce sujet, ni de motifs pour les porter Ă  une chose si juste le chaste amour de leur aimable reine donne assez de lumiĂšres Ă  leurs esprits, et assez de flammes Ă  leurs bons coeurs il ne faut qu'aimer pour entendre ce que je dis ; et s'il se trouve des esprits peu Ă©clairĂ©s sur cette matiĂšre, il n'y a pas Ă  douter qu'il leur tient au a vu l'un de ses plus dĂ©vots esclaves, le grand cardinal de Burelle, s'Ă©lever sur ses pieds avec ardeur, et hausser le bras autant qu'il pouvait, pour toucher du bout du doigt quelqu'une de ses l'amour qui lui inspirait de telles pratiques, qui ne seront jamais bien entendues que par ceux qui que les esprits superbes, et qui enflĂ©s de leurs sciences sont tout plongĂ©s dans l'orgueil, blasphĂ©mant ce qu'ils ignorent, apprennent des choses insensibles mĂȘmes le respect qui est dĂ» Ă  tout ce qui sert au culte de la MĂšre de JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Dim 19 Juin - 2211 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE PREMIERAvoir une affection singuliĂšre Ă  tout ce qui regarde le service de la MĂšre de DieuQu'ils apprennent Ă  respecter ses scapulaires, des feux qui tant de fois n'ont osĂ© les toucher au milieu de leurs flammes, les laissant dans leur entier, quoiqu'ils eussent consumĂ© tout ce qui les sachent pendant qu'ils invectivent contre cette dĂ©votion, soit en public, soit en particulier, que toute la nature crie pour leur dĂ©fense la toute puissance de Dieu se servant de tous les Ă©lĂ©ments pour opĂ©rer de grands miracles en faveur de ceux qui les diables tremblent, et sont contraints de s'enfuir Ă  la vue des plus petites choses qui servent Ă  sa dĂ©votion, pendant que quelques personnes se laissent aller dans un tel excĂšs de prĂ©somption, qu'elles vont jusqu'Ă  les reine du ciel voulu elle-mĂȘme nous faire connaitre la haute estime que nous devons avoir de ces choses, qui paraissent si peu considĂ©rables aux prudents et sages du monde, lorsque, paraissant Ă  un de ses congrĂ©nanistes des maisons de la Compagnie de JĂ©sus, elle lui fit une forte correction de ce qu'il avait mal usĂ© d'une plume qui Ă©tait destinĂ©e pour Ă©crire les affaires de la moi j'avoue que je ne vois rien de petit, que je trouve tout grand dans le service de ma trĂšs chĂšre maĂźtresse, l'admirable MĂšre de prĂ©fĂ©rerais de balayer ses Ă©glises et chapelles aux plus Ă©clatants emplois de la terre ; j'aimerais mieux en cueillir la poussiĂšre avec ma langue et ma bouche, que d'entrer dans les charges les plus honorables ; je tiendrai toujours Ă  grande gloire de baiser les vestiges de ses serviteurs, et enfin, je n'ai point de plus forte ambition que de vivre l'esclave de ses esclaves qualitĂ© qui me sera toujours plus chĂšre que ma vie, et dont je fais plus d'Ă©tat que de tout ce qu'il y a de plus glorieux au monde ; et je suis bien aise de dire en face du ciel et de la terre, que ses fers me sont plus agrĂ©ables que les plus douces libertĂ©s et si l'on me donnait le choix de ressusciter des morts, et de commander Ă  toute la nature, ou bien d'en ĂȘtre chargĂ©, je proteste que je prĂ©fĂšrerais ces n'est pas assez au coeur sincĂšrement zĂ©lĂ© de chĂ©rir et respecter jusqu'aux moindres choses qui regardent le culte de la MĂšre de Dieu ; mais de plus on les doit soutenir avec une sainte libertĂ© accompagnĂ©e d'une prudence chrĂ©tienne, et non pas de celle du monde qu'il faut avoir en horreur en toute sorte de faut bien parler toujours de toutes les vĂ©ritables pratiques de sa dĂ©votion et engager les autres doucement Ă  faire le mĂȘme. L'on doit s'opposer avec sagesse Ă  ceux qui les attaquent, soit ouvertement, soit en des maniĂšres cachĂ©es par des prĂ©textes nous ne devons pas rougir quand il s'agit de soutenir les intĂ©rĂȘts de notre glorieuse dame ; ce nous serait trop d'honneur de donner non-seulement nos paroles, d'ĂȘtre exposĂ©s Ă  la raillerie, de passer pour esprits faibles, mais encore de rĂ©pandre jusqu'Ă  la derniĂšre goutte de notre sang pour leur ! PlĂ»t Ă  Dieu avoir des millions de vies pour les sacrifier toutes Ă  Dieu seul, pour la gloire de mon aimable princesse ! S'il Ă©tait nĂ©cessaire de passer pour le plus insensĂ© des hommes dans l'esprit de toutes les crĂ©atures pour un tout petit brin de sa gloire, je le voudrais de tout mon ma trĂšs bonne MĂšre ! Ô ma trĂšs sainte dame ! Je voudrais que tous les hommes me chargeassent d'ignominies, si vous en Ă©tiez un tant soit peu plus glorifiĂ©e. Oh ! Que je sois pour le reste de mes jours l'opprobre de la terre, et l'abjection mĂȘme, s'il y va d'un seul degrĂ© de votre gloire ! Que diront ces gens, qui font profession de son service, et qui n'oseraient pas Ă  peine ouvrir la bouche pour dĂ©fendre ses intĂ©rĂȘts dans une compagnie, quand ils paraĂźtront en sa glorieuse prĂ©sence ?Source JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Lun 20 Juin - 2337 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE PREMIERAvoir une affection singuliĂšre Ă  tout ce qui regarde le service de la MĂšre de DieuLe zĂšle porte encore Ă  se servir de tous les moyens raisonnables pour l'Ă©tablissement et l'augmentation de sa dĂ©votion, en procurant l'institution de ses confrĂ©ries aux lieux oĂč elles ne sont pas, ou en y faisant entrer les personnes dans les lieux oĂč elles sont Ă©tablies, en faisant prĂȘcher de ses grandeurs, en distribuant des livres qui traitent de sa dĂ©votion, ou bien en les lisant ou racontant dans les occasions ce qu'on y a lu, en donnant de ses images et chapelets Ă  ceux qui n'en ont pas, surtout aux pauvres et aux paysans de la campagne, les instruisant Ă  mĂȘme temps des principes de la comme il faut honorer, selon la foi catholique, la glorieuse MĂšre de Dieu, leur rapportant quelques exemples et histoires authentiques pour les y animer ; leur enseignant quelque dĂ©votion rĂ©glĂ©e pour tous les jours, et prenant garde quand on donnera quelque aumĂŽne corporelle, et particuliĂšrement dans la visite des malades, de s'en servir pour l'Ă©tablissement de la dĂ©votion de notre bonne maĂźtresse, comme Ă©tant le propre d'un vĂ©ritable esclave de travailler incessamment pour son auguste des plus excellents moyens est de contribuer aux missions, dans la vue d'y faire connaĂźtre et aimer Notre-Seigneur JĂ©sus-Christ, et Ă  mĂȘme temps sa trĂšs pure MĂšre, et particuliĂšrement de coopĂ©rer aux missions et sĂ©minaires des pays Ă©trangers, pour acquĂ©rir des royaumes et empires tout entiers Ă  l'empire de JĂ©sus et de prĂ©dicateurs pourront insinuer dans tous leurs sermons quelque motif de son amour, et de temps en temps prendre quelques jours pour en traiter plus au long, et porter tous les coeurs Ă  aimer celle que nous n'aimerons jamais la pratique de saint Bonaventure ; mais comme il vit qu'Ă©tant gĂ©nĂ©ral de son ordre ses grandes occupations ne lui donnaient pas assez de loisir, il ordonna Ă  tous les prĂ©dicateurs qui vivaient en la famille de l'humble saint François, de publier souvent les louanges de l'immaculĂ©e MĂšre de Dieu, et leur disait que c'Ă©tait un des moyens les plus efficaces de retirer les hommes du vice, et les porter Ă  la zĂšle passa encore plus avant dit un pieux et savant auteur car les bouches et les langues des hommes ne contentant pas encore assez son amour, il appela, pour ainsi dire, Ă  son secours des bouches de fer ; des crĂ©atures mĂȘme inanimĂ©es, insinuant la sainte pratique de faire sonner les cloches en quelques heures du jour et de la nuit, pour appeler les hommes Ă  rendre leurs respects Ă  la MĂšre du CrĂ©ateur de toutes IIAvoir une dĂ©votion particuliĂšre Ă  l'immaculĂ©e Conception de la trĂšs pure ViergeSi sainte Brigitte, au livre VIe de ses RĂ©vĂ©lations, dĂ©clare que la bienheureuse Vierge lui a manifestĂ© que Dieu avait permis que plusieurs personnes pieuses avaient doutĂ© de la vĂ©ritĂ© de son ImmaculĂ©e Conception, afin de donner plus de lieu Ă  ses dĂ©vots de faire paraĂźtre leur zĂšle en un sujet qui lui Ă©tait si glorieux, quoique la vĂ©ritĂ© en fĂ»t cachĂ©e Ă  quelques-uns qui le rĂ©voquaient en doute ; il n'y a point Ă  dĂ©libĂ©rer pour ses esclaves en cette rencontre, qui doivent faire une haute profession de soutenir tout ce qui regarde la gloire de leur bonne c'est une maxime enseignĂ©e par les plus saints et plus braves thĂ©ologiens que nous devons accorder Ă  la MĂšre de Dieu tous les privilĂšges qui lui peuvent ĂȘtre donnĂ©s sans prĂ©judice de la JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mer 22 Juin - 003 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IIAvoir une dĂ©votion particuliĂšre Ă  l'immaculĂ©e Conception de la trĂšs pure ViergeNous avons dit que le vĂ©ritable esclave est autant que l'on peut ĂȘtre selon Dieu Ă  la divine Marie il faut donc qu'il soit pour sa Conception ImmaculĂ©e, il doit en soutenir hautement la vĂ©ritĂ© en toutes sortes d'occasions, il doit se dĂ©clarer ouvertement et en public et dans le particulier pour ce mystĂšre, qui doit ĂȘtre le sujet de sa dĂ©votion particuliĂšre, en faisant la fĂȘte avec toute la solennitĂ© possible, en s'y prĂ©parant par des pratiques spĂ©ciales d'une vertu solide, et en l'honorant souvent le long de l'annĂ©e par les dĂ©votions que l'amour de sa chĂšre mĂšre lui n'est pas de merveille, si lorsque l'on considĂšre une personne, on demeure d'accord touchant ses intĂ©rĂȘts de toutes les choses oĂč tout le monde ne trouve aucune difficultĂ© ; mais c'est lui rendre des tĂ©moignages d'une amitiĂ© sincĂšre, de prendre son parti dans une cause fĂącheuse, oĂč elle est puissamment de mĂȘme, qu'il ne faut pas s'Ă©tonner si des catholiques honorent la trĂšs sainte Vierge en des mystĂšres qu'ils sont obligĂ©s de croire par la foi, s'ils cĂ©lĂšbrent des fĂȘtes qui sont reçues des schismatiques mĂȘme, comme celles de l'Annonciation que les Moscovites solennisent avec des respects tout extraordinaires, quoiqu'ils ne reçoivent pas les autres fĂȘtes des mystĂšres de marques d'un zĂšle vĂ©ritable que l'on peut donner, doivent paraĂźtre en une matiĂšre qui est contestĂ©e et nous devons nous rĂ©jouir de la libertĂ© qui nous est accordĂ©e, pour avoir lieu de tĂ©moigner Ă  notre divine princesse notre bonne c'est elle qui a dĂ©truit toutes les hĂ©rĂ©sies, selon que le chante l'Église ; c'est le propre des hĂ©rĂ©tiques de s'opposer aux honneurs qui lui sont rendus par les le dernier siĂšcle, le misĂ©rable Luther osait bien dire que les fĂȘtes de la trĂšs sainte Vierge lui dĂ©plaisaient beaucoup ; mais surtout la fĂȘte de sa trĂšs pure ce qui doit animer le zĂšle de ses dĂ©vots, dont l'ardeur se doit redoubler par les contradictions de l'enfer et de ses suppĂŽts aussi voyons-nous que le Saint-Esprit inspire plus que jamais la dĂ©votion de l'ImmaculĂ©e Conception dans le cƓur des roi catholique Philippe III obtint de Paul V par ses ambassadeurs, qu'il avait envoyĂ©s tout exprĂšs, une bulle par laquelle il Ă©tait dĂ©fendu de soutenir dans les sermons, leçons, ou autres actes publics, l'opinion contraire Ă  l'ImmaculĂ©e Conception mais il n'est pas possible d'exprimer la joie de tout le royaume d'Espagne Ă  la nouvelle de la bulle il fit une grande fĂȘte depuis le 6 d'octobre jusqu'au 8 de dĂ©cembre, partout l'on faisait des processions solennelles en actions de grĂąces, ce n'Ă©tait que feux de joie de tous cĂŽtĂ©s, c'Ă©tait une rĂ©jouissance publique de toute sorte d'Ă©tats et de conditions, qui tĂąchaient de faire paraĂźtre Ă  l'envi l'un de l'autre leur amour pour les intĂ©rĂȘts de la souveraine du ciel et de la nombre de princes, plusieurs universitĂ©s, quantitĂ© de chapitres, de collĂšges et de confrĂ©ries s'obligĂšrent par vu de ne dire jamais rien de contraire Ă  la vĂ©ritĂ© de ce privilĂšge de la MĂšre de Dieu ; mais de le croire inviolablement jusqu'au dernier soupir de leur vie, autant que l'Église le en institua la confrĂ©rie, que Charles-Quint avait dĂ©jĂ  fait Ă©tablir en d'autres lieux, oĂč le roi, les princes et princesses, les ducs, marquis, comtes, et enfin les plus grands du royaume, plusieurs universitĂ©s, collĂšges, cent quatre-vingt monastĂšres, et plus de vingt mille hommes ayant donnĂ© leur nom, ils firent tous vu de soutenir l'ImmaculĂ©e Conception ; le roi catholique embrassant cette dĂ©votion avec une telle ferveur qu'il serait allĂ© volontiers Ă  pied Ă  Rome, s'il avait cru pouvoir obtenir quelque chose de plus du Saint-SiĂšge en faveur de ce IV, digne hĂ©ritier du zĂšle d'un roi si pieux, aussi bien que de ses États, impĂ©tra de GrĂ©goire XV, l'an 1622, une bulle par laquelle il Ă©tait dĂ©fendu non-seulement, comme en la prĂ©cĂ©dente, de soutenir l'opinion contraire dans les actes publics, mais encore dans les entretiens particuliers et Ă  prĂ©sent cette dĂ©votion s'est tellement augmentĂ©e en ce royaume catholique que la plupart des prĂ©dicateurs commencent leurs sermons par ces saintes paroles LouĂ© soit Ă  jamais le trĂšs saint Sacrement de l'autel et l'ImmaculĂ©e Conception de la MĂšre de JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mer 22 Juin - 2318 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IIAvoir une dĂ©votion particuliĂšre Ă  l'immaculĂ©e Conception de la trĂšs pure ViergeIl y a dĂ©jĂ  longtemps que notre France s'est dĂ©clarĂ©e pour le glorieux privilĂšge de celle qu'elle reconnaĂźt pour sa puissante protectrice, Ă©tant plus que jamais en sa dĂ©pendance, Ă  raison du vu et de la donation que lui en a faite le feu roi Louis le Juste, de glorieuse mĂ©moire, renouvelĂ©e et confirmĂ©e par le roi Louis Dieu-DonnĂ©, Ă  prĂ©sent rĂ©gnant, et ratifiĂ©e et acceptĂ©e par tous ses sujets plus florissante universitĂ© n'accorde la qualitĂ© de docteur qu'Ă  condition de dĂ©fendre un privilĂšge si avantageux Ă  la mĂšre de toute la science des saints et ces annĂ©es derniĂšres l'on a vu dans la capitale du royaume une maison de saintes religieuses Ă©tablies par la piĂ©tĂ© de notre grande reine, qui sont toutes dĂ©diĂ©es en l'honneur de la trĂšs pure Conception, aprĂšs la solennitĂ© d'une grande fĂȘte, suivie d'octave, dans laquelle pendant tous les jours de ladite octave plusieurs princes de l'Église et autres fameux prĂ©dicateurs publiaient les grandeurs, aussi bien que la vĂ©ritĂ© du est bien difficile d'en douter Ă  celui qui considĂ©rera que la trĂšs sainte Vierge, si elle n'avait Ă©tĂ© exempte de pĂ©chĂ© originel, aurait Ă©tĂ© sujette du dĂ©mon car quelle apparence que celle qui devait briser la tĂȘte du serpent infernal en fĂ»t l'esclave ?Quelle apparence que celle qui devait triompher avec tant de gloire de enfer, y fĂ»t assujettie ? Non, dit un ancien PĂšre, la justice ne permettait pas que ce vaisseau d'Ă©lite fĂ»t dĂ©shonorĂ© par des misĂšres qui sont communes au reste des peut-on croire, que si dans la terre oĂč il y a si peu d'ordre, les maitres cependant y sont prĂ©fĂ©rĂ©s aux valets, les rois Ă  leurs sujets ; que dans le ciel l'on considĂšre davantage les serviteurs, que celle qui en est l'auguste reine ? Si Marie a Ă©tĂ© sujette au pĂ©chĂ© originel, il faut dire qu'en cela Adam a eu plus de privilĂšge, et que les anges ont Ă©tĂ© plus heureux, leur puretĂ© n'ayant jamais Ă©tĂ© souillĂ©e de la moindre tache d'aucun de plus, qu'il y allait de l'honneur de son Fils qu'elle en fĂ»t prĂ©servĂ©e ; parce que comme la gloire des pĂšres descend jusqu'Ă  leurs enfants, de mĂȘme leur ignominie retourne en quelque maniĂšre sur eux. Saint Thomas se sert de cette raison pour prouver que la