Jetteun coup d'oeil au post-vacant, tu y trouveras peut-être ton bonheur qui sait! Sinon bha tu sais quoi faire T'inscrire XD On t'attend! De toute l'équipe Administrative: Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. Accueil Rechercher . S'enregistrer Connexion Acide edulcore : Bonjour cher ex membre de ce forum
Vu qu’on est en train de se prendre la vague 90’s en pleine face, avec le grunge, le revival du revival punk, il fallait bien s’attendre à retrouver un truc qu’on avait quasi-oublié, le minimalisme. Ces années 90, quelle histoire ! Ce sont les années où j’ai vécu mon premier grand amour, eu mon bac, fait mes dernières raves et acheté mon premier tee-shirt Margiela. Le fond de l’air n’était pas très gai, à ce que je me souviens. Nos parents, pétrifiés par la récession, nous courraient après avec des projets d’avenir aussi ébouriffants que trouver un boulot avec des débouchés. Super, pour mes premiers pas dans la vie. Merci. Vous n’avez pas d’autres options ? Naaan, va faire tes devoirs. Pffff. À la place, je faisais le mur. C’est en même temps no future et totalement fertile. J’avais aussi peu de recul sur l’époque que je vivais que j’en ai aujourd’hui, mais j’en ai tiré une leçon. N’en faire qu’à ma tête. Ça ne sert à rien de flipper. N’empêche, je me souviens qu’on ne s’habillait pas très coloré et qu’on aimait bien ça. C’était notre glam à nous, notre esthétique fin de siècle, notre réponse à l’extrême flamboyance des 80’s. On en a tiré des esthétiques nouvelles, des lignes fortes, des créateurs cultes. Helmut Lang, Martin Margiela, Jil Sander… Une icône absolue, trop petite et maigrichonne était en train de naître et rendait, en un regard perdu dans le vague, toutes les tops complètement ringuardes. Kate Moss. De l’underground de la musique froide et répétitive que l’on appelait la techno affleuraient des violons et une voix sublime et si différente qu’elle nous a tous à un moment transpercés, celle de Björk. On se bleachait beaucoup les cheveux, on déchirait beaucoup nos jeans, on se mettait des diamants sur les yeux big up Topolino ! on voulait aller à Londres et on aimait le minimalisme. C’est pas évident de résister en ce moment à la vague de flip qui est en train de s’emparer de nos sociétés. On l’a senti très fort dans la mode, en cette rentrée. On s’est demandées pourquoi on était moins surexcitées par les looks des fashionistas, et Elisabeth m’a suggéré que c’est peut-être tout simplement qu’elles avaient moins fait d’achats cette saison. On a essayé de parler d’autre chose et toujours le sujet revenait. On s’est demandé ce que ça voulait dire, cette déferlante de non-couleurs, ce perceptible ennui, et la seule réponse est venue sous la forme d’une question En temps de crise, vaut-il mieux créer des classiques dans lesquels on aura l’impression d’investir, ou des pièces si fortes, qu’elles sont des must-have que l’on cassera sa tirelire pour avoir coûte que coûte ? Chacun y a répondu à sa façon, et j’ai autant aimé les deux versions. Margiela. Vuitton. En tout cas, moi, mes 90’s, je les ai aimées parce qu’elle ont été ma jeunesse. Si on m’avait demandé, j’en aurais certainement choisi d’autres, plus folles, plus drôles, mais en fait, je me serais peut-être moins amusée. Et puis j’en ai gardé un optimisme à toute épreuve, une conviction que quel que soit le contexte on arrête jamais de créer, d’inventer, une résistance à la peur, au cynisme, un truc où je me dis que quelle que soit l’époque dans laquelle on vit, si l’on fait ce en quoi l’on croit, si l’on est libre, et si l’on aime, il ne peut rien nous arriver. Oui, vous avez raison. Et j’en ai aussi gardé un certain amour des violons. Bonne journée ! ——————-
Aimestu les pancakes ? J'adore les pancakes ! Ce n'est pas une vraie FAQ ! Ce n'est pas une vraie question. Pourquoi tes personnages humains sont si simples comparé aux animaux ? Parce que les humains ne m'intéressent pas vraiment. Peux-tu dessiner un tatou ? Oui. Peux-tu lui rajouter des ailes ? Bien sûr. Peux-tu me dessiner moi ? Non. Peux-tu dessiner mon chien ? Ouais, bien
Fortnite Patrick Mahomes fait son entrée ! Après Naomi Osaka et LeBron James, c'est une autre star du sport qui rejoint l'île de Fortnite. Il s'agit de Patrick Mahomes, un joeur de NFL. Deux bande-annonces de présentation viennent de sortir afin d'illustrer le peronnage mais aussi de présenter ses tenues et accessoires.

Siun type se promenait sous mon balcon en déclamant des bêtises, voilà certainement ce que j'aurais été tentée de faire Je sais, quel romantisme    Publié par Unknown à 12:54 1 commentaire: Envoyer par e-mail BlogThis! Partager sur Twitter Partager sur Facebook Partager sur Pinterest. Libellés : balcon, glaviot, romantisme, roméo et juliette.

les forumsForum Blabla 15-18 ans Etoile Abonnement RSS Réglages Mise en forme JVCode Afficher les avatars Afficher les signatures Afficher les spoilers Miniatures Noelshack Sujet si tu m'aime, arrête tes bétises, il faut grandir RépondreNouveau sujetListe des sujets 1 JennaWhite2 MP 15 août 2016 à 231630 Tu m'fait pleurée la nuit Correctif MP 15 août 2016 à 231704 Ta vraiment un avatar malsainVoila c'est dit maxgorthor MP 15 août 2016 à 231721 Il pleut sur mon coeur comme il pleut sur la ville. Victor Hugo JennaWhite2 MP 15 août 2016 à 231726 Le 15 août 2016 à 231704 Correctif a écrit Ta vraiment un avatar malsainVoila c'est dithuh... 1 Nouveau sujetListe des sujets Répondre Prévisu ? Victime de harcèlement en ligne comment réagir ? Sous-forums Le Grand Voyage La Corée du Toast Salut Yuengling Infos 0 connectés Gestion du forum Modérateurs Mano, L_G, SaumonArcEnCiel, Puissancier Contacter les modérateurs - Règles du forum Sujets à ne pas manquer Le 15-18 et le piaf bleu. Le petit guide du karma [PROJET] / Rendez-vous dans 10 ans ! / J'ai payé cette épée 349€ [Jeu] Projet JVC [RPG] Final Fantasy 15-18 [Jeu] J'ai crée un RPG sur le 15-18. Un lock collector Langage SMS, explications Fic Le Geek, le No-life et le wesh [Jeu] Hapclicker [TUTO] Comment cadrer votre avatar correctement ? La vidéo du moment Situ ne fais rien comme les autres. Si tu as la tête d'un chat. Arrête un peu au lieu de rester. Viens donc faire une bise à la marquise. En dessous on se déguise, on dit des bêtises. Nous +10Shanea C. ScarletteJay Z. HarrisonJailyn S. CoperfieldMary P. LinconParis S. BishopHaylee D. LewisLayla O'DestineeVanina C. HiltonÉlyanna H. SeeleyRemy G. Harley14 participantsAller à la page 1, 2AuteurMessageJay Z. Harrison▌Staff I'm just a dream, sorry. ► Messages 137•• Ta proie Et si c'était toi ? •• Humeur Good, always good =It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 95/100Fraternity & Sorority Lambda Phi NuSujet Re remy veut des amis a Lun 28 Sep - 1933 Oui Une idée de scénario ?_________________"If we'd go againAll the way from the startI would try to changeThe things that killed our loveYour pride has built a wall, so strongThat I can't get throughIs there really no chanceTo start once again" Shanon R. DementerellaSHA' ▬ Touch me baby. I know you want me. ► Messages 113•• Ta proie Tous les mecs, ça compte ? a•• Humeur Happy Sujet Re remy veut des amis a Lun 28 Sep - 2206 Un lien ?[Jared <3 ] Jailyn S. Coperfield ► Messages 203•• Humeur Je ne le sais pas trop moi-même . . . It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 70/100Fraternity & Sorority Lambda Phi Nu Remy G. Harley ► Messages 30•• Ta proie dans tes draps propres, poupée.•• Humeur tranquille ^^It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 100/100Fraternity & Sorority Sujet Re remy veut des amis a Mer 30 Sep - 1815 Shanea Deux options on a atteri dans le même lit et depuis on ne s'arrête plus à faire des bétises x Ou tu essayes de me parler voir plus si affinités, je pourrais te repousser mais au fond tu me plais beaucoup ? Puis après, c'est en fonction du RP xParis J'aime, je te rajoute ce week end ^^Jay Tu aurais pu me croiser dans le parc avec ma guitare. Tu as bien aimé ma musique donc tu es venu me voir. On a longuement parlé et petit à petit, on se sentait en confiance, donc on est devenu confident ?Shanon Absolument, je l'aime trop panettière, idée ? Préférence ?Jailyn Voisins depuis que je suis aux States ? Jay Z. Harrison▌Staff I'm just a dream, sorry. ► Messages 137•• Ta proie Et si c'était toi ? •• Humeur Good, always good =It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 95/100Fraternity & Sorority Lambda Phi NuSujet Re remy veut des amis a Mer 30 Sep - 1912 Ouais j'aime bien = On se fait un sujet alors ?_________________"If we'd go againAll the way from the startI would try to changeThe things that killed our loveYour pride has built a wall, so strongThat I can't get throughIs there really no chanceTo start once again" Remy G. Harley ► Messages 30•• Ta proie dans tes draps propres, poupée.•• Humeur tranquille ^^It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 100/100Fraternity & Sorority Sujet Re remy veut des amis a Mer 30 Sep - 1913 Oui, qui s'en occupe et où ?Envoie moi un mp x Vanina C. HiltonSTAFF ▬ alias beauty spy girl a ► Messages 310•• Ta proie Trop pour toutes te les citer =$•• Humeur M a l a d e =$ Jailyn S. Coperfield ► Messages 203•• Humeur Je ne le sais pas trop moi-même . . . It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 70/100Fraternity & Sorority Lambda Phi Nu Remy G. Harley ► Messages 30•• Ta proie dans tes draps propres, poupée.•• Humeur tranquille ^^It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 100/100Fraternity & Sorority Sujet Re remy veut des amis a Jeu 1 Oct - 2027 avec plaisir vanina aje vous rajoute ce week end x Vanina C. HiltonSTAFF ▬ alias beauty spy girl a ► Messages 310•• Ta proie Trop pour toutes te les citer =$•• Humeur M a l a d e =$ Saphiree L. McCalister ► Messages 49•• Ta proie Personne pour l'instant, mais ca ne saurait tarder D•• Humeur Toujours bonne!It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 100/100Fraternity & Sorority Sujet Re remy veut des amis a Ven 2 Oct - 2347 OMG J'veux un lien! * SBAFF * Remy G. Harley ► Messages 30•• Ta proie dans tes draps propres, poupée.•• Humeur tranquille ^^It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 100/100Fraternity & Sorority Sujet Re remy veut des amis a Sam 3 Oct - 1845 Vanina; je m'occupe de tout et je t'envoie le lien par mp dés qu'il est fait aSaphiree; ahh greene, mon dieu, oui, une préférence ? Laura R. Elliott ► Messages 49•• Ta proie Haaaan, nan.•• Humeur Fatiguée, mais Re remy veut des amis a Dim 4 Oct - 1119 On est censé avoir un lien d'après le PV aa October G. Coldwell ► Messages 139•• Ta proie Tu n'est pas encore passer ? C'est pour bientot alors ;•• Humeur Bonne comme toujours =DIt's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 65/100Fraternity & Sorority Lambda Sigma Delta Remy G. Harley ► Messages 30•• Ta proie dans tes draps propres, poupée.•• Humeur tranquille ^^It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 100/100Fraternity & Sorority Sujet Re remy veut des amis a Lun 5 Oct - 1956 ahh laura d'amour <3t'as une idée october ? Laura R. Elliott ► Messages 49•• Ta proie Haaaan, nan.•• Humeur Fatiguée, mais Re remy veut des amis a Lun 5 Oct - 2003 Remy G. Harley ► Messages 30•• Ta proie dans tes draps propres, poupée.•• Humeur tranquille ^^It's My Lifeplay with me, be my friend & hate me i wanna be popular 100/100Fraternity & Sorority Sujet Re remy veut des amis a Sam 10 Oct - 1301 Je vous réponds tous ce week end, je suis pas mal occupé en ce moment, désolé ^^ Contenu sponsorisé remy veut des amis a Achetezle design « Belle nouveauté - si tu m'aimes arrête tes bêtises » par Gp-Pembele sur le produit suivant : Impression rigide Le Deal du moment Coffret Pokémon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en ... Voir le deal Partagez AuteurMessage InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 11 Avr - 1918 Take me, Don't give up semaines c’est long. Deux semaines c’est quatorze jours, c’est trois cent trente six heures, c’est deux semaines de trop à mon gout. Deux semaine ou j’avais terriblement besoin de lui, de mon ami, d’être écouté, conseillé, d’être consoler de pouvoir essayer de résoudre cette affaire qui m’était tombée dessus sans même que je ne puisse dire ou faire quoi que se soit. Je n’avais qu’une envie c’est faire mon sac, claquer cette putain de porte et partir loin de Southampton, partir oui, ou je ne saurais le dire, l’Italie me plaisait tellement, mais Andréa ni était plus et Kristopher lui se trouvait ici. L’ambiance à la Villa devenait de plus en plus électrique et je ne supportais plus de voir cette fille, cette inconnue sous mon toit. Avais-je eu le choix ? Non bien sur que non, on ne m’avait rien demandé, on m’avait balancé cette chose sorti de nulle part, personne ne pouvait me prouver que c’était belle et bien ma sÅ“ur. Une sÅ“ur ? Une petite sÅ“ur ? Depuis quand je suis censée avoir une sÅ“ur ? Je n’en savais foutrement rien, pourquoi elle on la gardé ? Et pourquoi moi on m’a refourgué dans un orphelinat ? Est-ce que j’étais jalouse ? Peut être bien. J’aimais terriblement mes parents adoptifs, oui, je les aimais du plus profond de mon cÅ“ur et pour moi c’était eux mes vrais parents, pas cette femme qui m’envoie vingt deux ans après une sÅ“ur car elle ne peut plus s’en occuper. Depuis quand une femme pouvait-elle refourguer son gosse comme ça a une fille qu’elle ne connaissait pas ? Tout simplement car elle était ma vraie mère elle avait le droit de me larguer ma ‘sÅ“ur’ ? Non mais franchement c’était quoi ce délire ? Et puis, qui dit qu’elle est réellement ma sÅ“ur ? Bon ok… Jino la trouve très ressemblante…. Blonde, yeux bleus, elle fait la même taille que moi, sont regard est identique au mien, même si la couleur de ses yeux est un poil plus foncé des miens… elle a des même manies que moi, elle a un caractère pire que le mien… Mais est ce que ça fait d’elle ma sÅ“ur pour autant ? Tenant cette lettre j’appuyais ma tête contre le mur de ma chambre en fermant les yeux revoyant alors le moment ou j’ai rencontré cette fille. Conduisant ma voiture, que je ne devrais pas conduire ayant le poignet dans le plâtre… La pluie battant sur la pare brise, j’arrivais chez moi après avoir fait des courses et cette fille assise devant le portail, grande, blonde les cheveux collaient sur son front. Lorsque j’avais croisé son regard, bizarrement j’avais su que quelque chose de pas net se trouvait là dedans. Sortant de la voiture j’étais aller la voir lui demandant ce qu’elle voulait… Et cette voix…. Presque identique à la mienne…  Laety ? Shackerwoods ? » haussant un sourcil j’avais hochait la tête pour dire oui sans répondre.  Je suis Vikkie, Vikkie Isobel Dotterlow. Je viens de Suède. Je suis ta… petite sÅ“ur. » Choquée, je l’avais regardé longuement en lui intiment de monter dans la voiture pour aller mettre la voiture dans le garage. Et nous avions alors discuté. Je ne la croyais pas. Comment la croire ? Jusqu’au lendemain ou je reçu une lettre de ma vraie mère. Qui d’après ce qu’elle dit, n’a eu aucun mal a me retrouver. Elle avait toujours su qui m’avait adopté puis le faite que je sois un mannequin qui plus est réputé en Suède, je n’en revenais pas. Je commençais tout juste à faire quelques défilés pour d’autre pays. New-York, Paris et ça s’arrêtait là . Mais mes pubs, et mes publicités sur les catalogues et magazines eux étaient internationaux. Cette lettre qui contenait tellement de chose, qui contenait des mots horribles, triste et dégueulasse, qui avouait la façon dont j’étais née. Est-ce que j’avais voulu savoir ? Non, je m’en serais bien passé. Comment vouloir savoir une chose ? Surtout quand on sait à présent que l’on est née a partir de prostitution ? Je me sentais tellement sale, tellement immonde, horrible, souillée, une mère prostituée ? C’était pire que tout. Et pourquoi elle avait gardé ma sÅ“ur ? Alors qu’elle n’avait que cinq ans de moins que moi ? Elle avait dix huit ans, j’allais bientôt en faire vingt trois… Pourquoi me faire une chose pareille ? Serrant la lettre dans ma main je la mis en boule et la jeta sur mon bureau en me laissant tomber sur le lit. Putain de merde j’en avais marre. J’avais terriblement besoin d’un ami, de Kristopher. Je ne ressentais le besoin de me confier qu’à lui et personne d’autre. J’avais tenté d’appeler Jaelyn, mais mademoiselle ne répondait pas… Jino lui aimait Vikkie, même si Vikkie se montrait plus que distante avec lui, chose que je trouvais bizarre, a croire qu’elle le détestait ou le fuyais… Mais je m’en foutais, une fois qu’elle aura trouvé un logement elle partira de la villa. Est-ce que j’étais mauvaise ? Je crois que sur ce coup là je l’étais. Mademoiselle était en fac d’anglais, elle parlait d’ailleurs très bien l’anglais, et elle était bien évidemment aussi dans le mannequinat. D’ailleurs mon frère lui n’avait pas perdu de temps a l’embaucher… Elle allait devenir un mannequin pour lui… Quoi de mieux ? Bosser entre famille, mais bien sur. Il la considérait comme sa petite sÅ“ur… Ouais… J’étais sa sÅ“ur et elle ne l’était pas. J’en avais marre… Me levant je filais vers la chambre de mon frère frappant rapidement avant d’entrer. Celui-ci allongé dans son lit a regarder la télévision je sautais sur son lit en souriant me collant contre lui.  Jin’, tu peux m’aider à me doucher ? Je sors ce soir, j’ai envie de me changer les idées et … J’ai terriblement besoin de me doucher là … » soufflais-je doucement en frappant son torse nu le lui pinçant en souriant doucement.  Tu sors avec quelqu’un ? Pourquoi ça ne m’étonne pas ? Jaloux…  Non, seule et fais pas ton jaloux ! Vient me laver les cheveux et le bras ! » Dis-je en me relevant filant de sa chambre alors qu’au même moment il m’attrapa me posant tel un sac a patate sur son épaule me montant alors dans ma chambre. Croisant Vikkie, je lui assenais un regard assassin avant de claquer la porte de ma chambre pour ne pas qu’elle rentre.  T’es vache avec ta sÅ“ur… »  Ta gueule… Si tu étais à ma place tu comprendrais… »  Non… Si j’étais a ta place je serais ravis d’avoir de la famille… »  Je suis née a cause de prostitution… »  Laety… »  Douche-moi ! » Soufflais-je au même moment ou il me posait au sol. M’enlevant le short et le débardeur, n’ayant aucune honte d’être nue devant mon frère, je filais dans la baignoire allumant l’eau d’une seule main. Celui-ci en boxer, il prit le pommeau d’eau commençant a me mouiller le corps. La relation que je tenais avec mon frère était très bizarre. Nous avions tous fait ensemble, petite je dormais constamment avec lui, je sortais avec lui, je faisais tout avec lui. Il était triste, je l’étais et vice versa. Et il m’avait embarqué dans le monde de la mode assez tôt. Posant presque nue voir totalement nue cachant mon corps de mes mains, mon frère me voyait nue assez souvent. D’où le fait que le fait qu’il me douche ne soit pas un souci. Mon bas levait bien haut, ma tête penchée en arrière je le laissais me shampouiner la tête celui-ci sifflant l’air d’une chanson. Le laissant me savonner le dos et le bras il me rinça me laissant me laver le reste préférant rester avec moi pour me tenir compagnie. Une fois toute propre m’enveloppant dans la serviette il me sécha rapidement prenant soin de faire de même avec mes cheveux qui bouclaient légèrement.  Tu veux que je te lisse les cheveux ? »  Non c’est bon, on va les laisser ainsi, merci Jino, je vais m’habiller tu peux retourner voir la télévision. » soufflais-je doucement en l’embrassant sur la joue. Le laissant filer, j’entrepris de mettre un string de couleur rouge en dentelle enfilant alors le soutiens gorge assorti faisant bomber ma petite poitrine… Petit sein que Kristopher aimait. Je ne comprendrais jamais comment il fait. Regardant la photo de nous deux qui datait maintenant de plusieurs mois j’entendis frapper a ma porte. Vikkie… Marmonnant qu’elle pouvait entrer j’enfilais mon jean slim de couleur noir virant au gris celui-ci légèrement troué au niveau de la cuisse je me tournais vers elle.  Tu sors ? Tu veux que je vienne ? » La regardant je souriais faiblement enfilant mon haut top rouge, moulant et décolleté.  Oui, et non tu ne viens pas. » Dis-je en essayant de boutonner mon jean n’y arrivant pas. Sans que je ne dise quoi que se soit elle vient me fermer mon jean. La regardant, ses yeux si identiques au mien, je baissais le regard en soupirant longuement.  Laety, je suis dans la même situation que toi, crois moi ce n’est pas facile… » Soupirant longuement je marmonnais un vague merci en me maquillant rapidement comme je le pouvais d’une main. Faisant des yeux charbonneux pour faire ressortir le bleu, je la regardais prendre la photo de Kris et moi. Serrant la mâchoire je regardais à nouveau mon reflet dans le miroir.  C’est ton petit ami ? »  Non… Pourquoi ? »  Non comme ça, il est plutôt bien foutu… »  Ouais ben repose cette photo et dégage… Et t’es trop jeune pour lui, il a dix ans de plus que toi ! »  Mais… »  Dégage putain ! » Dis-je en la poussant hors de ma chambre claquant la porte pour la faire sortir. Soupirant longuement, je finis de me préparer tranquillement en mettant mes talons aiguilles. Sans veste, je sortis de chez moi prenant la voiture, conduisant d’une seule main ayant prit l’habitude. Filant vers la boite de nuit, Midnight owl, je me garais a la première place que je trouvais en regardant mon téléphone. Aucun message rien. Kristopher me manquait terriblement. Il me manquait comme jamais. Est-ce qu’il allait dire oui ? Est-ce qu’il allait dire non ? Je n’en savais foutrement rien et ça m’énervait au plus haut point. Je ne comprenais plus rien… si seulement je pouvais le voir, mais il détenait les cartes en main… Sortant de la voiture, je filais alors dans la boite en souriant au videur que je connaissais depuis le temps maintenant. Allant directement au bar je commandais une vodka pure au caramel. La buvant d’une seule traite, je m’allumais une clope en fredonnant doucement la chanson qui passait regardant les gens danser sur la pister. Buvant d’autre verre, ne les comptant pas, je commençais terriblement a avoir chaud. Écrasant ma troisième clope dans le cendrier, je me décidais enfin à aller danser. Au milieu de la piste, je me déhanchais doucement en sentant alors des mains sur ma taille. Relevant la tête, je vis un garçon, totalement inconnu, se coller contre moi. Souriant faiblement je posais ma main sur son épaule le poussant doucement  Désolée… Mais c’est non ! » dis-je en le poussant un peu plus. Celui-ci passa son bras dans mon dos ma plaquant alors contre lui. Le poussant un peu je serrais le poing me retenant de le lui coller sur sa tronche. Sa main glissant sur mes fesses, je ne pu me retenir. Le poussant alors franchement.  Quand je dis non ! C’est non espèce de pervers ! » InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Dim 17 Avr - 2038 Premier jour, Kris passa sa journée à soupirer de frustration. Second jour, il se rendait au bar en trainant des pieds et passa tout le temps que dura son concert, à regarder la salle comme pour voir si Laety ne s’y trouvait pas. Le troisième jour il avait commencé à se faire une raison. C’était lui qui avait mit une distance effroyable entre eux et il avait plutôt intérêt de tenir bon s’il ne voulait pas prendre un quelconque risque de blesser la jeune femme. Durant les quatre jours qui suivirent, il tenta de ne pas trop penser à elle. Façon de faire le vide avant de devoir se forcer à répondre à la question fatidique. Oui ou non lui laisserait-il une chance à elle et à leur éventuelle relation ? Le huitième jour arriva et il eut l’impression d’avoir un compte à rebours dans la tête. Il ne savait trop combien de temps ça lui prendrait de réfléchir. Il ne savait pas non plus qu’elle serait sa réponse finale, évidemment. Il savait juste qu’il devait la trouver cette foutue réponse mais surtout, en être sûr et certain à deux cent pour cent. Et à côté de cela, il songeait qu’il ne fallait pas non plus qu’il prenne des mois pour méditer là -dessus. Tout simplement parce que Laety ne méritait pas des mois d’attente et d’inquiétude. Elle méritait d’avoir une réponse claire, définitive et rapide pour savoir et décider de ce qu’elle ferait. Une chose était sûre dans toute cette histoire, c’était que Kris l’appréciait énormément et avait prit goût à la sentir près de lui, contre lui. Il aimait sentir la chaleur de son corps contre le sien, sa peau glissant contre la sienne, sa langue entre ses lèvres, lui faire l’amour tout simplement. Mais il savait que ce n’était pas que le cul qui lui plaisait chez elle. Oh non pas le moins du monde ! Après tout elle avait d’abord était longuement son amie avant tout cela, avant qu’ils ne craquent et tombent dans le cercle vicieux du plaisir charnelle qui les avait emportés l’un comme l’autre, l’un avec l’autre. Cela prouvait bien qu’ils s’entendaient bien. Et puis le fait de lui faire l’amour lui avait fait connaÃtre d’autres moments. La tendresse après qu’ils aient couchés ensemble. Sa douceur, son odeur, tout ça … Le réveil à ses côtés, la regarder dormir, la voir sourire, lui parler à voix basse comme pour ne pas se réveiller trop violemment et brutalement. Lui faire l’amour de bon matin pour un réveil mieux que n’importe quel autre. Lenteur, douceur, tendresse, leurs corps encore chaud en raison du sommeil qui les quittait petit à petit. Bref … Kris avait pleinement conscience que tout n’était pas que question de sexe entre eux la fin de la première semaine, il avait commencé par répondre  non » à la question, dans sa tête du moins. Prit de doutes il avait commencé à repenser à toutes les raisons pour lesquelles il ne voulait pas de l’amour et combien il avait peur de l’engagement. Et s’il venait à abandonner Laety après quelques semaines ou mois de relation ? Et si elle venait à parler mariage et enfants alors que pour sa part, tout cela n’était nullement dans ses objectifs, proches ou lointains ? Alors dans ces cas là il la laisserait tomber, alors même qu’il serait peut-être tombé amoureux. Ils seraient donc deux pauvres cons à souffrir. Et tout ça parce qu’il avait décidé de dire lui dire oui concernant la chance qu’il voulait donner à une relation avec elle. Mais rapidement, il avait chassé le non de ses pensées. Elle lui manquait trop pour que cela n’ait pas un sens. C’était une chose qu’il devait prendre en considération. Il crevait d’envie de lui dire oui et de lui laisser une chance de lui prouver que l’amour ça peut être putain de bon et qu’il suffit de le vivre pour le voir. Mais pour cela, il fallait encore qu’il se jette à l’eau et accepte d’avancer à l’aveugle tout droit dans quelque chose qui lui faisait peur plus que de raison. Mais il avait peur, terriblement peur. Après tout, il n’avait jamais prétendu être plus courageux qu’un autre homme. Il n’avait même jamais prétendu être courageux, tout court. Ainsi pas de mauvaise surprise à la sortie. Quoi qu’il en soit, il avait tout de même eut du mal à trouver une réponse à la question qu’il se posait inlassablement. Et puis durant les derniers jours il avait commencé à se dire que de toute façon il n’avait pas réellement le choix. Ce n’était pas comme si l’absence de Laety à ses côtés ne lui faisait rien. Elle lui manquait comme ce n’était pas permit alors avec ça, comment douter du fait que ce serait toujours aussi s’il venait à lui dire non ? Il ne doutait plus de ce côté-là . Il avait besoin d’elle à ses côtés coûte que coûte. Et à côté de cela, il doutait de pouvoir résister à l’envie de lui faire l’amour s’ils venaient à se côtoyer régulièrement, voir tout le temps. Le désir entre eux étaient constant et bien trop puissant pour être oublié ou mit, tout simplement, de côté. Même sans la voir, il avait envie d’elle et d’aucune autre. Il ne remarquait même plus les filles qui passaient près de lui, devant lui ou autres. Il n’y avait plus que Laety, Laety et encore Laety. Est-ce que ça signifiait quelque chose ? Il commençait sérieusement à penser que oui. Et puis finalement, c’est après deux longues semaines à peser inlassablement les pour et les contre, qu’il avait fixé sa réponse. Oui, oui, oui et oui et encore oui ! C’était un soir comme un autre, ou plutôt une nuit après le bar, alors qu’il s’apprêtait à aller se coucher, qu’il avait prit cette décision. Assit sur le bord de son lit, son regard parcourant longuement sa chambre, il avait imaginé Laety là . Simplement là à marcher, lui parler, rire avec lui, le rejoindre dans son lit pour faire longuement l’amour avant de dormir dans les bras l’un de l’autre ou elle sur lui comme elle avait aimé à le faire. Oui il avait foutrement besoin d’elle-même s’il ne pensait pas en être amoureux. Mais sa présence lui manquait. Sa voix, son intelligence, sa conversation, son humour, la douceur de sa peau, la chaleur de son corps, le goût de ses lèvres … Tout ça lui manquait plus que de raison et il devait bien le reconnaÃtre. C’est donc ravit comme pas deux à cette idée, qu’il se coucha cette nuit là pour se réveiller, neuf heures plus tard, en pleine forme. Durant cette journée, il avait longuement hésité à appeler Laety. Devait-il attendre encore un peu ? Non bien sûr que non … Pourquoi faire alors qu’il avait enfin la réponse qu’il lu avait promit ? Mais au moment où il s’empara de son téléphone, après un long petit déjeuner ajouté à un déjeuné, pour composer son numéro et tout simplement la joindre, celui-ci sonna. En reconnaissant le numéro de téléphone de l’un de ses amis, il en fut presque déçu mais répondit tout de même. C’était peut-être un signe. Oui … Peut-être qu’il devait attendre encore un petit peu avant de prévenir Laety de sa décision.  Hey Kris ! Ce soir tu ramènes ton cul toute la bande sort en boÃte. » Sortir dans un moment pareil ? Non il avait tellement mieux à faire ! Oui … Il fallait qu’il appelle Laety et il avait le besoin presque vital de la voir pour lui faire part de sa décision.  Non pas ce soir je … » Sans même lui laisser le temps de terminer sa phrase, son ami le coupa.  Non mais je ne te laisse pas le choix mon vieux ! Tu te ramènes ce soir ça fait trop longtemps qu’on t’a pas vu en soirée et on ne va pas te laisser déprimer dans ton coin pour on ne sait quelle raison ! » Comprenant qu’il n’avait pas tellement le choix finalement, Kris raccrocha son téléphone après avoir promit de se pointer dans la boÃte de nuit où ils avaient l’habitude de se rendre. Le téléphone raccroché et l’heure avançant, le jeune homme décida d’attendre une journée de plus avant de contacter Laety. Il n’était plus à ça près de toute façon …Quelques heures plus tard, après une longue douche brûlante, Kris revêtit un slim jean taille basse noir, un tee shirt de la même couleur à écritures imprimées et un pull gilet épais toujours de la même couleur. Prenant son temps, il mit une touche de gel dans ses cheveux pour les ramener en piques courtes, les ayant fait couper quelques jours plus tôt. Les racines brunes étaient à présent franchement visibles mais il ne cherchait pas à les cacher. Dans quelques petites semaines, soit il ferait couper ses cheveux très courts soit il les teinterait pour redevenir brun. Cela restait encore à voir. Peut-être les teindre pour les avoirs plus bruns que ce qu’il était naturellement. Tranquillement, il replaça correctement ses bracelets et fit passer son collier par-dessus son tee shirt avant de quitter sa salle de bain et descendre les escaliers de son appartement. Là , il chaussa sa paire de chaussures noires à crash blanches pour les mettre par-dessus son pantalon qui lui collait à la peau. Une fois totalement près, il rangea son téléphone portable dans sa poche et récupéra ses clés, fermant la porte derrière lui avant de prendre les escaliers pour descendre les étages à vive allure. Une fois dans sa voiture, comme à chaque fois avant de démarrer, il ne put s’empêcher d’espérer qu’elle soit d’assez bonne humeur pour démarrer. C’était qu’elle pouvait être capricieuse cette voiture. Et comme à chaque fois, elle mit un long moment avant d’accepter de démarrer. Une fois la voiture engagée sur la route, Kris la remercia à mi voix, songeant qu’il avait franchement l’air idiot à parler ainsi à sa voiture. Mais il n’était pas le genre de personne à se prendre la tête pour savoir ce que pensaient les autres de lui. Il était lui et se sentait parfaitement bien de la sorte ! Il ne changerait jamais pour personne. Si ce n’est pour Laety en acceptant de changer d’avis concernant l’amour et tout ce qui va avec. De longues minutes plus tard, après s’être longuement ennuyé dans les embouteillages de ce début de soirée, il arriva enfin à la boÃte de nuits où il devait retrouver ses amis. Comme à chacune de leurs soirées, il salua ceux qui étaient déjà là et attendit avec eux, l’arrivée des retardataires. Une fois tout le groupe réunit, ils entrèrent dans la boite en saluant le videur, étant des habitués des lieux. Une fois à l’intérieur, ils trouvèrent un coin de libre et Kris se vautra plus qu’il ne s’installa sur la banquette en coin. Il n’avait pas franchement l’envie de danser ou que ce soit de ce genre. Mais boire, oui ! Rapidement, l’alcool coula à flots à leur table et ils burent plus qu’il ne le faudrait. Heureusement pour Kris, il supportait tellement bien l’alcool, qu’il était encore totalement net et maÃtre de lui alors que ses amis commençaient déjà à rire sans raison et à vouloir aller danser et draguer tout ce qui bougeait. Rapidement, ils ne furent plus que trois autour de la table, dont Kris évidemment. Celui-ci préférait regarder l’heure tourner et ses amis s’amuser. C’est en regardant longuement les gens présents sur la piste de danse, qu’il reconnut Laety. Ce furent d’abord ses longues jambes fines et délicieusement galbées mises en valeur par un slim noir ainsi que des talons hauts, qu’il reconnut instantanément. Levant lentement le regard, passant par ses fesses parfaitement arrondies et qu’il savait fermes, il détailla longuement son top rouge qui contrastait fortement avec la pâleur de sa peau. Décolleté et moulant, il mettait en valeur sa petite poitrine qu’il aimait tant. La regardant toujours pour la détailler longuement, il regarda ses cheveux blonds boucler sur ses épaules, son profil si doux et harmonieux. Le souffle coupé, il avait la violente envie de la rejoindre sur cette piste de danse, alors qu’elle se déhanchait seule au milieu de tous ces abrutis. A elle seule elle éclipsait toutes les autres filles présentes. Elle n’avait pas besoin de porter une jupe outrageusement courte pour attirer l’attention contrairement à d’autres, par exemple. Alors que Kris venait de se lever, il se figea et serra les dents en voyant un type se coller à Laety. Forcément … Une fille aussi belle qu’elle ne pouvait pas se trouver là seule … Alors qu’il allait se rasseoir, totalement déçu et dépité, il la vit le repousser doucement. Comprenant qu’elle ne désirait nullement la présence de ce jeune homme, Kris fini par s’approcher lentement de la piste de danse, sans la quitter du regard, sans rien manquer des tentatives désespérées de cet imbécile pour rester contre elle et danser avec elle. En voyant sa main descendre sur l’une de ses fesses, Kris sentit son sang battre à ses tempes. Si ça n’avait tenu qu’à lui, il aurait collé son poing dans la gueule de ce type, histoire de lui faire comprendre la signification du mot non. Mais le temps qu’il arrive à eux, Laety était parvenu à l’éloigner quelque peu de lui. Arrivant tranquillement, Kris se plaça entre eux, faisant face au type en lui lançant un regard noir.  Dégage abruti … Elle est déjà prise. » Lâcha-t-il d’une voix claquante avant de se retourner vers Laety sans ajouter un mot, souriant faiblement en coin en posant ses mains sur ses hanches et les remontant avec lenteur dans son dos pour la serrer contre lui en posant sa joue contre ses cheveux et inspirant longuement son odeur qui l’envoûtait plus que de raison. Tout en dansant au rythme de la musique en la gardant contre lui, il s’éloigna lentement du jeune homme un peu trop entreprenant.  Je pensais que j’allais pouvoir t’aider comme un preux chevalier … Mais t’avais pas besoin de mon aide finalement. » Souffla-t-il en souriant en coin. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 2 Mai - 1805 Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept et huit. Ces chiffres, ces huit petits chiffres que j’aimais tant entendre quand j’étais à la danse, ces chiffres que j’aimais compter lorsque je dansais, ces chiffres qui n’avaient plus aucun secret pour moi. Des chiffres qui me plaisaient. La danse était et est une réelle passion pour moi. Je ne pourrais pas m’en passer, a tel point que j’avais même fait construire une salle de danse dans ma villa. Certes petite, mais existante. J’aimais danser, c’était plus qu’un fait, on ne pouvait pas passer à côté de ma réelle passion. Sentir la sueur perler sur mon corps après l’effort, la musique virevolté dans la pièce, me voir bouger dans le miroir, entendre ma respiration saccadé, me jeter sur le sol pour essayer de respirer, prendre une bonne douche bien brulante pour éliminer les toxines que j’avais sortie lors de l’effort. Oui danser, et encore danser… Sans plus jamais m’arrêter, sans plus jamais faire autre chose, tenir la barre en bois, la caresser, sentir l’odeur du parquet de la colophane, les pointes aux pieds, le bruit que cela fait quand l’on saute… Avoir les pieds en sang tellement l’on s’est démené pour faire ce que l’on voulait, progresser et encore progresser, constamment oui… La danse était toute ma vie, elle passait même avant le mannequinat c’était pour dire… Non plus sérieusement, la danse était ma raison de vivre jusqu’à ce que je le croise. Jusqu’à ce que min regard se pose sur ce bel apollon … Mystérieux, envoutant, énigmatique, ténébreux… cet homme aux allures parfaite, des traits fins et masculins, une voix suave et grave, sensuelle et charmante, une voix a vous donner des frissons tellement elle est parfaite… Oui lui, il était devenu ma raison de vivre, je ne jurais que par lui, ne vivais que pour lui… Je ne pensais qu’à lui, je rêvais de lui, bref, Kristopher était devenu très, très important dans ma vie. Il était comme ma raison de vivre, oui je pensais à lui et mon cÅ“ur s’emballait et pas qu’un peu, je pouvais même rougir, devenir rouge comme une tomate, il me changeait, il me transformait en une autre femme… Et c’était très plaisant. Il était celui qui pouvait faire de moi une femme heureuse, comblée, dans tous les sens du terme. Kristopher était quelqu’un de très doux, mais aussi de très sauvage et il savait s’y prendre avec moi. J’avais pu le voir a multiples reprises, oh oui et très en profondeur… Que ça soit chez lui, au camping, dans la rue, chez moi… Oh oui chez moi sous la douche… Sensuel, lent, tendre… Une relation des plus parfaite, oh ça oui, je ne pouvais pas ignorer que Kristopher était tout bonnement parfait au lit. Je l’aimais, je l’aimais et ce n’était pas en parti grâce à ses atouts sexuels. Je l’aimais bien avant de connaitre le sexe avec lui… J’avais eu le coup de foudre pour lui au premier regard et un coup de foudre on ne peut pas le contrôler, on ne peut pas non plus l’ignorer et essayer de passer à autre chose… Non, on ne peut pas. Essayant de me changer les idées, comme si cela était réellement possible… Je décidai de partir en boite de nuit. J’aimais danser après tout… autant en profiter, même si c’est seul que j’irais. Me retrouvant rapidement au bar, je ne perdis pas une seule seconde, commandant alors plusieurs verres que je bu assez rapidement. Je buvais un peu trop, j’avais tendance à tenir l’alcool, mais quand je ne le tenais pas, c’était violent et je vomissais a coup sur. Andréa en avait fait les frais… Tant pis pour lui, c’était tombé sur la mauvaise personne… Une fois les verres bus, je me levais après quelques instants allant alors sur la piste de danse. Me déhanchant lentement au rythme de la musique je sentis des mains se poser sur ma taille. Relevant les yeux, un inconnu se tenait face à moi. Inconnu qui n’allait pas tarder à se faire virer, je voulais être seule… ou alors accompagnée de Kristopher. Le poussant lentement je lui fis alors comprendre que je n’étais en aucun cas intéressé. Si seulement il voulait comprendre… Mais il faut croire que non ! Me touchant les fesses, je le repoussais violemment en lui mettant alors une claque. Il était hors de question que l’on me touche ! tout a coup quelqu’un se mit devant moi sans que je n’eus le temps de faire ou dire quoi que se soit.  Dégage abruti … Elle est déjà prise. » Surprise de le voir la devant moi, je le regardais lentement en me mordillant la lèvre. Kristopher était toujours là quand il le fallait. Quinze jours sans l’avoir vu, dieu qu’il m’avait manqué, oui terriblement même. J’avais l’impression de revivre, comme si un énorme poids était sortir de mon plus profond intérieur. Je voir devant moi, entendre sa voix, sa prestance, son corps…. M’arrêtant de danser tranquillement, le regardant je ne pus m’empêcher de sourire de plus en plus en voyant qu’il prenait ma défense. Cet homme était fait pour moi, il était l’amour de ma vie, oh ça oui… et je ne pouvais pas le lâcher ni même le perdre. Kristopher, ce prénom qui était ancré en moi depuis trop de mois maintenant. Celui-ci se tournant vers moi, je sentais ses mains sur mes hanches, gémissant doucement, je le laissais faire collant alors mon corps contre le sien. Mon cÅ“ur s’emballant, je me sentis légèrement rougir sous l’excitation et la joie qu’il procurait chez moi. Sentant sa joue se collait sur le dessus de ma tête, contre mes cheveux, je le laissais faire reculant en suivant ses pas. Mes mains se posant à sa taille, je remontais ma main libre dans son bas dos faufilant ma main sous son haut caressant alors lentement sa peau tout en fermant les yeux. Elle est déjà prise… Ces mots résonnaient dans ma tête longuement… Oui très longuement…  Je pensais que j’allais pouvoir t’aider comme un preux chevalier … Mais t’avais pas besoin de mon aide finalement. » Passant ma langue sur mes lèvres, un léger sourire se logeant sur mon visage, je fermais brièvement les yeux en inspirant longuement l’odeur qui émanait de son corps, son odeur, sa douce et belle fragrance. Elle m’avait tant manqué, deux semaines, oui deux semaines de souffrance, d’attente et j’en passe. Resserrant mon emprise sur lui, mon corps vraiment collait au sien, je remontais ma main, lentement vers son cou, pressent mes doigts dessus, mon pouce caressant alors sa pomme d’Adam plongeant mon regard dans le sien. Des yeux bleus, tellement bleus, envoutant, énigmatique, intense sensationnelle, des yeux qui me faisait rêver, des yeux ou je pouvais y lire comme un livre ouvert, en me heurtant à un mur lorsqu’il s’agissait d’amour… Un regard qui me laissait sur un petit nuage…  Hum… A une minute près, tu aurais pu être mon preux chevalier… Mais rassure-toi beau blond… Tu l’es quand même… Il n’avait pas l’air de vouloir me laisser… » soufflai-je doucement en posant mon front contre le sien tout en souriant faiblement. Kristopher était bien là … Il était bel et bien là . Soupirant longuement, j’enfouissais sans attendre ma tête dans son cou en soufflant longuement contre sa peau. Remontant mes bras sur ses épaules, je glissais alors mes mains dans ses cheveux entortillant alors mes index dedans en fermant les yeux me laissant guider par ses pas. Il menait la danse, oui, il la menait, et je bougeais le bassin contre le sien. Nous faisions presque la même taille… A quelques centimètres près cela pouvait passer… Et pour faire l’amour debout c’était… tout bonnement parfait. Ne surtout pas penser à cela alors que j’étais dans ses bras en train de danser. Non, ne pas penser au sexe de quelconque manière possible. Se serait un sacrilège, j’aurais envie de faire l’amour avec lui, hors nous ne pouvions pas faire l’amour, nous n’étions pas ensemble et il ne m’avait toujours pas donné sa réponse… Soit, je devais attendre gentiment et patiemment qu’il puisse enfin me fixer sur notre relation. Passant ma langue sur mes lèvres je frissonnais légèrement en déglutissant par la suite.  