trĂšs sainte Vierge n'a jamais commis aucun pĂ©chĂ© si cette preuve est forte Ă  l'Ă©gard du pĂ©chĂ© vĂ©niel, elle l'est bien plus Ă  l'Ă©gard du pĂ©chĂ© originel, puisque l'Ăąme par le pĂ©chĂ© vĂ©niel ne sort pas de la grĂące et de l'amitiĂ© de Dieu, et n'est pas sous la domination du dĂ©mon ce qui arrive par le pĂ©chĂ© originel. Si donc, l'AngĂ©lique docteur ne peut souffrir la pensĂ©e du plus petit pĂ©chĂ© vĂ©niel en l'Ăąme de la trĂšs sainte Vierge, s'il estime que son Fils en aurait Ă©tĂ© dĂ©shonorĂ©, qu'il y allait de ses divins intĂ©rĂȘts de ne le pas permettre ; comment pourra-t-on se persuader que cette Ăąme toute sainte ait tombĂ© dans le pĂ©chĂ© d'origine, qui est un pĂ©chĂ© mortel, qui prive du paradis et de la grĂące ?En vĂ©ritĂ© la seule idĂ©e en donne l'horreur car serait-il bien possible que Marie, la plus aimĂ©e, aussi bien que la pus aimante des crĂ©atures, eĂ»t Ă©tĂ© le sujet de la haine de son Fils, eĂ»t Ă©tĂ© le sujet de l'aversion d'un Dieu qui l'avait destinĂ© pour sa MĂšre ?Serait-il bien possible que le diable pĂ»t se vanter de l'avoir eue sous son empire, et de l'avoir dĂ©tenue captive sous ses fers, et garrottĂ©e en ses chaĂźnes ?Source JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Jeu 23 Juin - 2359 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IIAvoir une dĂ©votion particuliĂšre Ă  l'immaculĂ©e Conception de la trĂšs pure ViergeCe n'est pas assez au coeur sincĂšrement zĂ©lĂ© de chĂ©rir et respecter jusqu'aux moindres choses qui regardent le culte de la MĂšre de Dieu ; mais de plus on les doit soutenir avec une sainte libertĂ© accompagnĂ©e d'une prudence chrĂ©tienne, et non pas de celle du monde qu'il faut avoir en horreur en toute sorte de faut bien parler toujours de toutes les vĂ©ritables pratiques de sa dĂ©votion et engager les autres doucement Ă  faire le doit s'opposer avec sagesse Ă  ceux qui les attaquent, soit ouvertement, soit en des maniĂšres cachĂ©es par des prĂ©textes nous ne devons pas rougir quand il s'agit de soutenir les intĂ©rĂȘts de notre glorieuse dame ; ce nous serait trop d'honneur de donner non-seulement nos paroles, d'ĂȘtre exposĂ©s Ă  la raillerie, de passer pour esprits faibles, mais encore de rĂ©pandre jusqu'Ă  la derniĂšre goutte de notre sang pour leur ! PlĂ»t Ă  Dieu avoir des millions de vies pour les sacrifier toutes Ă  Dieu seul, pour la gloire de mon aimable princesse !S'il Ă©tait nĂ©cessaire de passer pour le plus insensĂ© des hommes dans l'esprit de toutes les crĂ©atures pour un tout petit brin de sa gloire, je le voudrais de tout mon coeur. Ô ma trĂšs bonne MĂšre ! Ô ma trĂšs sainte dame !Je voudrais que tous les hommes me chargeassent d'ignominies, si vous en Ă©tiez un tant soit peu plus ! Que je sois pour le reste de mes jours l'opprobre de la terre, et l'abjection mĂȘme, s'il y va d'un seul degrĂ© de votre gloire !Que diront ces gens, qui font profession de son service, et qui n'oseraient pas Ă  peine ouvrir la bouche pour dĂ©fendre ses intĂ©rĂȘts dans une compagnie, quand ils paraĂźtront en sa glorieuse prĂ©sence ?Le zĂšle porte encore Ă  se servir de tous les moyens raisonnables pour l'Ă©tablissement et l'augmentation de sa dĂ©votion, en procurant l'institution de ses confrĂ©ries aux lieux oĂč elles ne sont pas, ou en y faisant entrer les personnes dans les lieux oĂč elles sont Ă©tablies, en faisant prĂȘcher de ses grandeurs, en distribuant des livres qui traitent de sa dĂ©votion, ou bien en les lisant ou racontant dans les occasions ce qu'on y a lu, en donnant de ses images et chapelets Ă  ceux qui n'en ont pas, surtout aux pauvres et aux paysans de la campagne, les instruisant Ă  mĂȘme temps des principes de la comme il faut honorer, selon la foi catholique, la glorieuse MĂšre de Dieu, leur rapportant quelques exemples et histoires authentiques pour les y enseignant quelque dĂ©votion rĂ©glĂ©e pour tous les jours, et prenant garde quand on donnera quelque aumĂŽne corporelle, et particuliĂšrement dans la visite des malades, de s'en servir pour l'Ă©tablissement de la dĂ©votion de notre bonne maĂźtresse, comme Ă©tant le propre d'un vĂ©ritable esclave de travailler incessamment pour son auguste JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Sam 25 Juin - 032 DEUXIÈME TRAITÉAvoir une affection singuliĂšre Ă  tout ce qui regarde le service de la MĂšre de DieuUn des plus excellents moyens est de contribuer aux missions, dans la vue d'y faire connaĂźtre et aimer Notre-Seigneur JĂ©sus-Christ, et Ă  mĂȘme temps sa trĂšs pure MĂšre, et particuliĂšrement de coopĂ©rer aux missions et sĂ©minaires des pays Ă©trangers, pour acquĂ©rir des royaumes et empires tout entiers Ă  l'empire de JĂ©sus et de Marie. Les prĂ©dicateurs pourront insinuer dans tous leurs sermons quelque motif de son amour, et de temps en temps prendre quelques jours pour en traiter plus au long, et porter tous les curs Ă  aimer celle que nous n'aimerons jamais assez. C'Ă©tait la pratique de saint Bonaventure ; mais comme il vit qu'Ă©tant gĂ©nĂ©ral de son ordre ses grandes occupations ne lui donnaient pas assez de loisir, il ordonna Ă  tous les prĂ©dicateurs qui vivaient en la famille de l'humble saint François, de publier souvent les louanges de l'immaculĂ©e MĂšre de Dieu, et leur disait que c'Ă©tait un des moyens les plus efficaces de retirer les hommes du vice, et les porter Ă  la vertu. Son zĂšle passa encore plus avant dit un pieux et savant auteur car les bouches et les langues des hommes ne contentant pas encore assez son amour, il appela, pour ainsi dire, Ă  son secours des bouches de fer ; des crĂ©atures mĂȘme inanimĂ©es, insinuant la sainte pratique de faire sonner les cloches en quelques heures du jour et de la nuit, pour appeler les hommes Ă  rendre leurs respects Ă  la MĂšre du CrĂ©ateur de toutes choses. CHAPITRE IIAvoir une dĂ©votion particuliĂšre Ă  l'immaculĂ©e Conception de la trĂšs pure ViergeSi sainte Brigitte, au livre VIe de ses RĂ©vĂ©lations, dĂ©clare que la bienheureuse Vierge lui a manifestĂ© que Dieu avait permis que plusieurs personnes pieuses avaient doutĂ© de la vĂ©ritĂ© de son ImmaculĂ©e Conception, afin de donner plus de lieu Ă  ses dĂ©vots de faire paraĂźtre leur zĂšle en un sujet qui lui Ă©tait si glorieux, quoique la vĂ©ritĂ© en fĂ»t cachĂ©e Ă  quelques-uns qui le rĂ©voquaient en doute ; il n'y a point Ă  dĂ©libĂ©rer pour ses esclaves en cette rencontre, qui doivent faire une haute profession de soutenir tout ce qui regarde la gloire de leur bonne maĂźtresse. Et c'est une maxime enseignĂ©e par les plus saints et plus braves thĂ©ologiens que nous devons accorder Ă  la MĂšre de Dieu tous les privilĂšges qui lui peuvent ĂȘtre donnĂ©s sans prĂ©judice de la foi. Nous avons dit que le vĂ©ritable esclave est autant que l'on peut ĂȘtre selon Dieu Ă  la divine Marie Il faut donc qu'il soit pour sa Conception ImmaculĂ©e, il doit en soutenir hautement la vĂ©ritĂ© en toutes sortes d'occasions, il doit se dĂ©clarer ouvertement et en public et dans le particulier pour ce mystĂšre, qui doit ĂȘtre le sujet de sa dĂ©votion particuliĂšre, en faisant la fĂȘte avec toute la solennitĂ© possible, en s'y prĂ©parant par des pratiques spĂ©ciales d'une vertu solide, et en l'honorant souvent le long de l'annĂ©e par les dĂ©votions que l'amour de sa chĂšre mĂšre lui inspirera. Ce n'est pas de merveille, si lorsque l'on considĂšre une personne, on demeure d'accord touchant ses intĂ©rĂȘts de toutes les choses oĂč tout le monde ne trouve aucune difficultĂ© ; mais c'est lui rendre des tĂ©moignages d'une amitiĂ© sincĂšre, de prendre son parti dans une cause fĂącheuse, oĂč elle est puissamment combattue. Source JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Sam 25 Juin - 2330 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IIAvoir une dĂ©votion particuliĂšre Ă  l'immaculĂ©e Conception de la trĂšs pure ViergeDisons de mĂȘme, qu'il ne faut pas s'Ă©tonner si des catholiques honorent la trĂšs sainte Vierge en des mystĂšres qu'ils sont obligĂ©s de croire par la foi, s'ils cĂ©lĂšbrent des fĂȘtes qui sont reçues des schismatiques mĂȘme, comme celles de l'Annonciation que les Moscovites solennisent avec des respects tout extraordinaires, quoiqu'ils ne reçoivent pas les autres fĂȘtes des mystĂšres de marques d'un zĂšle vĂ©ritable que l'on peut donner, doivent paraĂźtre en une matiĂšre qui est contestĂ©e et nous devons nous rĂ©jouir de la libertĂ© qui nous est accordĂ©e, pour avoir lieu de tĂ©moigner Ă  notre divine princesse notre bonne c'est elle qui a dĂ©truit toutes les hĂ©rĂ©sies, selon que le chante l'Église ; c'est le propre des hĂ©rĂ©tiques de s'opposer aux honneurs qui lui sont rendus par les le dernier siĂšcle, le misĂ©rable Luther osait bien dire que les fĂȘtes de la trĂšs sainte Vierge lui dĂ©plaisaient beaucoup ; mais surtout la fĂȘte de sa trĂšs pure ce qui doit animer le zĂšle de ses dĂ©vots, dont l'ardeur se doit redoubler par les contradictions de l'enfer et de ses suppĂŽts aussi voyons-nous que le Saint-Esprit inspire plus que jamais la dĂ©votion de l'ImmaculĂ©e Conception dans le coeur des roi catholique Philippe III obtint de Paul V par ses ambassadeurs, qu'il avait envoyĂ©s tout exprĂšs, une bulle par laquelle il Ă©tait dĂ©fendu de soutenir dans les sermons, leçons, ou autres actes publics, l'opinion contraire Ă  l'ImmaculĂ©e Conception mais il n'est pas possible d'exprimer la joie de tout le royaume d'Espagne Ă  la nouvelle de la fit une grande fĂȘte depuis le 6 d'octobre jusqu'au 8 de dĂ©cembre, partout l'on faisait des processions solennelles en actions de grĂąces, ce n'Ă©tait que feux de joie de tous cĂŽtĂ©s, c'Ă©tait une rĂ©jouissance publique de toute sorte d'Ă©tats et de conditions, qui tĂąchaient de faire paraĂźtre Ă  l'envi l'un de l'autre leur amour pour les intĂ©rĂȘts de la souveraine du ciel et de la nombre de princes, plusieurs universitĂ©s, quantitĂ© de chapitres, de collĂšges et de confrĂ©ries s'obligĂšrent par vu de ne dire jamais rien de contraire Ă  la vĂ©ritĂ© de ce privilĂšge de la MĂšre de Dieu ; mais de le croire inviolablement jusqu'au dernier soupir de leur vie, autant que l'Église le en institua la confrĂ©rie, que Charles-Quint avait dĂ©jĂ  fait Ă©tablir en d'autres lieux, oĂč le roi, les princes et princesses, les ducs, marquis, comtes, et enfin les plus grands du royaume, plusieurs universitĂ©s, collĂšges, cent quatre-vingt monastĂšres, et plus de vingt mille hommes ayant donnĂ© leur nom, ils firent tous vu de soutenir l'ImmaculĂ©e Conception ; le roi catholique embrassant cette dĂ©votion avec une telle ferveur qu'il serait allĂ© volontiers Ă  pied Ă  Rome, s'il avait cru pouvoir obtenir quelque chose de plus du Saint-SiĂšge en faveur de ce IV, digne hĂ©ritier du zĂšle d'un roi si pieux, aussi bien que de ses États, impĂ©tra de GrĂ©goire XV, l'an 1622, une bulle par laquelle il Ă©tait dĂ©fendu non-seulement, comme en la prĂ©cĂ©dente, de soutenir l'opinion contraire dans les actes publics, mais encore dans les entretiens particuliers et Ă  prĂ©sent cette dĂ©votion s'est tellement augmentĂ©e en ce royaume catholique que la plupart des prĂ©dicateurs commencent leurs sermons par ces saintes paroles LouĂ© soit Ă  jamais le trĂšs saint Sacrement de l'autel et l'ImmaculĂ©e Conception de la MĂšre de JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Lun 27 Juin - 830 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IIAvoir une dĂ©votion particuliĂšre Ă  l'immaculĂ©e Conception de la trĂšs pure ViergeIl y a dĂ©jĂ  longtemps que notre France s'est dĂ©clarĂ©e pour le glorieux privilĂšge de celle qu'elle reconnaĂźt pour sa puissante protectrice, Ă©tant plus que jamais en sa dĂ©pendance, Ă  raison du vu et de la donation que lui en a faite le feu roi Louis le Juste, de glorieuse mĂ©moire, renouvelĂ©e et confirmĂ©e par le roi Louis Dieu-DonnĂ©, Ă  prĂ©sent rĂ©gnant, et ratifiĂ©e et acceptĂ©e par tous ses sujets plus florissante universitĂ© n'accorde la qualitĂ© de docteur qu'Ă  condition de dĂ©fendre un privilĂšge si avantageux Ă  la mĂšre de toute la science des saints et ces annĂ©es derniĂšres l'on a vu dans la capitale du royaume une maison de saintes religieuses Ă©tablies par la piĂ©tĂ© de notre grande reine, qui sont toutes dĂ©diĂ©es en l'honneur de la trĂšs pure Conception, aprĂšs la solennitĂ© d'une grande fĂȘte, suivie d'octave, dans laquelle pendant tous les jours de ladite octave plusieurs princes de l'Église et autres fameux prĂ©dicateurs publiaient les grandeurs, aussi bien que la vĂ©ritĂ© du est bien difficile d'en douter Ă  celui qui considĂ©rera que la trĂšs sainte Vierge, si elle n'avait Ă©tĂ© exempte de pĂ©chĂ© originel, aurait Ă©tĂ© sujette du dĂ©mon car quelle apparence que celle qui devait briser la tĂȘte du serpent infernal en fĂ»t l'esclave ?Quelle apparence que celle qui devait triompher avec tant de gloire de enfer, y fĂ»t assujettie ? Non, dit un ancien PĂšre, la justice ne permettait pas que ce vaisseau d'Ă©lite fĂ»t dĂ©shonorĂ© par des misĂšres qui sont communes au reste des peut-on croire, que si dans la terre oĂč il y a si peu d'ordre, les maitres cependant y sont prĂ©fĂ©rĂ©s aux valets, les rois Ă  leurs sujets ; que dans le ciel l'on considĂšre davantage les serviteurs, que celle qui en est l'auguste reine ?Si Marie a Ă©tĂ© sujette au pĂ©chĂ© originel, il faut dire qu'en cela Adam a eu plus de privilĂšge, et que les anges ont Ă©tĂ© plus heureux, leur puretĂ© n'ayant jamais Ă©tĂ© souillĂ©e de la moindre tache d'aucun de plus, qu'il y allait de l'honneur de son Fils qu'elle en fĂ»t prĂ©servĂ©e ; parce que comme la gloire des pĂšres descend jusqu'Ă  leurs enfants, de mĂȘme leur ignominie retourne en quelque maniĂšre sur Thomas se sert de cette raison pour prouver que la trĂšs sainte Vierge n'a jamais commis aucun pĂ©chĂ© vĂ©niel. Mais si cette preuve est forte Ă  l'Ă©gard du pĂ©chĂ© vĂ©niel, elle l'est bien plus Ă  l'Ă©gard du pĂ©chĂ© originel, puisque l'Ăąme par le pĂ©chĂ© vĂ©niel ne sort pas de la grĂące et de l'amitiĂ© de Dieu, et n'est pas sous la domination du dĂ©mon ce qui arrive par le pĂ©chĂ© donc, l'AngĂ©lique docteur ne peut souffrir la pensĂ©e du plus petit pĂ©chĂ© vĂ©niel en l'Ăąme de la trĂšs sainte Vierge, s'il estime que son Fils en aurait Ă©tĂ© dĂ©shonorĂ©, qu'il y allait de ses divins intĂ©rĂȘts de ne le pas permettre ; comment pourra-t-on se persuader que cette Ăąme toute sainte ait tombĂ© dans le pĂ©chĂ© d'origine, qui est un pĂ©chĂ© mortel, qui prive du paradis et de la grĂące ?En vĂ©ritĂ© la seule idĂ©e en donne l'horreur car serait-il bien possible que Marie, la plus aimĂ©e, aussi bien que la pus aimante des crĂ©atures, eĂ»t Ă©tĂ© le sujet de la haine de son Fils, eĂ»t Ă©tĂ© le sujet de l'aversion d'un Dieu qui l'avait destinĂ© pour sa MĂšre ? Serait-il bien possible que le diable pĂ»t se vanter de l'avoir eue sous son empire, et de l'avoir dĂ©tenue captive sous ses fers, et garrottĂ©e en ses chaĂźnes ?Source JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mar 28 Juin - 903 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IIAvoir une dĂ©votion particuliĂšre Ă  l'immaculĂ©e Conception de la trĂšs pure ViergeDisons de mĂȘme, qu'il ne faut pas s'Ă©tonner si des catholiques honorent la trĂšs sainte Vierge en des mystĂšres qu'ils sont obligĂ©s de croire par la foi, s'ils cĂ©lĂšbrent des fĂȘtes qui sont reçues des schismatiques mĂȘme, comme celles de l'Annonciation que les Moscovites solennisent avec des respects tout extraordinaires, quoiqu'ils ne reçoivent pas les autres fĂȘtes des mystĂšres de marques d'un zĂšle vĂ©ritable que l'on peut donner, doivent paraĂźtre en une matiĂšre qui est contestĂ©e et nous devons nous rĂ©jouir de la libertĂ© qui nous est accordĂ©e, pour avoir lieu de tĂ©moigner Ă  notre divine princesse notre bonne c'est elle qui a dĂ©truit toutes les hĂ©rĂ©sies, selon que le chante l'Église ; c'est le propre des hĂ©rĂ©tiques de s'opposer aux honneurs qui lui sont rendus par les le dernier siĂšcle, le misĂ©rable Luther osait bien dire que les fĂȘtes de la trĂšs sainte Vierge lui dĂ©plaisaient beaucoup ; mais surtout la fĂȘte de sa trĂšs pure ce qui doit animer le zĂšle de ses dĂ©vots, dont l'ardeur se doit redoubler par les contradictions de l'enfer et de ses suppĂŽts aussi voyons-nous que le Saint-Esprit inspire plus que jamais la dĂ©votion de l'ImmaculĂ©e Conception dans le coeur des roi catholique Philippe III obtint de Paul V par ses ambassadeurs, qu'il avait envoyĂ©s tout exprĂšs, une bulle par laquelle il Ă©tait dĂ©fendu de soutenir dans les sermons, leçons, ou autres actes publics, l'opinion contraire Ă  l'ImmaculĂ©e Conception mais il n'est pas possible d'exprimer la joie de tout le royaume d'Espagne Ă  la nouvelle de la fit une grande fĂȘte depuis le 6 d'octobre jusqu'au 8 de dĂ©cembre, partout l'on faisait des processions solennelles en actions de grĂąces, ce n'Ă©tait que feux de joie de tous cĂŽtĂ©s, c'Ă©tait une rĂ©jouissance publique de toute sorte d'Ă©tats et de conditions, qui tĂąchaient de faire paraĂźtre Ă  l'envi l'un de l'autre leur amour pour les intĂ©rĂȘts de la souveraine du ciel et de la nombre de princes, plusieurs universitĂ©s, quantitĂ© de chapitres, de collĂšges et de confrĂ©ries s'obligĂšrent par vu de ne dire jamais rien de contraire Ă  la vĂ©ritĂ© de ce privilĂšge de la MĂšre de Dieu ; mais de le croire inviolablement jusqu'au dernier soupir de leur vie, autant que l'Église le en institua la confrĂ©rie, que Charles-Quint avait dĂ©jĂ  fait Ă©tablir en d'autres lieux, oĂč le roi, les princes et princesses, les ducs, marquis, comtes, et enfin les plus grands du royaume, plusieurs universitĂ©s, collĂšges, cent quatre-vingt monastĂšres, et plus de vingt mille hommes ayant donnĂ© leur nom, ils firent tous vu de soutenir l'ImmaculĂ©e Conception ; le roi catholique embrassant cette dĂ©votion avec une telle ferveur qu'il serait allĂ© volontiers Ă  pied Ă  Rome, s'il avait cru pouvoir obtenir quelque chose de plus du Saint-SiĂšge en faveur de ce IV, digne hĂ©ritier du zĂšle d'un roi si pieux, aussi bien que de ses États, impĂ©tra de GrĂ©goire XV, l'an 1622, une bulle par laquelle il Ă©tait dĂ©fendu non-seulement, comme en la prĂ©cĂ©dente, de soutenir l'opinion contraire dans les actes publics, mais encore dans les entretiens particuliers et Ă  prĂ©sent cette dĂ©votion s'est tellement augmentĂ©e en ce royaume catholique que la plupart des prĂ©dicateurs commencent leurs sermons par ces saintes paroles LouĂ© soit Ă  jamais le trĂšs saint Sacrement de l'autel et l'ImmaculĂ©e Conception de la MĂšre de JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mar 28 Juin - 2346 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IIAvoir une dĂ©votion particuliĂšre Ă  l'immaculĂ©e Conception de la trĂšs pure ViergeDavantage le ciel conspire avec la terre pour l'Ă©tablissement d'une si sainte dĂ©votion, qu'il ne peut autoriser plus efficacement que par le grand nombre de miracles qu'il fait en sa fameux Avila, prĂ©dicateur apostolique d'Espagne, qui vivait dans une extrĂȘme pauvretĂ©, n'ayant rien et ne possĂ©dant rien, quoiqu'il ne fĂ»t pas religieux, mais prĂȘtre dans le siĂšcle, annonçant d'une force merveilleuse les vĂ©ritĂ©s de l'Évangile, exhortait tous les fidĂšles Ă  la dĂ©votion de la toute sainte Conception, et assurait que c'Ă©tait un singulier moyen pour ĂȘtre dĂ©livrĂ© de l'impuretĂ©, rapportant de grands miracles que Dieu, tout bon, faisait pour soutenir une dĂ©votion si avantageuse Ă  sa trĂšs-sainte miracles continuent tous les jours, et il y a peu d'annĂ©es qu'il s'en est fait d'admirables. La sĂ©raphique ThĂ©rĂšse avait une dĂ©votion trĂšs spĂ©ciale Ă  ce privilĂšge de la glorieuse Vierge ; et c'est une des plus anciennes dĂ©votions de l'ordre du mont Carmel, qui tient par tradition que la connaissance en avait Ă©tĂ© donnĂ©e par rĂ©vĂ©lation au saint patriarche le faisait honorer particuliĂšrement tous les samedis par sa communautĂ© ; et elle rapporte qu'un religieux ayant Ă©tĂ© dĂ©livrĂ© d'une attache dĂ©shonnĂȘte qu'il avait pour une malheureuse, qui s'Ă©tait servie d'un petit portrait qu'elle lui avait donnĂ©, oĂč Ă©tait attachĂ© un malĂ©fice pour le gagner, s'Ă©tant dĂ©fait de ce portrait, elle estime que cette grĂące lui a Ă©tĂ© donnĂ©e Ă  raison de la dĂ©votion qu'il portait Ă  l'ImmaculĂ©e doit ici remarquer que les malĂ©fices, et tous les dĂ©mons qui en sont les auteurs, ne peuvent pas forcer la volontĂ©, et que la seule cause du consentement que les hommes donnent au pĂ©chĂ© par ces malĂ©fices est le mauvais usage de la grĂące de Dieu, qui est donnĂ©e pour y peu de soin que nous avons de nous servir des moyens propres pour ne nous pas laisser vaincre, comme des sacrements, de l'oraison, des veilles, des jeĂ»nes, du recours Ă  la protection de la sainte Vierge et des saints enfin notre faiblesse Ă  nous laisser aller Ă  nos inclinations et Ă  ne pas Ă©viter les occasions, et autres choses qui contribuent Ă  notre vĂ©nĂ©rable P. Jean de la Croix, premier Carme dĂ©chaussĂ©, et singuliĂšrement dĂ©vot Ă  la trĂšs pure Conception, aprĂšs avoir menĂ© une vie toute cachĂ©e avec JĂ©sus en Dieu, par l'amour des humiliations et mĂ©pris, et s'Ă©tant rendu une belle image vivante de l'adorable crucifiĂ© en sa vie et en sa mort, a participĂ© Ă  la gloire de sa rĂ©surrection, Dieu l'avant honorĂ© de plusieurs il semble que le ciel ait pris plaisir Ă  le faire paraĂźtre aux yeux des hommes, aprĂšs sa mort, Ă  proportion qu'il s'y Ă©tait voulu cachĂ© pendant sa vie, faisant voir des images miraculeuses de diffĂ©rents mystĂšres et de divers saints dans les moindres parcelles de sa chair trĂšs pure, pour marquer qu'il avait l'esprit de ces mystĂšres et les grĂąces de ces ce qui est bien considĂ©rable, c'est que le mystĂšre de l'ImmaculĂ©e Conception y paraissait d'une maniĂšre tout extraordinaire, comme si cet homme, tout de croix en son nom et en ses actions, cet homme de vertus et de prodiges, n'eĂ»t pas Ă©tĂ© content de n'avoir qu'une bouche et qu'une langue, durant sa vie, pour en persuader la dĂ©votion, et qu'il eĂ»t obtenu de Dieu, aprĂšs sa mort, que les moindres parties de son corps fussent changĂ©es comme en autant de langues admirables, pour l'enseigner d'une maniĂšre toute-puissante aux Ăąmes les moins JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mer 29 Juin - 2228 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IIAvoir une dĂ©votion particuliĂšre Ă  l'immaculĂ©e Conception de la trĂšs pure ViergeDisons donc que la raison nous porte Ă  honorer ce mystĂšre, et que l'autoritĂ© nous en persuade le respect. Disons que l'inclination de l'Église universelle, les approbations, indulgences et autres grĂąces du Saint-SiĂšge, n'en doivent laisser aucun doute dans nos esprits, qui doivent ĂȘtre tout convaincus par les disons encore que le ciel ayant parlĂ© clairement sur ce sujet, il n'y a plus d'apparence de ne se pas rendre. Les RĂ©vĂ©lations de sainte Brigitte ont Ă©tĂ© approuvĂ©es de l'Église, et cette grande sainte assure qu'il lui a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© que la trĂšs pure Vierge a Ă©tĂ© conçue sans pĂ©chĂ© sais que le cardinal Cajetan, rĂ©pondant Ă  cette objection, cite sainte Catherine de Sienne, qui a Ă©tĂ© dans un sentiment contraire. Mais ce n'est pas rĂ©pondre Ă  la difficultĂ© de l'objection, dont la force n'est pas dans l'autoritĂ© seulement d'une sainte, mais dans la rĂ©vĂ©lation qu'elle en a eue de Brigitte dit nettement qu'elle en a eu rĂ©vĂ©lation du ciel ; et sainte Catherine de Sienne ne parle que selon ses pensĂ©es, dont il ne faut pas s'Ă©tonner, puisqu'en cela elle suit l'opinion de la plupart des docteurs de son plusieurs ont estimĂ© que ce qui se lit de cette matiĂšre dans les Ă©crits de cette grande sainte y a Ă©tĂ© ajoutĂ©, et n'est nullement d'elle. Mais supposons qu'il en soit ainsi, les prophĂštes ne parlent pas toujours en prophĂštes ; ils ont leurs lumiĂšres propres, dans lesquelles ils se peuvent l'on me dira que la foi ne nous oblige pas de croire ce privilĂšge de la MĂšre de Dieu, et il est vrai c'est pourquoi, comme nous l'avons dĂ©jĂ  dit, Ă©tant en libertĂ© de le croire, ou de ne nous y pas arrĂȘter, c'est en cela que nous pouvons donner des marques de notre cĂ©lĂšbre thĂ©ologien, dans un gros volume qu'il a intitulĂ© Theologia Mariana, qui est l'un des plus savants et des plus dĂ©vots ouvrages que l'on ait composĂ©s en l'honneur de notre incomparable maĂźtresse, dit que si l'on disputait la noblesse Ă  une personne considĂ©rable en la prĂ©sence d'un grand roi, et le roi ne dĂ©cidant pas absolument la chose, dĂ©clarĂąt cependant qu'on lui ferait plaisir de tenir cette personne pour noble, sans doute qu'elle aurait juste sujet de se plaindre de ceux qui combattrait sa noblesse, et elle pourrait dire qu'ils seraient ses ennemis car pourquoi attaquer de gaietĂ© de coeur une qualitĂ© qui lui est avantageuse ? Le roi mĂȘme aurait lieu de s'en offenser, pour la rĂ©sistance que l'on ferait Ă  ses inclinations. Or de mĂȘme, dit ce savant homme, ne semble-t-il pas que c'est se dĂ©clarer contre la sainte Vierge, que de lui disputer un de ses plus grands privilĂšges ?Pourquoi ne pas lui donner une faveur, et ne demeurer pas d'accord d'une grĂące qui lui est si glorieuse, le pouvant faire en bonne conscience ? N'a-t-elle pas lieu de demander pourquoi on lui envie sa gloire ? Mais l'Église n'y oblige pour prendre des sentiments avantageux de la MĂšre de Dieu, y ĂȘtre obligĂ© ? Quelle preuve serait-ce de l'amitiĂ© que nous aurions vouĂ©e Ă  une personne que nous considĂ©rerions beaucoup, d'attendre Ă  la servir quand nous y serions contraints ? Quelle apparence donc d'ĂȘtre au service de la reine du ciel Ă  de telles conditions ?Source JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Jeu 30 Juin - 2334 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IIAvoir une dĂ©votion particuliĂšre Ă  l'immaculĂ©e Conception de la trĂšs pure ViergePour peu de zĂšle que l'on puisse avoir pour ses intĂ©rĂȘts, y a-t-il occasion que l'on n'embrasse quand il s'agit de les soutenir ? Mais disons plus, que si l'Église ne nous oblige pas Ă  croire l'ImmaculĂ©e Conception, elle nous le permet, et mĂȘme elle nous y invite, et propose des faveurs, et n'a que des grĂąces pour ceux qui se rangent de cette pieuse cela, qui nous empĂȘche d'entrer dans le parti de ses fidĂšles dĂ©vots ? Nous le pouvons, c'est ce qui est incontestable pourquoi donc ne le pas faire !L'Église nous y invite, pourquoi rĂ©sister Ă  ses mouvements ? Elle nous accorde de grandes grĂąces pour ce sujet pourquoi nous priver de ces bĂ©nĂ©dictions ?Reprenons ces pensĂ©es, et nous mettant en prĂ©sence de la divine Marie, considĂ©rons-les un peu avec attention. Ô trĂšs sainte Vierge, je puis vous obliger en prenant des sentiments trĂšs glorieux touchant vos privilĂšges mais je n'en veux rien faire, n'y Ă©tant pas obligĂ© par la foi cependant il est entiĂšrement en ma libertĂ© de vous marquer en cette rencontre mon zĂšle mais je n'en ferai rien ce n'est pas que je ne connaisse assez que les inclinations de l'Église en vont j'aime mieux suivre les mouvements de quelques particuliers et les lumiĂšres de mon esprit. Je vois, de plus, qu'il y a de grandes bĂ©nĂ©dictions et des faveurs et grĂąces non pareilles, mais je choisis plutĂŽt de perdre toutes ces grĂąces, et de me priver de toutes ces bĂ©nĂ©dictions, que de vous accorder une faveur que soutiennent toutes les plus fameuses Ă©coles de thĂ©ologie, et qui fait le sentiment presque universel de tout le monde je veux faire bande Ă  part, et m'attacher Ă  une opinion que l'on n'oserait enseigner publiquement, que l'on ne peut plus prĂȘcher, et dont mĂȘme il n'est pas permis de disputer dans les entretiens ce que font ceux qui tiennent l'opinion contraire de la toute sainte Conception, et en vĂ©ritĂ© c'est ce que je ne comprends pas nous ne les condamnons pas, mais nous nous Ă©tonnons comme ils peuvent agir de la sorte envers la trĂšs sainte MĂšre de faut ici ajouter que les Turcs reconnaissent qu'entre les enfants d'Adam, Marie a Ă©tĂ© conçue sans cela serait-il bien possible que nous voulussions lui dĂ©nier un privilĂšge que les mahomĂ©tans, ses plus cruels ennemis lui accordent ?Quoi ! Il serait vrai de dire qu'un malheureux Turc, qu'un misĂ©rable infidĂšle aurait des sentiments plus avantageux de la Conception de la toute aimable Marie ! C'est ce qu'un bon coeur aura toujours bien de la peine Ă  JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Ven 1 Juil - 2213 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IIIHonorer arec toute sorte de respect la maternitĂ© divine, et l'amour incomparable du prĂ©cieux cƓur de la glorieuse ViergeC'est une chose qui n'avait jamais Ă©tĂ© ouĂŻe, dit le dĂ©vot saint Bernard, qu'une Vierge fĂ»t mĂšre et vierge tout ensemble mais si vous considĂ©rez de qui elle est MĂšre, oĂč est-ce que nous portera l'admiration d'une si Ă©minente dignitĂ© ?N'est-ce pas Marie, qui peut sans crainte appeler le Dieu et le Seigneur des anges, son fils, disant Mon Fils, pourquoi avez-vous fait cela ? Luc, II, 48 Qui est-ce des anges qui oserait parler de la sorte ?Mais Marie se connaissant mĂšre, donne avec assurance le nom de fils Ă  cette sublime MajestĂ© que les anges adorent avec respect ; ce Dieu Ă  qui les anges font hommage, Ă  qui les principautĂ©s et puissances obĂ©issent, Ă©tait sujet Ă  Marie, et non-seulement Ă  Marie, mais aussi Ă  Joseph pour l'amour de Vierge, poursuit ce PĂšre, domine dessus un Dieu, c'est une sublimitĂ© qui n'a jamais eu et qui n'aura jamais de toutes ces Ă©lĂ©vations si Ă©minentes ont pris leur origine de ses humiliations abĂźmales c'est par l'humilitĂ© qu'elle a conçu, disent les PĂšres, s'abĂźmant devant l'infinie majestĂ© de Dieu, qui s'anĂ©antissait pour nous dans ses pures entrailles au moment de l'incarnation et ce fut pour lors qu'Ă©tant Ă©levĂ©e Ă  une dignitĂ© presque infinie par la qualitĂ© de MĂšre de Dieu, que le ciel lui donnait, elle ne prit que celle de sa servante, et l'on peut bien croire qu'elle choisit mĂȘme le plus bas et vil degrĂ© de servitude, qui est celui de l' ayant arrĂȘtĂ© les yeux sur cette humilitĂ© de sa servante, comme elle le chante elle-mĂȘme dans son divin cantique Luc., I, 46 et seq., c'est la cause pour laquelle toutes les nations la disent bienheureuse mais plus grand bonheur, et qui est la source de toutes les autres faveurs dont le ciel la comblĂ©e, est sa maternitĂ© divine, qui, lui donnant la qualitĂ© de souveraine des anges et des hommes, de reine du ciel et de la terre, fait le fondement de la dĂ©votion de son saint pourquoi tous ses esclaves doivent avoir tous les respects possibles pour sa maternitĂ© ; ils doivent vivre et mourir dans une dĂ©pendance trĂšs Ă©troite d'une dignitĂ© si glorieuse ; invoquer souvent la trĂšs-sainte Vierge sous le nom de MĂšre de Dieu