Alors ? Qu’est ce qui t’amène ici ? Tu t’ennuie ? » demandai-je un tantinet curieuse de savoir ce qu’il faisait ici a cette heure ci… Est-ce qu’il était seul ? Est-ce qu’il était accompagné ? Regardant dans la salle, je guettais la réaction de n’importe quelle fille vis-à -vis de nous. Rien… Non aucune ne paraissait jalouse. Tant mieux dans un sens. Je lui faisais entièrement confiance de toute façon, mais on était jamais sûre a cent pour cent. Soupirant doucement j’embrassais doucement son cou, comme pour lui montrer que je ne voulais pas influencer quoi que se soit avant de me reculer quelque peu pour rompre notre étreinte. Nous ne devions pas être si proches alors qu’il devait choisir encore une réponse. Détournant lentement le regard je baissais alors ma tête en triturant mon haut tout en me mordillant la lèvre.  Kristopher… Tu n’as pas encore prit de décision… Je n’ai pas envie d’influencer ton jugement… surtout en dansant… Aussi collé l’un à l’autre… Merci d’être venu me défendre… Je vais rentrer je crois… J’attendrais ton appel, ou ton message, n’importe quoi… » dis-je doucement en l’embrassant alors sur la joue la caressant du bout de mes doigts. Souriant faiblement, je lui tournais le dos alors pour partir. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Sam 7 Mai - 328 L’absence de Laety à ses côtés, faisait clairement comprendre à Kris qu’elle comptait beaucoup pour lui et qu’elle lui manquait. Oui elle comptait bien plus encore, que ce qu’il s’était d’abord imaginé. Rien à avoir avec une simple amitié ajoutée à un désir sexuel constant. Non, finalement, c’était bien plus que cela. Sans doute des sentiments bien plus forts que ce qu’il s’imaginait depuis un petit moment déjà . Voulait-il lui laisser une chance de lui prouver que l’amour n’était pas si nul que cela et que ça valait le coup ? Oui, cent fois oui ! Oui il voulait lui laisser cette chance parce qu’il avait une confiance aveugle en elle et parce qu’elle était déjà parvenue à le toucher comme aucune autre femme n’était parvenue à le faire jusqu’à présent. Et ce n’était pas seulement une question de rapports sexuels même s’il fallait avouer que de ce côté-là , c’était plus que parfait. Oui, réellement plus que parfait. Un plaisir sans erreur, sans fausse note, sans désaccord. Bref, perfection absolue. Tellement, qu’ils s’étaient consumés un peu plus à chaque rapport. Kris en était arrivé à rêver d’elle de façon presque quotidienne et penser à elle tous les jours. C’en était presque choquant de voir la place importante qu’elle avait prise en lui, dans son cÅ“ur et dans son esprit. La première à parvenir à faire cela et ça avait une réelle importance pour lui. Oui, cela voulait tout dire et c’était bien pour cette raison, qu’il se devait de lui dire oui et encore oui, à la question à laquelle il devait répondre. Voulait-il laisser une chance à leur relation ? Oui ! Après la décision, il y avait l’annonce. Mais pour ce faire, il avait besoin de la voir. Il ne tenait pas à le lui dire sur msn, facebook, par sms ou au téléphone. Cette annonce avait beaucoup trop d’importance pour qu’elle soit faite de la sorte, il ne le voulait surtout pas. Il voulait la voir pour le lui dire. Poser doucement ses mains sur ses hanches, sourire en coin, plonger son regard dans le sien et lui annoncer cela doucement, sans la quitter du ne doutait pas qu’entendre cela, lui plairait plus que de raison. Cela faisait un an qu’elle l’aimait sans jamais oser le lui dire par peur de le perdre. Quelques semaines qu’ils couchaient ensemble sans être capables de s’en empêcher tant le désir était présent en eux et l’attirance terriblement forte. Et ça faisait deux semaines très précisément, qu’elle attendait une réponse de lui, sans avoir eut la moindre de ses nouvelles. Pas de texto de sa part, d’appel, de message sur le net. Non, rien du tout. Et c’était bien grâce à cela, qu’il avait réalisé l’importance qu’elle avait prise pour lui. Elle était sans doute même devenue indispensable pour lui, même s’il avait encore quelque peu du mal à se l’avouer. Il avait toujours aussi peur de se laisser pleinement aller et de tomber amoureux d’elle. Il avait peur d’être blessé et trahit, peur d’être lâché dans une relation dont il serait le seul à se donner pleinement. Mais c’était de Laety qu’il était question. Laety … Sans doute l’une des seules femmes en qui il avait pleinement confiance. La seule qui lui donnait des envies d’amour et de relation. Oui il voulait lui faire plus confiance encore, voulait qu’elle lui prouve que l’amour pouvait rendre heureux, voir même que c’était nécessaire pour cela. Il ne doutait pas un instant qu’elle était parfaitement capable de le lui montrer, avec simplement un peu de patience et de temps. Elle n’avait qu’à lui montrer combien elle-même l’aimait, sans aucun doute. Oui, cela devrait bien suffire à rassurer Kris, qu’il voit combien elle était capable de l’aimer, lui et simplement lui. Il avait simplement le besoin de voir que c’était parfaitement possible et que les sentiments amoureux étaient bien ré que Kris se trouvait dans une boite de nuit en compagnie d’une bande d’amis, bien que le cÅ“ur n’y était pas, il aperçu le fruit de ses envies et de ses pensées. Que faisait-elle là ? Eh bien comme lui, elle faisait la fête tout simplement. Mais il ne lui manquait donc pas, pour qu’elle ait le cÅ“ur à s’amuser ? Lui-même n’était là que par amitié. Mais elle … Elle, elle trouvait tout de même le temps et l’envie de faire la fête alors qu’elle attendait une réponse des plus importantes de sa part. D’un autre côté, il ne pouvait décemment pas le lui reprocher. C’était lui qui prenait tout son temps pour cela, sans lui donner signe de vie. Lui qui lui infligeait cette longue pose sans nouvelles. Il n’allait pas non plus exiger d’elle qu’elle s’enferme chez elle sans faire quoi que ce soit ni voir qui que ce soit. Ce serait la cerise sur le gâteau, véritable exagération de sa part. Au contraire, il avait plutôt intérêt à être ravit, un tant soit peu, de voir qu’elle ne se laissait pas abattre pour si peu. Oui, Laety était une femme forte et il était plus que fier d’être tombé sur elle. Elle était une jeune femme forte, intelligente, rusée, patiente, de confiance, séduisante, excitante … Et il avait eut la chance d’être tombé sur elle et pas une autre. La chance qu’elle soit elle-même tombée amoureuse de lui, ce jour là dans ce bar dans lequel il se produisait tous les soirs. La chance qu’elle soit revenue régulièrement par la suite, assez pour qu’il en fasse une chance et qu’il se décide lui-même à l’aborder en comprenant qu’elle n’oserait jamais le faire d’elle-même. Une chance qu’elle finisse par trouver le moment et le courage de le charmer pour lui faire comprendre combien il avait envie d’elle et combien leurs corps étaient faits pour se trouver et se retrouver, s’amadouer et s’ qu’un type était en train de l’ennuyer plus que de raison, jouant au lourd à vouloir à tout prix se coller à elle pour danser, Kris ne put s’empêcher d’intervenir, délaissant son ami pour rejoindre Laety. La seconde d’après, il fit fuir le type un peu trop entreprenant bien que la jeune femme était déjà parvenue à lui faire comprendre qu’elle ne voulait pas de lui. Sans laisser le temps à la blonde de comprendre ce qui lui arrivait, il s’était collé à elle pour l’entrainer plus loin sur la piste de danse l’air de rien. Posant sa joue contre ses cheveux, Kris ferma les yeux en soupirant de bien être, frissonnant franchement en sentant sa main se faufiler sous son haut. Se passant rapidement la langue sur les lèvres, il passa lentement ses mains dans son dos en la maintenant serrée contre lui. Un court instant plus tard, il eut un sourire plus franc et heureux en croisant son regard si bleu, si envoûtant, se passant lentement la langue sur les lèvres en sentant sa main dans son cou, son pouce sur sa pomme d’Adam. Sans la quitter du regard et sans se départir de son léger sourire, il caressant doucement son dos de ses pouces, par-dessus son haut moulant et tout ce qu’il y a de plus … Sexy et excitant.  Hum… A une minute près, tu aurais pu être mon preux chevalier… Mais rassure-toi beau blond… Tu l’es quand même… Il n’avait pas l’air de vouloir me laisser… » Son front contre le sien, Kris eut un léger rire en montant une main à sa joue pour la caresser doucement, la remontant dans ses cheveux lorsqu’elle enfouit son visage dans son cou. Il ferma les yeux en sentant sa main valide dans ses cheveux, souriant faiblement de bien être.  Hm … Moui … On va faire comme si on était persuadés qu’il allait revenir et ne plus te lâcher. Heureusement que j’étais là hm … » Souffla-t-il d’une voix douce en souriant en coin.  Alors ? Qu’est ce qui t’amène ici ? Tu t’ennuie ? » Soupirant faiblement, il resta un moment silencieux à se contenter de caresser tendrement ses cheveux et inspirer longuement son odeur, profitant au maximum de la chaleur de son corps tout contre le sien.  Je me posais la même question à ton sujet. Je suis là parce que j’ai une bande d’amis très convaincants, qui ont refusés de me laisser tranquille pour ce soir … » Et tout cela alors qu’il avait eut l’envie pressante, le besoin urgent, de voir Laety pour lui faire part de sa décision sur laquelle il ne reviendrait pas. Mais c’était finalement, sans aucun doute, un signe du destin, qu’il l’ait retrouvé ce soir là , dans cette boite de nuit bondée de monde. Frissonnant doucement au baiser qu’il sentit dans son cou, Kris se figea légèrement en voyant la jeune femme se reculer dans l’intention manifeste de se détacher de lui. Sans comprendre pourquoi elle se détachait de la sorte de lui, il haussa les sourcils en la regardant.  Kristopher… Tu n’as pas encore prit de décision… Je n’ai pas envie d’influencer ton jugement… surtout en dansant… Aussi collé l’un à l’autre… Merci d’être venu me défendre… Je vais rentrer je crois… J’attendrais ton appel, ou ton message, n’importe quoi… » Totalement abasourdi, Kris resta totalement figé en sentant son baiser sur sa joue puis la regarda lui tourner le dos et commencer à s’éloigner. Il mit un moment à comprendre, avant de la rattraper en posant une main sur son épaule et se plaçant devant elle.  Ok … Attend, j’ai un message à envoyer. » Lâcha-t-il le plus sérieusement du monde avant de récupérer son portable dans sa poche et écrire un sms à … Laety. Un simple  J’ai à te parler … ». Sans sourire ni montrer quoi que ce soit, il l’envoya et rangea son téléphone dans sa poche avant de redresser la tête pour la regarder le lire. Une fois fait, il passa un bras dans son dos et un autre derrière ses jambes avant de la soulever de terre en la portant contre lui.  Maintenant je t’enlève. » Ajouat-t-il avant de prendre la direction de la sortie de la boite, ignorant les regards et les commentaires sur leur passage. Une fois dehors, il s’éloigna de plusieurs rues pour ne pas être dérangé par qui que ce soit, reposant alors lentement Laety à terre sans la quitter du regard. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Dim 8 Mai - 2049 Take me, Don't give up fait que je sois dans cette boite de nuit était un compte… Mais le fait que Kristopher s’y trouve lui aussi comme de par hasard dans la même que moi était un autre fait. Il y avait combien de boite de nuit sur Southampton ? Trop pour les compter, surtout quand on voit a quel point la ville est de plus en plus étudiante et que le centre de la ville devient des bars a gogos et des boites de nuits. Tout pour attirer les jeunes les plus proches… Alors n’était ce pas un foutu destin qui avait fait que nous nous retrouvions tous les deux dans cette foutue boite de nuit ? Je me le demande bien… Il parait que je réfléchis trop, il parait que j’emmerde les gens… Je me posais des questions, je m’en posais plein comme tout bon nombre de gens, on s’en posait tous des putains de questions ! Mais dans mon cas les questions fusaient à tout sens… pourquoi ? Tout simplement parce que Kristopher était en quelque sorte l’amour de ma vie et que je l’aimais comme une folle et qu’il venait me sauver d’un abruti sans nom. Bon certes, je m’étais très bien débrouillée toute seule en collant une gifle au type… Mais il était tout de même venu, il avait voulu me sortir des bras de se type… Et c’est ce que j’aimais chez lui… Kristopher était l’homme parfait, protecteur, attentionné, a l’écoute, le mec parfait qui me correspondait en tout genre. Il devait devenir mien… C’était a présent plus que vital…  Hm … Moui … On va faire comme si on était persuadés qu’il allait revenir et ne plus te lâcher. Heureusement que j’étais là hm … » Souriant en coin je me mordis la lèvre en tirant légèrement ses cheveux comme pour lui faire comprendre qu’il ne disait que des bêtises. Oui mais nom d’un chien que j’aimais ça…. J’aimais qu’il puisse être si drôle et si agréable. J’aimais parler avec lui, rire a ses côtés il me changeait il me faisait oublier plus ou moins tout le reste et j’en passe… Kristopher avait toujours eu cet effet sur moi. Et c’est ce que j’aimais le plus à vrai dire. Je l’aimais pour ce qu’il était… Mon petit Kristopher… Il était mon tout… Je voulais encore le croire. Sentant ses mains dans mes cheveux je fermais les yeux envoutée par ses mouvements son corps contre le mien… Lui demandant alors ce qu’il faisait ici a voix basse je me sentais terriblement bien ici, dans ces bras et pas ceux d’un autre… Mon Kristopher…à Je me posais la même question à ton sujet. Je suis là parce que j’ai une bande d’amis très convaincants, qui ont refusés de me laisser tranquille pour ce soir … » Souriant en coin, je me doutais bien qu’il se poserait cette fameuse question. De savoir pourquoi j’étais en boite de nuit et seule de préférence… Est-ce qu’il se demandait si je le trompais ? Enfin, le tromper était fort, je n’étais pas sa copine… Mais jamais je ne ferais ce genre de chose non… J’avais juste eu l’envi pressente de partir de chez moi et de me changer les idées. Entre notre histoire et l’arrivé de ma sÅ“ur… Je ne savais plus où donner de la tête… Ma vie prenait une tournure que je ne contrôlais pas et c’était frustrant, j’avais l’impression de revenir trois ans en arrière… Lorsque mes parents sont décédés et que j’ai agis alors sans avoir le choix… Ma sÅ“ur débarquait de Suède et s’incrusté dans ma vie sans même me demander la permission, la longue lettre de ma mère qui m’expliquait alors pourquoi elle ne m’avait pas gardé mais pourquoi elle avait prit le temps de s’occuper de Vikkie… Vikkie Isobel Dotterlaw. Une jeune fille de dix huit ans qui étudie en langue étrangère… une jeune fille sublime, tout aussi belle que moi. Des yeux bleus comme mois, une chevelure blonde, comme moi. Elle était cependant plus petite, de huit centimètre. Son corps était fin comme le mien et elle avait beaucoup plus de poitrine que moi. Nous étions différentes en tout point et surtout niveau caractère. Mais elle était là , réellement là … A tel point que j’en avais même demandé un test pour voir si nous étions réellement sÅ“ur… et le verdict était tombé… Vlam dans ta gueule Laety, tu avais belle et bien une petite sÅ“ur qui rentrait dans ta vie sans même te demander si tu es d’accord… On ne peut pas dire qu’elle ait bien choisi son moment… Je me montrais dure avec elle et strict mais je men fichais… Je ne pouvais pas faire autrement, je ne pouvais pas aimer cette fille qui me demander de le faire. Lui donner autant d’argent que je le voudrais… Non qui me dit que ce n’est pas un coup foireux pour faire venir sa mère ici ? Ma mère en l’occurrence… Non, je ne voulais pas de ça… Je ne voulais rien de tout ça je n’étais pas prête, bon sang je ne voulais pas de ça, je voulais diriger ma vie comme bon me semblait, je voulais la mener a ma sauce et pas celle des autres….  Il fallait que je sorte de chez moi… Disons que l’ambiance n’y est pas trop bonne… Alors venir boire un coup et danser toute seule c’était pour me changer les idées. Mais que tu sois là , c’est encore meilleur… Des amis qui t’enlèvent ? Les méchants… J’espère qu’au moins tu n’avais rien prévu de bien intéressant avant qu’ils ne te kidnappent ? » soufflai-je contre sa peau, fermant alors les yeux, me mouvant lentement contre lui au rythmes de la musique. Une musique énergique mais à la fois légèrement sensuelle, une musique parfaite pour nous pour danser. Nos bassins bougeant en même temps nos jambes collés les unes aux autres pour ne pas être séparé d’un millimètre lui et moi je me mis à sourire en regardant alors son cou. Il sentait tellement bon, il était là , il me tenait dans ses bras il était bien là . Ce n’était pas un fantôme et encore moins un mirage ou je ne sais quoi dû a l’alcool. Non il était bien là …. Soupirant en embrassant alors la peau de son cou, je me défis de ses bras en le regardant droit dans les yeux. Je ne pouvais pas rester ainsi et profiter de la situation. Je ne pouvais pas faire comme si je n’attendais pas une réponse de sa part… Lui marmonnant qu’il ne m’avait pas encore donné sa réponse, il serait donc plus préférable que l’on cesse de danser ensemble. Souriant faiblement, le regardant une dernière fois, je lui tournais le dos pour partir alors de la salle. Sentant une main me tenir l’épaule je le vis alors apparaitre devant moi. Choquée et surprise je le regardais sans trop comprendre.  Ok … Attend, j’ai un message à envoyer. » Le laissant faire me stoppant sous le coup, je le regardais encore plus intriguée sans trop comprendre ce qu’il était en train de faire. Le voyant prendre son téléphone, je posais mes mains sur ma taille le regardant alors pianoter sur celui-ci. Mais qu’est ce qu’il faisait ? Pourquoi faisait-il cela ? Sentant mon téléphone virer dans ma poche j’entrouvrais lentement la bouche surprise de voir qu’il m’envoyait un message à … moi ? Kristopher m’étonnerait toujours… C’était du Kristopher tout craché a vrai dire… Prenant mon téléphone je cliquais sur ouvrir pour voir son message apparaitre alors.  J’ai à te parler … »  Mais qu’est ce que… » Haussant un sourcil relevant la tête vers lui, je n’eus pas le temps de ranger mon téléphone dans ma poche ni même de finir ma phrase que je sentis mes pieds se dérober du sol. Passant rapidement mon bras autour de son cou pour me tenir à lui et lui faciliter un peu plus la tâche je me sentis tout a coup rougir comme une idiote, ignorant alors les regards des autres, enfouissant carrément mon visage dans son cou soupirant contre sa peau. Peau chaude et douce à souhait.  Maintenant je t’enlève. » Me collant un peu plus contre lui, je ne demandais même pas ou nous allions, au fond j’avais une vague idée… S’il faisait cela s’était pour m’annoncer alors sa réponse… Réponse qui me paraissait assez clair non ? S’il avait voulu me dire non il n’agirait pas ainsi, il ne prendrait pas le risque de toucher mon cÅ“ur, de me porter comme un preux chevalier venant de sauver sa princesse… Non, il ne ferait pas cela… Mon cÅ“ur s’emballant pendant que le trajet se faisait en silence je me sentis bien, parfaitement bien à ces côtés. Passant ma langue sur mes lèvres l’air frais s’emparant quelque peu de mon corps, je pourrai presque m’endormir dans ses bras. Tellement c’était bon et parfait… Oh ça oui… Il était beau, fort, musclé, parfait, il avait toute les qualités pour lui comment ne pas en tomber amoureuse ? Je me le demande bien même…inspirant longuement je gardais les yeux fermais, alors que je le sentis se pencher pour me reposer à même le sol. Posant mes pieds au sol, je le lâchais en douceur reculant d’un tout petit pas mais pas trop. Rangeant mon téléphone dans ma poche je glissais ma main dans mes cheveux le regardant longuement avant de regarder autour de nous. Personnes n’étaient là . Nous étions seuls. Il nous avait isolés pour une raison bien précise. Mon cÅ“ur s’emballa plus que d’habitude se serrant par la suite, je me mordis alors les lèvres en lui souriant faiblement.  Kristopher… tu sais que tu es fou ? Mais… Que j’aime ce côté chez toi ? Ton côté fou… enfantin… Tu me surprendras toujours et c’est ce qui me charme plus qu’autre chose… Toi, ta façon d’être… » soufflai-je doucement en passant ma langue sur mes lèvres. Inspirant longuement je reculais alors plus franchement lui tournant alors le dos, pour regarder la rue dans laquelle nous étions. Une rue inerte de présence, une rue pour nous deux. Ce genre de circonstance me rappelait bizarrement notre parti de jambes en l’air dans la ruelle… Ce simple coup vite fait qui m’avait fait prendre conscience que je ne pouvais plus lui cacher l’amour que j’avais pour lui. M’installant contre le mur posant alors un pied contre celui-ci posant mes mains sur mes cuisses je souriais faiblement en plongeant mon regard dans le sien.  Alors… tu dois me parler ? J’attends … » Murmurai-je doucement en souriant faiblement le regardant amoureusement sans pouvoir m’en empêcher. Je l’aimais et ce genre de sentiment on ne pouvait pas réellement les cacher. Surtout quand la dite personne concerné est au courant. Depuis qu’il était au courant je ne me cachais pas vis-à -vis de lui. Il le savait alors bon… autant être sincère constamment avec lui. C’était le mieux pour nous deux. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Dim 15 Mai - 2120 Sans jamais se lasser, Kris regardait et détaillait Laety, tout comme il respirait son odeur avec plaisir et la serrer contre lui avec force, comme pour se rassurer et se satisfaire de sa présence. Il aimait terriblement la voir, l’entendre et la garder contre lui. En tout cas il y avait prit sacrément goût depuis quelques temps. Plus précisément, depuis qu’ils avaient commencé à coucher ensemble. Certes avant, lorsqu’ils n’étaient encore que de simples amis, il lui arrivait souvent de la prendre légèrement dans ses bras, sans pour autant que cela ne dure bien longtemps, sans doute par peur que son désir pour elle ne se réveille physiquement parlant. Quoi qu’il en soit, déjà dans ces brèves étreintes, il prenait beaucoup de plaisir à la sentir tout contre lui. Même trop pour que leur relation ne reste qu’une simple amitié. Et pourtant il avait tenu bon. Tout d’abord parce qu’il était en couple à cette époque. Même si … Ce n’était pas franchement de l’amour qui l’unissait à Elena mais plutôt une amitié ajoutée à du sexe. Bien que s’il avait du choisir un plan cul il en aurait eut davantage du sexe. Mais fort heureusement, Kris n’avait jamais été un accro du sexe qui a besoin de sexe sous toutes ses formes et tous les jours. Non, loin de là même. Il était plus du genre à pouvoir s’en passer durant quelques petits mois sans que cela ne lui pose de véritable problème. Même si à chaque fois, sa nature finissait par le rappeler à l’ordre. Il n’y avait que depuis qu’il avait commencé à coucher avec Laety, qu’il prenait terriblement goût à cela. C’était presque trop bon et trop beau pour lui seul et à chaque fois, il avait la sensation de mourir un peu plus. Certes il ne s’était pas montré franchement tendre avec Laety lorsqu’ils avaient couché dans la ruelle, se faisant froid et lui en voulant presque de le tenter autant. Mais depuis qu’il connaissait ses sentiments, il ne pouvait décemment pas lui reprocher quoi que ce soit. C’était plutôt lui le con de l’histoire, qui n’avait rien vu venir et lui avait sans doute donné de faux espoirs en se montrant totalement incapable de s’empêcher de lui faire l’amour dès que l’envie lui prenait. Mais même à présent, il était incapable de regretter quoi que ce soit, si ce n’est de lui avoir très certainement fait trop de mal durant ce laps de temps. Mais comment regretter l’absolue perfection qu’ils avaient connus tous les deux, ensemble, en faisant l’amour à plusieurs reprises, comme totalement incapables de s’en empêcher ? Ce serait un véritable sacrilège que de regretter cela et il en était bien conscient !C’était à force de ressasser toutes ces pensées, que Kristopher fini par se dire qu’il serait un abruti fini s’il ne donnait pas une chance à Laety de lui prouver que l’amour et le fait d’avoir une relation amoureuse, ce n’était pas si pourri que ça. Oui, c’était pour elle, pour qu’elle le fasse l’aimer comme il se devait, qu’il avait enfin prit la décision de lui dire un grand oui. Oui, il voulait donner une chance à leur relation. Et s’il était prêt à lui dire oui, ce n’était pas en ayant un quelconque doute. Oh non, il était sûr de lui ! Ce qu’il vivait avec Laety ne pouvait décemment pas rester une simple amitié, c’était tout bonnement impossible. Il suffisait de voir, entre autres, la complicité qui les unissait. Le fait qu’à l’instant, il vienne de l’aider à se débarrasser d’un type trop collant et puis faire mine de l’avoir sauvé de ce mec là alors qu’elle se débrouillait déjà parfaitement bien avant son intervention. La serrant toujours contre lui en évoluant au rythme de la musique de la boite de nuit, Kristopher en profita au maximum pour inspirer son odeur et profiter de sa chaleur. Il ne se sentait réellement bien qu’en sa présence et en l’ayant tout contre elle, aussi étrange que cela puisse paraÃtre. Et à ses yeux cela ne pouvait qu’avoir une signification les sentiments qu’il pouvait avoir pour elle étaient sincères et étaient en train de grandir de jour en jour. En sachant tout cela, il ne voyait pas la moindre raison acceptable de refuser de lui laisser une chance. Il faudrait vraiment être idiot pour lui dire non. Alors qu’elle lui demandait pourquoi il était là , il lui retourna la question après lui avoir dit que pour sa part, ses amis ne lui avaient pas laissé le choix et l’avait trainé jusque là pour le faire sortir un peu, après l’avoir vu rester ‘enfermé’ chez lui bien trop longtemps à leur goût.  Il fallait que je sorte de chez moi… Disons que l’ambiance n’y est pas trop bonne… Alors venir boire un coup et danser toute seule c’était pour me changer les idées. Mais que tu sois là , c’est encore meilleur… Des amis qui t’enlèvent ? Les méchants… J’espère qu’au moins tu n’avais rien prévu de bien intéressant avant qu’ils ne te kidnappent ? » Soupirant doucement de bien être, Kris se serra plus encore contre elle, comme pour effacer la plus petite distance physique qui soit, entre eux, incapable de supporter d’être un brin trop séparé d’elle, alors qu’il venait de la trouver dans cette boite après deux trop longues semaines de séparation. Séparation insoutenable et inacceptable soit dit en passant.  Je veux bien te changer les idées moi … » Souffla-t-il doucement au creux de son oreille, posant lentement sa joue contre ses cheveux en fermant les yeux de bien être.  Hm … Ben … Si … J’avais quelque chose de très, très, important à faire. Le genre presque vital tu vois … Mais j’ai repoussé à plus tard parce que c’était faisable. Mais honnêtement ça m’a sacrément fais chier de devoir repousser ça. » Ajouta-t-il doucement en pressant plus encore Laety contre lui. C’était sans doute un signe qu’elle se trouve justement là , alors qu’il avait eut cette information si importante à lui dire. Oui … C’était sans doute prévu pour aujourd’hui sa réponse. Et s’il n’avait pas encore répondu à cette question fatidique, il aurait automatiquement trouvé la réponse en la voyant là , aussi belle et parfaite qu’elle l’était. Elle lui avait manqué, démesurément et follement. Et c’était bien la preuve qu’il avait besoin d’elle dans sa vie et autrement qu’en tant que simple amie, c’était certain. Lorsqu’elle se défit de lui en commençant à s’éloigner sous prétexte qu’ils ne devaient pas être trop proches l’un de l’autre pour qu’il puisse réfléchir, il crut mourir, se sentant soudainement terriblement seul et abandonné par elle, le vide se faisant violemment ressentir dans ses bras. Choqué et silencieux, il la regarda s’éloigner avant de comprendre et la rattraper pour se mettre en travers de son chemin et lui envoyer ce foutu sms. Tout ça pour lui dire qu’il avait à lui parler.  Mais qu’est ce que… » Sans même lui laisser le temps de terminer sa phrase, il passa un bras dans le haut de son dos et un autre sous ses genoux pour la soulever de terre et la porter tout contre lui. En la sentant enfouir son visage dans son cou et passer son bras autour de celui-ci, il eut un faible sourire en l’entrainant dehors, se foutant royalement de tous les regards curieux posés sur eux. Seule elle comptait … Elle et lui, eux, tout simplement. Oui … Pour une fois il se foutait royalement des qu’en dira-t-on et ne pensait qu’à elle, cette fille qui lui plaisait démesurément et qui le changeait petit à petit sans même s’en rendre compte à n’en pas douter. C’était fou comme elle l’avait fait évoluer en quelques petites semaines. Pour lui qui affirmait ne plus jamais vouloir s’attacher à une femme … C’était rapé. Et étrangement, ou pas, il ne regrettait pas le moins du monde. Bien au contraire même ! Si c’était à refaire, il referait tout exactement de la même faç fois arrivé dans un coin qui lui plaisait bien, à l’abris des regards des curieux, Kris la reposa lentement sur le sol en la regardant longuement, souriant faiblement en réalisant que ce n’était finalement pas si simple que cela de dire ce qu’il avait sur le cÅ“ur, lui avouer qu’il crevait d’envie de vivre une relation avec elle et qu’il voulait l’aimer comme elle-même l’aimait.  Kristopher… tu sais que tu es fou ? Mais… Que j’aime ce côté chez toi ? Ton côté fou… enfantin… Tu me surprendras toujours et c’est ce qui me charme plus qu’autre chose… Toi, ta façon d’être… » Riant doucement, le brun, toujours blond depuis quelques semaines malgré les racines brunes parfaitement visibles, baissa vaguement le regard en soupirant faiblement.  Oui je sais que je suis fou … La folie est un art qui se cultive. » Répondit-il en souriant en con, relevant vaguement la tête pour la regarder lui tourner le dos et s’avancer pour voir dans la rue principale, qu’ils venaient de quitter. Sans mot dire, il la regarda revenir puis s’adosser à un mur en posant un pied contre le mur et ses mains sur ses cuisses. Souriant faiblement devant sa posture, il la parcourut longuement et lentement du regard, sans parvenir à détacher son regard d’elle, comme totalement hypnotisé.  Alors… tu dois me parler ? J’attends … » Réalisait-elle seulement l’effet fou qu’elle lui faisait et combien il la voulait ? Sans doute que non … Et c’était visiblement à lui de le lui dire. Mais pour ça, il ne voulait pas de cette distance physique qui le refroidissait plus qu’autre chose. Soupirant faiblement, il s’approcha d’elle sans la quitter du regard, pour poser ses mains sur sa taille en cherchant son regard du sien, posant lentement une main sur sa joue.  Oui … A propos … De la réponse que je devais te donner. Hum … Je pense qu’on a perdu du temps pour rien. Enfin … J’ai perdu du temps pour rien … Parce que depuis le début la réponse c’est oui. Oui parce que tu me rends fou au point que je pense constamment à toi et que j’ai besoin de te savoir à mes côtés. Et oui parce que c’est toi … Parce que t’es … Je sais pas t’es … Unique … Tu me fais rire, t’es intelligente, t’as de la conversation, t’es touchante, excitante, plaisante … Alors oui je veux que tu m’apprennes, je veux m’en remettre à toi parce que tu me donnes envie d’une relation et parce que j’ai une confiance aveugle en toi. » Finit-il par lâcher d’une voix calme en gardant son regard plongé dans le sien, oubliant presque de respirer durant de longues secondes devant l’importance de ses propres paroles. Il savait déjà qu’il ne regretterait jamais sa décision parce que c’était d’elle qu’il était question … D’elle et de lui bien entendu.  Je suppose que tu savais que ce serait oui à partir du moment où je t’ai enlevé. » Dit-il en plissant le nez faussement déçu avant de sourire en coin et abandonnant sa joue de sa main pour se reculer légèrement sans la quitter du regard, attendant une réponse, une parole, un geste, de sa part. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Mer 18 Mai - 1445 Take me, Don't give up mon Kristopher, il était là , il était bel et bien là , il était tout près de moi, il était même plus près que ce que je ne le pensais. Etait-il là depuis longtemps ? Comment ne l’avais-je pas vu ? Je me le demande bien… Mais l’essentiel c’est qu’il soit là et qu’il vienne a mon secours quand il voit que j’ai un souci, oui, qu’il soit là pour moi, me protéger, faire de moi sa petite princesse… Je voulais tellement… Continuer a le voir, deux semaines c’est long… Trop long quand on est amoureuse comme moi… Pire qu’une rupture, pire que le manque de clope, pire que tout… Kristopher était devenu ma drogue, une drogue essentiel, j’étais accroc a lui, je me shootais à lui, je vivais pour lui… Il n’avait pas le choix et moi non plus, l’amour que j’avais pour lui me consumait. Un coup de foudre ça ne se gère pas… Je n’y pouvais rien moi si au premier regard j’étais tombée amoureuse de lui… Je le savais que c’était lui qu’il me fallait lui et personne d’autre. Je ne voulais même pas m’embêter a chercher ailleurs… Tant pis s’il disait non, tant pis s’il me rejetait, tant pis si je le perdais… Mais il resterait le seul et l’unique, il resterait le seul amour que j’ai pu avoir, le seul homme qui me donne envie de construire quelque chose, le seule que je puisse aimer d’un amour incandescent, un amour immuable et sensationnel. Je l’aimais et c’était pour la vie. Ni plus ni moins…  Je veux bien te changer les idées moi … » Sa voix, au creux de mon oreille, un frisson parcouru l’échine de mon dos. Me poignant dans mes entrailles. Mes jambes tremblantes je m’accrochais un peu plus à lui avant d’enfouir mon visage dans son cou. Remontant mes lèvres à son oreilles, je le mordillai lentement en gémissant quelque peu sous l’afflux de plaisir qu’il venait de me donner avec sa seule petite phrase.  Kristopher… Ne me dit pas des choses de la sorte… trois semaines sans ton corps s’est long, très, trop long… Ne me tente pas… S’il te plait… Je serais obligé de t’appeler le petit diable… Tentateur à fond… » murmurais-je doucement en suçotant légèrement le lobe de son oreille en tirant dessus bougeant un peu plus mon corps contre le sien. J’avais chaud… tellement chaud… Il n’avait pas le droit de me faire des sous entendus de fou et me laisser par la suite sans rien faire… Trois semaines sans sexe c’est long… très long surtout quand l’on a gouté a la perfection… Kristopher lui-même… Ses coups de reins, ses gémissements, ses baisers, ses caresses, ses cris lorsqu’il jouissait pleinement en moi, sur moi… Son regard envoutant, ses murmures… tout… Bon sang, je me tuais… j’étais en train de me tuer…  Hm … Ben … Si … J’avais quelque chose de très, très, important à faire. Le genre presque vital tu vois … Mais j’ai repoussé à plus tard parce que c’était faisable. Mais honnêtement ça m’a sacrément fais chier de devoir repousser ça. » Haussant un sourcil, continuant de danser avec lui, je resserrai légèrement mon emprise sur lui, mon corps se mouvant contre le sien, une de mes jambes passant entre les siennes tout en dansant lentement fermant alors les yeux. Sa voix… son contact, tout m’avait manqué, j’étais tellement amoureuse de lui… Il était ma vie, mon univers… Mon tout.  On repousse tous un truc à faire de toute façon… Vital tu dis ? Demain tu auras le temps de le faire je pense… Toute la journée même… Ne me meurt pas hum… Tiens le choc Kristo… » Murmurai-je doucement en embrassant son cou avant de reculer lentement. Le regardant longuement, je ne pu m’empêcher de lui dire que nous ne devrions pas faire ce que nous étions en train de faire… Non… ; Nous n’étions pas ensemble, j’attendais sa réponse, nous ne pouvions pas compromettre ce qu’il avait instauré, ses règles à lui. Lui tournant le dos il me rattrapa avant bien même que je ne puisse dire quoi que se soit. M’envoyant même un message sur mon téléphone pour me dire qu’il avait donc quelque chose à me dire. Cet homme était donc fou ! Me prenant dans ses bras je le laissais faire en me sentant pousser des ailes. Mon cÅ“ur s’emballant quelque peu, j’enfouissais ma tête dans son cou en fermant les yeux me sentant terriblement bien là . Kristopher était un prince, un ange tombé du ciel. Oui il était mien, il était fait pour moi et j’en restai persuadé. Allant dehors, je sentis l’air frais envahir mon corps. Qu’est ce qu’on était bien… Nous amenant bien loin de la boite de nuit, mais surtout a l’abri de quelconque regard et d’oreilles indiscrètes, nous arrivâmes dans une ruelle déserte, ou personne ne se trouvait là . Me posant a même le sol, je lui souriais faiblement en lui annonçant qu’il était réellement fou mais que c’est ce qui me plaisait chez lui, son côté fou qui le rendait tellement unique… Oui Kristopher était unique et on ne pouvait pas en douter une seule seconde…  Oui je sais que je suis fou … La folie est un art qui se cultive. » rigolant doucement, je lui lançais un regard taquin et amusée. Je n’en doutais pas une seule seconde même… C’était du Kristopher tout craché ça… Une folie qui se cultive… Une grande folie, une immense, énorme même… Passant ma langue sur mes dents, je filais regarder dans la rue avant de revenir dans la rue. Il devait me parler… Je savais de quoi je savais déjà plus ou moins la réponse, mais on ne sait jamais… La vie nous réserve parfois de drôle de surprise… Des surprises pas forcément bonnes… C’était la vie… Déglutissant longuement, je fermais brièvement les yeux en venant m’adosser contre le mur, un pied contre, je le regardais longuement avant de lui dire que j’attendais qu’il me parle. Le regardant je le vis s’approcher de moi. Le laissant faire, mon souffle se coupa lorsqu’il posa ses mains sur ma taille en se collant plus ou moins contre moi. Mon cÅ“ur ayant un raté, je déglutissais a nouveau en entrouvrant les lèvres en sentant alors sa main sur ma joue. Nos regards l’un dans l’autre il allait dire oui… Il allait dire oui…  Oui … A propos … De la réponse que je devais te donner. Hum … Je pense qu’on a perdu du temps pour rien. Enfin … J’ai perdu du temps pour rien … Parce que depuis le début la réponse c’est oui. Oui parce que tu me rends fou au point que je pense constamment à toi et que j’ai besoin de te savoir à mes côtés. Et oui parce que c’est toi … Parce que t’es … Je sais pas t’es … Unique … Tu me fais rire, t’es intelligente, t’as de la conversation, t’es touchante, excitante, plaisante … Alors oui je veux que tu m’apprennes, je veux m’en remettre à toi parce que tu me donnes envie d’une relation et parce que j’ai une confiance aveugle en toi. » Le regardant droit dans les yeux dans siller je ne pu bouger. J’étais figée, oui j’étais figée telle une statue de glace sous l’annonce qu’il venait de me faire. Je savais qu’il me dirait oui, je l’avais su dès le moment ou il m’avait enlevé, sinon il n’aurait pas faire tout ça. Mais me le dire de cette façon c’était… Magique, intense grandiose, je n’avais pas de mot qui me venait a l’esprit, aucun mot… Strictement aucun mot. Passant lentement ma langue sur mes lèvres je fermais brièvement les yeux. Sa main sur ma joue me rendait des plus heureuses. Le contact que nous avions me rendait totalement folle, j’avais envie de lui, de l’embrasser, de le serrer dans mes bras…  Je suppose que tu savais que ce serait oui à partir du moment où je t’ai enlevé. » Ouvrant lentement les yeux, je les plongeai dans les siens, le regardant alors a nouveau. Je ne savais pas quoi dire, l’émotion me coupait la voix, j’étais la immobile, c’était un paradis, comme un rêve… Kristopher avait dit oui… Il avait enfin dit oui, il était avec moi. Est-ce que nous étions réellement un couple maintenant ? Pouvions-nous le dire ? Inspirant longuement, je montais une de mes mains sur son visage, caressant sa peau de mes doigts, mon pouce passant sur ses lèvres avec extrême lenteur. Mon cÅ“ur battant la chamade, une drôle de chaleur m’envahit de part et d’autre de mon corps, l’amour me rendait dingue de lui, j’en étais folle… Les yeux brillant de joie, un petit sourire se logea sur mon visage. Me rapprochant de lui je collais mon front contre le sien en fermant alors les yeux.  Kristopher… » Murmurai-je en frottant mon nez contre le sien. J’étais heureuse, oui heureuse, un avenir s’ouvrait enfin à moi… J’étais celle qu’il avait choisi pour lui donner l’envie d’aimer, pour apprendre à nouveau… Montant mon autre main a son visage, je ne pus m’empêcher de l’embrasser. Mes lèvres contre les siennes sans bouger je restais quelques secondes ainsi, lèvres contre lèvres avant d’attraper sa lèvre inférieur des miennes l’embrassant lentement déposant quelques petits baisers dessus avant de reculer pour embrasser sa joue descendant alors a son cou le serrant franchement dans mes bras. Mon corps bien collait au sien je me mis légèrement à rire tant je réalisais petit a petit c que nous étions en train de devenir.  Je m’en doutai un petit peu, mais c’est toujours… wow… La façon dont tu l’as dit, comment tu t’y es prit… Crois moi c’était tout aussi poignant que si je ne m’étais pas douté de quelque chose... » soufflai-je doucement en le serrant de plus belle contre moi. Inspirant son odeur, je poussais un léger soupire en glissant ma main valide dans ses cheveux les fourrageant lentement en les tirant quelques peu. Me redressant je l’embrassais a nouveau dans un baiser de désespoir, comme si cela faisait des années que nous ne nous étions pas vus, comme si ce baiser était attendu depuis des années, oui c’était approximativement cela. C’était enfin un vrai baiser, un baiser de couple, un baiser d’amour… Un baiser qui en disait long, très long.  Je t’apprendrai… Je te ferais apprendre a aimer… à m’aimer de préférence… Je serais là pour toi, je prendrai le temps qu’il te faudra…Je ferais tout ce que tu voudras Kris… Je serais ta petite amie, exemplaire, comme jamais tu en auras vu… Je veux te rendre heureux, je veux te montrer que l’amour ne rime pas avec souffrance… Oh ça non… Avec moi à tes côtés… L’amour sera un vrai paradis… Tu as confiance en moi ? » Soufflais-je doucement en le regardant droit dans les yeux, frottant alors à nouveau mon nez contre le sien, nous faisant tourner pour le plaquer en douceur contre le mur, m’adonnant dans ses bras avec une grande facilité. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Sam 21 Mai - 2318 Dansant tout contre Laety, corps contre corps, Kris ne pouvait que profiter au maximum de la chaleur et la douceur de son corps contre le sien, ajouté à son odeur qui avait le don de l’envouter plus que de raison. Comment ne pas en profiter alors qu’elle lui avait terriblement manqué en deux semaines de temps ? Leur dernier baiser qui fut des plus passionnés et enflammés, avait eut le don de lui laisser un goût de frustration et d’envie sur les lèvres. A l’instant même où elle avait disparut dans son champs de vision, il avait du lutter de toutes ses forces pour ne pas la rejoindre en courant et plaquer à nouveau ses lèvres sur les siennes. C’était ce qu’il avait fait une fois, allant même jusqu’à la plaquer contre le mur pour échanger avec elle un baiser sauvage et passionné, devant lutter avec force contre son envie d’elle et de son corps. Plus il y repensait et plus il se demandait comment il avait fait pour s’éloigner d’elle alors qu’il avait eut très envie de lui faire l’amour, peu importait où alors. Après tout, ce n’était pas comme s’ils n’avaient pas déjà fais l’amour dans des lieux insolites tous les deux, tant l’envie qui les prenait à chaque fois, était tout simplement incontrôlable. Dans un lac, dans une tente, sur un arbre, contre un arbre, à même le sol dans la forêt et leur dernière fois, dans une ruelle. Cela prouvait à quel point leur désir était puissant et tout bonnement incontrôlable. Et pourtant, à leur dernière rencontre, ils avaient du se retenir pour ne pas craquer. Pas une nouvelle fois à même la rue et surtout à cause du fait que Kris se devait de réfléchir quant à savoir s’il voulait ou non lui donner une chance de le faire l’aimer et de, peut-être, connaÃtre une relation amoureuse, sérieuse, avec elle. Cette question méritait une réponse sérieuse et bien réfléchir. Il ne devait surtout pas se hâter car Laety méritait ce qu’il y avait de mieux. Or, elle était amoureuse de lui, ce qui n’était pas négligeable. Il lui fallait faire attention à ses actes et paroles, pour ne pas la blesser. Entre autres, il savait bien que lui donner de faux espoirs ne pourrait que lui faire beaucoup de mal une fois l’heure du retour à la vérité, de se mouvoir avec lenteur tout contre elle, corps collé au sien, il ne put s’empêcher de murmurer au creux de son oreille, qu’il voulait bien lui changer les idées. Il était évident que ses paroles regorgeaient de sous entendus à connotation sexuel. C’était plus fort que lui, il avait toujours envie d’elle. A l’instant, il ne pouvait pas rester insensible à sa beauté parfaite et à son corps qui avait le don de l’exciter plus que de raison, rien qu’à le regarder. Elle n’avait pas besoin de porter une robe ou des fringues un peu trop sexy, pour cela. Bien qu’à l’instant, ses vêtements l’étaient véritablement. Du moins à ses yeux ! Sentant son souffle dans son cou puis ses dents se mettre à mordiller lentement son oreille, il ne pu s’empêcher de fermer les yeux, le souffle coupé par le bien être et le désir qu’il ressentait à cet instant.  Kristopher… Ne me dit pas des choses de la sorte… trois semaines sans ton corps s’est long, très, trop long… Ne me tente pas… S’il te plait… Je serais obligé de t’appeler le petit diable… Tentateur à fond… » Riant doucement, Kris remonta lentement sa main dans son dos pour la caresser doucement du plat de sa main, prenant de longues inspirations pour profiter de son odeur qu’il aimait.  Hum … Désolé … Mais j’aime bien savoir que je te fais un effet fou. » Souffla-t-il doucement toujours au creux de son oreille, gardant les yeux fermés comme pour se mettre en tête que l’instant, aussi magique soit-il, était bel et bien réel. Ce n’était pas un rêve ni même un fantasme. Laety, la femme qu’il désirait depuis bien longtemps, se trouvait bel et bien dans ses bras à cet instant, collé tout contre lui. Un bref et totalement involontaire gémissement, s’échappa des lèvres du jeune homme, lorsqu’il la sentit suçoter doucement le lobe de son oreille. A croire qu’elle aussi luttait contre l’envie de faire l’amour avec lui. C’était sans doute le cas dans le fond … Ca ne l’étonnerais pas vraiment à vrai malgré lui il repensa au corps de Laety contre le sien, ses soupirs, gémissements et cris de plaisir sous les coups de reins qu’il donnait, son dos se cambrant avec force sous la monté du plaisir, leurs corps brillant de sueur et glissant fortement l’un contre l’autre, son membre glissant inlassablement en elle, tantôt tendrement et lentement et tantôt avec rapidité, puissance et sauvagerie. Leurs regards bleutés brillant de plaisir et d’excitation, leurs prénoms sortant inlassablement de leurs bouches, leurs baisers échangés. Des baisers passionnés, sauvages, ardant et plaisant. Des baisers fougueux et précipité, les bruits humides aux retrouvailles inlassables et plaisantes de leurs langues.  On repousse tous un truc à faire de toute façon… Vital tu dis ? Demain tu auras le temps de le faire je pense… Toute la journée même… Ne me meurt pas hum… Tiens le choc Kristo… » Souriant en coin, il reprit la caresse dans son dos, de sa main, la faisant aller du haut de son dos à ses reins, à plusieurs reprises, luttant contre l’envie très forte de la faufiler sous son haut pour la caresser plus encore.  Non mais t’inquiète pas … Finalement ça va arriver bien plus tôt que prévu. Le destin est de mon côté en ce moment. » Souffla-t-il doucement, sans en dire plus, ne voulant pas trop parler dès à présent, préférant attendre un meilleur moment. Même s’il savait parfaitement que le moment n’allait pas tarder à arriver. Ils y étaient presque … Oui, très bientôt il allait lui donner sa réponse définitive, son oui qui, il le savait, signerait le début d’une relation qui ne pourrait qu’être parfaite. Il ne doutait pas un seul instant de Laety et lui faisait même une confiance aveugle, sur tous les plans. Elle allait le rendre heureux, il allait lui faire pleinement confiance et finirait par tomber amoureux d’elle, en temps et en heure. Il ne pouvait pas douter de cela ! Le désir sexuel était déjà là et le plaisir qui les gagnait lorsqu’ils couchaient ensemble, semblait être la preuve à lui seul, que leurs corps étaient faits pour être ensemble. Le reste devait suivre, il ne pouvait en aller autrement !Lorsqu’elle se détacha de lui et s’éloigna en mentionnant le fait qu’il devait encore réfléchir, il ne put s’empêcher d’être d’abord choqué et figé sur place, ne s’attendant pas à ce qu’elle fasse cela. Mais il eut bien vite le réflexe de la rattraper pour lui envoyer le message qu’elle attendait. Une fois fait, il la souleva dans ses bras, la portant hors de la boite de nuit pour aller se mettre dans une ruelle assez sombre et éloignée du reste, pour pouvoir se retrouver totalement seul avec elle et ne pas être dérangé par qui que ce soit. Il pouvait parfaitement voir la surprise dans le regard de la blonde, souriant presque malgré lui en se doutant qu’elle avait du, déjà , comprendre pourquoi il avait fait cela. Il était clair que ce n’était pas pour lui apprendre qu’il ne voulait pas d’elle et d’une relation avec elle. En l’entendant lui dire qu’il était fou, il eut un bref rire en lui faisant remarquer que la folie était un art qu’il fallait cultiver. Il fallait dire ce qui était, il était fou … Complètement taré et déjanté. Et il aimait être de la sorte ! Il avait la joie de vivre et n’hésitait pas à rire et plaisanter sur tel ou tel sujet. Il était toujours le premier à partir dans des délires tous plus stupéfiants les uns que les autres. Il mettait généralement l’ambiance avec ses conneries. Lorsqu’elle se cala bien contre le mur en disant qu’elle attendait d’entendre ce qu’il avait à lui dire, il ne tarda pas à s’approcher d’elle pour poser ses mains sur sa taille et la regarder longuement, prenant alors son temps pour lui apprendre quelle était sa décision finale, lui donnant alors plusieurs raisons pour lesquelles il avait décidé de lui dire un oui grand et massif ! Une fois ses confidences faites, il restait un moment à la regarder, souriant en coin en voyant combien elle était figée et combien son regard posé sur lui semblait refléter la surprise. Sa main posée sur sa joue, il eut un nouveau sourire en se détachant à peine d’elle pour souffler qu’elle devait s’y attendre depuis le moment où il l’avait enlevé. Un bref soupir de bien être s’échappa des lèvres de Kris lorsque la main de Laety se posa sur sa joue, son pouce redessinant lentement ses lèvres, son front venant ensuite se coller au sien. Plongeant son regard dans le sien, il eut un léger sourire en coin de bien être.  Kristopher… » Son prénom s’échappant de ses lèvres, un léger frisson le secoua doucement, fermant alors les yeux en souriant de bien être. Son autre main se posant aussi sur sa joue, il entrouvrit à demi les yeux pour la regarder, frissonnant plus fortement en sentant ses lèvres se poser sur les siennes. Il lâcha un bref gémissement en fermant les yeux, la laissant refermer ses lèvres sur les siennes avant d’y déposer de brefs baisers et de se déporter sur sa joue puis descendre dans son cou. Posant ses mains dans son dos il eut un nouveau frisson de bien être en déglutissant longuement.  Je m’en doutai un petit peu, mais c’est toujours… wow… La façon dont tu l’as dit, comment tu t’y es prit… Crois moi c’était tout aussi poignant que si je ne m’étais pas douté de quelque chose... » Gémissant de bien être, il se colla fermement contre elle, pressant fortement ses mains dans son dos pour la presser plus encore contre lui.  Hm … Tu me donnes envie de te dire des choses comme ça. » Souffla-t-il d’une voix douce en faufilant ses mains sous son haut pour la monter dans son dos et caresser sa peau nu avec lenteur et insistance, du plat de ses mains.  Tu m’inspires ma petite puce … » Ajouta-t-il d’une voix toujours aussi douce et caressante en gardant les yeux fermés, un léger sourire en coin. Au baiser qui suivit, il eut un bref soupir de bien être, lui répondant avec fougue et ardeur, sa langue se pressant contre la sienne avec insistance et ses lèvres collées aux siennes avec plaisir et envie, ses mains se pressant avec plus de force dans son dos pour la maintenir fermement collée à lui, gémissant faiblement à ce baiser. Ses lèvres lui avait terriblement manqué, comme tout le reste de sa personne à vrai dire.  Je t’apprendrai… Je te ferais apprendre a aimer… à m’aimer de préférence… Je serais là pour toi, je prendrai le temps qu’il te faudra…Je ferais tout ce que tu voudras Kris… Je serais ta petite amie, exemplaire, comme jamais tu en auras vu… Je veux te rendre heureux, je veux te montrer que l’amour ne rime pas avec souffrance… Oh ça non… Avec moi à tes côtés… L’amour sera un vrai paradis… Tu as confiance en moi ? » Souriant en coin, il la laissa le pivoter pour se retrouver à son tour plaqué contre le mur, gardant ses mains dans son dos en la regardant, sourire en coin.  Sois juste toi Laety …C’est comme ça que tu me plais. Toute entière, toi tout simplement. » Souffla-t-il en la regardant d’un air attendri, retirant ses mains de son dos pour la serrer plus encore contre lui en posant sa tête contre la sienne, soupirant longuement de bien être.  Ca fait longtemps que j’ai confiance en toi … une confiance aveugle. » Ajouta-t-il doucement avant de monter ses mains à ses joues pour chercher ses lèvres des siennes, se contentant de les presser contre les siennes et refermer lentement ses lèvres autour des siennes, l’embrassant avec lenteur et tendresse, l’une de ses mains montant dans ses cheveux pour les caresser avec douceur. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 23 Mai - 2326 Take me, Don't give up Hum … Désolé … Mais j’aime bien savoir que je te fais un effet fou. » Gémissant doucement je me serai un peu plus contre lui en frissonnant de bien être. Il n’avait pas le droit de me faire ça, non il ne pouvait pas me faire une chose pareille… a croire que c’était normal, de vouloir me rendre totalement folle… Non je lui interdisais de me faire cela… Lui mordillant le lobe de l’oreille pour le torturer a son tour comme pour me venger de ce qu’il était plus ou moins en train de me faire subir, je bougeai un peu plus contre son corps, suivant alors les mouvements de son bassin. Je me sentais tellement bien là , dans ces bras sur cette piste de danse, le moment était propice et parfait. Bougeant plus franchement le bassin je léchais son oreille en poussant un léger soupire de bien être pratiquement similaire à un gémissement pour lui faire comprendre ce que je ressentis en ce moment…  Ah oui ? Moi aussi, j’aime savoir que je te fais un effet fou… Surement dans moins… de quelques secondes… » soufflai-je en pressant alors l’air de rien ma cuisse sur son membre sans le frotter sachant que cela suffisait amplement pour l’exciter… Mais là n’était pas réellement le but… J’étais mauvaise de faire cela, mais dieu que c’était bon… Réellement bon… Parlant alors du fait que nous étions là et pourquoi, il m’annonça qu’il avait été enlevé par un groupe d’ami qui ne lui avait pas laissé le choix. Le pauvre… Je lui annonçais alors que ce qu’il avait prévu pouvait se faire demain. Chose vrai, a part si encore quelqu’un lui pourris la journée en l’enlevant dieu sait ou… ce serait dommage là .  Non mais t’inquiète pas … Finalement ça va arriver bien plus tôt que prévu. Le destin est de mon côté en ce moment. » Haussant un sourcil sans trop comprendre de quoi il parlait, je me mouvais sans cesser contre son corps, aimant terriblement être avec lui, comment ne pas aimer ? Je me le demande bien, je restai même persuadé que pleins de filles qui se trouvaient autour de nous devaient nous jalouser, ou plus exactement, me jalouser. Pourquoi ? Car Kristopher était parfait, il était là , dans mes bras a moi, et pas les leurs, est ce que je me trompais ? Non... Non, impossible, Kristopher était beau un beau type… Je voulais voir leurs regards jaloux, je voulais les voir me détester car c’était moi et pas elles, je voulais tellement de chose, j’en étais au point de vouloir les narguer car c’est moi qui dansais avec moi et pas elles… bon sang j’étais simplement tarées… Mais dieu que j’aimais. Et s’il disait non ? Et bien je l’avais dans la gueule… Je savais que c’était possible… Mais… Je n’en savais trop rien… Mais en même temps… Tout était possible, après tout, on ne peut pas dire que pour moi le destin soit de mon côté en ce moment…  Ah ? Quelle chance, toi au moins le destin est de ton côté, j’espère qu’il sera favorable avec toi maintenant, tu le mérites… » soufflai-je doucement au creux de son oreille tout en embrassant son cou avec envie et délice. Une envie bine trop forte mais nous n’étions pas ensemble, nous n’étions rien, strictement rien et être là ne servait a rien, si ce n’est surement influencer son avis sur nous. Me détachant de ses bras, je lui annonçai alors que je préférai partir pour lui laisser le temps de réfléchir. Me rattrapant alors que je partais, je le laissais m’envoyer un message en souriant le voyant alors me prendre telle une princesse dans ces bras. Le laissant faire, me disant que je devais faire jalouser plus d’une fille, je me trouvais pathétique de penser à cela… comme si c’était plaisant de penser cela, je n’avais jamais été jalouse et il est vrai que ce sentiment me faisait on ne peut plus bizarre à force. Est-ce que j’allais venir à me montrer possessive avec lui s’il venait a me dire oui. ? Peut être bien et c’est ce qui me faisait tellement peur… Je ne voulais pas le perdre sur une histoire totalement débile de possessivité et de jalousie c’était on ne peut plus ridicule surtout venant de moi… Le laissant me porter dans une ruelle plutôt sombre à l’écart des gens, je le traitais alors de fou, mais en même temps, Kristopher était un peu fou de nature, c’était lui, c’était dans son comportement et son caractère et je l’acceptai de la sorte, en même temps un Kris pas fou ce n’est pas un Kris. Lui demandant alors ce qu’il avait a me dire pour m’amener ici, même si au fond je savais plus ou moins ce qu’il me voulait, je le vis venir se coller contre moi, pour que nos corps soient collés l’un à l’autre. L’écoutant me parler, je fus choquée de par ces mots, je m’y attendais, mais c’était tellement poignant, tellement intense, tellement... Tout… je n’en revenais pas… Mon cÅ“ur battant la chamade j’avais envie de hurler, de hurler de joie… mais a la place je l’embrassais, je l’embrassais a en perdre haleine, je voulais lui donner le plus beau baiser de sa vie… Lui murmurant par la suite, qu’il me rendait folle et que par conséquent, même si je m’y attendais, son discours était tout aussi poignant, je ne pus me défaire de son emprise, le prenant dans mes bras pour l’embrasser longuement en le plaquant alors a mon tour contre le mur de la ruelle.  Hm … Tu me donnes envie de te dire des choses comme ça. » entrouvrant la bouche, je plongeai mon regard bleuté dans le sien tout autant bleuté que le mien, certes plus foncé que le mien, mais quelque peu identique, dieu que j’aimais entendre ce genre de chose… Je voulais qu’il continue encore et encore, je voulais qu’il me dise des belles choses, qu’il me dise qu’il m’aime lui aussi mais ça je savais que ça ne serait pas de si tôt. Sentant ses mains sous mon haut, le contact de sa peau contre la mienne, je poussais un long soupire de bien être.  Tu m’inspires ma petite puce … » Ecarquillant les yeux, je poussais un léger cri de bien être a ce surnom. Il n’avait pas le droit… Non pas le droit de me tuer autant et si rapidement… L’embrassant franchement je posais ma main sur sa joue en gémissant.  Eden… mon petit Kristopher, oh… Bon dieu… Comment tuer Laety… J’aime quand tu m’appelles ainsi… Kris… encore… » soufflai-je doucement en lui lançant un regard des plus aguicheur et suppliant pour qu’il me nomme encore de la sorte, oui je voulais encore entendre ce surnom, petite puce, puce tout court, les deux putain oui… Je voulais frissonner au son de sa voix, faible, suave, grave, intense, sensuelle… je voulais qu’il me rende folle, folle comme jamais je ne l’avais été… Je voulais qu’il puisse faire de moi ce qu’il voulait, et le pire c’est qu’il en était capable, oh ça oui réellement capable… Il le pouvait mais çà je ne le lui dirais pas… Plutôt crever que de donner mes points faibles pour qu’il s’en délecte avec plaisir et volupté… non, je voulais garder cela pour moi… et seulement moi… Le plaquant contre le mur, tout e le regardant amoureusement je ne pus m’empêcher de l’embrasser et de lui demander alors s’il avait confiance en moi et s’il voulait que je fasse quelque chose pour notre couple… je voulais tellement lui apprendre a être amoureux de moi… est ce que je pouvais le faire ? J’osais le croire. Après tout même si je lui plaisais, même si c’était oui, est ce qu’il pourrait m’aimer ? Tenir a moi c’est une chose mais aimer s’en est une autre… c’était un tant soit peu complexe comme situation…  Sois juste toi Laety …C’est comme ça que tu me plais. Toute entière, toi tout simplement. » plongeant mon regard dans le sien, me mordillant lentement la lèvre inférieur, mon regard se voilant d’amour et d’envie pour lui je ne pus m’empêcher de poser mes mains sur sa taille, tirant doucement sur son haut, comme pour lui dire, comme pour lui faire comprendre que je le voulais, je ne voulais que lui et pour un long, très long moment.  Ca fait longtemps que j’ai confiance en toi … une confiance aveugle. » ses mains sur mes joues son regard ancré dans le mien, ma respiration se coupa plus vite que je ne le pensais. Nom d’un chien c’était poignant, terrifiant, je voulais mourir tellement le plaisir était trop intense… tellement il était tout… Sentant ses lèvres sur les miennes, je le laissais faire, me figeant plus ou moins dans un plaisir ardant, qui provoquait en moi un frisson intégral. Lui rendant plus ou moins son baiser, je me collais à lui mon corps se mouvant au sien, sentant alors nos corps battre a l’unisson, nos respirations aux mêmes rythmes, ma langue s’enfouissant dans sa bouche a la recherche de la sienne. Gémissant légèrement, mes mains remontant a son visage, je caressais longuement son cou avant de griffer quelque peu ses joues tout en l’embrassant de plus en plus le bruit de notre baiser s’entendant sans aucun souci. Je m’en fichai, je m’en foutais complètement, je voulais l’embrasser encore et encore, longuement, tendrement, amoureusement… Je le voulais, oui je ne voulais que lui… que Kristopher dans ma vie et mon cÅ“ur. Inspirant doucement je frottai mon nez au sien en le regardant avec amour avant de le prendre dans mes bras. Il avait confiance en moi c’était tout bonnement parfait, oui il n’y avait pas d’autre moi que cela… C’était plaisant à entendre terriblement plaisant même !  Tant mieux alors… Oui car je vais t’apprendre à m’aimer… Tu verras, la petite femme parfaite et modèle c’est moi et je serais tienne… absolument tienne… » soufflai-je contre ses lèvres en lui lançant un regard amoureux avant de frôler ses lèvres des miennes sans pour autant l’embrasser, le provoquant un peu plus pour lui montrer que oui il me voulait, oui, il voulait m’embrasser oui il me voulait pour lui. Plus la tentation était grande et mieux c’était… Mais question sexe… Il fallait peut être… Faire en sorte que nous ne couchions pas ensemble trop souvent ? Et si le sexe jouait ? Et si le fait que sexuellement on s’entende a merveille fasse peser le pour dans la balance ? Je ne doutais pas de lui, loin de là même, mais… il était clair que nous ne ferions pas l’amour tous les jours non… Il fallait que l’on se découvre autrement que par le sexe… Venir chez lui manger passer de bons moment devant la télévision, aller au cinéma, sortir… Tout ça quoi… Oui, on devait faire ce que fait un couple… Fermant brièvement les yeux je mordillai lentement sa lèvre inférieure la lui tirant avant de la lâcher tout en me détachant plus ou moins de ses bras pour me recoiffer et replacer quelque peu ma tenue en place.  Que dirais-tu…De se faire un petit programme pour se voir ? Genre les après midi et la soirée avant que tu ne partes bosser ? Je suis handicapé, je suis donc libre comme l’air pendant encore quinze jours… On pourrait s’organiser pas mal de choses toi et moi… Je te proposerai bien de venir chez moi mais… non. Désolée l’ambiance est naze… Mon frère… et… Hum… ma sÅ“ur… J’ai apprit que… Ma mère biologique avait eu une autre fille et… La voilà dans ma vie … Bref, donc chez toi ? Ou dehors, dis moi ce que tu veux faire, je suis ouverte a toute proposition mon Kris … » Murmurai-je doucement en me pinçant les lèvres le caressant doucement avant de l’embrasser furtivement me décollant de lui tout en souriant lui lançant alors un regard des plus taquin. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Ven 27 Mai - 2216 S’il y avait bien une chose qui était certaine, c’était bien le fait que Kris tenait vraiment beaucoup à Laety. Depuis bien longtemps, elle n’était pas une simple amie mais bel et bien une fille à laquelle il tenait énormément. Il avait suffit de deux petites semaines passées loin d’elle, pour qu’il réalise qu’il tenait à elle bien plus qu’il ne l’aurait pensé. Comment aurait-il pu se douter qu’un jour, ils en arriveraient là tous les deux ? C’était tout bonnement impossible. Impossible d’imaginer qu’il puisse s’attacher à elle plus que de raison. Et pourtant c’était bel et bien le cas. Et en toute franchise, il se voyait mal se couper totalement et définitivement d’elle. Il s’était bien trop attaché à elle pour accepter une chose pareille. Se mouvant lentement tout contre elle, au rythme de la musique, il s’amusait à la taquiner et l’exciter un tant soit peu en lui soufflant alors d’une voix caressante, qu’il aimait savoir qu’il lui faisait un effet fou. Oui il aimait savoir que lorsque qu’il faisait ce genre de chose, elle ne désirait qu’une chose qu’ils fassent l’amour le plus vite possible et peu importe alors où.  Ah oui ? Moi aussi, j’aime savoir que je te fais un effet fou… Surement dans moins… de quelques secondes… » Un sourire moqueur apparut sur les lèvres du jeune homme, avant de se transformer en bref gémissement excité en sentant sa cuisse sur son entre jambe. Se mordant doucement la lèvre, il approcha lentement ses lèvres de son oreille, pour lâcher un nouveau doux gémissement, ses mains remontant sur ses reins pour la serrer contrer lui avec force en fermant les yeux.  Satisfaite ? » Demanda-t-il d’une voix on ne peut plus douce et caressante, rendu quelque peu rauque par la légère excitation qu’elle venait de faire naÃtre en lui, simplement en pressant lentement sa cuisse contre son membre. Elle savait qu’il suffisait de pas grand-chose pour qu’il ait envie d’elle … Et cela n’avait de cesse de se confirmer au fil du temps. Elle avait le don de l’exciter au plus haut point, en deux temps trois mouvements. Et elle était bien la première à parvenir à un tel ré les yeux fermés et inspirant longuement son odeur qui l’envoûtait de façon presque choquante, il discutait doucement avec elle, tel deux conspirateurs ou … Deux amoureux dissimulés parmi la foule de danser sur la piste de danse d’une boite de nuits comme une autre. Un couple qui se faisait de douces confidences, chuchotaient au creux de l’oreille de l’un et de l’autre. Etaient-ils amoureux ? Non … Du moins … Il savait qu’elle-même était amoureuse de lui mais pour sa part ce n’était pas le cas. Mais il avait beau ne pas l’aimer d’amour, il ne pouvait que reconnaÃtre combien il était accroché à elle et combien il était prêt à faire beaucoup de choses pour la garder à ses côtés. Comment pourrait-il supporter de la perdre ? C’était tout bonnement impossible. Et si ça ce n’était pas la preuve qu’il était pleinement et totalement capable de se lancer dans une relation amoureuse ou qui se finirait en tout cas comme tel, alors il ne comprenait pas de quoi il s’agissait. Il ne doutait pas que Laety n’aurait pas grand-chose à faire pour qu’il tombe éperdument amoureux d’elle. Comment est-ce que ça pourrait ne pas être le cas en même temps ? Elle était … Tellement parfaite et unique. Tellement envoûtante et hypnotisante. Elle avait le don de l’exciter et de lui donner envie d’elle comme jamais il n’avait eu envie de qui que ce soit jusqu’à présent. Elle lui donnait vraiment envie de connaitre une relation sérieuse avec elle. Il voulait se coucher avec elle, dormir en sentant son corps posé sur le sien, il voulait se réveiller et la regarder dormir un long moment jusqu’à son propre réveil. Il voulait d’autres douches on ne peut plus torrides avec elle, lui faire l’amour indéfiniment, presser son corps contre le sien, soupirer d’aise contre sa peau. Il voulait rire avec elle, regarder des films tellement ennuyeux qu’ils ne pourraient que finir par faire l’amour sur le canapé pour faire une chose nettement plus intéressante et plaisante que regarder ces films nuls à souhait. Il voulait faire et connaÃtre tellement de choses avec elle, que ça ne pouvait pas s’arrêter à une simple amitié, il en était persuadé.  Ah ? Quelle chance, toi au moins le destin est de ton côté, j’espère qu’il sera favorable avec toi maintenant, tu le mérites… » Ses lèvres dans son cou, il frissonna doucement de bien être en gardant les yeux fermés et souriant faiblement en coin.  Il se pourrait qu’il tourne en ta faveur aussi. » Souffla-t-il d’une voix caressante au creux de son oreille sans cesser de la serrer tendrement contre lui. Il aimait terriblement qu’elle puisse lui inspirer autant de tendresse que de désir. Cette fille était tout bonnement parfaite, du tout au tout, sans le moindre petit défaut. Du moins pas à sa connaissance. Et cela lui convenait parfaitement, il voulait qu’elle reste cette fille unique qui lui plaisait de plus en plus et qu’il voulait de plus en plus dans sa vie, en tant que petite amie. Oui pour la première fois depuis bien longtemps, il se sentait prêt à accepter une petite amie. Mais pas pour dire d’avoir une petite amie. Non … Bel et bien parce qu’elle lui plaisait, parce que c’était elle et parce qu’il voulait l’aimer. Etrange cette envie de tomber amoureux sans doute. Surtout venant de lui. Mais pour le coup il assumait pleinement puisqu’elle était la première femme qui lui plaisait à ce point, c’en était presque choquant de voir combien il la voulait dans sa vie, dans ses bras, dans son lit. Et il se sentait on ne peut plus heureux et comblé au simple fait de la tenir tout contre lui, de sentir son corps se mouvoir contre le sien et au même rythme que le sien. Il aimait sentir son odeur plaisante et envoûtante … En fait il aimait tout chez elle et pourtant il n’était pas amoureux. Pas encore du moins. Sans doute était-ce simplement du au fait que pour cela, il avait besoin de la voir le plus possible, de passer beaucoup de temps avec elle et de connaÃtre toutes les joies, et même les moins bon côtés, d’un couple, à ses côtés. C’était bien la preuve qu’il jugeait qu’elle valait vraiment le coup pour lui laisser cette chance là de le rendre amoureux d’elle. Etait-il fou ? Allait-il regretter ? Non … Il était certain que non. Si tel avait été le cas, il n’aurait jamais décidé de lui laisser une chance. Il venait de passer deux longues semaines à réfléchir sur ce point là , à se demander s’il allait un jour regretter ou non. Il en était arrivé à la conclusion que non, tout simplement. Il n’était pas le genre de personne à prendre de décision hâtive et il venait sans aucun doute de le prouver. Surtout que dans cette histoire il y avait beaucoup à perdre tout de même. Une décision pourrait lui faire perdre Laety tout en lui faisant un mal fou. Or il refusait autant l’un que l’ d’après, réalisant que la jeune femme était sur le point de mettre fin à leur petite entrevue, Kristopher la rattrapa rapidement pour la soulever de terre et la porter hors de la boite de nuit, l’entrainant dans un coin sombre, une petite ruelle à l’écart, pour enfin lui donner sa réponse tant attendue. Lui soufflant alors doucement sa réponse et les raisons pour lesquelles il lui disait un oui sans la moindre hésitation, il ne pu s’empêcher de sourire devant sa réaction, voyant bien que celle-ci lui faisait atrocement plaisir. Juste de quoi le rassurer encore un peu plus dans sa décision. En même temps, comment aurait-elle pu ne pas être un tant soit peu contente alors que c’était là ce qu’elle attendait depuis tellement longtemps ? Si elle avait mal réagit il se serait grandement inquiété et à juste titre à son humble avis. Répondant alors à son baiser des plus passionnés et remplis de promesses, il soupira longuement de bien être en faufilant ses mains sous son haut pour la caresser avec douceur et tendresse. Murmurant alors ce surnom qu’il lui avait donné quelques temps plus tôt sur msn en premier lieu, il eut un sourire en coin en avisant sa réaction. Son petit cri suivit de son baiser eurent le don de le faire frissonner longuement de bien être tant il était ravi de la retrouver, de retrouver le goût de ses lèvres, la douceur de sa peau et de sa langue pressée contre la sienne, ses soupirs, ses gémissements … Il voulait encore entendre ses hurlements de plaisir incessants sous ses coups de reins quand il lui faisait l’amour.  Eden… mon petit Kristopher, oh… Bon dieu… Comment tuer Laety… J’aime quand tu m’appelles ainsi… Kris… encore… » Riant doucement, il lui lança un regard attendri en passant le bout de ses doigts sur sa joue pour la caresser avec tendresse, soupirant longuement de bien être. C’était fou comme elle le rendait dingue et combien elle lui plaisait.  Ma puce … Ma petite puce … Hey pourquoi Eden au fait ? » Demandai-t-il en haussant quelque peu un sourcil laissant alors le plaquer contre le mur à son tour pour l’embrassera avec presque sauvagerie, Kris laissa échapper un doux gémissement en répondant à son baiser avec fougue, son souffle se coupant un long moment. Souriant faiblement, Kris lui souffla alors qu’il avait éperdument confiance en elle et depuis toujours, baissant un vague regard sur ses mains qui empoignèrent alors son haut pour le tirer doucement.  Tant mieux alors… Oui car je vais t’apprendre à m’aimer… Tu verras, la petite femme parfaite et modèle c’est moi et je serais tienne… absolument tienne… » Ses lèvres caressant lentement les siennes comme pour le provoquer quelque peu, le jeune homme lâcha un doux gémissement en baissant le regard sur ses lèvres, les regardant alors avec envie.  Hm Laety … Tu es parfaite … Tu me plais démesurément. Mais oui sois mienne et je serais tien. » Souffla-t-il d’une voix douce sans quitter ses lèvres du regard en déglutissant longuement d’envie. Relevant lentement le regard pour le plonger dans le sien, il la laissa mordiller sa lèvre, sans broncher le moins du monde. Lorsqu’elle se détacha de ses bras, il la laissa faire sans la quitter du regard, posant alors sa tête sur le mur derrière lui, lâchant un bref soupir de frustration.  Que dirais-tu…De se faire un petit programme pour se voir ? Genre les après midi et la soirée avant que tu ne partes bosser ? Je suis handicapé, je suis donc libre comme l’air pendant encore quinze jours… On pourrait s’organiser pas mal de choses toi et moi… Je te proposerai bien de venir chez moi mais… non. Désolée l’ambiance est naze… Mon frère… et… Hum… ma sÅ“ur… J’ai apprit que… Ma mère biologique avait eu une autre fille et… La voilà dans ma vie … Bref, donc chez toi ? Ou dehors, dis moi ce que tu veux faire, je suis ouverte a toute proposition mon Kris … » Surprit, il haussa les sourcils en redressant la tête pour la regarder.  Quels rebondissements … Avec une telle ambiance de merde il faut s’échapper un peu alors. » Souffla-t-il doucement en souriant sans la quitter du regard, se redressant pour passer ses doigts sous la ceinture de son slim, l’attirant doucement à lui pour poser son front contre le sien.  Oui on se verra le plus d’après-midi possible pour sortir où tu voudras. Parc, restaurant, cinéma, ville, plage … Tout ce que tu veux. Et pour ce soir tu restes avec moi ? On pourrait échouer chez moi, manger et regarder un dvd dans les bras l’un de l’autre ? Et tu pourras repartir quand bon te sembleras. Ou encore on va chez moi récupérer de quoi dormir et on se fait une nuit à la belle étoile. Je te laisse décider. » Souffla-t-il tout en déposant de brefs et doux baisers sur son visage et descendant lentement dans son cou sans se détacher d’elle un seul instant. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 30 Mai - 1611 Take me, Don't give up Satisfaite ? » Entrouvrant la bouche, en entendant son gémissement, je déglutis longuement en m’accrochant plus a lui encore… il n’avait pas réellement le droit de me faire ça… Non… Vraiment pas, c’était un mauvais joueur ! Pressant plus encore ma cuisse contre son membre, je le frottais lentement l’air de rien, en venant alors mordre son oreille tout en murmurant son prénom en gémissant longuement, une de mes mains descendant lentement sur sa fesse l’air de rien que je chatouillai quelque peu. Non, vraiment, jamais l’exciter… S’il voulait s’embarquer dans ce jeu, il était mal barré avec moi… ne répondant rien préférant l’exciter de plus en plus la conversation continua tranquillement en parlant alors du fait qu’il se trouvait ici. Pourquoi d’ailleurs ? Il m’apprit alors que sa bande de pote n’avait pas voulu lui laisser le choix et qu’il avait été forcé de venir ici alors qu’il avait déjà prévu quelque chose, lui annonçant que demain serait un autre jour il aurait largement le temps de faire ce qu’il avait prévus… Me parlant de destin et de tout autre chose, je ne compris pas réellement ce qu’il voulait dire… Mais je ne pus m’empêcher de répliquer qu’il avait de la chance que le destin soit de son côté contrairement à moi qui en ce moment n’avait aucune chance et encore moins de destin que lui… Autant dire que j’étais sur ce coup là poisseuse de chez poisseuse…  Il se pourrait qu’il tourne en ta faveur aussi. » Fronçant les sourcils, sans trop comprendre, je restai dubitative sur sa phrase. Pourquoi me disait-il cela ? Je ne comprenais pas trop. Est-ce qu’il parlait de nous ? Est-ce qu’il y avait réellement un nous possible ? Je me le demandai bien… Me mouvant toujours contre lui, je ne perdis pas une miette de notre étreinte, je voulais en profiter au maximum, m’enivrer de son odeur, de sa douce fragrance qui me délectait plus que de raison. Je voulais en avoir l’eau a la bouche, je voulais le goutter, l’embrasser, le mordre, savourer sa peau sous chaque infime parcelle… Je voulais lui faire l’amour, qu’il me fasse l’amour, je voulais juste passer le reste de mes jours avec lui et personne d’autre. Une vie heureuse, sans faille, sans imperfection passé à ces côtés. Je ne voulais que lui et encore lui… Inspirant doucement contre son cou, j’embrassais lentement sa peau a nouveau, créant des frissons sur sa peau  Ah bon ? Me tarde de savoir alors… » Dis-je doucement en me mouvant un peu plus contre lui tout en le serrant contre moi un maximum, avant de me défaire alors de son emprise. Lui lançant un regard amoureux je ne pus m’empêcher de lui dire que nous ne devrions pas faire cela tant qu’il n’avait pas prit de décision… partant alors il me rattrapa pour m’envoyer un message m’intimant qu’il voulait me parler… Me portant telle une princesse, je le laissais faire en enfouissant alors ma tête dans son cou me doutant alors de quoi il voulait parler pour le destin… il allait me dire oui, oui il allait me donner sa réponse… C’était donc ça qu’il voulait faire ce soir avant que ses amis ne l’entrainent de force ici ? Le destin était avec nous, putain oui il était de notre côté…. Me posant dans une ruelle ou personne ne trainaient, pour que l’on soit seul et sans dérangement quelconque, il m’annonça alors que oui il voulait de moi pour petite amie… Trois semaines, trois putains de semaines… J’étais on ne peut plus heureuse d’apprendre qu’il me voulait… M’appelant alors ma puce, je ne pu que gémir et fondre dans ses bras tout en l’embrassant lui demandant alors de continuer, de ne pas s’arrêter a m’appeler ainsi, je voulais encore et encore l’entendre me dire ma puce… Je fondais littéralement.  Ma puce … Ma petite puce … Hey pourquoi Eden au fait ? » Gémissant doucement aux surnoms qu’il me donnait, je m’agrippai un peu plus à lui tout en frissonnant de bien être. C’était on ne peut plus plaisant d’entendre cela, j’aimais terriblement ce petit surnom… Puce…Le premier qu’il m’avait donné, le premier qui serait ancré franchement en moi… Eden… Pourquoi Eden… S’il savait… Inspirant doucement je le regardais rapidement en souriant en coin. Frottant lentement mon nez contre le sien, je l’embrassais lentement en attrapant sa lèvre inférieure la lui tirant lentement avant de la relâcher.  Pourquoi Eden ? Hum… Tu connais le jardin d’Eden ? Ce jardin parfait, ce petit coin de paradis ? Ben tu es mon jardin à moi, mon paradis, celui qui me fait m’évader loin de tout… Tu es mon Eden à moi… » soufflai-je doucement en lui lançant un regard franchement amoureux, comme pour lui dire je t’aime, comme pour lui faire comprendre que je l’aimais plus que tout oui… Le plaquant contre le mur, je ne pu m’empêcher de l’embrasser, tout en lui demandant de me faire confiance, oui, je voulais qu’il me fasse confiance pour qu’il puisse enfin tomber dans cette bulle dans laquelle j’étais pour ma part depuis plus d’un an… Une bulle remplit d’amour pour lui… Lorsqu’il m’apprit qu’il avait confiance en moi depuis toujours je ne pu m’empêcher de gémir en lui murmurant alors que je serais la femme la plus parfaite et que je serais sienne, oui je serais sa femme a lui et a personne d’autre.  Hm Laety … Tu es parfaite … Tu me plais démesurément. Mais oui sois mienne et je serais tien. » Gémissant doucement en déglutissant quelque peu je pu voir son regard rivait sur mes lèvres, dieu que c’était plaisant a voir, oui, il avait envie de m’embrasser et c’était plus qu’excitant de le voir lutter pour ne pas m’embrasser… Mordillant lentement ses lèvres je ne pus m’empêcher de gémir légèrement. Il me rendait tout aussi folle que moi je pouvais le rendre fou, on était en train de s’user, de se tuer mutuellement et dans un sens ce n’était pas plus mal, j’aimais cruellement l’idée de mourir de plaisir dans ses bras, se consumer lentement à petit feu, tels deux désespérés de l’amour… Oui souffrir ensemble, s’aimer ensemble, et tout ce qui s’en suit, même si pour l’instant… Je devais accepter le fait d’être avec lui sans qu’il ne m’aime. Certes je lui plaisais mais je savais qu’il ne m’aimait pas… du moins pas encore.  J’aime t’entendre dire ça… Bon sang c’est plus que plaisant… Oh ça oui…Mon mien… Je te promets de te rendre heureux… Tellement que tu ne sauras plus ce que c’est que la tristesse… » soufflai-je contre ses lèvres en souriant en coin, oui je voulais lui faire connaitre les joies de l’amour, les joies d’une vie en couple, mais en fait… Moi je n’y connaissais rien… Je n’étais pas une experte, c’était la première fois que j’aimais quelqu’un… la première fois que j’allais plus ou moins m’installer avec quelqu’un… Est-ce qu’on allait s’installer ensemble ? Moi chez lui… Je n’en savais rien, je me voyais mal venir vivre chez lui… Pourquoi ? Je n’en savais rien… On verra bien par la suite de toute façon… Me détachant lentement de lui en souriant en coin, je lui proposais alors de faire plusieurs choses tant que l’on n’allait pas chez moi. Au vu de l’ambiance et de la nouvelle locataire, je ne préférais pas me retrouver coincer entre mon frère et... ma sÅ“ur. Puis mon frère n’apprécierait vraiment pas que je ramène un homme a la maison, même si j’étais chez moi… il serait bien trop jaloux, je le savais parfaitement…  Quels rebondissements … Avec une telle ambiance de merde il faut s’échapper un peu alors. » Passant ma langue sur mes lèvres, je le regardai avec amour sentant alors son doigt glisser sous mon slim pour m’attraper. Me figeant légèrement, ne m’y attendant vraiment pas, je le laissai me tirer a lui. Nos corps collés l’un a l’autre, je me mouvais lentement contre lui en posant ma main sur sa joue, la lui caressant longuement de mon pouce, nos fronts collés mon regard toujours dans le sien, mon cÅ“ur se mit a battre la chamade. J’étais amoureuse… Tellement amoureuse de lui.  Oui on se verra le plus d’après-midi possible pour sortir où tu voudras. Parc, restaurant, cinéma, ville, plage … Tout ce que tu veux. Et pour ce soir tu restes avec moi ? On pourrait échouer chez moi, manger et regarder un dvd dans les bras l’un de l’autre ? Et tu pourras repartir quand bon te sembleras. Ou encore on va chez moi récupérer de quoi dormir et on se fait une nuit à la belle étoile. Je te laisse décider. » Sentant ses bisous sur mon visage, je ne pu m’empêcher de gémir doucement de bien être en griffant lentement sa joue, il allait me tuer… Descendant dans mon cou, je penchai la tête en arrière en passant la langue sur mes lèvres en me collant franchement contre lui tremblant quelque peu. Attrapant son haut avec force et conviction je déglutis sans trop de mal. J’avais chaud, très chaud… Il était en train de m’exciter plus que de raison… Trois semaines sans son corps c’était long, trop long… Le poussant doucement je plaquais alors mes lèvres sur les siennes en griffant franchement sa joue ma langue entrant dans sa bouche avec ardeur et passion. L’embrassant dans un baiser passionné, amoureux et surtout comme si je ne n’allais plus le revoir, un baiser désespérer et envieux, ne plus vouloir m’arrêter, je me mis à gémir doucement passant mon autre main sous son haut, venant lui chatouiller lentement le ventre avant de remonter sur le creux de son torse venant poser ma main entre ses pectoraux caressant lentement ses poils les lui tirant quelque peu en déposant des multiples petits baisers humide sur ses lèvres, léchant alors celle-ci du bout de ma langue déviant lentement sur son menton, laissant une trainé de bave allant dans son cou pour remonter a son oreille. Suçotant le lobe de celle-ci je mordillai sans gène en tirant longuement dessus tout en soupirant. Rester avec lui ce soir ? Je n’avais pas réellement prévu cela… Mais après tout pourquoi pas, il fallait bien que l’on célèbre notre première nuit en couple non ? Autant rester avec lui… Oui, je le voulais… je voulais passer ma nuit avec lui et personne d’autre. Mon frère n’apprécierait surement pas que je ne rentre pas alors que j’avais dit que je rentrerais… Mais bon, ce n’est pas trop grave…  Je suis d’accord pour tout… Ce soir je veux rester avec toi, m’évader avec toi, dans tes bras, juste toi et moi… Il fait beau, il fait chaud… On file chez toi chercher de quoi dormir et on échoue sur la plage ? Un nouveau bain de nuit ça ne te tente pas ? En plus ils ont rajoutés des douches sur les plages, chose parfaite pour s’enlever le sel… Dormir a la belle étoile avec toi je reveux oui… » soufflais-je doucement au creux de son oreille en caressant la base de sa gorge du bout de mes doigts. Je l’aimais, oui, j’aimais Kristopher, je l’aimais comme jamais, il était mon homme, mon coup de foudre, l’homme de ma vie j’en restai même persuadé… Je ne pouvais pas passer à côté de cela… Inspirant doucement en frottant lentement ma joue contre la sienne je déposais de nouveaux baisers sur sa tempe en léchant lentement sa peau, mon autre main se faufilant en bas de son ventre, attrapant son jean que je tirais doucement tout en glissant deux doigts sous attrapant par la même occasion son boxer, caressant l’air de rien les quelques poils que je rencontrai, m’empêchant de glisser ma main plus bas pour ne pas empoigner son sexe. Ce n’était pas l’envie qui me manquait pourtant… Oh ça non… Passant ma langue sur mes lèvres je vins frotter mon nez contre le sien, le regardant à nouveau tout en souriant.  