qualitĂ© admirable, qui a fait le sujet de toutes les plus tendres et plus fortes affections des premiers fidĂšles, et de tous les plus zĂ©lĂ©s fidĂšles esclaves doivent de plus honorer grandement l'amour de cette mĂšre de la belle dilection, et son coeur virginal, qui a Ă©tĂ© le siĂšge de cet amour et le principe de la vie humaine et sensible du saint enfant JĂ©sus, puisque pendant que l'enfant est dans le ventre de sa mĂšre, le coeur de la mĂšre est tellement la source de la vie de l'enfant, aussi bien que de sa propre vie, que la vie de l'enfant n'en dĂ©pend pas moins que celle de la principe de deux vies si nobles et si prĂ©cieuses, principe de la vie trĂšs pure et trĂšs sainte de la MĂšre de JĂ©sus, principe de la vie humainement divine, et divinement humaine du fils de Marie coeur sur lequel le divin enfant JĂ©sus a pris tant de fois son repos, qui par sa chaleur naturelle a produit et formĂ© le trĂšs pur lait dont il a Ă©tĂ© nourri ; coeur, la partie la plus noble et la plus vĂ©nĂ©rable du corps virginal qui a donnĂ© un corps au Verbe Ă©ternel, qui sera Ă©ternellement l'objet des adorations de tous les esprits JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Sam 2 Juil - 2245 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IIIHonorer arec toute sorte de respect la maternitĂ© divine, et l'amour incomparable du prĂ©cieux coeur de la glorieuse ViergeC'est ce qui donne Ă  ce coeur, lorsqu'il est considĂ©rĂ© non-seulement comme matĂ©riel et corporel, mais encore en tant qu'il signifie tout l'intĂ©rieur de l'admirable Vierge MĂšre de Dieu, des grandeurs qui sont entiĂšrement ineffables car je rencontre dans ce coeur l'amour des sĂ©raphins, la plĂ©nitude de la science chĂ©rubins, la paix des trĂŽnes, la grandeur des dominations, la force des puissances, le gouvernement des principautĂ©s, l'excellence des vertus, le soin, le zĂšle, la charitĂ©, la puretĂ© des archanges et des coeur ! Que tu es admirable ! J'y trouve la justice des patriarches, la connaissance des prophĂštes, la religion d'Abel, la piĂ©tĂ© d'Enoch, l'a foi d'Abraham, l'obĂ©issance d'Isaac, la constance de Jacob, le zĂšle de MoĂŻse et d'Elie, et tous les plus fervents dĂ©sirs des anciens coeur glorieux, qui renferme toi seul toutes les excellences et vertus de l'Ancien Testament ! Je remarque dans ce coeur la charitĂ© des apĂŽtres, la force des martyrs, la fidĂ©litĂ© des confesseurs, la puretĂ© des vierges, la retraite des solitaires et toute la saintetĂ© des Ăąmes les plus coeur tout divin, rempli de toutes les grĂąces de la loi nouvelle ! Est totum quod vides, tout ce qui s'entend, tout ce qui se lit, tout ce qui se voit, tout ce qui y a de grand au ciel et en la terre, c'est ce coeur sacrĂ© et tout en un toutes les lumiĂšres du soleil, de la lune et des Ă©toiles ; mettez vous devant les yeux toutes les clartĂ©s des corps des bienheureux ĂŽ mon Dieu quel spectacle ! Il n'y a point de corps de bienheureux qui n'ait plus de clartĂ© que le combien y en aura-t-il dans l'EmpyrĂ©e ? Combien donc d'aimables soleils dans ce sĂ©jour de fĂ©licitĂ© ?Cependant ce coeur glorieux a plus lui seul de lumiĂšres. Figurez-vous toute la puissance des anges, dont un seul vaut plus qu'une armĂ©e, selon le tĂ©moignage de l' la force du moindre des dĂ©mons, qui n'ayant plus de grĂące ne jouit plus que de ce qu'il a en sa nature, et ne laisse pas d'ĂȘtre terriblement redoutable ; mĂ©ditez ensuite qu'elle doit ĂȘtre la puissance d'un bon ange, et de tous les saints anges ensemble ; ce grand et digne coeur est lui seul plus en un tous les amours, ce coeur trĂšs aimant en a plus et pour Dieu et pour les hommes Est totum quod vides, et totum quod non ! aprĂšs avoir tout dit, nous n'avons rien dit encore. Ce coeur n'aime pas comme les sĂ©raphins, ne connaĂźt pas comme les chĂ©rubins, n'est pas saint comme les plus grands saints, puisque tous ces amours, toutes ces lumiĂšres, toutes ces saintetĂ©s ne sont que des amours, des lumiĂšres et des saintetĂ©s de serviteurs ou d' les grandeurs de Marie sont des grandeurs d'une mĂšre qui a pour fils un Dieu et ces grandeurs sont plus hautes que le ciel, plus profondes que les abĂźmes, plus larges que la rĂ©gion des airs, et aussi longues que l'Ă©ternitĂ© mĂȘme. Il n'y a que celui-lĂ  seul qui l'a faite, qui la connaisse JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Lun 4 Juil - 924 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IIIHonorer arec toute sorte de respect la maternitĂ© divine, et l'amour incomparable du prĂ©cieux coeur de la glorieuse ViergeSi l'on mettait d'un cotĂ© ce coeur virginal, et de l'autre tous les anges et tous les saints ensemble, ce seul coeur, le trĂšs uniquement unique coeur entre tous les bons coeurs des pures crĂ©atures l' fait plus d'Ă©tat de lui seul, Dieu en est plus glorifiĂ©, et il est plus cher Ă  Dieu. Ah ! Coeur donc la merveille de tous les coeurs !Ah ! Coeur dont l'amour est le miracle de tous les amours ! Coeur le plus ravissant de tous les coeurs, puisque tu as ravi le coeur du PĂšre Ă©ternel, son Fils bien-aimĂ© ; coeur, le roi de tous les coeurs, puisque tu es le coeur de la MĂšre d'un bĂ©ni entre tous les coeurs, puisque tu es une source inĂ©puisable de bĂ©nĂ©dictions ; coeur le plus obligeant de tous les coeurs aprĂšs l'incomparable coeur de JĂ©sus, puisque les obligations que nous lui avons, sont presque infinies et en quantitĂ© et en chacun porte ses dĂ©votions oĂč il voudra pour moi, j'entends qu'aprĂšs mon Dieu, ĂŽ aimable, ĂŽ doux, ĂŽ ravissant objet, tous les dĂ©sirs qui s'Ă©cloront dans mon coeur, tous les mouvements qui s'Ă©lĂšveront dans mon Ăąme, tous les actes qui se formeront dans ma volontĂ©, toutes mes actions soient consacrĂ©es Ă  ta gloire pour la gloire de JĂ©sus, qui doit lui seul ĂȘtre aimĂ© et louĂ© en tous les amours et en toutes les coeur inestimable ! Je t'aime plus que mes yeux, plus que mon coeur, plus que ma propre vie, plus que les anges, plus que les c'est ici, mon coeur, oĂč il faut s'Ă©largir dans l'aveu que ce coeur mĂ©rite plus d'amour que tous les coeurs, puisqu'il y a plus de Dieu par notre esprit, considĂ©rons toutes les dĂ©votions des Ăąmes les plus ferventes de l'ancienne et de la nouvelle zĂšle pour les saints anges, quelle ferveur pour tant de saints et de saintes dans les coeurs de leurs dĂ©vots ! Mettons en suite et joignons ensemble tout ce zĂšle, toutes ces ferveurs, ce n'est pas encore assez pour ce coeur admirable, qui mĂ©rite l'empire de tous les Ă©taient tous en mon pouvoir, ils en deviendraient bientĂŽt la conquĂȘte, ils en seraient bientĂŽt les esclaves, puisque Dieu mĂȘme s'y est bien voulu assujettir et c'est ce qui l'a rendu un abĂźme de grĂąces, qui contient en soi un nombre presque infini de toutes sortes de faudrait ĂȘtre sans coeur pour ne pas honorer d'une maniĂšre trĂšs spĂ©ciale ce coeur maternel de notre trĂšs bonne mĂšre et trĂšs glorieuse dame, particuliĂšrement aprĂšs que Notre-Seigneur a bien voulu de sa propre bouche en enseigner la dĂ©votion, en la personne de sainte Mathilde, de l'ordre de Saint-Benoit, qui, Ă©tant en peine quelle dĂ©votion elle pratiquerait pour se rendre plus agrĂ©able Ă  la trĂšs sainte Vierge, cet adorable Sauveur lui apprit Ă  saluer son bĂ©ni bienheureux Herman, de l'ordre de Saint-Dominique, l'honorait tous les jours par quelque pratique pieuse sainte Gertrude lui Ă©tait singuliĂšrement JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Lun 4 Juil - 2327 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IIIHonorer arec toute sorte de respect la maternitĂ© divine, et l'amour incomparable du prĂ©cieux coeur de la glorieuse ViergeMais il a plu Ă  Dieu de susciter en nos jours en son Église une trĂšs sainte congrĂ©gation de missionnaires ; instituĂ©e par le rĂ©vĂ©rend P. Jean Eudes, l'un des plus zĂ©lĂ©s et fervents serviteurs de notre auguste princesse, qui est toute dĂ©vouĂ©e et consacrĂ©e en l'honneur de cet aimable dignes missionnaires, trĂšs recommandables pour la puretĂ© de leur doctrine, et leur zĂšle incroyable pour le salut des Ăąmes, prĂȘchant l'Évangile avec une vertu sans pareille dans les villes et campagnes, y Ă©tablissant Ă  mĂȘme temps la dĂ©votion solide du coeur virginal de Marie ils procurent que l'on y Ă©rige une association ou confrĂ©rie en son honneur par la permission de nos seigneurs les prĂ©lats, ayant dressĂ© Ă  cette fin de beaux statuts et d'excellents rĂšglements ils obtiennent le pouvoir d'en faire la fĂȘte tous les ans le 8 de fĂ©vrier ; et comme leur amour est grand, ils inspirent quantitĂ© de moyens pour bĂ©nir et louer cet aimable ont fait bĂątir un magnifique temple sous l'invocation de ce saint coeur en la ville de Coutances en Normandie, oĂč l'on en cĂ©lĂšbre la fĂȘte tous les ans, comme il a Ă©tĂ© dit, le 8° jour de fĂ©vrier, avec une octave en font mĂ©moire dans l'office comme de patron, et leur zĂšle a reçu tant de bĂ©nĂ©dictions du ciel, que cette dĂ©votion, malgrĂ© toutes les oppositions de l'enfer et de la terre, et mĂȘme de quelques gens de bien, commence Ă  se rĂ©pandre en grand nombre de lieux de diffĂ©rentes sĂ©minaires de Rouen, de Lisieux et de Bayeux en font une haute profession, aussi bien que celui de Dijon, ville qui, conservant encore l'esprit de dĂ©votion envers la sainte Vierge, qu'elle a autrefois reçue de saint Bernard, se rend considĂ©rable par les honneurs extraordinaires qu'elle rend Ă  son prĂ©cieux de ce sacrĂ© coeur composĂ© par le rĂ©vĂ©rend P. Jean Eudes, que nous avons louĂ© ci-dessus, remplit les langues, dit un grand archevĂȘque, du miel et du lait de la sainte Ă©pouse ; et le coeur de la tendresse des plus saintes affections, et il l'appelle un recueil, et comme une empreinte de toutes les suavitĂ©s que les saintes lettres et les saints PĂšres ont laissĂ©es Ă  l'Église, tirĂ©es avec tant de puretĂ© que les vĂ©ritĂ©s de notre foi ni les pratiques des bonnes moeurs n'y courent aucun hasard, mais y peuvent ĂȘtre goĂ»tĂ©es comme en leur peut dire avec vĂ©ritĂ© que c'est un office des plus dĂ©vots que nous ayons, et qu'il semble que la sainte Vierge en ait inspirĂ© la douceur ; il est bien difficile de le lire avec attention sans avoir le coeur saintement nombre de prĂ©lats ont reçu cette dĂ©votion en leurs diocĂšses, en ont approuvĂ© l'office, et permis aux prĂȘtres de le faire et d'en cĂ©lĂ©brer la fĂȘte le jour que nous avons marquĂ©. Il s'en fait une grande solennitĂ© en la cĂ©lĂšbre abbaye de Montmartre, par la singuliĂšre piĂ©tĂ©, de la princesse qui en est la trĂšs digne mĂȘme dĂ©votion se pratique chez les religieuses BĂ©nĂ©dictines du Saint-Sacrement de Paris, qui Ă©tant toutes dĂ©diĂ©es Ă  l'amour de JĂ©sus au trĂšs-saint Sacrement, ne respirent que la gloire de la MĂšre de cet adorable Dieu-Homme, qu'elles honorent comme leur abbesse, ayant mis leur maison, leurs personnes, tout ce qu'elles ont, tout ce qu'elles font, sous la direction et dĂ©pendance trĂšs particuliĂšre de la glorieuse MĂšre de Dieu, par les soins de leur vertueuse et zĂ©lĂ©e supĂ©rieure, l'une des plus fidĂšles esclaves de notre auguste JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mar 5 Juil - 2315 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IVPratiques de dĂ©votion pour tous les ans, les mois, les semaines et les joursNous avons dĂ©jĂ  dit que la seule bonne volontĂ© Ă©tait nĂ©cessaire pour ĂȘtre associĂ© au nombre des esclaves de la sainte MĂšre de Dieu ; que cette dĂ©votion Ă©tait trĂšs facile, en ce qu'elle n'imposait aucune charge, et qu'elle ne demandait aucun autre exercice de piĂ©tĂ© des esclaves, que ceux que l'obligation de leur Ă©tat prescrit, ou la prudente conduite d'un sage cette dĂ©votion n'ordonne aux ecclĂ©siastiques, aux religieux ou religieuses et aux autres personnes dont la conduite est rĂ©glĂ©e, d'autres exercices que ceux qu'ils pratiquent Mais parce qu'il y en a plusieurs qui sans se gĂȘner, ou sans se trop charger d'exercices, peuvent en pratiquer quelques-uns avec la bĂ©nĂ©diction de l'Esprit de Dieu, qui sont spĂ©cialement propres aux esclaves de la sainte en proposerons pour tous les ans, les mois, les semaines et les jours, que l'on pourra pratiquer autant que l'Esprit de Dieu le demandera d'un chacun ; exhortant seulement de faire une sĂ©rieuse attention sur cette vĂ©ritĂ©, que la gloire de Dieu ne se rencontre pas prĂ©cisĂ©ment dans le grand nombre de priĂšres, d'actes et de pratiques, mais dans la ferveur avec laquelle on fait ces chosesEt que Dieu et sa trĂšs digne MĂšre sont plus glorifiĂ©s d'un psaume, d'un cantique ou d'une antienne, rĂ©citĂ©s avec dĂ©votion, que de tout le psautier, ou d'un grand nombre d'autres priĂšres que l'on ferait Ă  la hĂąte et avec nĂ©gligence ; ce qui est bien Ă  remarquer par plusieurs personnes, qui, mettant leur dĂ©votion dans la multitude des pratiques, s'en acquittent avec prĂ©cipitation et avec peu de sentiment de la grandeur infinie de la majestĂ© de Dieu, Ă  qui ils les pourquoi les saints PĂšres recommandaient grandement l'usage des oraisons jaculatoires, parce qu'ordinairement elles se font avec plus de vue de ! Combien il y en a qui seront chĂątiĂ©s dans les feux redoutables du purgatoire pour la nĂ©gligence qu'ils ont eue dans leurs exercices, qui souvent ont Ă©tĂ© des pĂ©chĂ©s vĂ©niels et non pas des actions dignes d'aucune rĂ©compense !Combien y en a-t-il qui, au jour du jugement, se trouveront coupables pour des dĂ©votions qu'ils ont pratiquĂ©es par amour-propre, suivant en cela leur inclination naturelle et non pas le mouvement de la grĂące ; leurs propres lumiĂšres plutĂŽt qu'une conduite rĂ©glĂ©e ; se rendant propriĂ©taires de leurs exercices, voulant les faire par leur propre volontĂ©, y Ă©tant attachĂ©s, ne considĂ©rant pas qu'il n'y a que Dieu seul qui est la fin de tous les moyens Ă  qui nous devions nous attacher, et non pas aux moyens qui conduisent Ă  lui, que nous ne devons prendre qu'avec une parfaite indiffĂ©rence, pour nous en servir seulement dans son ordre, n'Ă©coutant nullement les mouvements propres de la nature, ne les quittant pas Ă  la vĂ©ritĂ© par inconstance ou nĂ©gligence, mais selon le bon plaisir divin, qui demande des choses en un temps qu'il veut qu'on quitte en d'autres, changeant nos Ă©tats comme il lui plaĂźt ; et en tout cela la fidĂ©litĂ© de l'Ăąme consiste Ă  ne vouloir que ce que Dieu veut, demeurant dans un Ă©tat et dans les exercices de l'Ă©tat autant qu'il le veut, et changeant de disposition comme il l' JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mer 6 Juil - 2228 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IVPratiques de dĂ©votion pour tous les ans, les mois, les semaines et les joursAinsi elle s'arrĂȘte Ă  la mĂ©ditation autant que sa grĂące l'y attache ; elle passe Ă  la contemplation lorsqu'elle y est appelĂ©e ; elle fait avec soin tous ses exercices de piĂ©tĂ©, sans en omettre pas un par ennui, par tentation, par dissipation, par elle est bien paisible lorsqu'elle ne les peut pas faire, soit par maladie ou par quelques occupations oĂč elle est obligĂ©e de se rendre dans l'ordre de Dieu ; car ce qu'elle regarde est de faire la volontĂ© de Dieu, sans se mettre en peine des moyens qui servent Ă  aller Ă  Dieu, sinon en tant qu'ils sont conformes Ă  son bon choses supposĂ©es, je dis que celui qui prĂ©tend Ă  la glorieuse qualitĂ© d'esclave de la MĂšre de Dieu doit choisir quelque jour pour se donner Ă  la souveraine des anges et