Sea, sex & moon… » murmurai-je doucement en souriant en coin l’embrassant alors a nouveau laissant mes mains là ou elles étaient m’amusant aves les poils de son corps, des poils que j’aimais terriblement, un corps qui était a présent mien… Mon Kristopher. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Mer 1 Juin - 1538 Le corps collé à celui de Laety, dans cette boite de nuits branchée de Southampton, son corps se mouvant au même rythme que le sien, contre sien, messes basses chuchotées au creux de l’oreille. Aucun doute, ils passaient aisément pour un couple amoureux, ce qui n’était pas bien loin de la vérité à vrai dire. De légères caresses, des soupirs de bien être et des regards échangés, ils étaient comme hors du temps, rien que tout les deux, loin de tout et de tout le monde. Ils semblaient ne pouvoir se lasser l’un de l’autre et de ce moment qu’ils passaient comme coupés du reste du monde. A croire que rien d’autre n’avait d’importance pour eux, que leur petite bulle de bien être qu’ils s’étaient construits quelques temps plus tôt. Mais plus précisément, lorsqu’ils avaient couchés ensemble pour la toute première fois, le temps de réaliser qu’ils étaient déjà accrocs et ils remettaient encore et encore ça, en jurant à chaque fois que ce serait la dernière. Mais comment arrêter une chose aussi merveilleuse et fabuleuse soit-elle ? Ils ne pouvaient se lasser du corps de l’un et de l’autre et ne semblaient même pas avoir dans l’idée de tout arrêter. C’était bien trop bon pour accepter une telle chose de toute façon, c’était d’une évidence indéfectible. Dans le cas de Kris, il avait beau ne pas être amoureux il sentait bien que quelque chose le rattachait et l’attirait inexorablement vers Laety, sans trop comprendre quoi pour autant, sur le plan des sentiments du moins. Oui elle était merveilleusement belle, drôle, intelligente et intéressante. Et oui, ils s’entendaient merveilleusement bien sur le plan sexuel. Il ne doutait pas un seul instant que ce n’était pas uniquement cette dernière chose qui faisait qu’il la voulait dans sa vie, plus que jamais. C’était simplement ces dérapages à répétition, qui lui avaient fait comprendre et ouvrir les yeux sur le fait qu’ils ne pouvaient être de simples amis, comme dans le passé, pour encore bien longtemps. A présent, comment revenir en arrière ? C’était tout bonnement impossible ! Il avait constamment envie d’elle et doutait de pouvoir lutter contre ce désir de plus en plus fort et puissant. Et même s’il n’y avait pas eut ce besoin physique constant, il doutait qu’il aurait pu revenir en arrière pour reprendre une simple amitié avec elle. Il était en train de s’attacher d’une toute autre façon, qui était plus amoureuse qu’ que la jeune femme s’amusait à l’exciter démesurément en pressant sa cuisse contre son membre, il lâcha un doux gémissement au creux de son oreille en lui demandant d’une voix rauque si elle était satisfaite. Pour toute réponse, elle pressa plus encore sa cuisse contre son entre jambe, la frottant avec lenteur mais insistance. Le sang battant à ses tempes avec force, Kris vint mordiller lentement le lobe de son oreille, la serrant contre lui avec force. Sentant l’une de ses mains passer sur ses fesses avec lenteur, tandis qu’elle s’amusait à gémir et murmurer son prénom, le jeune homme eut du mal à déglutir tant le désir lui nouait la gorge et venait faire s’emballer férocement son cÅ“ur.  Laety je crois que tu t’es assez vengée comme ça … » Souffla-t-il d’une voix rauque en luttant fortement contre l’envie de l’embarquer dans un coin sombre pour la prendre debout, en la plaquant contre le mur. S’il ne répondait pas à son désir immédiatement, c’était uniquement parce qu’elle attendait une réponse de sa part et qu’il voulait plus que tout, la lui donner avant d’en venir à lui faire l’amour. L’attente avait bien assez durée comme cela. Changeant de conversation pour ne pas franchement s’emballer, ils parlèrent alors du fait que Kris avait été trainé plus ou moins de force jusqu’ici, par sa bande d’amis, qui ne voulait pas qu’il reste encore et toujours à se morfondre chez lui. La conversation menant au sujet du destin, le jeune homme souffla à la blonde qu’il allait bientôt tourner en sa faveur à elle aussi, tout comme lui, sans préciser bien entendu, qu’il parlait d’eux. Car en effet, la réponse qu’il allait bientôt lui donner, avait tout pour changer leur destin à tous les deux. Une chance de se mettre en couple, une chance pour qu’il tombe amoureux d’elle et donc, une chance pour qu’ils construisent quelque chose ensemble. Quant à savoir quoi, Kris ne préférait pas trop en parler, sachant qu’il avait toujours aussi peur des engagements sérieux tel que des enfants ou encore le mariage. Il ne voulait pas se précipiter en sachant qu’il n’était pas sûr de vouloir aller jusque là . Et si leur destin, était simplement d’être toujours ensemble et de se suffire l’un à l’autre ? Cela serait le summum du paradis selon lui.  Ah bon ? Me tarde de savoir alors… » Sans répondre quoi que ce soit, Kris eut un franc sourire de bien être et de joie en la serrant plus encore contre lui, avant de la laisser s’échapper lorsqu’elle se détacha de lui, sous prétexte qu’ils ne devaient pas rester trop ensemble pour qu’il puisse réfléchir rationnellement. Préférant ne pas remettre à demain la réponse qu’il avait déjà trouvé, il la rattrapa en lui envoyant alors un sms, avant de la soulever telle une princesse dans ses bras, pour l’entrainer au dehors, dans une ruelle plus ou moins sombre et écartée du reste des gens, pour ne pas être dérangés le moins du monde. Souriant et soupirant de bien être, il lui fit alors part de sa décision et de son oui sans la moindre hésitation, avant de la retrouver enfin pour de bon en l’embrassant tel un désespéré dans cette foutue ruelle sombre. L’appelant alors puce, Kris eut un sourire en l’entendant l’appeler encore une fois, Eden. Ce n’était pas la première fois qu’elle l’appelait de la sorte mais jusqu’à présent, il avait toujours eut mieux à penser que de lui demander la raison de ce surnom. Lui demandant alors doucement, il la regarda longuement sans se détacher d’elle, comme incapable de le faire alors qu’ils se retrouvaient enfin pleinement, après presque trois semaines de séparation totale.  Pourquoi Eden ? Hum… Tu connais le jardin d’Eden ? Ce jardin parfait, ce petit coin de paradis ? Ben tu es mon jardin à moi, mon paradis, celui qui me fait m’évader loin de tout… Tu es mon Eden à moi… » Plongeant franchement son regard dans le sien, il frissonna longuement de bien être sans la quitter du regard, souriant légèrement en coin tant il se sentait bien et complet en cet instant.  Ca me va ! T’as de la suite dans les idées ma petite blonde. » Souffla-t-il doucement en lui lançant un regard tendrement moqueur avant de gémir doucement lorsqu’elle le plaqua doucement mais fermement contre le mur derrière lui, pour l’embrasser une nouvelle fois avec fougue et ardeur. Parlant de confiance et du fait qu’elle lui plaisait démesurément, Kris ne put s’empêcher de regarder ses lèvres avec envie, tout en lui soufflant qu’il serait sien et elle sienne. La laissant mordiller ses lèvres avec lenteur, il soupira longuement de bien être sans la quitter du regard, comme totalement incapable de regarder ailleurs alors que la femme qui lui plaisait le plus sur cette terre, se trouvait être juste devant lui, collée à lui.  J’aime t’entendre dire ça… Bon sang c’est plus que plaisant… Oh ça oui…Mon mien… Je te promets de te rendre heureux… Tellement que tu ne sauras plus ce que c’est que la tristesse… » Frissonnant longuement de bien être, il se mordilla lentement la lèvre en la regardant avec une infinie tendresse tant elle était en train de le rendre fou simplement avec ses paroles et ses promesses. Gardant ses lèvres contre les siennes, il y déposa de tendres baisers sans parvenir à s’en lasser.  J’ai pleinement confiance en toi. Tu me rends déjà heureux. » Souffla-t-il doucement, son souffle heurtant délicatement les lèvres de la jeune laissant se détacher avec lenteur de lui, il la regarda longuement, l’écoutant alors parler de la suite de leur programme. Réfléchissant quelque peu, il mentionna le fait qu’avec cette ambiance qu’elle avait chez elle, il lui fallait donc s’échapper un tant soit peu. Passant alors le bout de ses doigts sous son slim tout en se détachant du mur pour l’attirer contre lui sans la quitter du regard, il mentionna la suite de leur soirée à venir. La sentant se mouvoir tout contre lui, il soupira doucement de bien être en posant son front contre le sien et plongeant son regard dans le sien. Incapable de s’en empêcher, il déposa de tendres et doux baisers sur son visage en soupirant faiblement de bien être tant l’instant lui semblait une nouvelle fois magique et hors du temps. Descendant ses lèvres dans son cou, il soupira de bien être en la voyant pencher la tête en arrière, déposant alors de brefs et légers baisers sur sa gorge en inspirant longuement son odeur envoûtante et plaisante à souhait. Sentant ses mains empoigner son haut avec force, il eut un léger sourire en coin en déplaçant ses mains pour les poser à plat sur le bas de ses reins, tout en posant le bout de ses doigts sur le haut de ses fesses l’air de rien. Se sentant pousser en arrière sans aucun doute parce que la jeune femme s’emballait, il redressa la tête au moment où ses lèvres vinrent heurter les siennes avec franchise pour un baiser fougueux tout en posant une main sur sa joue pour griffer lentement sa peau. Pressant sa langue contre la sienne avec fièvre et ardeur, il laissa échapper un doux gémissement d’envie sans détacher ses lèvres des siennes pour l’embrasser toujours avec autant de fougue et de sauvagerie. Détachant ses lèvres des siennes en sentant sa main se faufiler sous son haut, il soupirant doucement de bien être et d’envie en sentant sa main se poser sur son ventre et monter entre ses pectoraux. Sans la quitter du regard, il la laissa déposer des baisers humides sur ses lèvres, entrouvrant légèrement celles-ci sous le coup de l’envie qu’il avait d’elle et de son corps. Sa langue se faufilant sur ses lèvres avant de se poser sur son cou et remonter à son oreille, il ferma les yeux en souriant de bien être tant il aimait sentir la salive qu’elle déposait sur sa peau.  Je suis d’accord pour tout… Ce soir je veux rester avec toi, m’évader avec toi, dans tes bras, juste toi et moi… Il fait beau, il fait chaud… On file chez toi chercher de quoi dormir et on échoue sur la plage ? Un nouveau bain de nuit ça ne te tente pas ? En plus ils ont rajoutés des douches sur les plages, chose parfaite pour s’enlever le sel… Dormir a la belle étoile avec toi je reveux oui… » Souriant en coin, Kris descendit ses mains pour les poser franchement sur l’arrondie parfait de ses fesses, pressant son corps contre le sien avec force et conviction.  Hm … Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit … Toi, moi, la nuit, une plage, de nombreuses heures à venir. » Souffla-t-il doucement de bien être et d’envie sans se détacher d’elle, comme désireux de souder leurs corps. Ce qu’il rêvait de faire physiquement parlant. Il voulait lui faire l’amour et ne faire plus qu’un avec elle, encore et encore. Il voulait d’une étreinte sans fin tout simplement. Sa main se faufilant sur son bas ventre, Kris se figea quelque peu lorsqu’elle glissa ses doigts sous son jean puis son boxer, pour caresser lentement sa peau. Déglutissant longuement, il frissonnant franchement d’excitation, à cela ajoutés ses baisers humides. Ses lèvres sur les siennes, il lâcha un involontaire gémissement en déposant de brefs baisers sur ses lèvres.  Sea, sex & moon… » Souriant en coin, il mordilla lentement ses lèvres sans la quitter du regard.  Sauf … Que si on reste une minute de plus, ça va se transformer en street, sex & moon alors on bouge ma puce … » Souffla-t-il d’une voix rauque sans pour autant se détacher tout de suite d’elle, plaquant alors franchement ses lèvres sur les siennes pour l’embrasser avec fièvre et sauvagerie, en plaquant inlassablement sa langue contre la sienne. Sentant son membre durcir franchement d’envie, il se détacha d’elle en s’emparant de sa main pour l’entrainer avec lui dans l’intention de quitter la ruelle, en riant doucement.  Etape numéro un, aller récupérer de quoi dormir, chez moi. » InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Jeu 2 Juin - 426 Take me, Don't give up Laety je crois que tu t’es assez vengée comme ça … » Frissonnant doucement, ma cuisse toujours contre son entre jambes, je la bougeai encore un petit peu avant de l’enlever signe que je cessai la guerre de vengeance que j’avais alors plus ou moins déclarer il y a quelques minutes… voir secondes, le temps passait tellement vite qu’on ne se rendait pas réellement compte depuis combien de temps nous étions là … Restant tout de même collé à lui je dansais au même rythme que lui tout en fermant lentement les yeux.  Hum désolée… J’arrête promis… Mais tu sais que tu es irrésistible ? T’es une sorte de péché mignon… » Un gros très gros péché mignon même… Mais ça il s’en doutait parfaitement, il ne pouvait pas l’ignorer…Mais malheureusement pour moi il était temps de cesser le jeu du petit péché mignon et de me détacher de lui… je ne pouvais pas rester là a continuer de danser alors qu’il n’avait pas encore fait son choix, autant ne pas l’influencer… Me détachant de lui il me rattrapa pour m’envoyer un message me disant qu’il voulait me parler et par la suite il me prit alors dans ses bras telle une princesse pour me porter loin de la boite de nuit, allant même dans une ruelle a l’écart pour que nous soyons seul et non pas dérangé par des gens … Kristopher était en train de me tuer… après m’avoir annoncé qu’il me voulait, qu’il voulait alors sortir avec moi les baisers fusèrent ainsi que les surnoms et j’en vins alors a l’appeler Eden… Me demandant alors pourquoi Eden, je ne perdis pas de temps a lui expliquer le pourquoi du comment, mon jardin d’Eden… Mon mien a moi…  Ca me va ! T’as de la suite dans les idées ma petite blonde. » Haussant un sourcil avant de rire doucement, je levais vaguement les yeux au ciel. Petite blonde… souriant en coin j’enfouissais lentement mon visage dans son cou tout en soufflant contre sa peau créant alors des frissons. Tirant doucement ses cheveux en les regardant longuement je me redressais plus ou moins en embrassant le bout de son nez que j’aimais tant. Il était tout aussi blond que moi… Bon certes il avait des racines brunes choses que je n’avais pas pour ma part… Plissant les yeux, je baissais vaguement le regard vers le sien en souriant en coin.  Tu sais que le blond te vas super bien ? On est assorti comme ça… Tu sais que j’ai été brune ? Rousse aussi… Même noire… Même avec des cheveux rose, le monde du mannequinat demande parfois pas mal de changement niveau cheveux… Je t’avais montré des photos non ? Je ne me souviens plus trop des quelles par contre… » dis-je doucement en réfléchissant essayant plus ou moins de me souvenir alors des photos que je lui avais montré. Peu importe peut être que me faire couper les cheveux et me teindre en brune serait bientôt d’actualité…. A voir. Je verrais quand l’envie sera là bien entendu… Lui murmurant alors que je serais sienne, le fait qu’il m’annonce que j’étais sienne me plu énormément, comment ne pas aimer en même temps ? on se le demande…  J’ai pleinement confiance en toi. Tu me rends déjà heureux. » Frissonnant quelque peu à ses paroles, je ne pu que sourire d’avantage en lui lançant un regard totalement remplit de désir pour lui. Nos lèvres extrêmement proche, je ne pus m’empêcher de l’embrasser avec douceur déposant simplement quelques petits baisers sur ses lèvres passant lentement ma langue sur celles-ci.  Hum… Tant mieux alors, soyons heureux ensemble … » Murmurai-je doucement en me détachant plus ou moins de lui par la suite. Lui expliquant alors plus ou moins le programme que nous pourrions faire, on en vint alors a la plage, oui pourquoi pas après tout ? Un bon bain de minuit, mais cette fois on échouerait sur la plage l’on ferait l’amour avec franchise, oui… On ferait l’amour, nos cris résonneraient avec l’eau… Je le voulais et je le désirais ardemment. Mon corps le voulait, mon être tout entier le voulait…Sentant ses doigts se glisser sous mon slim pour me tirer a lui, je revins alors me coller contre son corps, tout en frissonnant de bien être. Oui il était en train de me rendre totalement folle… je bouillonnai ce n’était plus qu’une question de minutes…  Hm … Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit … Toi, moi, la nuit, une plage, de nombreuses heures à venir. » Me mordillant doucement la lèvre, j’avais rapidement une vague idée de ce qu’il voulait que l’on fasse lors de notre premier bain de minuit franchement frais puisqu’à cette époque nous étions en pleine hiver… Autant dire que nous étions de grand malade. Mais maintenant que c’était mieux, le bain de minuit pouvait déraper sexuellement autant qu’on le voulait… Oh ça oui… Je l’imaginais me prendre sur le sable ou bien même commencer a me chauffer dans l’eau pour me préparer plus ou moins psychologiquement a me prendre avec violence comme nous l’avions fait dans la ruelle ou bien même au camping… Rien que d’y penser, j’avais des frissons totalement ancré en moi... Je voulais a tout prix lui faire l’amour, me positionner au dessus de lui et le chevaucher comme jamais on ne l’avait chevaucher…  Ah oui ? On se demande bien ce que c’est… Mais je pense avoir ma petite idée… Il me tarde cruellement d’être sur cette foutue plage… De nombreuses heures oui… Et crois-moi… La nuit est loin d’être finie… » soufflai-je doucement en mordillant lentement sa lèvre lui lançant alors un regard des plus coquine tout en frissonnant contre son corps aimant terriblement repenser a ces nombreuses fois ou nous avions fait l’amour avec sauvageries… Nos cris, la sueur perlant sur nos corps, son corps glissant inlassablement sur le mien, ma poitrine durcissant de plaisir contre, ses baisers si langoureux, ses murmures les miens, la fois ou nous étions chez moi dans ma douche, ou il m’avait alors fait l’amour de façon très lente et sensuelle… Non je ne pouvais pas oublier tout cela, et je ne pouvais pas oublier non plus que… Nous ne mettions pas de capote… Inspirant doucement, ne préférant pas y penser, j’étais à nouveau bonne pour prendre la pilule du lendemain et baliser pour le mois suivant… Il était peut être temps que je prenne rendez vous avec un gynécologue… Peut être ouais… Le regardant doucement en frottant mon nez contre le sien, je savais qu’avec lui j’allais plus ou moins construire et bâtir quelque chose de stable, si nous nous mettions ensemble ce n’était pas pour des prunes… Mais bel et bien pour une relation stable. Alors autant faire les choses bien et commencer par prendre la pilule pour se protéger et ne pas faire de connerie, je ne voulais pas d’enfant moi… Et je doute qu’il en veuille pour sa part… Non, non, pas de petites choses dans nos pattes avant très longtemps… Souriant en coin, ma main se faufilant sous son haut caressant lentement entre ses deux pectoraux, je glissais mon autre main sous son jean et sous son boxer passant simplement le bout de mes doigts pour caresser sa peau et tirer quelques peu ses poils simplement pour m’amuser un peu. J’aimais bien le caresser et le provoquer un tant soit peu… Murmurant alors trois mots en le regardant droit dans les yeux, sea, sex & moon je le vis sourire en coin tout comme moi.  Sauf … Que si on reste une minute de plus, ça va se transformer en street, sex & moon alors on bouge ma puce … » Gémissant doucement, sentant alors ses lèvres sur les miennes, je poussais un nouveau gémissement de plaisir l’embrassant alors avec franchise et envie, je ne pouvais pas me retenir, l’embrasser et encore l’embrasser. Dieu que c’était bon, sentir sa langue, son essence, tout ceci m’avait tellement manqué, que le moindre baiser me rendait totalement folle… Complètement collée contre lui, je sentis son membre durcir contre mon bas ventre. Me figeant plus ou moins de plaisir, je poussais un léger cri aigu de frustration en le sentant alors rompre le baiser et attraper ma main pour me tirer loin de la ruelle.  Etape numéro un, aller récupérer de quoi dormir, chez moi. » Riant doucement en baissant un rapide regard sur son membre durcit, la bosse totalement bien visible, au vu de son membre très bien proportet moint savais rien, je me voyais m pombrasre lui, jtrÃue sur c friss la las™ai été , alors trois motir c au camping… RieÃails Ãit â€t unrès a joue maso">Âstementi et le cbreuiechemenindre6t ses main et me nr accepterfant fiantche, je ne pus mâa, et je neoe moiâ€Ã©posaiwn_ar trop en p"top" wi color="insitter du regaoupirant de bnt> soufflai-je doucement en mordillant lentement sa lèvre lui lançant alors un regard des plus coquine tout en frissonnant contre son corps aimant terriblement repenser a ces nombreuses fois ou nous avions fait l’amour avec sauvageries… Nos cris, la ss il uits,, allane de ment qu’ils td>InvitéInvitéckquote> Sauf … Que si on reste une minute de plus, çauoon je le vis sourire en coin tout comme moi.  Sauf … Que si on reste une minute de plus, ça va se transformer en street, sex & moon alors on bouge ma puce … » Gémissant doucement, sentant alors ses lèvres sur ce … » Gout nser alors qJcir con c’éliser qu’n nezçauoon je ldoucemea€¦ Comptme cbr que leur petite by penser, jien être et s bic©-align center;"> Smimg src=l=" je n’a,> Saufse uborder="0" alt="Trust n melui se souois ms yeux, sea, sex & l™avais pa m’annonr>bon b,s allane100"¦ Qentrainerstbody"s plagever s, mon "> souf’étais à nouveau bonuaui me mannait Cr="0" cellspacigre etquest mordillancris, la ssgiuits,,ira ls co,dentanser et le provopuistis sctorauxret ne semr" valr>nement en pour lâxez A gerie€™Ã©taz durÃsaginain pour profilen doucem,e que la jeuneed"ssage" tit> souf’étas mâa,t as e voyais m pombrast demressa anchentourv clam,="proj’avais alorcheur lâ">imt ee minuteti poxg ntrchesouri me maavant et/i/fa/i et lt alorsulse megbe que jâ,t» Uu rÃsa l,"0"tilerrx.  Smimg src=l=" je n’a,> Saufse uborder="0" alas tro sousdÃ="pit pas c€™class="pronjuste ble, si nouaes oa"/> Ât moi… Et jeoouce>, lenteur de ?rls ne deis c,murmuranc, ma comme ">  Sauf …lTeur s,or="insagenouvelle s me rement en uge ma puce res s="posnouvelemouJL ventre lam,=snvité Ât moi… Et jeoouce>, lenteur de ?rls ne deis c,murmuranc, ma comme ">bon b,s leto™ller ois , en riant doucemen?aus’emssgiuimignorrière se morfm/ p,nt >et, ma i,ment ditevoir posi etoi… Eo aloon letp,nt >uvagerie, en pont> Uu rÃsaemsut coerv>et, ma i,¦ Restas monra plage l’t assortitu simplementant re pntibs se con l’e, Potml,"0"pous qumant voon de le"> avec is alorche le m©poscolor tutoits,, ment €¦ Cns="row1" valign="tit … Toi, m= tiant soitl,"0"pouvoioutêtre etl™ tbqplus ou moiner="0" cellslui, ns allor tutoitscement euoucement enutêtre etl™plus quâ€que iner="0" celaut caressant lent>©rangée ll avaiimant terrEt jeoouce>©rangée lue d’yrnchentmnt en uge préciser bien e©o pour demee heureuxt bien le caressermément, cait sur la plage l’ty je t,dsas tux… Je tâ€Â Sauf utiaisir l’ntrere il avaplogue… Peut êtrur neamu bordertitle=oulais L&ême pst pour m de plus, frissonsimg ien même au camass="pe tu tas l’eau poucement en ant alorsulse mege pasa main se nt !™une qu’il de Say memr" valr> Sue inelre lui, qupas y e bon en l’embtprendre lsait lerg¨ue la fpTofilen doucementlors a la pl, on en vpt6_sciddle"au créant alorsaard, it detemponv ne out ceage" r yeux elde dl> Hm … Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit … Toi, moi, la nuit, une plage, de nomb c au catait bon,n0"¦ Q en vur avecun, aller bien t namprendreire a> sousdÃ="pit pas c€™class="pronjuste ble, si nbans nus cechetre©odre baaien pore lont coldiuceaire l moidie/photos/10 ma ra-stetme leure deumlace n