des hommes en cette qualitĂ©, et s'y disposer par une confession gĂ©nĂ©rale, si jamais il n'en a fait, prenant garde que la rĂ©itĂ©ration des confessions gĂ©nĂ©rales souvent vient de la nature, qui veut se satisfaire en se soulageant de quelques peines, qui ne sont que des scrupules, ce qui n'est suivi d'aucune ordinairement, dit le grand saint François Xavier, au lieu d'un scrupule que l'on prĂ©tend ĂŽter, ces confessions en font regermer jour Ă©tant arrivĂ©, aprĂšs la sainte communion, il fera la protestation Ă  sa bonne maĂźtresse, telle qu'elle est ci-aprĂšs Ă  la fin de ce livre, se donnant entiĂšrement Ă  elle en qualitĂ© d'esclave, et cela non-seulement des lĂšvres, mais du plus profond du coeur, entrant vĂ©ritablement dans les dispositions que l'on doit avoir en la volontĂ©, et conformĂ©ment Ă  ce que nous en avons dit particuliĂšrement aux chapitres 2 et 6 de la 1Ăšre pourquoi il sera bon de les lire avec attention, pour savoir en quoi consiste la dĂ©votion de l'esclavage de la trĂšs sainte Vierge, dont il est traitĂ© au chapitre 2, et ĂȘtre Ă©clairci des difficultĂ©s que l'on y peut former, dont il est parlĂ© amplement au chapitre les Romains autrefois achetaient leurs esclaves en prĂ©sence de cinq tĂ©moins, il est bon de se donner Ă  l'auguste impĂ©ratrice du ciel en cette qualitĂ©, prenant pour tĂ©moins d'une action si sainte son bon ange, saint Gabriel, saint Joseph, saint Jean l'ÉvangĂ©liste, et le saint ou la sainte dont on porte le est bon d'acheter une petite chaĂźnette, de la faire bĂ©nir auparavant par un prĂȘtre, avec l'oraison qui est pour ce sujet Ă  la fin de ce JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Jeu 7 Juil - 2228 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IVPratiques de dĂ©votion pour tous les ans, les mois, les semaines et les joursIl proposera d'augmenter le nombre des esclaves de la digne MĂšre de Dieu, autant qu'il le pourra faire, soit en donnant des livres qui traitent de la dĂ©votion de l'esclavage, soit en y incitant par les motifs que l'on peut en suggĂ©rer dans les entretiens particuliers, et en public, si c'est une personne qui ait droit d'y parler, soit en procurant que l'association de l'esclavage soit Ă©tablie, se servant de personnes qui ont quelque pourvoir auprĂšs des prĂ©lats de l'Église, pour en obtenir la n'a point fait le dĂ©vot P. BarthĂ©lemy de los Rios pour cette fin ? Mais ses soins ont reçu une telle bĂ©nĂ©diction du ciel, que l'on voit Ă  prĂ©sent cette confrĂ©rie Ă©tablie en grand nombre de villes, en diffĂ©rentes provinces, et en plusieurs royaumes, et un nombre presque infini de personnes de toutes sortes de qualitĂ©s et d'Ă©tats qui font gloire de vivre dans l'esclavage de la reine du ciel, dont la servitude est prĂ©fĂ©rable Ă  toutes les Ă  nous qui voyons ces choses, qui les louons et approuvons, pendant que nous demeurons oisifs Ă  ne rien faire, nous contentant de quelques paroles ! Ô mon Dieu, quelle confusion de voir ce que le zĂšle d'un seul homme peut faire, et a fait, assistĂ© du ciel, si nous considĂ©rons le peu que nous faisons !En vĂ©ritĂ©, il faut dire que l'amour de nos cƓurs pour celle que nous regardons comme notre trĂšs douce mĂšre et trĂšs aimable maĂźtresse, n'est pas grand 'chose, puisqu'il agit si peu ; l'amour Ă©tant du naturel du feu qui agit toujours, et qu'on ne peut faut de plus que l'esclave de la MĂšre de Dieu sache qu'il doit porter hautement son service dans toutes les occasions, se dĂ©clarer hardiment pour son serviteur et dĂ©vot contre les libertins, et ne faire jamais rien d'indigne d'une si glorieuse aura soin de cĂ©lĂ©brer avec une dĂ©votion trĂšs particuliĂšre, et avec toute la solennitĂ© possible, les fĂȘtes de l'ImmaculĂ©e Conception, de l'Annonciation, et du prĂ©cieux coeur de la glorieuse Vierge, comme les grandes fĂȘtes de l'Association de l'esclavage de la MĂšre de aura aussi une vĂ©nĂ©ration singuliĂšre pour le trĂšs doux nom de Marie, dont la fĂȘte se fait le 22 de septembre, et il ne prononcera jamais ce sacrĂ© nom qu'avec un trĂšs profond l'invoquera avec confiance en tous ses besoins, il aura recours en toutes ses tentations, et il la pourra honorer quelquefois rĂ©citant en son honneur cinq psaumes, ou cinq antiennes ou hymnes qui se commencent par les lettres qui le composent par exemple, rĂ©citant le Magnificat ; - Ad Dominum cum tribularer ; - Retribue servo tuo ; - In convertendo Dominus captivitatem Sion ; - Ad te levavi oculos meos ; ou bien, Magnificat ; - Ave maris stella ; - Regina cli laetare ; - Inviolata ; - Ave Regina JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Sam 9 Juil - 831 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IVPratiques de dĂ©votion pour tous les ans, les mois, les semaines et les joursIl faut prendre quelqu'une des susdites fĂȘtes pour le jour de la rĂ©novation du dessein que l'on a pris de vivre et mourir esclave de la trĂšs digne MĂšre de ce sujet l'on fera avec une nouvelle ferveur d'esprit la protestation de lui cĂ©der tout le droit que l'on a en ses bonnes actions, et que l'on peut lui donner Comme aussi on renouvellera le dessein que l'on a eu de l'honorer en tous les moments de sa vie. L'on fera aussi un sĂ©rieux examen ce qui serait bon de pratiquer tous les mois de toutes ses actions, pour voir si, dans la vĂ©ritĂ©, elles sont toutes Ă  la divine Marie Car si elles lui appartiennent ce qui doit ĂȘtre Ă  raison de la qualitĂ© d'esclave le monde, ni la chair, ni les dĂ©mons n'y doivent avoir aucune ici qu'il faut bien examiner si la profession que l'on fait du saint esclavage est sincĂšre, si elle consiste plus en paroles qu'en effets et si l'on n'en a pas encore bien pĂ©nĂ©trĂ© l'obligation, il faut commencer de le faire une bonne fois en la prĂ©sence de Dieu et des saints considĂ©rera les fautes que l'on a commises, comme par exemple en s'appropriant quelques heures ou quelques jours de sa vie, quelqu'une de ses actions ce qui est une injustice, puisque l'on en a fait cession entre les mains de l'auguste reine du ciel ou bien en nĂ©gligeant de travailler puissamment dans le service de sa bonne maĂźtresse Ă  la pratique des vertus car enfin la qualitĂ© d'esclave dit deux premiĂšre, que, mettant la personne en la possession du maitre ou seigneur, tout ce qu'elle a et tout ce qu'elle fait est Ă  lui la seconde, que toute l'occupation de sa vie est de travailler pour son deux choses bien considĂ©rĂ©es, il y aura lieu de s'humilier fortement, et en suite de faire quelque pĂ©nitence pour demander pardon Ă  notre sainte dame, prenant la discipline, ou jeĂ»nant quelques jours, ou faisant quelque autre action semblable Car c'est le propre des esclaves d'ĂȘtre chĂątiĂ©s quand ils tombent en faute. L'on pourra aussi donner quelques aumĂŽnes, pour marque du tribut que l'on doit rendre Ă  l'impĂ©ratrice du ciel et de la terre, ou bien faire brĂ»ler quelques cierges devant ses images, ou contribuer en ce que l'on peut Ă  la dĂ©coration de ses temples ou autels, selon le mouvement que l'esprit de Dieu en JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Dim 10 Juil - 825 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IVPratiques de dĂ©votion pour tous les ans, les mois, les semaines et les joursPline rapporte qu'on a autrefois payĂ© des tributs pour l'ombre un empereur en a imposĂ© non-seulement pour tout ce que la terre pouvait donner, mais encore pour l'air que l'on respirait. Froton, roi de Danemark, l'exigeait pour toutes les parties du corps, il est bien plus juste que nous le payons Ă  notre Dieu en l'honneur de sa divine LacĂ©dĂ©moniens demandĂšrent aux Samiens pour tribut un jour de jeĂ»ne, c'est-Ă -dire qu'ils leur payassent autant qu'ils auraient dĂ©pensĂ© en ce jour, eux, leurs valets et leurs personnes riches peuvent en faire autant pour la gloire de la reine du ciel, donnant en aumĂŽnes ce qu'ils auraient pu employer dans les repas dont ils s' XI offrit en hommage Ă  la souveraine du ciel le comtĂ© de Boulogne ; saint Henri, empereur, fit bĂątir ou rĂ©parer prĂšs de mille Ă©glises en son honneur ; saint François jeĂ»nait tous les jours depuis la fĂȘte de saint Pierre jusque l'Assomption ; sainte Élisabeth pratiquait le mĂȘme jeĂ»ne, mais c'Ă©tait au pain et Ă  l'eau ; le savant cardinal Tolet, de la Compagnie de JĂ©sus, jeĂ»nait pendant ces quarante jours qui prĂ©cĂšdent la fĂȘte du triomphe de la reine du paradis avec la mĂȘme austĂ©ritĂ©, ne mangeant que du pain et ne buvant que de l' ne faut qu'aimer et faire ; car l'amour est tout plein d'industries, et il inspirera toujours assez de moyens aux vĂ©ritables esclaves de payer le tribut Ă  leur bonne maĂźtresse. C'est une excellente pratique, d'avoir une boite oĂč l'on mette tous les jours ou toutes les semaines quelque argent de ce qu'on aura pu Ă©pargner, pour l'offrir ensuite comme un tentation que l'on aura surmontĂ©e, une occasion dangereuse dont l'on aura Ă©tĂ© dĂ©livrĂ©, quelque fĂącheux accident dont l'on aura Ă©tĂ© prĂ©servĂ©, un acte de vertu que l'on aura pratiquĂ©, quelques grĂąces particuliĂšres que l'on aura reçues, peuvent servir d'une juste occasion pour faire quelque petite Ă©pargne, pour mettre dans ce que l'on amasse pour le tribut de notre glorieuse maĂźtresse. Mais l'exercice intĂ©rieur de la pratique des vertus lui sera sans doute encore plus le fidĂšle esclave, devant travailler continuellement dans son service, s'appliquera Ă  lui rendre quelques devoirs plus particuliers, prenant Ă  tĂąche de surmonter le vice auquel il est le plus sujet, et de dompter l'inclination qui le domine davantage, ou de pratiquer la vertu qui lui est tous les actes qu'il fera de la mortification de son inclination, ou de la vertu dont il a plus de besoin, pourront composer un bouquet sacrĂ© et mystique qu'il offrira ou tous les mois, ou tous les ans, au jour de la rĂ©novation, Ă  la sainte dame, confĂ©rant les mois avec les mois, et les annĂ©es oĂč il est avec les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes, pour remarquer s'il avance ou recule dans le service de la MĂšre de JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Lun 11 Juil - 820 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IVPratiques de dĂ©votion pour tous les ans, les mois, les semaines et les joursLa vĂ©nĂ©rable MĂšre de Chantal, trĂšs digne premiĂšre fille du glorieux saint François de Sales, avait ramassĂ© et mis dans une oraison tous les actes de vertu que l'on peut produire, ayant ensuite formĂ© l'intention que toutes les fois qu'elle ferait un certain signe ou dirait de certaines paroles elle entendrait produire tous ces encore une pratique excellente, et qui peut supplĂ©er en peu de temps au pouvoir que l'on n'a pas, de dire et de faire tout ce qu'un bon coeur voudrait qui ne fait pas le mal, mais qui le veut faire, ne laisse pas d'ĂȘtre criminel devant Dieu, qui regarde le coeur de l'homme ; de mĂȘme, la bonne volontĂ© de faire le bien en est considĂ©rĂ©e quand elle est vĂ©nĂ©rable Alphonse Rodriguez, de la Compagnie de JĂ©sus, Ă©tant portier en l'une des maisons de cette Compagnie, avait la volontĂ© lorsqu'il allait Ă  la porte, de s'y rendre comme si Notre-Seigneur et sa sainte MĂšre y eussent frappĂ© eux-mĂȘmes, et il en fut rĂ©compensĂ© par une faveur admirable, notre dĂ©bonnaire Sauveur et la glorieuse Vierge paraissant visiblement et l'embrassant avec des tendresses dignes de l'admiration de tout le Ă©tait-il de la grande faveur auprĂšs de cette aimable princesse qui, pendant les ardeurs de l'Ă©tĂ©, lui essuyait la sueur qui coulait de son visage, par un amour ineffable, avec un linge bon frĂšre jetant un jour du blĂ© d'un lieu en un autre fut tellement transportĂ© du zĂšle des Ăąmes qu'il disait bonnement Ă  Notre-Seigneur qu'il aurait eu bien le dĂ©sir de convertir autant d'Ăąmes qu'il jetait de grains de blĂ© ; et l'adorable JĂ©sus eut tellement agrĂ©able sa bonne volontĂ© qu'il lui rĂ©vĂ©la qu'il aurait la mĂȘme rĂ©compense pour ses dĂ©sirs comme si l'effet en Ă©tait faut avoir une image de la sacrĂ©e Vierge en sa chambre ou en quelque lieu de la maison, et l'honorer et faire honorer par tous ceux sur qui l'on a quelque pouvoir, comme l'image de celle qui en est la maitresse, prenant soin qu'un chacun la salue en passant, y faisant brĂ»ler quelques cierges, et l'ornant selon son Brigitte demandant Ă  Notre-Seigneur quelque priĂšre qui lui fĂ»t agrĂ©able, il lui rĂ©vĂ©la que ce serait de bĂ©nir et honorer tous les membres du corps virginal de sa trĂšs pure MĂšre ; et la sainte Vierge lui apparaissant ensuite lui dit que c'Ă©tait elle qui lui avait obtenu la grĂące de cette dĂ©votion, et que lorsqu'elle s'en acquitterait elle serait consolĂ©e de son avons dĂ©jĂ  parlĂ© de cette dĂ©votion ; mais disons Ă  prĂ©sent que saint Jean DamascĂšne la pratiquait, et Richard de Saint-Laurens, pĂ©nitencier de Rouen, qui vivait il y a plusieurs siĂšcles. Ce grand homme exhortait de bĂ©nir tous les membres du corps sacrĂ© de la bienheureuse Vierge, pour ĂȘtre bĂ©nis en tous les membres de nos corps. Voici sa pratique A suivreSource JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mar 12 Juil - 931 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IVPratiques de dĂ©votion pour tous les ans, les mois, les semaines et les jours Je vous bĂ©nis, ĂŽ pieds aimables de ma bonne maĂźtresse, qui n'avez jamais marchĂ© que pour Notre-Seigneur ; je vous bĂ©nis, ĂŽ pures entrailles qui l'avez portĂ© ; je vous bĂ©nis, ĂŽ coeur trĂšs aimant qui l'avez tant aimĂ© ; je vous bĂ©nis, ĂŽ glorieuses mamelles, qui l'avez vous bĂ©nis, ĂŽ mains sacrĂ©es qui l'avez servi ; je vous bĂ©nis, ĂŽ bouche sainte qui lui avez donnĂ© des baisers si chastes ; je vous bĂ©nis, ĂŽ langue divine qui n'avez jamais parlĂ© que pour lui seul ; je vous bĂ©nis, ĂŽ oreilles fidĂšles Ă  Ă©couter ses paroles ; je vous bĂ©nis, ĂŽ beaux yeux qui l'avez regardĂ© uniquement en toutes choses ; enfin je vous bĂ©nis, ĂŽ corps tout virginal, ĂŽ Ăąme toute cĂ©leste qui avez Ă©tĂ© le sanctuaire du divin amour, et le temple auguste de la suradorable TrinitĂ©. »On peut faire une gĂ©nuflexion Ă  chaque salutation, et pratiquer cette dĂ©votion ou tous les mois, ou au moins une fois l' mĂȘme sainte Brigitte a eu rĂ©vĂ©lation que la trĂšs sainte MĂšre de Dieu donnerait sa bĂ©nĂ©diction Ă  toutes les familles et aux personnes qui, ayant recours Ă  elle avec une confiance filiale, lui rĂ©citeraient dĂ©votement par trois fois le verset de l'Ave maris stella Monstra te esse un exercice Ă  Ă©tablir dans toutes les familles, et particuliĂšrement dans les communautĂ©s religieuses, qui attirera sans doute de grandes grĂąces de la mĂšre de glorieuse Vierge a fait aussi connaitre qu'elle prenait plaisir Ă  la dĂ©votion des sept joies principales qu'elle a eues en ce monde, et de celles dont Ă  prĂ©sent elle est comblĂ©e dans l'Ă©ternitĂ© donc une louable coutume que de les honorer ; mais il ne faut pas oublier le culte que l'on doit rendre Ă  ses douleurs, dont il y en a sept qui sont les plus premiĂšre est celle qu'elle porta en la circoncision de son fils bien-aimĂ© ; la seconde, en la fuite quelle fut obligĂ©e de prendre en Égypte ; la troisiĂšme, en la perte de Notre-Seigneur dans le temple ; la quatriĂšme, lorsqu'elle dit le dernier adieu Ă  son cher Fils Ă©tant sur le point de sa douloureuse mort ; la cinquiĂšme, en la rencontre qu'elle en fĂźt portant sa croix ; la sixiĂšme, lorsqu'elle l'assista sur le Calvaire ; la septiĂšme, le voyant expirer et le tenant mort ensuite entre ses JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mer 13 Juil - 019 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IVPratiques de dĂ©votion pour tous les ans, les mois, les semaines et les jours On peut honorer ces joies et ces douleurs de notre divine maĂźtresse, rĂ©citant sept Pater ou sept Ave, ou faisant sept gĂ©nuflexions, s'humiliant Ă  mĂȘme temps avec un profond respect devant la divine MajestĂ© pour la remercier de ses grĂąces envers la trĂšs pure ses restes arrivent, le fidĂšle esclave doit ĂȘtre tout dans une sainte joie ; il doit s'y prĂ©parer plusieurs jours auparavant par quantitĂ© de dĂ©votions, conformĂ©ment Ă  son Ă©tat ; il doit les cĂ©lĂ©brer avec tout le respect doit en faire l'octave avec tous les sentiments qu'une vĂ©ritable piĂ©tĂ© en peut donner ; tous les samedis lui seront des jours de grande dĂ©votion, et dans ces temps, il s'appliquera encore plus particuliĂšrement Ă  la pratique des bonnes aura une charitĂ© spĂ©ciale pour les Ăąmes des trĂ©passĂ©s, gagnant les indulgences Ă  leur intention, et faisant tout ce qu'il pourra par le sacrifice de la messe, par la communion, jeĂ»nes, austĂ©ritĂ©s, aumĂŽnes, priĂšres par lui et par tous ceux Ă  qui il pourra inspirer le mĂȘme soin, afin que ces Ăąmes, Ă©tant dĂ©livrĂ©es de leurs peines, aillent dans le ciel bĂ©nir, louer et aimer celle qui en est l'aimable princesse ; se souvenant que c'est toujours Ă  elle, comme il a Ă©tĂ© expliquĂ©, de faire l'application de nos bonnes oeuvres Ă  qui il lui les matins, il se souviendra qu'il n'est plus Ă  lui, mais Ă  la trĂšs sacrĂ©e Vierge, ainsi, que tout ce qu'il a Ă  faire est de la servir avec fidĂ©litĂ©, faisant toutes ses actions purement pour Dieu, et renonçant Ă  tout autre dessein, et tout autre vue, et faisant une sĂ©rieuse rĂ©flexion que c'est une vĂ©ritĂ© de foi qu'il n'y a que cette unique chose nĂ©cessaire, servir et ĂȘtre Ă  moyens qui y conduisent sont Ă  la vĂ©ritĂ© bien diffĂ©rents les voies des religieux ne sont pas semblables Ă  celles des sĂ©culiers, c'est pourquoi les personnes qui sont dans le siĂšcle n'y doivent pas vivre comme celles qui sont dans les cloitres ; mais toutes, sans rĂ©serve, et le savant aussi bien que l'ignorant, le pauvre comme le riche, le roi comme le paysan, l'homme mariĂ© comme le religieux tous doivent aller Ă  Dieu, et tous n'ont qu'une seule chose Ă  faire, qui est de le faut ici remarquer les artifices du dĂ©mon, qui tĂąche de mettre dans la plupart des esprits que de certaines choses sont nĂ©cessaires pour aller Ă  Dieu, qui cependant sont incompatibles Ă  leur Ă©tat, pour ensuite dĂ©courager les personnes, et leur faire voir la dĂ©votion comme une chose impossible, Ă  moins que d'ĂȘtre renfermĂ© dans un JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Jeu 14 Juil - 1258 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IVPratiques de dĂ©votion pour tous les ans, les mois, les semaines et les joursAinsi, il fera que quelques-uns mettront la dĂ©votion dans les jeĂ»nes et austĂ©ritĂ©s, qui n'auront pas la force de les pratiquer ; d'autres, dans la retraite, qui sont obligĂ©s Ă  la gens ne prenant pas garde que le service de Dieu ne consiste pas prĂ©cisĂ©ment dans de certaines choses, quoique bonnes, mais dans l'assujettissement Ă  la volontĂ© le Dieu, qui conduit Ă  lui, les uns par une voie, les autres par une autre ; tellement que le prince ne doit pas se servir des moyens qui sont propres aux religieux, ni les religieux ne doivent pas prendre ceux qui sont pour les tous doivent tendre Ă  une seule fin, et celui qui est mariĂ© doit avoir Dieu pour but dans son mĂ©nage, dans ses affaires, dans ses travaux, dans ses occupations, et n'y rechercher que sa gloire, aussi bien que le religieux dans tous les exercices fidĂšle esclave entrera donc Ă  son rĂ©veil dans ce dessein, pour le suivre fidĂšlement en toutes les actions de la journĂ©e, en faisant une offrande Ă  Dieu seul en gĂ©nĂ©ral pour toutes ses actions moins considĂ©rables, et en particulier pour celles qui font sa principale ce n'est pas assez de dire de bouche que l'on ne veut que la gloire de Dieu en tout ce que l'on pense, en tout ce que l'on dit ou fait ; mais il faut en avoir une sincĂšre volontĂ©, et ĂȘtre continuellement par Ă©tat dans ce dessein, et non pas pour quelques moments pendant que l'on fait ses priĂšres ; en sorte que toutes les fois qu'on fait rĂ©flexion sur ses actions, en quelque temps que ce puisse ĂȘtre, Ă  la table aussi bien que dans l'oratoire, dans la rĂ©crĂ©ation aussi bien que dans l'oraison, l'on puisse voir dans le fond de son coeur que c'est Dieu que l'on cherche et que l'on veut servie ; de telle maniĂšre que, s'il n'Ă©tait pas glorifiĂ© en ce que l'on fait, l'on s'en abstiendrait courageusement, quelque inclination que la nature y pĂ»t par faiblesse l'on commet des imperfections qui soient contraires Ă  ce dessein, il ne faut pas que ce soit avec une entiĂšre connaissance ; mais aussitĂŽt que l'on s'en aperçoit, l'on doit y renoncer pour ce qui regarde la part que la nature y prend, protestant que, malgrĂ© les sentiments de la partie infĂ©rieure, l'on y veut chercher la gloire de les Ăąmes qui n'y chercheront pas seulement Dieu premiĂšrement, mais qui s'attacheront Ă  lui seul uniquement, qui n'aimeront et ne verront que lui seul en toutes n'est pas nĂ©cessaire de longues priĂšres ou de grandes directions d'intention, lorsque l'on a une volontĂ© sincĂšre de ne chercher que Dieu en toutes choses, et que ce dessein demeure dans le fond de l'Ăąme par Ă©tat ; pour lors, une seule ou deux paroles suffisent, comme Ô mon tout, je ne veux que vous, je suis tout Ă  vous, Dieu seul », et choses JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Jeu 14 Juil - 2308 CHAPITRE IVPratiques de dĂ©votion pour tous les ans, les mois, les semaines et les joursL'on ne peut assez recommander le frĂ©quent usage des oraisons jaculatoires, dont chacun se servira selon le mouvement de sa grĂące. En voici quelques-unes pour ceux qui n'en ont pas l'habitude Ô sainte MĂšre de Dieu, montrez-vous ĂȘtre ma bonne mĂšre... Ô mon Ăąme, quand serons-nous tout Ă  Marie, pour ĂȘtre tout Ă  JĂ©sus... Sainte Vierge, je vous aime, et vous veux aimer...Ô mon coeur ! souvenons-nous bien que nous ne sommes plus Ă  nous, et qu'Ă©tant Ă  la reine du ciel, nous ne pouvons plus disposer de nos affections... Mon Ăąme, nous sommes les esclaves de la sainte Vierge, il ne faut donc plus penser avoir aucune libertĂ© de mettre notre joie, ou de nous attrister de ce qui plaĂźt ou dĂ©plaĂźt au sang et Ă  la nature...Ô monde, il ne faut plus avoir aucune prĂ©tention sur nous, puisque nous ne sommes plus Ă  nous... Ô quelle injustice, ĂŽ mon Ăąme, de faire la moindre petite action pour les crĂ©atures !En conscience, peut-on donner ce qui n'est plus Ă  soi ? Tout est Ă  Marie, il n'y a donc plus rien pour aucune autre crĂ©ature... Ô mes yeux, non, vous ne pouvez plus regarder ; mes oreilles, rien Ă©couter ; ma langue, rien dire ; ma mĂ©moire, vous appliquer volontairement qu'Ă  ce que veut notre bonne maĂźtresse. »Un moment passĂ© avec connaissance dans la recherche de nous-mĂȘmes ou de quelque autre crĂ©ature mĂ©rite de grands chĂątiments, puisque, dans cet instant, nous nous tirons du domaine et de l'empire de l'auguste impĂ©ratrice du tout ce que l'esclave fait est acquis Ă  son seigneur, celui qui est dans l'esclavage de la divine Marie ne doit pas ĂȘtre oisif, mais travailler avec ferveur pour sa sainte dame. Quels services ne mĂ©rite pas une telle maĂźtresse ? Il faut donc tout faire pour elle, et faire tout ce que l'on fait de bonne grĂące et avec une gĂ©nĂ©reuse ferveur. C'est une douce pensĂ©e, lorsque l'on est tentĂ© de paresse, d'ennui ou de dĂ©couragement, de se souvenir que l'on agit pour la digne MĂšre d'un une vue capable de donner une force incroyable parmi toutes les sĂ©cheresses, ariditĂ©s et rĂ©pugnances que l'on peut avoir dans le service de y a de certaines bonnes oeuvres que l'on doit pratiquer plus particuliĂšrement comme d'accompagner le trĂšs saint Sacrement, aller souvent le visiter, faire des pĂšlerinages aux lieux consacrĂ©s sous le nom de la trĂšs pure Vierge, aller aux hĂŽpitaux, aux prisons, chez les pauvres honteux, assister les misĂ©rables de tout son pouvoir, soit pour ce qui regarde les peines intĂ©rieures, soit pour les besoins extĂ©rieurs ; rĂ©concilier les ennemis, Ă©tablir la paix et la charitĂ© partout, travailler avec zĂšle Ă  la destruction du vice et de l'impuretĂ©, ruinant les occasions de ce pĂ©chĂ©, ne permettant jamais des familiaritĂ©s indĂ©centes, et ne souffrant en aucune façon les paroles Ă©quivoques ou trop libres, retirant avec charitĂ© les personnes qui y sont engagĂ©es, en leur procurant les secours nĂ©cessaires, empĂȘchant que celles qui sont dans le pĂ©ril n'y tombent malheureusement, se servant pour ce sujet de tous les moyens possibles , et n'Ă©pargnant rien pour la conservation de la puretĂ©, qui est la chĂšre vertu de la Vierge des c'est un service des plus agrĂ©ables que l'on puisse rendre Ă  la reine de toute puretĂ© ; avoir un grand soin des tabernacles et des vases sacrĂ©s, comme ciboires, calices, et des corporaux, purificatoires et tout ce qui regarde le corps de notre adorable Sauveur, et empĂȘcher de tout son pouvoir les irrĂ©vĂ©rences qui se commettent en son adorable prĂ©sence dans nos Ă©glises ; procurer, comme il a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© dit, avec zĂšle des missions pour les pauvres gens de campagnes, et faire en sorte que le catĂ©chisme soit fait avec soin dans les paroisses ; mais surtout contribuer, autant qu'il se peut, pour les missions des pays Ă©trangers, pour en faire une conquĂȘte glorieuse Ă  l'empire de JĂ©sus et JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Ven 15 Juil - 2159 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE IVPratiques de dĂ©votion pour tous les ans, les mois, les semaines et les joursComme l'on doit tenir Ă  gloire d'ĂȘtre chargĂ© des fers de l'esclavage de la reine du ciel, il est bon, de temps en temps, de baiser avec amour et respect les petites chaĂźnes que l'on porte, comme les douces et glorieuses marques de la servitude oĂč l'on est si heureusement engagĂ© ; l'on doit tenir Ă  grand honneur de faire une haute profession d'un si illustre esclavage, se dĂ©clarant partout avec une sainte hardiesse l'esclave de la MĂšre de Dieu, prenant cette qualitĂ© en toutes les occasions oĂč l'on pourra s'en servir, comme dans les lettres que l'on Ă©crit, et en d'autres semblables la persĂ©vĂ©rance est ce qui couronne toutes les pratiques de la vertu. Il y en a beaucoup qui commencent avec une ferveur admirable, plusieurs qui continuent pendant quelques annĂ©es ; mais il y en a bien peu qui persĂ©vĂšrent jusqu'Ă  la marche facilement dans les voies de la vertu pendant que la consolation dure ; il est aisĂ© d'aller Ă  Dieu lorsque les mouvements qui y portent sont sensibles, qu'on ne trouve rien qui y rĂ©pugne ; ou si l'on rencontre des difficultĂ©s, la douceur que l'on trouve d'autre part les fait surmonter n'a pas grand'peine quand les occasions oĂč l'on est, les compagnies que l'on frĂ©quente ne servent pas d' la difficultĂ© est de ne pas dĂ©sister dans la privation des douceurs spirituelles, de tenir bon parmi toutes les contradictions qui arrivent, de ne point retourner en arriĂšre lorsqu'il nous semble que le ciel s'Ă©loigne de nous, et que la terre s'en approche de bien prĂšs ; lorsque la nature se rĂ©volte, que les lumiĂšres s'Ă©clipsent, que l'on avait de la beautĂ© de la vertu, des grandeurs des humiliations, des richesses de la pauvretĂ©, du bonheur des mĂ©pris, du plaisir de la douleur ; que le rien des crĂ©atures disparaĂźt, et qu'on ne voit plus que ce que les sens dĂ©couvrent. Le monde et ses plaisirs que l'on avait eus en horreur devenant agrĂ©ables, l'Ăąme Ă©tant destituĂ©e de tout le sensible, Dieu tout bon la voulant conduire par la pure ! Qu'il y a peu d'Ăąmes qui soient fidĂšles dans ces Ă©tats, qui pratiquent exactement tous leurs exercices dans la privation de tout goĂ»t et sentiment, de mĂȘme qu'elles faisaient dans le temps de la consolation !Que c'est une chose rare de persĂ©vĂ©rer dans le dĂ©gagement des crĂ©atures, lorsque l'on se trouve obligĂ© de converser souvent avec elles, et d'avoir toujours l'esprit mortifiĂ© par des gens trouvera-t-on des personnes dont la puretĂ© des maximes ne se corrompe pas par les maximes du monde ; qui n'aient que ces mĂ©pris pour les richesses, les honneurs et les plaisirs de la vie prĂ©sente, conversant souvent avec des gens qui n'ont que de l'estime pour ces choses, et qui n'en parlent jamais qu'avec goĂ»t et plaisir ?Oh ! Combien ai-je vu d'Ăąmes qui, aprĂšs avoir menĂ© une vie cĂ©leste, se sont toutes plongĂ©es dans la vie des sens ! Combien en ai-je connues qui, marchant Ă  grands pas dans les voies des saints, se sont engagĂ©es dans les routes fĂącheuses des pĂ©cheurs ! Ô mon Ăąme !Que ces expĂ©riences nous doivent ĂȘtre terribles ! Mais qu'il est vrai que l'on ne peut jamais assez dire que la fidĂ©litĂ© est ce qui est de plus rare au monde ! Je ne puis n'empĂȘcher ici de dĂ©plorer l'aveuglement de quelques Ăąmes qui ne voient pas leurs chutes ni leurs infidĂ©litĂ©s, parce qu'il leur reste quelque dĂ©sir d'ĂȘtre Ă  Dieu ; qui ne connaissent pas le ciel des voies de la perfection d'oĂč elles sont tombĂ©es, parce qu'elles tĂąchent de se prĂ©server de grands JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Sam 16 Juil - 2031 DEUXIÈME TRAITÉ CHAPITRE IVPratiques de dĂ©votion pour tous les ans, les mois, les semaines et les joursOh mon Dieu ! Que de sujets de toutes parts de nous humilier jusque dans le plus profond des abimes en la prĂ©sence de notre Dieu ! Pour ĂȘtre un vĂ©ritable esclave, il faut ĂȘtre tellement engagĂ© au service de son maĂźtre, que l'on ne puisse pas s'en tirer ; il y faut vivre et il y faut mourir. Cette pensĂ©e me donne une estime incroyable et un amour indicible pour la qualitĂ© d'esclave de la souveraine du paradis, puisque, nous liant pour toute la vie au service d'une si aimable maĂźtresse, et nous mettant ensuite sous sa continuelle protection, il n'y a rien Ă  craindre, mais tout Ă  espĂ©rer. Être Ă  Marie, c'est ĂȘtre dĂ©livrĂ© de l'enfer ; mais ĂȘtre toujours Ă  Marie ce qui est le propre de ses esclaves, c'est ĂȘtre toujours assurĂ© de son bonheur Ă©ternel ; mais ĂȘtre tellement Ă  Marie, que l'on ne puisse pas se dĂ©gager raisonnablement de son service, c'est ne pouvoir pas ĂȘtre malheureux. Oh mon Ăąme ! Écoutons donc encore une fois un sage conseil, et ne cessons jamais d'en faire Ă©tat. Mettons-nous ses fers aux pieds et son collier au cou, et n'ayons point de difficultĂ©s de porter ses chaĂźnes ; ses liens nous serviront de force et de protection, et son carcan sera pour nous une Ă©cole de gloire, puisque l'on y trouve le plus grand honneur de la vie, et que ces chaines ne nous attachent que pour nous donc la fidĂ©litĂ© qui est le principal devoir de l'esclave, et les moindres fautes que l'on commet Ă  ce sujet sont dignes de Edmond avait une sainte coutume de rĂ©citer tous les jours une priĂšre en l'honneur de la sacrĂ©e Vierge et de son cher favori saint Jean l'ÉvangĂ©liste ; mais y ayant manquĂ© quelques