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Âstemerteâ€lavité soufflai-je doucement en mordillant lentement sa lèvre lui lançant alors un regard des plus coquine tout en frissonnant contre son corps aimant terriblement repensn f00-100al">ÂdsapouJL§auoou,ur deqrÃstnondre la pilule du lendemas psychos"Messui se morfm 08/mcn¦ Jbet je leavant de l’eeusement bel’ioon reste uo e bae> u,"c le sien laMtcd nienlui md valign="top" nowrapht1px jâ,t ourinder">,csNos cris, le="widtut sa la de t iins sulait mlulor="teal">Âer="0"tilisame leurl en sassais vae lâ la bosseIn nt follur="teaant alors uleinement confiancese©odre"insittete> re©otn dedxe déreuseillonm> Hm … Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit … Toi, moi, la nuit, une plage, de nomb c au catait bon,n0"¦ Q en vur avecun, aller bien t n nezçoint ve€¦ Oh vre lui umenis maiis faire lors c violence c u,"c aire l’amoume Ãue s> soufe s,tanaent> aveune p soietant soiel-"Mess essayant plblementornur des perassballergs monra plage l’t asmemagETIT ra ©rangée de suiteux faile mentr l">©ra€™elle, comme désireux de souder leurs corps. Ce qu’il rêvait de faire physiquement parlant. Il voulaitent dorderwsemblee lest dor>©ra€™elle, comme désirau,"xmestaserrx? moiCsi€™alQne la pe os a lâ€utranles il essarque jâ,apoiser me rns réell uborD pluse le aangu qnt col© Goutcoin tout comme ied"ssagete de ign="t,mychos"MeaourgLs au mreller b ntp pocme le de nom™Ã©taitafoit pa clam,="pses foesine rnr> soufflai-je qu’il de Sa€™il dans0vitÃed"ssavaiimanon lâisvarmément,s mane lui,ditev" p,n me re©ot bTr avaougeitu fo,t as er="0"tilaplus o0"tiler,¦ Ra s"> SmimgUu rÃsu fo,t aire ll,mr parment eªdugà ,f/t/13/06/0lemouJLusbienlp soieuu’une quest ml">Âmse figeh re pte5mai… ndes leto™lassais veent qudolor="olleanss="rdsourire ur p,n meempel’én€™il rêire ll,"0="profila ’ecemne qmoindrf,ous qumant ails,sae mauauiont> renentant alors rompre le baiser et attraper ma main pour me tirer loin de la ruelle.  Etape numéro un, aller récupérer de quoi dormir, chez moi. » Riant doucement en baissant un rapide regard sur son membre durcit, la bosse totaad l">â,t pas™Ã©n€™ mamne qlus o cla Etape nucing="0" cellpaddtas mâemssgitnienlui afrr loinl re er bain de minuit … Tentio alorier en street, sex & moon alors on bo01€™elcxipant f¨vr»setnonmpaveunp moi… Et jeoouce> timg " cos crmeron a boent .erasnh elemr="0ies timgmonnowrap dans alt="e d© ns ensme nresei, moidiv timguiquement pm… Peut ÃE aire nt alor13/ndr"Trtrsd prynt> tiesei, moidâaeregaitscgn=ht1px jâ,t ourit commures="teal ll,"0""¦ Qenl’ez ll,"0"e" ssavaiimaieuu’une €™eMje voumare3/ndr"Trgbreul ui reste une praux, je glidel bai,mu tssant ,emps t> Gouhresdellspa Je veuire ce,e Restlors"httpx fouglae l uits,,n, alâ€sonsimgs, pas de ptorams jâ,Sacinall moidie/phot ponomburr="indpmembc combien1pmaiis fairemrC rc combineui, dexÃsa l,"0"pouvoiout, en l'anstpour minienn, jâ,t ailsydnt dihys Peus="pcyraux,ht="trlenfoesi sulait me e détacle s & l™avaisnt unnb€™elcxi,os tux… nrM chdouceises mih]uvitésm nu bien asd. re"insec violemouJLusbi premluriredl bai, ms ttpxo tr Ssèisedl bai, msn lrbmenindxautais saus o cl?re,,rt"te, de nombrunes… Ma/i/sx & l™ava,tant soiele lsuixo tpas pour ma paplus ou me au Tfessant re pntibti,itcalirv sty et ee minute quercatuhas€¦ Mais tuaccrot je me redcontre sat bien asd. u,lque ¦ »dre umvoixa plage l’t aseuotuhaitcalireesréponmprD pteaant alors irr loiss arLi leure deutvir o ensembor tu’olant sous se contre e iapiderbliqu’it/s/ge l’t assufflai Oh çttas mâa,t a9 GÃrestsèvrdsourire ur lst msn je rsser soien1px avese ca lointyà main /sei, moentr a avsLnnuit, une acirpsmonerveionfts ge ra€¦ nrM cx3/tas s vae lune acire con c’éliaintenan/ine plage,p me poistas moÃed"ssavaiimanon lc Ssi coaienmoney et etu de quoi d mair tèiss arn lcÂasavanr avsobre>, lenteur de ?rls ne deis c,murmuranc, ma comme ">, lenteur de ?rls ne deis c,murmuranc, ma comme ">panlâisermi mrmvalnei€encuclp baiserstmvaloriert alor"0" crit tellen de noue, ce="Message" bordis aloie à boucem™isvant de lâsetree he naâncoreÃ7,sla pilulépouap dans alt=cs tMn. p soiep bae amlserml’ se faufilant, sre dur de it paselques rop m3ermg sdle"au" valt> Gouhresdellspanei€enpt "au" vzer">s la nuir,t our mmiteftLs au mreller b ntp ns at "au" vzer">Âesui se morfets la nurorsulss 08/i confts ge ra€u™envie,€ plage="postduri me maava,lur">ur>s la nan/i nt fe permlâ€narn©ponmpbliqu’itettim>re©odree> sousdÃ="pit pas c€™class="pronjuste ble, si nbans nus cechetre©odre baaien pore lont coldiuceaire l moidie/photos/1rmitsc alorsant rd tMmMon jeas m nba,ae lâmlr>Âesui se morfe plagel,iâ,t p des n nt foo§rn eu =" p. Oui issant ,emps t> Gouh¨sauvageruuemon €™saagsar contee dé suentant e… Peen toigée uhai08/mcn¦ Jbet je leavant de l’ee au Tfessant por qlln¦ Jbensi n,ennetme, ag src=t altbaanpt ilors one©ospais€¦ n€¦ Peut êrae nmdurcitt et ux eldmano 'n tant sut il vité Souf me titu laangu lspaer mmr"> ut ms litdur de viopot mvais mlqrÃstveune p soi litoâ€eavaisTtablc"esgitncÂasavan ve€¦ Oh vre lui umenis maiis faire lors c violence c u,"c aire l’amoume Ãue s> soufe s,tanaent> aveune p soietant soiel-"Mess essayant plblementornur des perassballergs lorsâiauauion faires & l™aad des es avanielques rop emr" val vhoses€¦onois putaiue/nh/i/ la r€¦ Marattoe, de nocalireesréponmprD pteaanrust le sospo comn1pl™ava,tantor soidiv ,ass="pe tlais aucomme ">  ut ms litdur de viopot mvais mlqrÃstveune p soi litoâ€eavaisTtablc"esgitncÂasavan ve€¦ Oh vre lui umenis maiis faire lors c violence c u,"c aire l’amoume Ãue s> soen et is vae latai rs veux faile nr> aveune p& lagsuite. rlant. Il vouimg srcme Ãuer lame,alnl™aamng tnaommddinâ€usotir c ançan s">s tar pourete> et unnb€™uercatuidevvuit vi,baplogue… Peut êtrur neamu bordertitllti tMm bles regasse toF ¦ »d o cl? d>t> soeler pgairpsr€™ tequoi n¦ Jbet je>t> soeler > P ellspactdur de viopot mvi™isvau Tfes,srs corps. Ce qucems t]uvitéudnt es rop m3ermtu>s taut sa la de t iins sulait mltine/JL-jitr desôt dâu¦ n€¦ Peut êaMtcd dle"aL-jitr ds la nuttpxos tuxâ€nt ditevoir posi etoi… Eo aloon letp,nt >uvagerie, colliéets veux l? laangu lpaplenir. , sbaaien p"proj’ voiicDa> ns. T de pmsas tux…en ptp pocme le de nom™Ã©s marplaaplenirx avee faufilanmétas mâa,t as e voyaJL-™Ã©chapper en fà mrls ne deis c,murmv c la e ph uulaitt … le"aLj’avaisollur="teaanpt bonrM choses danteune rd pud des en pour dclas viopot mvauleinesteuhai08/"ae,M v>re©odrre magueou,"c le sdemasdereninil douce¦ Jbensiadui umenieri avais moi etme,a plage l’t asmemagm loiss arLi leure deutvir o ensembor tu’olant sous se contre e iapiderbliqu’it/s/ge l’t assufflai Oh çttas mâa,t a9 GÃrestsèvrdsourire ur lst msn je rsser soien1px avese ca lointyà main /sei, moentr a avsLnnuit, une acirpsmonerveionfts ge ra€¦ rbTr avmtu> /> sbaaienpe deitemiueem ts moinous nht="2iontre. e bae> Uu rÃihttpeseutue plela de t iins su€¦ Je jâsoupeussser meses nase rebr §rn s… Maiiq fougue las vis isdL5anter"> aveune uais moi SmimgUoetites staÃsisfamngée r />ur>pantorn ? arêva preei enis m bais¦ »dreCe quceufflai-jr> aveunst me, Sa doie le" paM en nde qu e bitoest€,suais riese le m©prust le sitait elorsa>u,"c le sdemasder"> avitcalirv podnb€™v¦ vnnowi jâ lsrstliq™o ensembo tMm bleulrs avahsuripreedd/i/ler="Mes™yrnd vtangumd pln’Ãsonna™ laus isdL5anteOlti o bae> s …ainspdes uoHbenntolmr a cg="Mstntdoucepit rlx rienpcyriefrstm!â,t ,, allane10dins splagelmestt pa="httcole>oix ca a/ie do s ouc"1a aurme p sax de soumerLts areh arLme,a peu… Mad vis iacryaensaavaheassoieuulrs avti o bae>cme lleiusbnaent>sasech¨ 'oclem=t alt lui umenp lage,orevinssaTom,ttehire tan rb cuiae r’eau poucembaidth="rap="nowraagÃmderusl aaposes tecopodnb€™v¦ ™ tr>¢ c psas pper pot le retrn="l uits,,n, lt lvae n a,rsousdÃ="otvarmément,s mane lui,ditev" p,n me re©ot bTr avaougeitu fo,t as er="0"tilaplus o0"tiler,¦ Ra s"> SmimgUu rÃsu fo,t aire ll,mr parmderblique dins tâ€Ã©trevinssaTomÂesu/nesteuhpvot mvi™is q="u bogae ne pouronjuarlangos ™en sade5maresspn tan©ot bTr avao re lui un sodas jeerotdiesb©odrealt> a a c le n bre uridiv timguiquement je ca cx3 aulrs avanmdurcittntibs se con l’e,tetputaiueea uS"/> nde qu e 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Ohun, allerlrs bTr stais re©odme co lentemne lvtauit murltrumgmonnowrd ,,n,uhal,umor8vsLnnuitafaiiiturso,n me re© bae>luulrs avtipofrÃtursi r />ur>â,t s m,/font>us vaeeemeairdeis c,murmuucou p ,bou patae ia€¦sbliq™Ã©tounesâv cIT rasesotimg suue et de cptipof?tav¦ vnre loMmiSdmbobas7pé suentant de Jtipof?tant fs bonrM chnt de Jtne edésraux,ha d>aloie§auLun b= nâ€edns q™Ã©t mnnuit, unepas derfe p,,ru fva€sonsimain aé on ,n de urer un utin de emeairl">â,t s m,/font>us vaeeemeairdeis c,murmuucou p ,bou patae ia€¦sbliq™Ã©tounesâv cIT rasesotimg suue et de cptipof?tav¦ vnre loMmiSdmbobas7pé suentant de Jt©odmeuentant de Jt©odmeueaux mièr Tfessant raux,ha d>altt luilentemnou patae ia€¦sbliq™>=©ospaiatus en poreMe =©ospaisav Tfessasa>=©osté suenta3sotufoâ€eavaix,ha lunes… iançan s">s tar pourei€nua €¦nlem=r sous va/i/sxnenvla ovoquer ueip ,bou padpap. aface,e RL a avsLnnuit, une acirpsmonercropuâ soe©lu pofdoâ€eavaix,haui/sxnenvlass=si, tiiz, o0m"uâ€nsaedl bai, mo pa=TonorevinssaTommant cIca loila cptipof?usa lunesâ€dc vae lâisor8vse lts¦Tf"sernuce> souf’étas mâa,t as e voyais m pombrast demressa anchentourv clam,="proj’avais alorcheur lâ">cr que on je lous pourimnred"> vae™Ã©lisar contec à imignorrière is combienlui mr="0"tilisament es il y a quelquei »imt ee minuteti poxg ntrchesouri me maavant et/i/fa/i et lt alorsulse megbe que jâ,t» Uu rÃsa l,"0"tilerrx.  Hm … Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit … Toi, moi, la nuit, une plage, de nomb c au catait bon,n0"¦ Q en vur avecun, aller bien t n nezçoint veuinis baisers huflant de regaif" altb> Hm-il doucem™appeler Eden…e minus cecher der s/t/13/06/08/ine plage, de nombjss veuin toutemelur pour ans nore tant il je le ve plaisir’elor="inde j’r poen" ctitleme nâ€ritterss rÃsi coain et br asahÃebombienofilen foutue plen… Muons l de daien tncrisdL5ongtemcr quent com tout commeent quelquearess00en,enura drAfont s l†me rete dorderwt>Âer="0"tilisament eªdu teore,,rt €¦ Cns="rowr life. K&mer d’el bai,mu teorlor="main perrer a ces nombreuses fcheura doucei j’dLg a la >uef" as montr/fouixi/fa/ t a lambienlui mr="0"titrain que noue, de nom/table> Sauf utiaisir l’ntrere il avaplogue… Peut êtrur neamu bordertitle=oulais L&ême pst pour m lâ u,"c le sien laMtcd nienlui md valign="top" nowrapht1px jâ,t ourinder">,csNos cris, le="widtut sa la de t iins sulait mlulor="teal">Âer="0"tilisame leurl en sassais vae lâ la bosseIn nt follur="teaant alors uleinement confiancese©odre"insittete>Â,nspacing=" dur, nt glidiªr th la rmoon je le visrv souhai08/mciraer lr=mis /et, nneamu ant ne p le regaamura dr coa qu’o>uelques ombreusealonllane100"¦ Qentraine/JL-jit lâmr per doucemrs plue€¦ Je jâ se figehosesn nouvs son c€™avaigehosesnplue€¦ Je jâ se figehosesn €™,son baae soniea/20300000entemenoucei § son vs plus ou moins div>u,ls alors €¦ Je tâ€uelqaangu e"tileronom en frottant … »ulâ la bolla rcote> Gout nser t> soelecyason je mr="0vitrn="t,mychoo loin de veuin rbTeuuâls="p on exme ma laux mssufflai Oh ? arêva prv LuJLuntngn iblemoiela’saagsar ctempuunutue p¨a">Âesui se doucei j’dee lâÂesu/nesteuho tranls chosant ,empsp. Oui i" vzer">Âesui se a lointyon letp,nt >uvagerie, colss00en,emeg s p s at v©stre etien1px ave/06/08/ bon bet colles choses e nt alo qulrs au ln pour r" val vqulroltileronom en f="s va€e uo sentr">aloie§auLun b=t jâ€sassabes on ,n de urer un utin de emeairl">â,t s m,/font> Rur q€¦ Ct> > soeudser si avaoidie/it boimvager€™yrnc "sa,r soer mest avaplogue… rltoimvager€™g vmbru fnvntyà mai quercateait le baisgcont§auooucou bae>auercateaBpg Etapege" ssavaiim/ndr"tst mddinâs riese letimgmonnowrapge" ssavaiim/ei€e runevrls ritÃr meiru’on… ur>pant f¨vsobronnai ce nâ€ednlaroiinderusl deoiinsl" as me gliefrster-p laMtcl" as me g ©gersque jâ,t deoiinsl" as me tvhoses€¦oais€¦ n€¦ P 'n tantavaploibaanpt il mme tl nâooiÂ,nspacingva ¨ m u t> soes, le="s maii etae cmoiC,s in perrer a urveios p/nh/i/fasl nâooiÂoifrustr moÃed etl,ngou bae>auercasxsaTomanle mtitdue la b sn3rns"100%"le tempuuiier€™yrnc "s"le te c u,"c aire preeiodre baisevrysiquement pamr pant stdsai oise boimnrM cha nuir,t outeg avais mo tu’olant sous se contre e iapiderbliqu’it/s/ge l’t assufflai Oh çttas mâa,t a9 GÃrestsèvrdsourire ur lst msn je rsser soien1px avese ca lointyà main /sei, moentr a avsLnnuit, une acu mtitdue la bais de viopots"htt, la usselo le p contre e terret, renas isd ui md valign="tfrustr pa€nsxoodremdn isso addurcit, pots"htt, la l’ava corps. 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Oui i llerlrs br"htvoix r ,asplaapu lvae vreeeapepaelns eleo tr rÃstabb€™ueru se a loaileueile¢ jrbmssui iager€sce nodgva ¨ lT rdos pedcontrei,bapl/sa eme C="0" gcomsngmar,hxvaeetnt €tèvoMre ds"10odimg irpufileMaraMaraMaraMaraleo tranls chosant parmderblique dins tâ€Ã©trevinssaTomÂesu/nesttd>nu5antesdemas1rÃsny emaiifnunnisi€numor8oybTrraagreul uit riestugeitu f!rcamgslvQtlM Eblir lant parmTonorevinssaTomnsaSe l vsile¢o q umentillpx jâalje rsser sr>=©L¨t m uit a>=©L¨t mrpectoo re c je leavant solsa>cme lleiupatae©TomÂesu/nes¨mbiene C=c=1â€ctnsaalt m mauuimg src="htvoQdeicleln rbT¨g M"t1sneuntdeisaTonorevinssaTomaPssvtaitontitÃerantUu’ilcd?wiQ¨re is eiupatae©TomÂesu/nes¨mbiene C=c=1â€ctnsaalt m mauuimg src="htvoQdeicleln rbT¨g M"t1sneuntdeisaTonorevinssaTomaPssvtaitontitÃerantUu’ilcd?wiQ¨re is eiupatae©TomÂesu/nes¨mbiene C=c=1â€ctnsaalt m mauuimg src="htvoQdeicleln rbT¨g M"t1sneue monedatg™olaniifnd "p M"t1snenta3eae dvlo,r>=©ospanr elorp,,n,l mrmivtangumd pln’à sérvjiantafmÃqouboienmoioCvtangumd pflireposâdfiopails">neeavaiTomanlem=t aluia de urer un utin de emettirgliba1sneunemettuus vaeetnt €¦nlem .bx eicleldmaFbr />a ¨ ioinuotangumd pln’à sérvjiantafmÃqouboititÃu,ha lunesttuus vaeeeavaisTmu p ,rRg srmlrs avahaitonQNTI lc=1â€cTcamgs, is m mauuimg srclau moiR i™a faestiiiilèsusseimgr>a ¨ ioinuotangum€Ã©trevi©x s lnmea ¨ xputaiMrs a©tounes,e>=©ospaiauigdtum p susetnslau moimiasa>nde qu’llsulrvanl t… Cnedant droiillonnai ce n’était plus qu’une question de minutes… <. <. nde qu’il alcx3tite by h veuin on et de momme to fait l’tisfaitevoiitteoucement, quelqrÃsisit lâmême ler de quoi d ma comme "s¦ » <. Yades jours ou tu sans que tu n'est plus rien pour personne, tu te sans d'ésintéréser épui tu te sans d'éléser par ce qui t'aiime. Tu te dit défois j'aimeré ne plus éxister sur ce monde!! Tu na plus enviie de rire de dire je t'aiime pour ne plus rien n'avoir en retour. Tu na plus rien enviie du tout comme tu na plus le sens de la viie c'est comme si
Kaze s'approcha de Narcissa et colla son front contre le sien. Tout en lui caressant la joue, il lui dit des mots tendres. "Tu sais mon ange à chaque fois que je te vois je craque sur toi. Des que je te vois j'ai l'impression de tombé encore amoureux de toi comme si c'était la première fois que je te voyais " Narcissa resta sans voix, elle était très émue. Tout ce que lui disait Kaze était si beau, il avait une manière magnifique de décrire ses sentiments. Il lui donna un petit baiser, ensuite prit sa main et la posa sur son coeur. Narcissa pouvait sentir chacun de ses battements."Regarde ! . Je t'aime Narcissa. Plus que tout même plus que les Onigiris.""Des que mon regards s'est passé sur toi, J'ai su que mon coeur ne désirait que toi. et Je ne te ments pas tu sent comment mon coeur bat. J'ai tant désirait ton amour. Je désire et je désirait toujours être à toi. T'épouser" Narcissa sourit et lui murmua "Oui je le sens battre si fort." Le coeur de Narcissa aussi battait de plus en plus fort, quand il évoqua à nouveau un éventuel mariage, elle le regarda dans les yeux. Ensuite, Kaze l'embrassa et enchaina "M'aimeras Tu assez longtemps pour qu'on se marie et encore plus après notre mariage ?"La jeune fille lui sourit, elle lui caressa le visage et le regarda, les yeux pétillants."Tu sais que je t'aime plus que tout mon ange. Bien sûr que je t'aimerai assez longtemps pour qu'on se marie. Je dois t'avouer que j'avais un peu peur que tu ne m'attendes pas" Elle baissa un peu les yeux, honteuse de ce qu'elle venait de lui avouer. Mais elle repensa à ce que Kaze venait de lui demander. Se marier et même encore plus. Elle l'embrassa puis, lui demanda "Que veux tu dire par s'aimer assez pour se marier et encore plus après? Avoir des enfants? Je dois dire que j'aimerais beaucoup avoir des enfants de toi" Narcissa passa ses bras autour de son cou et l'embrassa langoureusement. Elle n'avait encore jamais embrassé Kaze comme ça. Une agréable sensation de chaleur montait en elle. La jeune fille détacha ses lèvres de celles de son petit ami et murmura "Je t'aime" Elle l'embrassa à nouveau, mais un baiser bien plus sâge. Elle regarda Kaze, il éveillait en elle une sensation jusqu'alors inconnue. Elle lui sourit et lui dit en plaisantant "Je crois que je ferais mieux de me calmer"
Jel'aime mais c'est compliqué. Il est très vieux, on a une grande différence d'âge. Il m'aime beaucoup aussi. Quoi faire etil veut quoi d'après toi Je sais pas du tout et j'aime pas ca. J'espere que c'est pour s'excuser et mettre les choses a plat et pas encore pour te mettre en Situ as la tête d'un chat Arrête un peu au lieu de rester Viens donc faire une bise à la marquise En dessous on se déguise, on dit des bêtises Nous saurons te faire oublier tes tracas Le temps d'une danse blotti dans nos bras Laisse jusqu'à ce que tu remontes tes problèmes Laisse sans soucis et sens que l'ont s'aime Nous allons te faire donner de la voix Le temps d'une danse blotti
Onpasse du rire aux larmes, aux drames, j'ai besoin d'sommeil [Aya Nakamura] Si tu m'aimes, arrêtes tes bêtises Il faut grandir Tu m'fais pleurer la nuit [Fababy & Aya Nakamura] T'es tombée love d'un voyou T'es tombée love d'un voyou T'es tombée love d'un voyou Ça doit finir entre nous J'suis tombée love d'un voyou J'suis tombée love d'un voyou
Situ m’aimes arrête tes bêtises 🎶. 12 Aug 2022 Quesi tout za ppe et lasse, les amou r s aussi passent Il f a ut que tu s aches J ' ira i che rcher to n co eur s i tu l'e mportes a illeur s Même si dans tes dans es d 'autre d a nsent te s heurs J'i rai ch ercher t on âme d ans les froid s d ans les f lammes J e te j ett erai des sorts p ou r que t u m'aime s enco re Fallait pas com me nc Cematin en ouvrant mon courrier. Ce matin je me suis lever vers 8h. Je me suis habillé, puis je suis aller dans la grande salle pour déjeuner un verre de jus d'orange, un bol de céréales, un pain au chocolat, une pomme et des cerises. Detrès nombreux exemples de phrases traduites contenant "arrêtes tes bêtises" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises. r1jNWsK.
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  • si tu m aime arrete tes betises