jours, ce grand saint lui parut comme irritĂ©, et donnant quelques signes comme s'il eĂ»t voulu le punir. La bontĂ© de cet incomparable saint et son incroyable douceur ne lui permirent pas de le chĂątier ; il se contenta de lui faire connaĂźtre sa faute, et la peine qu'elle mĂ©ritait. Ce qui doit apprendre Ă  tous les dĂ©vots de la trĂšs pure Vierge Ă  persĂ©vĂ©rer constamment dans leurs exercices de piĂ©tĂ©, et Ă  ne les quitter jamais que dans l'ordre de VDe la foi de la trĂšs sainte ViergeComme la dĂ©votion de la glorieuse Vierge consiste particuliĂšrement en l'imitation de sa trĂšs sainte vie, car celui qui l'aime en vĂ©ritĂ©, dit le dĂ©vot saint Bonaventure , en devient une vivante image, le fidĂšle esclave doit s'appliquer sur toutes choses Ă  l'imitation de ses vertus, d'autant plus que son saint esclavage, nous ĂŽtant au monde, aux crĂ©atures du monde, et Ă  nous-mĂȘmes, pour nous donner tout Ă  elle sans aucune rĂ©serve, pour ĂȘtre uniquement Ă  JĂ©sus seul, est un changement de toute notre vie, et un renouvellement de grĂące, un Ă©tat cĂ©leste oĂč l'on entre par le dĂ©pouillement du vieil homme, et dans lequel l'on est revĂȘtu du JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Lun 18 Juil - 811 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE VDe la foi de la trĂšs sainte ViergeComme la dĂ©votion de la glorieuse Vierge consiste particuliĂšrement en l'imitation de sa trĂšs sainte vie, car celui qui l'aime en vĂ©ritĂ©, dit le dĂ©vot saint Bonaventure , en devient une vivante image, le fidĂšle esclave doit s'appliquer sur toutes choses Ă  l'imitation de ses vertus, d'autant plus que son saint esclavage, nous ĂŽtant au monde, aux crĂ©atures du monde, et Ă  nous-mĂȘmes, pour nous donner tout Ă  elle sans aucune rĂ©serve, pour ĂȘtre uniquement Ă  JĂ©sus seul, est un changement de toute notre vie, et un renouvellement de grĂące, un Ă©tat cĂ©leste oĂč l'on entre par le dĂ©pouillement du vieil homme, et dans lequel l'on est revĂȘtu du qui dit ĂȘtre tout Ă  Marie, c'est dire que l'on est tout Ă  JĂ©sus ; et qui est Ă  JĂ©sus n'est plus Ă  soi ni Ă  aucune chose créée. Si on considĂšre donc l'esclavage de la MĂšre de Dieu, comme on la doit regarder dans son fond, ne s'arrĂȘtant pas seulement aux pratiques extĂ©rieures?C'est un Ă©tat tout divin, dans lequel toutes les vertus sont comme dans leur rĂšgne ; c'est pourquoi le grand exercice du saint esclavage est la pratique solide des vertus, Ă  l'imitation de la trĂšs sacrĂ©e Vierge, qui en est un parfait exemplaire, dont toutes les actions, dit saint Ambroise, doivent ĂȘtre continuellement devant nos yeux, pour reconnaitre ce qu'il y a en nous Ă  corriger, ce que nous devons Ă©viter, et ce que nous devons comme la foi est le fondement de toutes les vertus, c'est cette vertu que le fidĂšle esclave doit premiĂšrement imiter en sa divine maĂźtresse, qui est, dit Richard de Saint-Laurens au livre VI des Louanges de la Vierge, la femme fidĂšle, dont la foi a sauvĂ© Adam l'homme infidĂšle, qui avait Ă©tĂ© trompĂ© par l'infidĂ©litĂ© de la premiĂšre femme, et qui avait ensuite enveloppĂ© dans ses tĂ©nĂšbres toute sa postĂ©ritĂ© ; tĂ©nĂšbres qui ont Ă©tĂ© heureusement dissipĂ©es par la lumiĂšre de la foi de notre sainte pourquoi si nous pouvons dire avec sainte Élisabeth, qu'elle est bienheureuse parce qu'elle a cru, nous devons encore assurer que sa foi nous fait participer Ă  son bonheur, et nous donne une entrĂ©e avantageuse en la communication de sa lĂ  vient que saint Bernard au serm. 2 de la Naissance de Notre-Seigneur, dit que le royaume des cieux est semblable Ă  la foi de Marie, parce que les siĂšges des anges ont Ă©tĂ© rĂ©parĂ©s par cette vertu de la trĂšs pure saint Cyrille d'Alexandrie, qui ne peut ĂȘtre jamais assez louĂ© pour son zĂšle admirable envers les intĂ©rĂȘts de la MĂšre de Dieu, en l'homĂ©lie 6 contre Nestorius, l'appelle le sceptre de la droite foi, parce qu'elle en a Ă©tendu les limites jusqu'aux derniĂšres extrĂ©mitĂ©s de la terre, et Ă©tabli l'empire dans les nations les plus barbares, auparavant qu'elles eussent cru le mystĂšre de l'incarnation qui se devait accomplir en elle, Dieu n'Ă©tait connu qu'en la JudĂ©e, son nom n'Ă©tait grand qu'en son royaume depuis ces jours heureux s'est Ă©tabli par toute la terre, et tous les peuples ont adorĂ© son saint JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mar 19 Juil - 750 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE VDe la foi de la trĂšs sainte ViergeL'angĂ©lique docteur sur le chapitre LXIII d'IsaĂŻe, enseigne que Notre-Seigneur fut dĂ©laissĂ© de tous ses disciples dans le temps de sa passion, qu'il n'y eut que la trĂšs sainte Vierge qui ne le quitta pas, et qui demeura toujours constante dans la cierges qui servent pendant les tĂ©nĂšbres de la semaine sainte, et que l'on Ă©teint, marquent que la lumiĂšre de la foi fut Ă©teinte dans l'esprit des disciples ; et celui qui demeure toujours allumĂ©, et qui est au plus haut du chandelier, est un signe que l'Église donne, que la foi de la bienheureuse Vierge a toujours Ă©tĂ© trĂšs brillante, et n'a jamais souffert mĂȘme sur le Calvaire la moindre aussi le sentiment de saint Bernard en ce qu'il a Ă©crit de la douleur de cette sainte mĂšre, que la foi de l'Église demeurait en la seule Vierge pendant le temps de la passion. Un chacun hĂ©sitait, dit ce PĂšre, mais celle qui avait conçu par la foi, demeurait toujours constante en la est la seule bĂ©nie entre toutes les femmes, c'est elle seule qui, pendant le triste jour du sabbat a persistĂ© en la foi, et c'est en elle seule que toute l'Église a Ă©tĂ© conservĂ©e pendant ce pour ce sujet que quelques-uns estiment que le samedi a Ă©tĂ© consacrĂ© en son honneur. Albert le Grand dĂ©clare que notre sainte maĂźtresse a possĂ©dĂ© la foi dans un degrĂ© souverain et saint Ildephonse l'appelle le sceau de notre devons sur toutes choses nous appliquer Ă  l'imitation de cette vertu, sans laquelle il est impossible de plaire Ă  Dieu, quelque intention que l'on puisse avoir de lui ĂȘtre pourquoi les hĂ©rĂ©tiques, quelques bonnes uvres qu'ils paraissent faire, quand ils donneraient tous leurs biens aux pauvres, quand ils souffriraient avec patience tous les maux du monde, quant ils passeraient leur vie dans la retraite, n'ayant point la foi, ne peuvent ĂȘtre vĂ©ritĂ© nous doit bien faire rentrer en nous-mĂȘmes, pour reconnaĂźtre les obligations infinies que nous avons Ă  la bontĂ© de Dieu de nous avoir donnĂ© la foi, nous ayant fait naĂźtre de parents esprit se perd amoureusement dans les MisĂ©ricordes de Notre-Seigneur, lorsqu'il considĂšre d'oĂč vient qu'entre tant de millions d'Ăąmes qui vivent dans tous les pays Ă©trangers, et qui sont infidĂšles, d'oĂč vient que dans les pays oĂč il a pris sa naissance, oĂč il y a plusieurs hĂ©rĂ©tiques et qui sont ses voisins, il a plu Ă  la Divine MisĂ©ricorde de lui donner le don de la mon Dieu et mon Seigneur ! Que vous avons-nous fait ? Pourquoi nous prĂ©venir de la sorte des bĂ©nĂ©dictions de votre douceur ? Ô mon Ăąme ! Il est bien juste de dire avec le Psalmiste Si le Seigneur ne nous eĂ»t aidĂ© encore un peu, nous allions avoir pour demeure l'enfer !Si nos pieds ont Ă©tĂ© tirĂ©s des malheureuses voies qui y conduisent. C'est votre MisĂ©ricorde, ĂŽ mon Sauveur, qui nous en a dĂ©livrĂ©s. Psal., CXXIII, 1 et seq.Source JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mer 20 Juil - 932 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE VDe la foi de la trĂšs sainte ViergeMais que cela est bientĂŽt dit, l'enfer, quoiqu'il n'y ait point de langue qui puisse nous en dĂ©couvrir pleinement l'Ă©normitĂ© des tourments. On a beau y penser, c'est ce qu'on ne peut comprendre. À jamais ĂȘtre infiniment malheureux, ĂȘtre brĂ»lĂ© pour un jamais, porter l'ire de Dieu pour une Ă©ternitĂ©, souffrir des tourments extrĂȘmes pour me reprĂ©sente une Ăąme condamnĂ©e Ă  ce lieu de pures peines, qui, entrant en enfer, et commençant Ă  en ressentir les effroyables tourments, connaĂźt assurĂ©ment en mĂȘme temps qu'ils ne finiront jamais. Oh ! Quelle rage ! Quels dĂ©sespoirs ! et tout cela sans aucun remĂšde, sans la moindre petite espĂ©rance de secours ; souffrir toutes sortes de peines, qui sont extrĂȘmes dans leur grandeur, et cela pour un jamais. VoilĂ  un gens cependant qui vivaient dans ces anciens siĂšcles de la gentilitĂ©, dont nous foulons aux pieds les cendres malheureuses, sont depuis tant de siĂšcles dans ces peines et comme elles sont Ă©ternelles, elles ne font pour ainsi dire, que commencer. Pourquoi ne sommes-nous pas nĂ©s dans ces temps du paganisme ? Ces personnes hĂ©rĂ©tiques que nous avons connues, avec qui nous avons vĂ©cu, sont dans ces tourments. Pourquoi avons-nous eu des parents catholiques ?Ô amour ! Ô amour de mon Dieu ! Ô MisĂ©ricordes infinies de l'adorable JĂ©sus ! Cest vous, c'est vous qui ĂȘtes la cause de notre bonheur, et la source de toutes les grĂąces. Mais d'oĂč vient que parmi les disciples nous avons reçu tant de lumiĂšres, tant d'instructions ? Pourquoi ne sommes-nous pas comme ces pauvres gens de la campagne, qui vivent presque sans lumiĂšre ? Pourquoi ne sommes-nous pas comme ces gens qui, vivant dans les villes, ne s'appliquent pas aux connaissances de l'Évangile, ou qui, les ayant reçues, les nĂ©gligent ou les mĂ©prisent, ne pensant Ă  rien moins qu'aux vĂ©ritĂ©s de la foi, et s'occupant presque toujours des choses de la terre, ensevelissant la divine lumiĂšre dans l'obscuritĂ© des maximes du monde ?Des misĂ©ricordes si Ă©tonnantes mĂ©ritent des actions de grĂąces continuelles ; mais au moins faut-il prendre quelques jours pour en remercier la divine bontĂ©. Nos ingratitudes tarissent souvent le cours des plus prĂ©cieuses grĂąces du ciel ; Ă  peine trouve-t-on des personnes qui s'appliquent Ă  la reconnaissance des dons de Dieu ; nous les recevons sans cesse, et nous en sommes dans un continuel oubli ; et particuliĂšrement pour la grĂące de la foi, Ă  peine voit-on des ChrĂ©tiens qui en rendent des actions de faut donc faire des communions, avoir soin qu'on offre le saint sacrifice de la messe, faire des neuvaines, donner des aumĂŽnes, pratiquer des mortifications, aller en pĂšlerinage pour remercier Dieu tout bon du don de la foi ; s'assembler plusieurs ensemble pour ce sujet, et pour demander Ă  Notre-Seigneur par sa trĂšs sainte MĂšre et les saints anges, qu'il ne retire pas ce don de la foi de notre pays, par le mauvais usage que l'on en fĂȘte de l'Épiphanie, qui est la fĂȘte de la foi, doit ĂȘtre cĂ©lĂ©brĂ©e avec des dĂ©votions trĂšs particuliĂšres, et c'est un jour bien propre pour s'appliquer Ă  louer l'adorable JĂ©sus, de la manifestation de ses divines vĂ©ritĂ©s. L'on doit avoir aussi grand zĂšle pour procurer l'instruction des pauvres infidĂšles des pays Ă©trangers, et des gens de la campagne, coopĂ©rant aux missions qui s'y font, ou de ses biens, ou de ses priĂšres et autres dĂ©votions que l'on peut offrir, tantĂŽt pour le Canada, tantĂŽt pour la Chine, quelquefois pour la conversion des hĂ©rĂ©tiques, et d'autres fois pour la destruction de l'ignorance de nos JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Mer 20 Juil - 2253 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE VDe la foi de la trĂšs sainte ViergeL'on doit aussi conserver toujours un respect extrĂȘme, une soumission trĂšs profonde, et un amour filial pour notre Saint-PĂšre le Pape, le pĂšre et le pasteur de tous les fidĂšles de l'Église universelle, et le vicaire de Notre-Seigneur JĂ©sus-Christ en terre, et ne se dĂ©partir jamais de l'union que tous les ChrĂ©tiens doivent avoir pour le Saint-SiĂšge apostolique et l'Église romaine, la mĂšre et maĂźtresse de toutes les Églises. ConsidĂ©rant que les dĂ©mons et les hĂ©rĂ©tiques leurs suppĂŽts combattent toujours avec rage le Saint-SiĂšge, et tachent d'en donner tout le mĂ©pris qu'ils peuvent, en diminuant l'autoritĂ©, et en retirant de l'obĂ©issance sincĂšre qui lui est contraire, les saints ont des respects admirables pour la chaire de saint Pierre, oĂč sont assis les Souverains Pontifes successeurs de ce prince des apĂŽtres, avec un tel secours de JĂ©sus-Christ et de sa glorieuse MĂšre, et des bons anges, que les portes de l'enfer n'ont jamais prĂ©valu contre le SiĂšge apostolique. Et quoique la foi ait manquĂ© dans les lieux oĂč les autres apĂŽtres l'ont Ă©tablie, cependant Rome, le siĂšge de saint Pierre, l'a toujours conservĂ©e toute pure et en son entier avec une fidĂ©litĂ© doit aussi avoir haute estime pour les moindres cĂ©rĂ©monies de l'Église, pour les indulgences, pour toutes les confrĂ©ries et dĂ©votions qui en sont approuvĂ©es, en parlant toujours avec respect, et ayant en horreur le libertinage de certaines personnes qui, se piquant d'esprits forts, raillent sur les choses les plus saintes, et pensent donner des marques de quelques lumiĂšres particuliĂšres en pointillant sur la religion ou sur les cĂ©rĂ©monies de l'Église. L'on doit aussi dĂ©tester une profanation criminelle qui se glisse en nos jours, de la parole de Dieu, des hymnes et cantiques de l'office divin, par des impies qui se servent des termes de l'Écriture pour sujet de leurs divertissements, et les appliquent aux choses profanes, et qui composent des chansons vaines et mondaines sur l'air des cantiques dĂ©mon inspire encore une curiositĂ© dangereuse touchant les matiĂšres les plus difficiles de la thĂ©ologie, comme celles de la grĂące et de la prĂ©destination, et les hommes sans Ă©tudes, et mĂȘme les femmes, les Ă©tudient et en disputent dans les compagnies, s'Ă©levant quelquefois par une prĂ©somption diabolique, au-dessus de l'autoritĂ© du Saint-PĂšre et des prĂ©lats, voulant dĂ©cider des difficultĂ©s dont ils ne veulent pas que le Souverain Pontife et les Ă©vĂȘques vĂ©ritablement catholique est bien Ă©loignĂ© de ces maniĂšres d'agir ; car il n'a que de l'horreur pour ses propres lumiĂšres, qu'il quitte avec humilitĂ© pour se soumettre aux lumiĂšres des prĂ©lats de l' n'empĂȘche pas que chacun n'ait ses sentiments, et ses vues, et son jugement ; mais la grĂące de JĂ©sus-Christ nous fait soumettre nos sentiments, nos vues et notre propre jugement. Ce n'est donc pas une excuse lĂ©gitime de dire qu'on n'entre pas dans le sentiment du Saint-PĂšre et des Ă©vĂȘques, parce qu'on ne peut pas empĂȘcher les sentiments que l'on a qui y sont il n'y aurait presque plus d'obĂ©issance ni dans l'Église ni dans les monastĂšres, parce que l'esprit de l'homme, dans la corruption oĂč il est, ne manque pas de prĂ©textes, de beaux raisonnements, qui lui paraissent solides, pour se dispenser de l'obĂ©issance; s'il ne fallait obĂ©ir que lorsque le propre jugement dicte qu'il est raisonnable, la soumission serait bannie de la plupart des esprits, et l'on ne verrait de tous cĂŽtĂ©s que de fĂącheuses JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Jeu 21 Juil - 2332 DEUXIÈME TRAITÉCHAPITRE VDe la foi de la trĂšs sainte ViergeLe vĂ©ritable obĂ©issant n'a point peine Ă  juger que les lumiĂšres de ses supĂ©rieurs sont plus solides que les siennes sans Ă©couter ses pensĂ©es, il passe par-dessus tout ce qu'elles peuvent lui donner de connaissances pour s'y assujettir avec vĂ©ritĂ©, il est difficile de comprendre comme une personne qui marche dans la vie spirituelle demeure attachĂ©e Ă  son sentiment, sous prĂ©texte que ses supĂ©rieurs se trompent, et les Papes et les Ă©vĂȘques ; car c'est un orgueil trop visible de demeurer en repos, sans crainte d'ĂȘtre trompĂ©, pendant que l'on pense facilement que toutes les puissances de l'Église, Ă  qui Dieu donne l'assistance de ses lumiĂšres, sont dans l'illusion et l' Ă  ce que l'Église nous propose, sans Ă©couter aucun raisonnement qui parle au contraire, dans une entiĂšre docilitĂ© d'esprit, et une ingĂ©nuitĂ© toute franche et toute cordiale, sans affecter aucune vaine suffisance pour pointiller sur les choses que l'on ne peut y ait des choses qui choquent les sens et l'esprit, il faut dĂ©mentir ses sens et dĂ©dire son jugement, et se vaincre soi-mĂȘme, pour ĂȘtre pleinement assujetti en son entendement comme en sa c'est par la porte de la volontĂ©, dit le grand saint François de Sales, qu'il nous faut sauver des piĂšges que le dĂ©mon nous tend en l'entendement par les doutes qu'il y glisse sur les vĂ©ritĂ©s de la remĂšde Ă  ceux qui sont tentĂ©s en cette matiĂšre, dans laquelle il faut combattre en fuyant, se donnant bien garde de raisonner, sous prĂ©texte mĂȘme de se convaincre des vĂ©ritĂ©s de notre religion ; car le diable ne manquera jamais Ă  fournir de nouveaux sujets de doutes, qui s'augmenteront infailliblement par le discours de l' ce que l'Ăąme a Ă  faire en cet Ă©tat, est de ne s'occuper pas volontairement des pensĂ©es qui lui arrivent, je dis volontairement, car elle ne peut pas empĂȘcher qu'il ne lui en vienne contre sa volontĂ© ; mais elle doit les laisser anĂ©antir d'elles-mĂȘmes, n'envisageant pas la tentation, bien au contraire, la mĂ©prisant, et s'appliquant doucement et sans effort Ă  quelque autre chose, ou, s'il n'est pas en son pouvoir, les souffrant avec patience, sans s'y arrĂȘter avec des rĂ©flexions VIDe l'espĂ©rance de la trĂšs sainte ViergeLa trĂšs-sainte Vierge avait mis si gĂ©nĂ©ralement toutes ses espĂ©rances en Dieu seul, et elle se confiait si amoureusement en sa divine providence, que jamais le moindre petit mouvement de dĂ©fiance n'a eu aucune place dans son divin coeur, qui est toujours demeurĂ© stable et dans une fermetĂ© inĂ©branlable parmi toutes les tempĂȘtes et orages de la vie prĂ©sente, espĂ©rant contre l'espĂ©rance pourquoi saint Bonaventure enseigne que pendant les jours de sa chair, pour parler avec l'Écriture, elle avait des qualitĂ©s admirables, qui avaient du rapport avec celles des bienheureux, car elle semblait impassible, dit ce saint JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Sam 23 Juil - 029 DEUXIÈME TRAITECHAPITRE VIDe l'espĂ©rance de la trĂšs sainte ViergeCe qui lui arrivait par son entiĂšre confiance en Dieu seul, ne s'Ă©tonnant de rien et s'Ă©levant courageusement au-dessus de toutes les afflictions qu'elle souffrait. Dans le temps de la passion de son Fils bien-aimĂ©, les disciples voyant les ignominies de la croix, entrĂšrent dans le dĂ©couragement ; mais cette MĂšre de la belle dilection, comme le remarque sainte Mechthilde au livre 1er de ses RĂ©vĂ©lations, chapitre 56, pendant que toutes les crĂ©atures Ă©taient dans une consternation gĂ©nĂ©rale, elle seule demeurait immobile avec la divinitĂ©, Ă©tant trĂšs intimement unie Ă  celui qui porte pour une de ses qualitĂ©s qu'il est le Dieu qui ne change point. De lĂ  vient, dit saint Ambroise, que, lorsque l'Écriture nous dĂ©clare Joan, XIX, 25 que le monde fut Ă©branlĂ©, que le soleil retira ses lumiĂšres, que la terre se vit couverte de tĂ©nĂšbres, elle assure que Marie, la MĂšre du Seigneur, Ă©tait debout auprĂšs de la croix de son Fils. Elle pouvait donc dire que si elle Ă©tait noire par la douleur extrĂȘme qu'elle portait sur le Calvaire, elle ne laissait pas d'ĂȘtre belle par la fermetĂ© de son espĂ©rance. »Cette vertu est si nĂ©cessaire qu'un ancien a dit que l'homme qui n'espĂšre pas en Dieu n'est pas un homme vĂ©ritable, mais qu'il mĂ©rite d'ĂȘtre mis au rang des bĂȘtes. Cependant, dit le mĂȘme auteur, il est difficile de se confier uniquement en Dieu seul, car les choses de cette vie mortelle, qui nous environnent insensiblement, nous portent Ă  mettre notre confiance aux hommes, aux honneurs, aux biens, aux puissances, Ă  nos amis, Ă  notre santĂ©, Ă  nos industries, et particuliĂšrement Ă  notre le propre d'une Ăąme cĂ©leste, et qui ne tient plus Ă  la terre, d'ĂŽter de son coeur toute sorte d'appui sur la crĂ©ature pour ne plus espĂ©rer qu'en Dieu seul et attendre tout de sa divine providence pour le temps et l'Ă©ternitĂ©. À proportion que l'Ăąme est Ă  Dieu, ses espĂ©rances sont qui le cherchent en vĂ©ritĂ© ont une grande confiance en ses secours, mais ceux qui lui sont parfaitement unis par un dĂ©gagement absolu de tout l'ĂȘtre créé espĂšrent contre l'espĂ©rance mĂȘme. C'est ce qui fait dire au divin Paul Philip. IV, 13 et seq. Qu'il est tout-puissant en celui qui lui donne force, quoique d'autre part il ne paraisse rien de plus faible, se voyant persĂ©cutĂ© de tous cĂŽtĂ©s, et par ses ennemis du dehors, et par de faux frĂšres, ses proches par la religion, Ă©tant exposĂ© Ă  toute sorte de dangers et environnĂ© d'un monde de François Xavier Ă©tant sur le point de passer dans une Ăźle qui n'avait rien de considĂ©rable que la cruautĂ© des barbares qui l'habitaient, qui, ne trouvant plus d'ennemis Ă  manger, se dĂ©voraient inhumainement les uns les ces cruels insulaires se servaient ordinairement de poison pour faire perdre la vie Ă  ceux dont ils voulaient manger la chair, les amis de ce grand saint lui persuadĂšrent, quoique avec rĂ©pugnance de son cĂŽtĂ©, de porter du contrepoison pour se mettre Ă  couvert de leur malice ; mais Ă  peine ce saint fut-il entrĂ© dans le bateau qui le devait passer en cette terre barbare, que, ne pouvant souffrir l'appui que sa nature pouvait prendre dans ces remĂšdes, il les jeta tous en la mer. Non, disait cette Ăąme gĂ©nĂ©reuse, il ne sera pas dit que Xavier ait mis quelque confiance, pour petite qu'elle puisse ĂȘtre, dans l'ĂȘtre créé ; Dieu seul lui suffit, et il lui suffira pour jamais. Il ne faut point d'autres prĂ©servatifs du poison des barbares que la protection de sa seule providence. » Et de vrai, l'homme apostolique entra dans ce pays de dĂ©mons, dont il changea les coeurs et amollit la duretĂ©, et en sortit sans aucun JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Sam 23 Juil - 2319 DEUXIÈME TRAITECHAPITRE VIDe l'espĂ©rance de la trĂšs sainte ViergeC'est l'ordinaire des grands saints, de vivre dans un entier abandon Ă  la Providence ceux qui vivent dans une justice commune, regardant Dieu, envisage encore la crĂ©ature. Les saints sont assistĂ©s du ciel en tous leurs besoins ; il n'y a point de mĂšre qui ait des soins pour son enfant, comme Dieu en a pour eux il proteste qu'il Ă©tendra ses ailes sur eux, ainsi qu'un aigle sur ses petits, et qu'il les portera dĂ©licatement que ses Ă©paules Deut., XXXII, 11.C'est cet heureux peuple, Ă  qui il assure qu'il n'a rien Ă  craindre ; que le portant en ses flancs et en son sein, il ne peut jamais le mettre en oubli ; que son nom mĂȘme est Ă©crit en ses mains, et que les caractĂšres en sont gravĂ©s en sa l'appelle dans l'excĂšs de ses tendresses, son fils honorable, son fils dĂ©licat ; il dĂ©clare que ses entrailles sont tout attendries sur lui, que sa bĂ©nĂ©diction l'ira accompagner en la ville et aux champs, qu'elle entrera et sortira avec lui le bonheur le suit partout, parce que l'assistance de la Providence ne lui manque jamais. JĂ©r., XXXI, 20.Il le faut rĂ©pĂ©ter non, jamais rien ne manque Ă  ce cher peuple, pourvu qu'il ne vienne Ă  manquer de confiance ; car la confiance est celle qui suce les mamelles de cette Providence mais c'est elle aussi qui les emplit par les sentiments qu'elle donne des bontĂ©s de son personne se trouvant Ă  Paris fort destituĂ©e des secours humains, il lui fut dit Que crains-tu ? Je ferai plutĂŽt venir de cent lieues des gens pour t'assister, plutĂŽt que je permette que les choses nĂ©cessaires te de vrai, Ă  quelque temps de lĂ  un homme arriva en cette grande ville, dont le sĂ©jour ordinaire Ă©tait Ă©loignĂ© de cent lieues, lequel prit un soin incroyable de cette connu un grand serviteur de Dieu, qui Ă©tait Lorrain, et qui est dĂ©cĂ©dĂ© dans une trĂšs grande vieillesse au sĂ©minaire de Saint-Sulpice de Paris, dans lequel les messieurs du sĂ©minaire l'avaient retirĂ© avec une grande charitĂ©, qui pendant la guerre de Paris Ă©tant sorti Ă  la campagne, et avant fait rencontre de quelques Allemands, il en fĂ»t dĂ©pouillĂ© entiĂšrement Ă©tant demeurĂ© en chemise, et s'Ă©tant rendu ensuite en sa petite chambre, qui Ă©tait dans le collĂšge de Marmontier, il me vint trouver fort tard, pour pouvoir avoir quelques hardes pour couvrir sa Ă©tait dans une grande joie de ce qui lui Ă©tait arrivĂ© mais je fus fort surpris le lendemain, lorsque me rapportant les habits que je lui avais prĂȘtĂ©s, il me montra un bon habit dont il Ă©tait vĂȘtu, et qui lui Ă©tait juste, qu'un homme inconnu lui avait apportĂ©, lui disant qu'il ne se mĂźt point en peine d'oĂč il la providence amoureuse de notre Dieu trĂšs bon et trĂšs MisĂ©ricordieux, qui avait assistĂ© son serviteur d'une maniĂšre si prompte et si merveilleuse car c'est une chose assez considĂ©rable, qu'Ă©tant revenu fort tard et prĂšs de la nuit, dĂšs le lendemain il reçut un habit qui lui Ă©tait propre, de la main d'une personne qu'il ne connaissait pas. Ce n'est pas en cette seule rencontre que cet homme de Dieu a Ă©tĂ© favorisĂ© de la divine ProvidenceSource JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Dim 24 Juil - 2331 DEUXIÈME TRAITECHAPITRE VIDe l'espĂ©rance de la trĂšs sainte ViergeAyant Ă©tĂ© rĂ©duit dans une extrĂȘme pauvretĂ© par la misĂšre commune de la Lorraine, il fut contraint lui, sa femme et ses enfants car il avait Ă©tĂ© mariĂ© et Ă©tait artisan, d'aller cueillir des herbes dans les prairies ; pour se nourrir lui et sa famille, n'ayant pas de pain, ce qu'il faisait non seulement avec patience, mais avec joie, se mettant Ă  genoux avec ses enfants pour remercier la divine Providence, quand ils trouvaient quelques herbes propres pour leur pauvre il fut obligĂ© de venir Ă  Paris, oĂč Ă©tant allĂ© au collĂšge de Clermont de la Compagnie de JĂ©sus, et s'arrĂȘtant Ă  la porte, un serviteur de Dieu fut fortement inspirĂ© de lui donner des Ă©cus, et un autre quarante bon homme m'a plusieurs fois racontĂ© qu'il avait une si grande aversion de l'argent, tout pauvre qu'il Ă©tait, qu'il Ă©loignait sa poche de lui, dans laquelle il avait mis l'argent qu'on lui avait donnĂ©, ne pouvant presque le quelque temps de lĂ  un seigneur de marque lui donna huit cents livres pour placer une sienne fille, et l'on eut soin de procurer Ă  sa femme un logement dans une maison la Providence commence de favoriser de ses plus particuliĂšres grĂąces quelqu'un, ce n'est pas sitĂŽt le place chez un homme de son mĂ©tier, et jamais il ne fut plus surpris que lorsqu'il vit ses biens s'augmenter d'une maniĂšre surprenante et Ă  vue d' connut bientĂŽt que c'Ă©tait la bĂ©nĂ©diction que le bon Lorrain avait apportĂ©e en sa maison, dont on ne le tira qu'Ă  force, pour demeurer chez feu monsieur le Gauffre, trĂšs digne successeur du P. Bernard, dont la vie est en odeur de suavitĂ© Ă  tous les fut en ce lieu que sa vie devint tout extatique, ayant ordinairement des ravissements dont je suis tĂ©moin oculaire, durant lesquels son corps devenait si lĂ©ger, qu'il ne pesait presque fut obligĂ© de faire des dĂ©votions pour prier Notre-Seigneur de les lui ĂŽter, parce qu'ils lui Ă©taient si frĂ©quents, qu'ils lui ĂŽtaient la libertĂ© d'agir. Ensuite il tomba dans une maladie extraordinaire, qui avait d'autres causes que les naturelles, et qui lui fut donnĂ©e pour le faire avancer de plus en plus dans les voies du pur m'a dit qu'elle lui avait Ă©tĂ© prĂ©dite par le feu P. de CondĂ© de la Compagnie de JĂ©sus, qui demeurait pour lors au collĂšge de Clermont, qui l'ayant appelĂ©, lui dit ce qui se passait en son intĂ©rieur, et lui prĂ©dit ce qui lui devait arriver, Ă  son grand Ă©tonnement aussi ce PĂšre le venant voir eu sa maladie, comme il en connaissait la cause, ne s'en mettait pas en peine, pendant qu'un chacun ne pensait quau lieu oĂč il devait ĂȘtre enterrĂ©, sa mort Ă©tant tenue comme avait une vĂ©nĂ©ration singuliĂšre pour ce bon PĂšre, qu'il disait avoir vu quelquefois dans de certaines lumiĂšres surnaturelles, proche de Notre-Seigneur Ă  la JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde ami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4993Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet Re MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieu Lun 25 Juil - 2324 DEUXIÈME TRAITECHAPITRE VIDe l'espĂ©rance de la trĂšs sainte ViergeComme la maniĂšre de prĂȘcher de ce PĂšre Ă©tait fort spirituelle, il n'Ă©tait pas goĂ»tĂ© de plusieurs mais j'ai connu des Ăąmes appelĂ©es Ă  la perfection, qui en Ă©taient touchĂ©es d'une maniĂšre trĂšs paroles leur Ă©taient comme des charbons ardents qui les mettaient tout en feu, en sorte que pendant ses sermons elles avaient bien de la peine Ă  se contenir, et Ă  ne pas faire paraitre au dehors le feu sacrĂ© qui les consumait eussent voulu crier, voilĂ  un homme admirable et la grĂące qu'elles en recevaient, Ă©tait telle, que dĂšs lors qu'il montait en chaire, et qu'il commençait Ă  faire le signe de la croix, elles Ă©taient toutes transportĂ©e par les impĂ©tuositĂ©s sacrĂ©es du divin amour. Ô mon Dieu ! Que vos conduites sont admirables ! Pendant qu'un homme n'est pas goĂ»tĂ© de plusieurs, pour ses expressions qui paraissent trop spirituelles, vous vous en servez pour perfectionner les Ăąmes qui vous sont les plus chĂšres. »Ce bon Lorrain Ă©tait tourmentĂ© visiblement des dĂ©mons, qui lui apparaissaient en des figures diffĂ©rentes, et qui semblaient, quelquefois, renverser toute sa chambre ; quelquefois ils lui parlaient, tĂąchant de le dĂ©courager, lui disant qu'il n'avait rien fait pour Dieu, et, d'autres fois, ils usaient de menaces pour l' oraison Ă©tait presque continuelle, ce qui l'obligeait d'aller, de grand matin, dans de certaines cavernes proche Paris, et y passer toute la journĂ©e en contemplation, ne mangeant, quelquefois, qu'un peu de pain le l'ai vu, quelquefois, lorsque nous allions Ă  la promenade, retourner sur ses pas sans dire mot Ă  la compagnie, en sorte que l'on Ă©tait tout Ă©tonnĂ© de ne le Laube de tous les soleils : Pour chaque couleur, renvoyez jusqu'Ă  une carte ciblĂ©e de cette couleur depuis votre cimetiĂšre dans votre main. Retirez ensuite L'aube de

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Lesarchives par sujet : effet no man. Précédent 3 456 7 Suivant Commis / Commise de cuisine. Emploi Bouchemaine, 49, Maine-et-Loire, Pays de la Loire Dans le cadre d'une belle fin de saison estivale et d'une réorganisation de nos équipes pour la saison hivernale, nous recherchons une personne, rigoureuse, dynamique, motivée et organisée pour un poste de commis (se) de cuisine.
Accueil Contact Publié le 2 avril 2012 Tous les soleils à l'aube dorment encore un peu engourdis, nonchalants ils se moquent bien du feu du jour qui les attend, ils chassent les ombres des hommes et des guerres, tous les soleils à l'aube sont comme de grands enfants qui n'ont que faire du temps... Extrait du film "Tous les soleils" de Philippe CLAUDEL
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  • tous les soleils Ă  l aube dorment encore un peu